Citations sur sage

Une collection de citations sur le thème de sage, tout, bien-être, pluie.

Citations sur sage

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“Il est dans la nature humaine de penser sagement et d’agir d’une façon absurde.”

Anatole France (1844–1924) écrivain, biographe, journaliste et critique littéraire français

Variante: Il est dans la nature humaine de penser sagement et d'agir d'une façon absurde.

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“Sage Pétion, la Commune de Paris avait levé l'étendard de l'insurrection au nom de la patrie, la cause de la Commune était celle de la France entière.”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Réponse à Jérôme Pétion.
Écrits et articles, « Des papiers publics », Lettres de M. Robespierre à ses commettants, n° 7, [novembre, 1792]

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“Un mot suffit au sage.”

Plaute (-254–-184 avant J.-C.) poète comique, acteur, chef de troupe théâtrale et auteur de comédies romain

Dictum sapienti sat est.
la
Le Perse (Persa)

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“Nul ne sait répondre aux bienfaits que le sage : l’insensé aussi y répondra d’une manière telle quelle, selon sa portée; le savoir lui manquera plutôt que la volonté. La volonté ne s’apprend point.”
Nemo referre gratiam scit nisi sapiens : stultus quoque, utcumque scit et quemadmodum potest, referat; scientia illi potius, quam voluntas desit. Velle non discitur.

Nemo referre gratiam scit nisi sapiens : stultus quoque, utcumque scit et quemadmodum potest, referat ; scientia illi potius, quam voluntas desit. Velle non discitur.
la
Lettres à Lucilius (Epistulae morales ad Lucilium)

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“Le plus sage est celui qui ne pense point l'être.”

Nicolas Boileau (1636–1711) poète, écrivain et critique français

Satires (1716)

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“Il est sage de ne mettre ni crainte, ni espérance dans l’avenir incertain.”

Anatole France (1844–1924) écrivain, biographe, journaliste et critique littéraire français
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“Le sage ne peut rien souhaiter sur terre, sinon de rendre un jour le mal qu'on lui a fait.”

Jean-Paul Sartre (1905–1980) philosophe, dramaturge, romancier, nouvelliste et essayiste français
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“Envoyez-moi votre fille, écrivait saint Jérôme à Læta; je me charge de l’élever. » « Gardez auprès de vous votre fille, » répond Fénelon à une mère qui lui avait demandé son avis. Le conseil était nouveau. Le couvent était resté la ressource commune, presque la seule ressource d’éducation pour les jeunes filles. Fénelon n’hésite pas à en signaler les dangers. « J’estime fort l’éducation des bons couvents, dit-il en substance, mais je compte encore plus sur les soins d’une bonne mère, quand elle est libre de s’y appliquer. Si un couvent n’est pas régulier, c’est une école de vanité : les jeunes filles n’y entendent parler du monde que comme d’une espèce d’enchantement; il n’est pas de poison plus subtil; mieux vaut le monde lui-même qu’un couvent mondain. Si l’établissement est demeuré fidèle à l’esprit de son institut, l’ignorance absolue du siècle y règne : l’enfant qui en sort pour entrer dans la vie est comme une personne qu’on aurait nourrie dans les ténèbres d’une profonde caverne, et qu’on ferait tout d’un coup passer au grand jour; rien ne peut être plus redoutable pour une imagination vive que cette surprise soudaine. C’est à la mère sage et discrète qu’il convient d’introduire peu à peu la jeune fille dans la société où elle doit vivre, et d’y accoutumer sa vue. Elle seule d’ailleurs peut découvrir dans son esprit et dans son cœur les mouvements qu’il importe de connaître pour la bien diriger.”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Fénelon

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“Contraindre quiconque pour son propre bien, physique ou moral, ne constitue pas une justification suffisante. Un homme ne peut pas être légitimement contraint d'agir ou de s'abstenir sous prétexte que ce serait meilleur pour lui, que cela le rendrait plus heureux ou que, dans l'opinion des autres, agir ainsi serait sage ou même juste.”

His own good, either physical or moral, is not a sufficient warrant. He cannot rightfully be compelled to do or forbear because it will be better for him to do so, because it will make him happier, because, in the opinions of others, to do so would be wise, or even right.
en
De la liberté

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“Quelque chose de traumatique m'est arrivée quand j'étais jeune. J'étais avec une vieille femme noire; elle était très sage, très Alice Walker, La Couleur pourpre… Elle m'a regardée et elle m'a dit, « Bébé, autrefois je pouvais voler mais je ne peux plus voler, bébé. Mais, bébé, toi, t'es trop grosse pour voler. »”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

Something traumatic happened to me when I was younger. I was with this old black woman, and she was very wise, very Alice Walker, The Color Purple… She looked at me and she says, "Baby…you know I used to be able to fly but I can't fly no more, baby. But baby, you...? You too fat to fly."
en
Drunk with Power

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“Mettre la sagesse à être heureux, cela est raisonnable; cependant j’aimerois encore mieux mettre mon bonheur à être sage.”

Anne-Thérèse de Marguenat de Courcelles (1647–1733) femme de lettres et salonnière française

Lettre à M. l’abbé
Correspondance

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“Si vous essayez de conserver la sagesse pour le jour où le monde sera sage, mon père, le monde ne connaîtra jamais cette sagesse.”

Walter M. Miller (1923–1996) écrivain américain

Citations de ses romans, Un cantique pour Leibowitz (A Canticle for Leibowitz), 1960

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“Que nous faut-il pour faire de nous un peuple heureux et prospère? Un gouvernement sage et frugal, qui retiendra les hommes de se porter tort l'un à l'autre, et pour le reste les laissera libres de régler leurs propres efforts d'industrie et de progrès, et n'enlèvera pas de la bouche du travailleur le pain qu'il a gagné. Voilà le résumé du bon gouvernement, et voilà ce qui est nécessaire pour boucler le cercle de nos félicités. »”

Thomas Jefferson (1743–1826) président des États-Unis entre 1801 et 1809, également philosophe, agronome, inventeur, architecte,

With all these blessings, what more is necessary to make us a happy and prosperous people? Still one thing more, fellow-citizens,—A wise and frugal Government, which shall restrain men from injuring one another, shall leave them otherwise free to regulate their own pursuits of industry and improvement, and shall not take from the mouth of labor the bread it has earned. This is the sum of good government, and this is necessary to close the circle of our felicities.
en
Premier discours inaugural, 4 mars 1801

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“Les sages ne sont pas sages parce qu'ils ne commettent jamais d'erreurs. Ils sont sages parce qu'ils corrigent leurs erreurs dès qu'ils les reconnaissent.”

The wise are not wise because they make no mistakes. They are wise because they correct their mistakes as soon as they recognize them.
en
Xénocide, 1993

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“Le sage considère la société comme une limite. Il se sent social comme il se sent mortel.”

Han Ryner (1861–1938) professeur de lettres, philosophe et journaliste français

Extrait du Petit manuel individualiste.

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“Mais rien n'est plus doux que d'occuper solidement les hauts lieux fortifiés par la science des sages, régions sereines d'où l'on peut abaisser ses regards sur les autres hommes, les voir errer de toutes parts, et chercher au hasard le chemin de la vie, rivaliser de génie, se disputer la gloire de la naissance, nuit et jour s'efforcer, par un labeur sans égal, de s'élever au comble des richesses ou de s'emparer du pouvoir. O misérable esprits des hommes, ô cœurs aveugles! Dans quelles ténèbres et dans quels dangers s'écoule ce peu d'instants qu'est la vie! Ne voyez-vous pas ce que crie la nature? Réclame-t-elle autre chose que pour le corps l'absence de douleur, et pour l'esprit un sentiment de bien-être, dépourvu d'inquiétude et de crainte?”

Sed nihil dulcius est, bene quam munita tenere
edita doctrina sapientum templa serena,
despicere unde queas alios passimque videre
errare atque viam palantis quaerere vitae,
certare ingenio, contendere nobilitate,
noctes atque dies niti praestante labore
ad summas emergere opes rerumque potiri.
O miseras hominum mentes, o pectora caeca !
Qualibus in tenebris vitae quantisque periclis
degitur hoc aevi quod cumquest ! Nonne videre
nihil aliud sibi naturam latrare, nisi ut qui
corpore seiunctus dolor absit, mente fruatur
iucundo sensu cura semota metuque ?
la
De natura rerum (De la nature)

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“Comment une civilisation sage et puissante a-t-elle pu s'autodétruire?”

Walter M. Miller (1923–1996) écrivain américain

Citations de ses romans, Un cantique pour Leibowitz (A Canticle for Leibowitz), 1960

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“Mahomet (en arabe Muhammad) est, parmi les fondateurs des grandes religions universalistes, celui que nous connaissons le mieux […]. Homme génial, issu d'une société en marge des grandes civilisations de l'époque, il sut forger une synthèse idéologique impressionnante, capable de séduire d'abord son pays natal, puis de s'imposer dans une vaste zone du globe. Il sut aussi employer des dons remarquables de chef politique et militaire à acquérir le contrôle de l'Arabie. Mystique (incomplet), profondément religieux, mais non pas pur homme de sainteté comme le Christ et le Bouddha, les faiblesses humaines de cette impressionnante personnalité ne font que rendre sa biographie plus attachante. […] Si le développement postérieur de l'islam est dû aux circonstances (pour ceux qui n'y voient pas la main de Dieu), une part importante de son succès vient néanmoins du génie de Muhammad. On peut le créditer d'une grande intelligence, d'une habileté et d'une ténacité remarquables, d'un sens très fin des hommes et des situations. […] Il faut tenir compte des mœurs du temps et de son pays pour juger certains de ses actes, atroces ou quelque peu hypocrites […]. Il montra, en bien des cas, de la clémence, de la longanimité, de la largeur de vues et fut souvent exigeant envers lui-même. Ses lois furent sages, libérales (notamment vis-à-vis des femmes), progressives par rapport à son milieu.”

Maxime Rodinson (1915–2004) historien marxiste français spécialiste de l'islam
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“Nous ferons des lois sages et en même temps terribles(…) qui détruiront à jamais les accapareurs et les accaparements (…).”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Discours, Intervention au club des Jacobins contre les accaparements,

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“Pourquoi cette puissance naturelle de l'homme sur ces êtres créés? Cette puissance lui appartient depuis qu'il a été fait a l'image de Dieu Et dans quelle partie de son être cette image de Dieu a-t-elle été imprimée? Dans son intelligence, dans son âme, dans l'homme intérieur, là où il peut comprendre la vérité, discerner la justice de l'injustice, connaitre celui qui l'a fait, comprendre et louer son Créateur; cette intelligence est le partage de l'âme prudente et sage.”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

Quare hæc est naturalis potestas hominis in ista ? Quia homo ex eo habet potestatem, ex quo factus est ad imaginem Dei. Ubi autem factus est ad imaginem Dei? In intellectu, in mente, in interiore homine, in eo quod intelligit veritatem, dijudicat justitiam et injustitiam, novit a quo factus est, potest intelligere creatorem suum, laudare creatorem suum. Habet hanc intelligentiam, qui habet prudentiam.
la
Citations de saint Augustin, Traités sur l'épitre de Saint-Jean aux Parthes

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“Du docteur Goldsmith, il disait: "Aucun homme n'était plus sot quand'il n'avait pas un stylo à la main, ou plus sage quand il en avait."”

Samuel Johnson (1709–1784) écrivain anglais, poète, essayiste, biographe, lexicographe

Of Dr.Goldsmith he said, "No man was more foolish when he had not a pen in his hand, or more wise when he had.
en

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“Va, ne laisse pas régner seule en ton âme l'idée que la vérité, c'est ce que tu dis, et rien d'autre. Les gens qui s'imaginent être seuls raisonnables et posséder des idées ou des mots inconnus à tout autre, ces gens-là, ouvre-les : tu ne trouveras en eux que le vide. Pour un homme, pour un sage même, sans cesse s'instruire n'a rien de honteux. Et pas davantage cesser de s'obstiner.”

Sophocle (-496–-406 avant J.-C.) dramaturge de la Grèce antique

Μή νυν ἓν ἦθος μοῦνον ἐν σαυτῷ φόρει,
ὡς φῂς σύ, κοὐδὲν ἄλλο, τοῦτ’ ὀρθῶς ἔχειν·
ὅστις γὰρ αὐτὸς ἢ φρονεῖν μόνος δοκεῖ,
ἢ γλῶσσαν ἣν οὐκ ἄλλος ἢ ψυχὴν ἔχειν,
οὗτοι διαπτυχθέντες ὤφθησαν κενοί.
Ἀλλ’ ἄνδρα, κεἴ τις ᾖ σοφός, τὸ μανθάνειν
πόλλ’ αἰσχρὸν οὐδὲν καὶ τὸ μὴ τείνειν ἄγαν.
grc
Hémon essayant de fléchir Créon.
Antigone

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“(2) La crainte et l'amour, tel est en effet, dans toute sa concision, la différence qui sépare les deux Testaments; la crainte était le partage de l'homme ancien, l'amour est le privilège de l'homme nouveau; et cependant l'un et l'autre sont l'œuvre d'un Dieu infiniment miséricordieux. (…) (3) La charité peut donc s'allier à la vengeance. Nous en voyons la preuve dans un père qui inflige une répression sévère à son fils, quand il le voit s'abandonner à des penchants coupables; plus il l'aime, plus il sent le besoin de le corriger, surtout quand la correction lui laisse espérer des résultats. Mais en voulant le corriger il se garde bien de le tuer : car pour beaucoup la vie présente est du plus haut prix, et souvent même c'est d'elle seule qu'ils attendent la récompense de l'éducation qu'ils veulent donner à leurs enfants. Quant aux parents sages et fidèles qui attendent une autre vie meilleure, ils ne tuent pas non plus leurs enfants en voulant les châtier, parce qu'ils sont persuadés qu'ils peuvent les corriger dans cette vie mais Dieu, qui connaît ce qui convient à chacun, se venge en frappant de mort soit par lui-même, soit par les causes secondes; et si c'est la haine qui l'inspire, il ne les hait pas parce qu'ils sont hommes, mais parce qu'ils sont pécheurs. (…) Quelle preuve plus évidente que Dieu châtie avec amour, non-seulement par des infirmités et des maladies, mais même par la mort temporelle, ceux qu'il ne veut pas condamner avec le monde? (4) (…) Il n'y a donc pas lieu de soutenir la moindre contradiction entre l'Ancien Testament et le précepte que nous impose le Sauveur d'aimer nos ennemis. Tout en nous ordonnant de les aimer, il s'engage lui-même à en tirer vengeance, puisqu'il se représente sous la figure d'un juge qui tout partial et coupable qu'il est, n'ayant aucune crainte de Dieu, aucun respect pour les hommes, se laisse pourtant fléchir par les instances réitérées d'une pauvre veuve qui demande justice contre son persécuteur; à la fin il l'exauce, pour se délivrer de ses prières. S'il en est ainsi dans cette parabole, à combien plus forte raison Dieu, qui est la bienveillance et la justice même, n'affirme-t-il pas qu'il vengera ses élus de la haine de leurs ennemis (Luc, XVIII, 2-8.)?”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

(2) Nam hæc est brevissima et apertissima differentia duorum Testamentorum, timor et amor: illud ad veterem, hoc ad novum hominem pertinet; utrumque tamen unius Dei misericordissima dispensatione prolatum atque conjunctum. (...) (3) Potest ergo esse dilectio in vindicante. Quod unusquisque in filio suo probat, cum eum in mores pessimos defluentem, severissima cœrcitione constringit, et tanto magis, quanto magis eum diligit, atque hoc modo corrigi posse arbitratur. Non autem occidunt filios quos diligunt homines, quando eos corrigere volunt: quia multi hanc vitam pro magno bono habent, et totum quare volunt educare filios suos, in hac vita sperant. Fideles autem atque sapientes homines, qui credunt esse aliam vitam meliorem, et quanta possunt ex parte noverunt; nec ipsi vindicant occidendo, cum filios suos volunt corrigere, quia in hac vita eos posse corrigi credunt: Deus autem qui novit quid cuique tribuat, vindicat occidendo in quos voluerit, sive per homines, sive occulto rerum ordine; non quia eos odit in quantum homines sunt, sed in quantum peccatores sunt. (...) Ecce manifestum est Deum cum dilectione corrigere, non solum infirmitatibus et ægritudinibus, sed etiam mortibus temporalibus, eos quos non vult damnare cum mundo. (4) (...) et quomodo non sit contrarium quod Dominus nobis in Evangelio præcepit, ut diligamus inimicos nostros: de quibus tamen promittit ipse vindictam, cum de illo iudice similitudinem inducit, qui quotidianas interpellationes viduæ mulieris petentis ut se vindicaret, quamvis esset injustus, nec Deum timens, nec homines reverens, tamen sustinere non potuit, et audivit eam, ne ulterius tædium pateretur: ex cujus comparatione multo magis Deum, qui est benignissimus atque justissimus, dixit vindicare electos suos de inimicis eorum (Cf. Lc 18, 2-8.).
la
Citations de saint Augustin, Contre Adimantus, Manichéen

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“Le sage a toujours cette consolation qu'il est éternel; car, si son siècle lui est ingrat, les siècles suivants lui font justice.”

Baltasar Gracián (1601–1658) écrivain et philosophe jésuite espagnol.

L'Homme de cour, 1647

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“Quand un peuple devenu libre a établi de sages lois, sa révolution est faite; si ces lois sont propres au territoire, la révolution est durable.”

Louis Antoine de Saint-Just (1767–1794) homme politique français

Écrits théoriques, L'esprit de la Révolution et de la constitution de France, 1791

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“Les sages savent à quel moment ils vont perdre la partie.”

James Crumley (1939–2008) écrivain américain

Un pour marquer la cadence, 1969

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“Le mot sage dit à un enfant, est un mot qu’il comprend toujours, et qu’on ne lui explique jamais.”

Joseph Joubert (1754–1824) philosophe et essayiste français

Tome 1, De l'éducation.

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