Citations sur mot

Une collection de citations sur le thème de mot, pluie, tout, bien-être.

Citations sur mot

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“Un mot suffit au sage.”

Plaute (-254–-184 avant J.-C.) poète comique, acteur, chef de troupe théâtrale et auteur de comédies romain

Dictum sapienti sat est.
la
Le Perse (Persa)

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“Tenir à sa peau est le premier mot de la sagesse.”

Batouala, 1921

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“Ces gardes nationales porteront sur leur poitrine et sur leur drapeau ces mots : "Le peuple français. Liberté égalité fraternité."”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Discours, Discours de Robespierre sur l'organisation des gardes nationales limitée aux citoyens actifs, prononcé au club des Jacobins, [5, décembre, 1790]

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“Si, dans un cataclysme, toute notre connaissance scientifique devait être détruite et qu'une seule phrase passe aux générations futures, quelle affirmation contiendrait le maximum d'informations dans le minimum de mots? Je pense que c'est l'hypothèse atomique (ou le fait atomique, ou tout autre nom que vous voudrez lui donner) que toutes les choses sont faites d'atomes - petites particules qui se déplacent en mouvement perpétuel, s'attirant mutuellement à petite distance les unes les autres et se repoussant lorsque l'on veut les faire se pénétrer. Dans cette seule phrase, vous verrez qu'il y a une énorme quantité d'information sur le monde, si on lui applique un peu d'imagination et de réflexion.”

Richard Feynman (1918–1988) physicien américain

If, in some cataclysm, all of scientific knowledge were to be destroyed, and only one sentence passed on to the next generations of creatures, what statement would contain the most information in the fewest words? I believe it is the atomic hypothesis (or the atomic fact, or whatever you wish to call it) that all things are made of atoms little particles that move around in perpetual motion, attracting each other when they are a little distance apart, but repelling upon being squeezed into one another. In that one sentence, you will see, there is an enormous amount of information about the world, if just a little imagination and thinking are applied.
en

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“Les hommes sont étranges, on me fait un crime de mon assiduité à la prière; on ne me dirait mot si j'employais les heures que j'y passe à jouer aux jeux de hasard, à courir la bête fauve, ou à chasser aux oiseaux.”

Louis IX de France (1214–1270) roi de France

Lors du mariage de son fils Philippe avec Isabelle d'Aragon, en 1262, alors qu'il ne dort pas et traite des affaires du royaume, on lui reproche de donner trop de temps à ses œuvres de piété.

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“Ainsi entendue, l’autosuggestion n’est autre chose que l’hypnotisme tel que je le comprends et que je définis par ces simples mots : Influence de l’imagination sur l’être moral et l’être physique de l’homme.”

Émile Coué (1857–1926) psychologue et pharmacien français

La Maîtrise de soi-même par l'autosuggestion consciente - La Méthode Coué

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“N'ayons pas peur des mots. Ils n'ont pas peur de nous.”

Jean-Claude Carrière (1931) écrivain, scénariste et dramaturge français

Les mots et la chose : le grand livre des petits mots inconvenants

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“On voit qu'il se travaille à dire de bons mots.”

Le Misanthrope (1666)

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“La laideur n'a jamais été un défaut, chez un homme. Il a un salaire élevé. Il est d'une bonne famille… Mais c'est toi qui auras le dernier mot…”

Naguib Mahfouz (1911–2006) écrivain égyptien

Deux femmes, dont l'une cherche mari, discutent de la valeur d'un prétendant.
Propos du matin et du soir (Hadîth al-sabâh wa-al-masâ, 1987)

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“Les mots sont de petites lumières qui servent à éclairer le sens de ce qui nous entoure dans l’obscurité.”

Laurent Grison (1963) écrivain français

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Si ces hiers allaient manger nos beaux demains ?, 2016

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“L'encre noire ouvre ses larges ailes. Mais la lampe éclate et couvre mes mots d'une couche de cristaux brisés.”

Octavio Paz (1914–1998) poète, essayiste et diplomate mexicain

Poésie, Liberté sur parole, 1929

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“Ce que nous donnent les communications de masses, ce n'est pas la réalité, c'est le vertige de la réalité. Ou encore, sans jeu de mots, une réalité sans vertige.”

Jean Baudrillard (1929–2007) philosophe et sociologue français

La Société de consommation (1970), Première partie : La liturgie formelle de l'objet, Le statut miraculeux de la consommation, Le vertige consommé de la catastrophe

“Je le rappelle : les images ont une fonction, elles sont le terreau qui nourrit la Raison. Il s’agit donc de classement, de principe des catégories mis en œuvre, en un mot, d’élaborer l’identité : faire jouer les images identificatoires à l’échelle institutionnelle. De nos jours comme pour les cultures antiques, c’est par la propagation d’un discours de ces images fondatrices que se déploie la version de l’Interdit quel qu’en soit le contenu, aujourd'hui la version de l’anti-Tabou. En définitive, si c’est à coups de propagandes d’anti-Référence que se défont les Références classiques du Droit de la filiation, il ne s’ensuit pas que ces propagandes échappent pour autant à la logique de la Référence, telle que j’en décris les éléments et le fonctionnement. Dans ces conditions, malgré les dénis, la dogmatique de la sur-liberté demeure assujettie à la logique de la conservation de l’espèce. Cela nous ouvre la possibilité de comprendre que le rapport de dettes entre les générations est en voie de bouleversement, au préjudice des sujets à venir, appelés à payer ce que par avance nous leur infligeons, le surcoût généalogique de l’autofondation. Autrement dit, la débâcle du discours de l’identité ne sera pas payée par nous, mais par ceux qui nous suivent.”

Leçons VI Les enfants du Texte. Étude sur la fonction parentale des États

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“Que te dire, Amine? Je crois que même les terroristes les plus chevronnés ignorent vraiment ce qu’il leur arrive. Et ça peut arriver à n’importe qui. Un déclic quelque part dans le subconscient, et c’est parti. Les motivations n’ont pas la même consistance, mais généralement, ce sont des trucs qui s’attrapent comme ça, dit-il en claquant des doigts. Ou ça te tombe sur la tête comme une tuile, ou ça s’ancre en toi tel un ver solitaire. Après, tu ne regardes plus le monde de la même manière. Tu n’as qu’une idée fixe : soulever cette chose qui t’habite corps et âme pour voir ce qu’il y a en dessous. À partir de là, tu ne peux plus faire marche arrière. D’ailleurs, ce n’est plus toi qui es aux commandes. Tu crois n’en faire qu’à ta tête, mais c’est pas vrai. T’es rien d’autre que l’instrument de tes propres frustrations. Pour toi, la vie, la mort, c’est du pareil au même. Quelque part, tu auras définitivement renoncé à tout ce qui pourrait donner une chance à ton retour sur terre. Tu planes. Tu es un extraterrestre. Tu vis dans les limbes, à traquer les houris et les licornes. Le monde d’ici, tu ne veux plus en entendre parler. Tu attends juste le moment de franchir le pas. La seule façon de rattraper ce que tu as perdu ou de rectifier ce que tu as raté – en deux mots, la seule façon de t’offrir une légende, c’est de finir en beauté : te transformer en feu d’artifice au beau milieu d’un bus scolaire ou en torpille lancée à tombeau ouvert contre un char ennemi. Boum! Le grand écart avec, en prime, le statut de martyr. Le jour de la levée de ton corps devient alors, à tes yeux, le seul instant où l’on t’élève dans l’estime des autres. Le reste, le jour d’avant et le jour d’après, c’est plus ton problème; pour toi, ça n’a jamais existé.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

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“J'adore le mot tapette parce qu'il désigne mon genre de gars! Parce que moi, je suis une fille à tapettes. Les filles à tapettes sont la colonne vertébrale de la communauté gaie. Sans nous, vous n'êtes rien! Nous y étions, à travers l'histoire, pour vous guider le long du chemin de fer clandestin! … C'est avec nous que vous êtes allés au bal des finissants!”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

I love the word "faggot," because it describes my kind of guy! You see, I am a fag hag. Fag hags are the backbone of the gay community. Without us, you're nothing! We have been there all through history guiding your sorry ass through the underground railroad! ...We went to the prom with you!
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I'm the One that I Want

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“Un jour, je découvris une inscription toute fraîche sur le mur de l'école, je m'approchai et je lus : « le père Barrault est un con. » Mon cœur battit à se rompre, la stupeur me cloua sur place, j'avais peur. « Con », ça ne pouvait être qu'un de ces « vilains mots » qui grouillaient dans les bas-fonds du vocabulaire et qu'un enfant bien élevé ne rencontre jamais; court et brutal, il avait l'horrible simplicité bébête élémentaires. C'était déjà trop de l'avoir lu : je m'interdis de le prononcer, fût-ce à voix basse. Ce cafard accroché à la muraille, je ne voulais pas qu'il me sautât dans la bouche pour se métamorphoser au fond de ma gorge en un claironnement noir. Si je faisais semblant de ne pas avoir remarqué, peut-être rentrerait-il dans un trou de mur. Mais, quand je détournais mon regard, c'était pour retrouver l'appellation infâme : « le père Barrault » qu'il épouvantait plus encore : le mot « con », après tout, je ne faisais qu'en augurer le sens; mais je savais très bien qui on appelait « père untel » dans ma famille : les jardiniers, les facteurs, le père de la bonne, bref les vieux pauvres. […] Il me semblait à la fois qu'un fou cruel raillait ma politesse, mon respect, mon zèle, le plaisir que j'avais chaque matin à ôter ma casquette en disant « bonjour, Monsieur l'instituteur » et que j'étais moi-même ce fou, que les vilains mots et les vilaines pensées pullulaient dans mon cœur. Qu'est-ce qui m'empêchait, par exemple, de crier plein gosier : « ce vieux sagouin pue comme un cochon. » Je murmurai : « le père Barrault pue » et tout se mit à tourner : je m'enfuis en pleurant. Dès le lendemain je retrouvai ma déférence pour M. Barrault, pour son col de celluloïd et son nœud à papillon.”

Les Mots, 1964

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“J'ai dit que les Arabes avaient traduit, et beaucoup traduit. Cela veut dire d'une part qu'ils ont transmis l'héritage grec à l'Occident, dans tous les domaines : médecine, mathématiques, philosophie, à tel point que celui-ci a contracté envers le monde arabe une dette culturelle énorme. […] Cette dette était encore reconnue (à tous les sens du mot « reconnaissance ») par le Moyen Âge de Gerbert d'Aurillac, de Roger Bacon, de Frédéric II de Sicile. […] L'admiration pour le trésor de réflexion et de savoir venu des Arabes n'empêchait d'ailleurs pas une polémique ferme sur la doctrine. […] Quoi qu'il en soit, rappeler l'importance des traductions arabes ne veut en aucun cas dire que les Arabes se seraient contentés de transmettre passivement des livres dont le contenu leur serait demeuré scellé. Tout au contraire, ils ont également été des créateurs. Ils ont prolongé, parfois très loin, le savoir qu'ils recevaient. […] La reprise d'un contact direct avec l'héllénisme byzantin entraina un court-circuit culturel : on pouvait sauter par dessus les intermédiaires arabes. […] Tout est en place pour que se développe une dénégation systématique et globale de l'héritage arabe. […] La conscience d'une dette resta cependant encore claire pour les grands orientalistes de la Renaissance et du [XVII, e], Postel, Pococke, ou Fontialis. Mais elle a été refoulée des mémoires à l'époque des Lumières, puis au [XIX].”

Rémi Brague (1947) philosophe français

Europe : La voie romaine, 1992

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“Ce furent les premiers mots que j'eus sur les lèvres, un matin : lève-toi, mon vieux, lève-toi et charme.”

Clément Bénech (1991) écrivain et journaliste français

Ouvrages, Lève-toi et charme (2015)

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“Nous nous rappellerons que quelque chose se passe en Amérique, que nous ne sommes pas aussi divisés que nos politiques le suggèrent, que nous somme un peuple uni, nous sommes une Nation, et ensemble, nous allons ouvrir le prochain chapitre de l’Histoire américaine avec ces trois mots qui vont retentir de tous les côtés du pays, d’un océan à l’autre… : Oui nous pouvons!”

Barack Obama (1961) 44e président des États-Unis

we will remember that there is something happening in America, that we are not as divided as our politics suggest, that we are one people, we are one nation.
Discours de défaite aux primaires du New Hampshire

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“Osez! ce mot renferme toute la politique de notre révolution.”

Louis Antoine de Saint-Just (1767–1794) homme politique français

Discours, Rapport au nom du Comité de salut public et du Comité de sûreté générale sur les personnes incarcérées, présenté à la Convention nationale le 8 ventôse an II (26 février 1794)

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“Le mot pourquoi ne veut rien dire.”

Kurt Vonnegut (1922–2007) écrivain américain

, 1969

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