Citations sur la vie

Une collection de citations sur le thème de bonheur, amitié, dieu, mort.

Meilleures citations sur la vie

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“Chaque instant de la vie est un pas vers la mort.”

Claude-Prosper Jolyot de Crébillon (1707–1777) écrivain français, auteur de romans et d'oeuvres libertines
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“La vie est belle la vie est dousse”

Sweet life

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“Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts.”

François Mauriac (1885–1970) écrivain français

Le Jeune Homme, 1926

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“La vie m'est insupportable, pardonnez-moi.”

Dalida (1933–1987) chanteuse et actrice italo-française

“Le monde est merveilleux puisqu'il est hanté.”

Jean Malrieu (1915–1976) poète français

Réponse de Jean Malrieu à l'interrogation suivante : Le spectacle intérieur conserve-t-il dans la vie quotidienne la trace des représentations qui s'offrent à vous dans l'acte d'amour ? — Il est clairement question d'une enquête initiée par la revue surréaliste La Brèche en décembre 1964. [Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, Jean Malrieu, La Brèche, 7, Décembre 1964, 92]
Presse, Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, 1964

Citations sur la vie

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“La vie ne pardonne aucune faiblesse. Éprouver de la pitié pour les faibles va à l'encontre de la loi de la nature!”

Adolf Hitler (1889–1945) homme d'État allemand né en Autriche

Propos rapporté à 1h 13min
La chute, 2004

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“Les hommes affamés n'ont aucun respect pour la loi, l'autorité ou la vie humaine.”

Marcus Garvey (1887–1940) militant jamaïcain

Hungry men have no respect for law, authority or human life.
en
Le terme affamé doit être compris aussi bien au sens propre qu'au figuré.
Citation

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“Une vie dans l'abondance et le confort bourgeois est en contradiction avec l'esprit d'une sainte pauvreté et sépare du Pauvre crucifié”

Edith Stein (1891–1942) carmélite allemande d'origine juive, mystique, morte à Auschwitz, canonisée en 1999

Charité, Pauvreté

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“Là où il n’y a pas de chaos, il y a la mort. C’est la mort qui est plate. Et la vie, c’est le chaos.”

Frankétienne (1936) écrivain, musicien, peintre et philisophe haïtien

Entrevues

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“La pensée ne livre rien de la pureté et des profondeurs de l'âme ni de la vie du cœur, sinon les motifs qui la conduisent”

Edith Stein (1891–1942) carmélite allemande d'origine juive, mystique, morte à Auschwitz, canonisée en 1999

Charité, Conscience

“La meilleure raison de se soumettre à des cultures étrangères, c'est qu'elles engendrent un sens aigu de la vitalité et de l'attention consciente – un attachement à la vie qui ne peut se manifester qu'au contact de la différence et du contraste.”

The best reason for exposing oneself to foreign ways is to generate a sense of vitality and awareness - an interest in life which can come only when one lives through the shock of contrast and difference.
en
Le Langage silencieux (1959), Chapitre 2 : Qu'est-ce que la culture ? (What is Culture?)

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“Finalement dans la vie, on ne fait que croiser les gens rarement plus.”

Michel Largillière Auteur français

Source: Personnel

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“Entre colonisateur et colonisé, il n'y a de place que pour la corvée, l'intimidation, la pression, la police, le vol, le viol, les cultures obligatoires, le mépris, la méfiance, la morgue, la suffisance, la muflerie, des élites décérébrées, des masses avilies. […] J'entends la tempête. On me parle de progrès, de "réalisations", de maladies guéries, de niveaux de vie élevés au-dessus d'eux-mêmes. Moi, je parle de sociétés vidées d'elles-mêmes, des cultures piétinées, d'institutions minées, de terres confisquées, de religions assassinées, de magnificences artistiques anéanties, d'extraordinaires possibilités supprimées. On me lance à la tête des faits, des statistiques, des kilométrages de routes, de canaux, de chemin de fer. Moi, je parle de milliers d'hommes sacrifiés au Congo-Océan. Je parle de ceux qui, à l'heure où j'écris, sont en train de creuser à la main le port d'Abidjan. Je parle de millions d'hommes arrachés à leurs dieux, à leur terre, à leurs habitudes, à leur vie, à la danse, à la sagesse. Je parle de millions d'hommes à qui on a inculqué savamment la peur, le complexe d'infériorité, le tremblement, l'agenouillement, le désespoir, le larbinisme. On m'en donne plein la vue de tonnage de coton ou de cacao exporté, d'hectares d'oliviers ou de vignes plantés. Moi, je parle d'économies naturelles, d'économies harmonieuses et viables, d'économies à la mesure de l'homme indigène désorganisées, de cultures vivrières détruites, de sous-alimentation installée, de développement agricole orienté selon le seul bénéfice des métropoles, de rafles de produits, de rafles de matières premières.”

Discours sur le colonialisme, 1950

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“Un être typiquement morbide ne deviendra jamais sain, et pourra encore moins se rendre la santé; pour quelqu'un de typiquement sain, au contraire, le fait d'être malade peut être un stimulant énergique de vie, du « plus-vivre ». C'est en fait ainsi que m'apparaît maintenant cette longue période de maladie : je découvris pour ainsi dire la vie, y compris moi-même, avec des yeux neufs, je savourai toutes les bonnes — et même les petites — choses, comme d'autres auraient du mal à les savourer — je fis de ma volonté de santé et de vie ma philosophie… Car, qu'on y prenne bien garde : mes années de plus faible vitalité furent celles où je cessai d'être pessimiste : l'instinct de l'« autoreconstitution » m'interdisait une philosophie de la pauvreté et du découragement… Et à quoi, au fond, reconnaît-on l' épanouissement physique? À ce qu'un être épanoui fait du bien à nos sens; à ce qu'il est taillé dans un bois qui est à la fois ferme, tendre et odorant. Il n'a de goût que pour ce qui lui fait du bien; son plaisir, son envie, cesse là où la mesure de ce qui convient est franchie. Il invente des remèdes contre les lésions, il exploite à son avantage les hasards malencontreux : ce qui ne le fait pas périr lui donne des forces. D'instinct, de tout ce qu'il voit, entend et vit, il amasse son propre capital : il est un principe de sélection, il élimine bien des choses. Il est toujours dans sa société bien à lui, qu'il commerce avec des livres, des hommes ou des paysages; par son choix, il honore ce qu'il a choisi, ce qu'il admet, ce à quoi il fait confiance. À toutes sortes de sollicitations, il réagit lentement, avec cette lenteur dont une longue prudence et une fierté délibérée lui ont imposé la discipline. Bien loin d'aller au-devant d'elle, il examine attentivement la sollicitation qui se présente à lui. Il ne croit ni à la « malchance », ni à la « faute » : il vient à bout de lui-même et des autres, il sait oublier”

il est assez fort pour que tout, nécessairement, tourne à son avantage. Eh bien, je suis tout le contraire d'un décadent : car c'est moi-même que je viens de décrire.
Ecce homo, 1888, Pourquoi je suis si sage

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“On meurt toujours trop tôt — ou trop tard. Et cependant la vie est là, terminée […]. Tu n'es rien d'autre que ta vie.”

No Exit
Huis clos, 1944
Variante: On meurt toujours trop tôt ― ou trop tard. Et cependant la vie est là, terminée: le trait est tiré, il faut faire la somme. Tu n'es rien d'autre que ta vie.

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“J'ai certaines règles que je suis dans la vie. Ma première règle : je ne crois en rien de ce que me dit mon gouvernement.”

George Carlin (1937–2008) humoriste américain

Jammin' in New York (Improvisation à New York), 1992

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“La fin du désir c'est la mort de l'amour. La fin de la pluie c'est la mort de la vie.”

Tanella Boni (1954) écrivaine, philosophe et professeure

Une vie de crabe, 1990

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“Et comme la mort succède à la vie, elle doit elle-même précéder une autre naissance…”

Ian Watson (1943) auteur de science-fiction britannnique

La Mort en cage, 1981

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“Dans la rêverie d'Edgar Poe, pour un rêveur vivant, fidèle à la clairvoyance du rêve, comme Edgar Poe, une des fonctions du végétal est de produire de l'ombre comme la seiche produit de l'encre. A chaque heure de sa vie la forêt doit aider la nuit à noircir le monde.”

L'eau et les rêves — Essai sur l'imagination de la matière, Gaston Bachelard, Le Livre de Poche, Biblio Essais, 1993, 1942, 67, IV, II Les eaux profondes — Les eaux dormantes — Les eaux mortes, « L'eau lourde » dans la rêverie d'Edgar Poe, 978-2-253-06100-7
L'Eau et les Rêves, 1942

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“Pour [mon père], les infortunes ne sont pas une fatalité, mais des incidents de parcours qu’il faut dépasser, quitte à en pâtir dans les minutes qui suivent. Son humilité et son discernement étaient un régal. J’ai tant voulu lui ressembler, jouir de sa frugalité et sa modération! Grâce à lui, alors que je grandissais sur une terre tourmentée depuis la nuit des temps, je refusais de considérer le monde comme une arène. Je voyais bien que les guerres se succédaient aux guerres, les représailles aux représailles, mais je m’interdisais de les cautionner d’une manière ou d’une autre. Je ne croyais pas aux prophéties de la discorde et n’arrivais pas à me faire à l’idée que Dieu puisse inciter ses sujets à se dresser les uns contre les autres et à ramener l’exercice de la foi à une absurde et effroyable question de rapport de forces. Dès lors, je m’étais méfié comme d’une teigne de ce qui me réclame un peu de mon sang pour purifier mon âme. Je ne voulais croire ni aux vallées des larmes ni à celles des ténèbres – il y avait d’autres sites plus séduisants et moins déraisonnables autour de soi. Mon père me disait : « Celui qui te raconte qu’il existe symphonie plus grande que le souffle qui t’anime te ment. Il en veut à ce que tu as de plus beau : la chance de profiter de chaque instant de ta vie. Si tu pars du principe que ton pire ennemi est celui-là même qui tente de semer la haine dans ton cœur, tu auras connu la moitié du bonheur. Le reste, tu n’auras qu’à tendre la main pour le cueillir. Et rappelle-toi ceci : il n’y a rien, absolument rien au-dessus de ta vie… Et ta vie n’est pas au-dessus de celle des autres. »
Je ne l’ai pas oublié.
J’en ai même fait ma principale devise, convaincu que lorsque les hommes auront adhéré à cette logique, ils auront enfin atteint la maturité.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

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“[La démocratie] est l'idée de la communauté elle-même. Elle est un idéal au seul sens intelligible du terme; à savoir, la tendance et le mouvement d'une chose existante menée jusqu'à sa limite finale, considérée comme rendue complète, parfaite. Puisque les faits n'atteignent jamais un tel degré d'accomplissement mais sont, dans la réalité, détournés et sujets à des interférences, la démocratie en ce sens n'est pas un fait et n'en sera jamais un. Mais en ce sens également, jamais on ne rencontre ou on n'a rencontré quoi que ce soit qui aurait formé une communauté à un degré complet, une communauté parfaite constituée par des éléments étrangers. L'idée ou l'idéal d'une communauté pointe cependant vers des phases réelles de la vie en association, lorsque celles-ci sont libérées d'éléments restrictifs et perturbants, et sont vues comme ayant atteint la limite de leur développement. Lorsque les conséquences d'une activité conjointe sont jugées bonnes par toutes les personnes singulières qui y prennent part, et lorsque la réalisation du bien est telle qu'elle provoque un désir et un effort énergiques pour le conserver uniquement parce qu'il s'agit d'un bien partagé par tous, alors il y a une communauté. La conscience claire de la vie commune, dans toutes ses implications, constitue l'idée de la démocratie.”

John Dewey (1859–1952) philosophe américain

Le public et ses problèmes

“Quand vous êtes heureux, ça donne de l'importance à la vie, et alors on a encore plus peur de mourir.”

Romain Gary (1914–1980) écrivain et diplomate français

L'angoisse du roi Salomon, 1979

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“Des étoiles nous venons, aux étoiles nous retournerons. La vie n'est qu'un périple dans l'inconnu.”

Walter Moers (1957) auteur et bédéiste allemand

La cité des livres qui rêvent

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“La vie est une partie d´échecs et on ne sait jamais tout à fait si on est en train de gagner ou de perdre.”

Adolfo Bioy Casares (1914–1999) écrivain argentin

La vida es una partida de ajedrez y nunca sabe uno a ciencia cierta cuándo está ganando o perdiendo.
es

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“Je me rappelais que mon père avait coutume de dire que le but de la vie c'est de se préparer à rester mort très longtemps.”

Tandis que j'agonise, William Faulkner, Gallimard, 1966, 183, 1930, Du monde entier, Maurice-Edgar Coindreau
Tandis que j'agonise, 1930

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“Chacun puise dans sa croyance une consolation aux revers et aux maux de sa vie”

Mika Waltari (1908–1979) écrivain finlandais

Sinouhé l’Égyptien (', 1945)

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“La vie est une lutte de pouvoir où chacun se dispute l'intérieur de l'assiette.”

Pete Dexter (1943) écrivain américain

Spooner, 2009

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“L'art n'a que les ressources de la vie de chacun: il change ce plomb en or.”

Jean d'Ormesson (1925–2017) écrivain, chroniqueur, éditorialiste, acteur et philosophe français

Romans, C'était bien

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“L'abnégation, la charité résultent le plus souvent d'un défaut de vie personnelle.”

Léon Blum (1872–1950) homme politique français

Nouvelles conversations de Goethe avec Eckermann, 1901

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