Citations sur la peur

Une collection de citations sur le thème de peur, pluie, tout, bien-être.

Meilleures citations sur la peur

Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
Eleanor Roosevelt photo
Michel Largillière photo

“Les vieilles peur ne s'oublient pas aussi facilement.”

James Sallis (1944) romancier américain

Le Faucheux, 1992

Michel de Montaigne photo

“C'est de quoi j'ai le plus de peur que la peur.”

Essais, Livre I
Source: The Complete Essays

Joseph Heller photo

“Les hommes les plus braves connaissent la peur.”

Joseph Heller (1923–1999) écrivain américain

, 1961

Rocé photo

“On a peur d’être seul comme si on avait peur de soi-même.”

Rocé (1977) chanteur français

Identité en crescendo, 2006

Bernard Noël photo
Jules Renard photo

“La peur de l'ennui est la seule excuse du travail.”

Jules Renard (1864–1910) écrivain français

Journal, 1887-1910

Citations sur la peur

José Baroja photo
José Baroja photo
Mustafa Kemal Atatürk photo
Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
Marie Curie photo
Mustafa Kemal Atatürk photo
Nelson Mandela photo
Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
Megan Marie Hart photo
Aimé Césaire photo

“Entre colonisateur et colonisé, il n'y a de place que pour la corvée, l'intimidation, la pression, la police, le vol, le viol, les cultures obligatoires, le mépris, la méfiance, la morgue, la suffisance, la muflerie, des élites décérébrées, des masses avilies. […] J'entends la tempête. On me parle de progrès, de "réalisations", de maladies guéries, de niveaux de vie élevés au-dessus d'eux-mêmes. Moi, je parle de sociétés vidées d'elles-mêmes, des cultures piétinées, d'institutions minées, de terres confisquées, de religions assassinées, de magnificences artistiques anéanties, d'extraordinaires possibilités supprimées. On me lance à la tête des faits, des statistiques, des kilométrages de routes, de canaux, de chemin de fer. Moi, je parle de milliers d'hommes sacrifiés au Congo-Océan. Je parle de ceux qui, à l'heure où j'écris, sont en train de creuser à la main le port d'Abidjan. Je parle de millions d'hommes arrachés à leurs dieux, à leur terre, à leurs habitudes, à leur vie, à la danse, à la sagesse. Je parle de millions d'hommes à qui on a inculqué savamment la peur, le complexe d'infériorité, le tremblement, l'agenouillement, le désespoir, le larbinisme. On m'en donne plein la vue de tonnage de coton ou de cacao exporté, d'hectares d'oliviers ou de vignes plantés. Moi, je parle d'économies naturelles, d'économies harmonieuses et viables, d'économies à la mesure de l'homme indigène désorganisées, de cultures vivrières détruites, de sous-alimentation installée, de développement agricole orienté selon le seul bénéfice des métropoles, de rafles de produits, de rafles de matières premières.”

Discours sur le colonialisme, 1950

Jack Layton photo
Louis XVII photo

“Le stoïcisme, c'est quand on a tellement peur de tout perdre qu'on perd tout exprès, pour ne plus avoir peur.”

Romain Gary (1914–1980) écrivain et diplomate français

L'angoisse du roi Salomon, 1979

Christine Boutin photo

“Je n'ai pas peur, je n'ai plus peur, je n'ai plus peur de vos totalitarismes. Je n'ai plus peur de cela. Vous êtes en train de déstructurer la civilisation de notre monde.”

Christine Boutin (1944) femme politique française

En réponse à la question d'Anne Hidalgo "Vous n'avez plus peur de l'extrême droite ?"
Le monde politique

Thierry Roland photo

“Alors ça, je n'ai vraiment pas peur de le dire, Monsieur Foote, vous êtes un salaud.”

Thierry Roland (1937–2012) journaliste sportif français, commentateur de matchs de football

Thierry Roland commente en duo avec Bernard Père, le premier match qualificatif des Bleus entraînés par Michel Hidalgo pour la Coupe du monde de football 1978. La Bulgarie vient d'égaliser (2-2) sur un but accordé par l'arbitre écossais Ian Foote malgré un grossier hors-jeu, Platini a été privé d'un penalty flagrant. À la 88 , Hristo Bonev s'écroule dans la surface sans que Bossis l'ait touché mais l'arbitre accorde un penalty. « Alors là, M. Foote, vous êtes un salaud », s'écrie Thierry Roland. Bonev tira à côté et le match se finit sur cette égalité.
Commentaires de matches de football télévisés, Sur Antenne 2

“Quand vous êtes heureux, ça donne de l'importance à la vie, et alors on a encore plus peur de mourir.”

Romain Gary (1914–1980) écrivain et diplomate français

L'angoisse du roi Salomon, 1979

Joseph Kessel photo
Stephen King photo
Imre Kertész photo
Roberto Saviano photo

“Le meilleur […] c'est celui qui n'a besoin de personne. Il sait des choses, mais il fait aussi peur. Si tu ne fais peur à personne, si personne ne tremble en te voyant, alors ça veut dire que tu n'es pas vraiment à la hauteur.”

Roberto Saviano (1979) écrivain et journaliste italien

fr
Saviano citant son père.
Gomorra : Dans l'empire de la Camorra, 2006, Seconde partie, Kalachnikov

Jean Anouilh photo
Gaston Bachelard photo

“On ne court pas parce qu'on a peur mais on a peur parce qu'on court.”

Bernard Wolfe (1915–1985) écrivain américain

, 1952

Michel-Georges Micberth photo
Clifford D. Simak photo

“L'Homme a peur. Il a toujours vécu dans la peur. Il a peur. Peur de lui-même.”

Citations de ses romans, Au carrefour des étoiles, 1963

Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais photo
Quentin Crisp photo

“Lire un roman ou écouter une pièce de théâtre équivalait boire la vie par une paille - la fumer par bout filtrant. Si nous n'avions pas peur de nous noircir les dents ou de nous cribler les poumons de cancer - si nous étions une race indomitable d'hommes à la digestion forte - on pourrait dévorer la vie sans ces appareils trop civilisés.”

To read a novel or see a play was to drink life through a straw — to smoke it through a filter-tip. If we were not afraid of blackening our teeth or riddling our lungs with cancer — if we were a dauntless race of men with strong digestions — we would be able to devour life without the aid of these over-civilized devices.
en
The Naked Civil Servant (Fonctionnaire du nu)

Marguerite Duras photo
Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
Catherine d'Aragon photo
Daniel Cohn-Bendit photo
Edward Bunker photo
Rama Yade photo
Georges Bataille photo
William Tecumseh Sherman photo

“Mon objectif était alors de battre les rebelles, de rappeler leur fierté à plus d'humilité, de les poursuivre dans leurs derniers retranchements, et de leur inspirer peur et effroi. 'La crainte de l'Éternel est le commencement de la sagesse.'68 Je ne voulais pas qu'ils nous jettent au visage, ce que le général Hood avait fait à Atlanta, que nous avions dû faire appel à leurs esclaves pour nous aider à les assujettir. Mais, s'agissant de la bonté de la race …, je tiens à affirmer qu'aucune armée n'a jamais plus fait pour cette race que celle que j'ai commandée à Savannah.”

William Tecumseh Sherman (1820–1891) militaire, homme d'affaires, enseignant et écrivain américain

My aim then was to whip the rebels, to humble their pride, to follow them to their inmost recesses, and make them fear and dread us. "Fear of the Lord is the beginning of wisdom." I did not want them to cast in our teeth what General Hood had once done at Atlanta, that we had to call on their slaves to help us to subdue them. But, as regards kindness to the race . . ., I assert that no army ever did more for that race than the one I commanded at Savannah.
en

Paul Éluard photo

“La peur en loques perce les murs.”

Paul Éluard (1895–1952) poète français

L'Amour la poésie, 1929

Jacques Ellul photo
Jean-Paul Sartre photo

“Un jour, je découvris une inscription toute fraîche sur le mur de l'école, je m'approchai et je lus : « le père Barrault est un con. » Mon cœur battit à se rompre, la stupeur me cloua sur place, j'avais peur. « Con », ça ne pouvait être qu'un de ces « vilains mots » qui grouillaient dans les bas-fonds du vocabulaire et qu'un enfant bien élevé ne rencontre jamais; court et brutal, il avait l'horrible simplicité bébête élémentaires. C'était déjà trop de l'avoir lu : je m'interdis de le prononcer, fût-ce à voix basse. Ce cafard accroché à la muraille, je ne voulais pas qu'il me sautât dans la bouche pour se métamorphoser au fond de ma gorge en un claironnement noir. Si je faisais semblant de ne pas avoir remarqué, peut-être rentrerait-il dans un trou de mur. Mais, quand je détournais mon regard, c'était pour retrouver l'appellation infâme : « le père Barrault » qu'il épouvantait plus encore : le mot « con », après tout, je ne faisais qu'en augurer le sens; mais je savais très bien qui on appelait « père untel » dans ma famille : les jardiniers, les facteurs, le père de la bonne, bref les vieux pauvres. […] Il me semblait à la fois qu'un fou cruel raillait ma politesse, mon respect, mon zèle, le plaisir que j'avais chaque matin à ôter ma casquette en disant « bonjour, Monsieur l'instituteur » et que j'étais moi-même ce fou, que les vilains mots et les vilaines pensées pullulaient dans mon cœur. Qu'est-ce qui m'empêchait, par exemple, de crier plein gosier : « ce vieux sagouin pue comme un cochon. » Je murmurai : « le père Barrault pue » et tout se mit à tourner : je m'enfuis en pleurant. Dès le lendemain je retrouvai ma déférence pour M. Barrault, pour son col de celluloïd et son nœud à papillon.”

Les Mots, 1964

Andreï Makine photo
Henri Wallon photo

“Toutes les émotions : plaisir, joie, colère, angoisse, peur, timidité, peuvent-être ramenées à la manière dont le tonus se forme, se consomme ou se conserve.”

Henri Wallon (1879–1962) philosophe, psychologue, neuropsychiatre, pédagogue et homme politique français

La vie mentale (encyclopédie), 1938, Sur l'Émotion :

Arturo Pérez-Reverte photo
Noam Chomsky photo

“Les scribes des discours de Bush ont concocté cet « Axe du mal » parce que le « mal » fait peur aux gens et que « l'axe » rappelle les nazis.”

Noam Chomsky (1928) linguiste et philosophe américain

Pouvoir et Terreur, entretiens après le 11 septembre, 2003

Jean d'Ormesson photo
Jean-Jacques Rousseau photo
Brice Hortefeux photo

“Si vous n'avez rien à vous reprocher, vous n'avez pas à avoir peur d'être filmés!”

Brice Hortefeux (1958) politicien français

Citation sur la vidéosurveillance

André Comte-Sponville photo
Dieudonné photo
Jerzy Popiełuszko photo
Gérard de Nerval photo

“La vertu, chez les uns, c'est peur de la justice; chez beaucoup c'est faiblesse; chez d'autres, c'est calcul.”

Gérard de Nerval (1808–1855) poète, conteur, auteur dramatique, librettiste et journaliste français

Le carnet de Dolbreuse

Thomas Bernhard photo

“(…) dogmatique est le discours occupant la place mythique de la vérité et, de ce fait, servant de fondement aux images identificatoires, pour la société en tant que telle et pour tout sujet ressortissant de cette représentation. Or, de nos jours, le discours dogmatique capable d’accueillir la croyance aux images et de fonder la représentation ne peut être mis en scène, si j’ose ainsi m’exprimer, que sous le chapeau de la Science et coiffé par la Démocratie gestionnaire, ou par tout autre signifiant socialement emblématique, c'est-à-dire politiquement plausible. Le Droit est donc refoulé dans la culture, essentiellement parce que la Science lui a ravi, au cours de l’histoire du système normatif européen, la place mythique, le Science ayant pris statut de fondement des lois, à l’instar du divin, avec lequel le Droit civil, nous le verrons plus loin, est directement lié. On observera que l’idée même de dogmaticité fait horreur aujourd'hui et à bon escient, car le présupposé d’après lequel l’objet-Science échappe au statut dogmatique du discours des images (le Droit lui-même cessant d’être pensé comme dogmatique) est nécessaire au montage social d’idéalisation normative de la Science, comme il est nécessaire que le Droit soit présenté, non comme manœuvre fondatrice du vivant (auquel cas la Science en tant qu’idéal religieux s’en trouverait détrônée) –du vivant parlant, c'est-à-dire du sujet-, mais comme anecdote sociale et simple technique de régulation gestionnaire. À voir la panique qui saisit juristes et psys à la perspective de parler dogmes, au sens que mes travaux donnent à ce terme, on ne s’étonne pas de cette nouvelle peur de penser : la crainte de trahir la Science paralyse la réflexion sur les montages institutionnels, dès lors qu’une telle réflexion touche au rite moderne d’entrée dans la légalité, c'est-à-dire au fin fond de ce qui nous porte hors de l’abîme indicible, nos représentations de l’Au nom de, l’inaugural que j’appelle aussi discours de la Référence, tout aussi divin aujourd'hui que l’ancien, en ce qu’il est lui aussi intouchable et sacré.”

Leçons VI Les enfants du Texte. Étude sur la fonction parentale des États

André Breton photo
James Dickey photo
Uli Windisch photo
Émile Lahoud photo
Marguerite Yourcenar photo

“Rien dans cette immensité n'avait de nom : il se retint de penser que l'oiseau qui pêchait, balancé sur une crête, était une mouette, et l'étrange animal qui bougeait dans une mare ses membres si différents de ceux de l'homme une étoile de mer. La marée baissait toujours, laissant derrière elle des coquillages aux spirales aussi pures que celles d'Archimède; le soleil montait insensiblement, diminuant cette ombre humaine sur le sable. Plein d'une révérencieuses pensée qui l'eût fait mettre à mort sur toutes les places publiques de Mahomet ou du Christ, il songea que les symboles les plus adéquats du conjectural Bien Suprême sont encore ceux qui passent absurdement pour les plus idolâtres, et ce globe igné le seul Dieu visible pour des créatures qui dépériraient sans lui. De même, le plus vrai des anges était cette mouette qui avait de plus que les Séraphins et les Trônes l'évidence d'exister. Dans ce monde sans fantômes, la férocité même était pure : le poisson qui frétillait sous la vague ne serait dans un instant qu'un sanglant bon morceau sous le bec de l'oiseau pêcheur, mais l'oiseau ne donnait pas de mauvais prétexte à sa faim. Le renard et le lièvre, la ruse et la peur, habitaient la dune où il avait dormi, mais le tueur ne se réclamait pas de lois promulguées jadis par un renard sagace ou un renard-dieu; la victime ne se croyait pas châtiée pour ses crimes et ne protestait pas en mourant de sa fidélité à son prince. La violence du flot était sans colère. La mort, toujours obscène chez les hommes, était propre dans cette solitude.”

L'Œuvre au noir, 1968

Alain Finkielkraut photo
Robert Desnos photo
Conrad Detrez photo
Daniel Pennac photo
Alain Soral photo
Marine Le Pen photo
Pierre Rabhi photo
Paul Léautaud photo
Ambrose Bierce photo

“Religion : fille de l'espérance et de la peur; elle explique à l'ignorance la nature de l'inconnaissable.”

Ambrose Bierce (1842–1914) écrivain et journaliste américain

Issue du Dictionnaire du diable

Annie Le Brun photo

“[…] cette confusion des lieux de peur et des lieux de plaisir dans l'imaginaire européen, qui donne à chacun l'occasion de se rendre fantasmatiquement maître de l'espace destiné à l'asservissement du nombre, préfigure paradoxalement la fête révolutionnaire alors conçue comme « l'éveil d'un sujet collectif qui naît à lui-même, et qui se perçoit en toutes ses parties, en chacun de ses participants ». Et quand la première fête révolutionnaire aurait été la prise de la Bastille, c'est-à-dire la prise de possession collective d'un lieu clos ou bien l'abolition d'un décor qui sépare, le roman noir propose la même fête, mais à l'intérieur d'un décor où la séparation ne se serait maintenue que pour exalter la souveraineté de tous ceux qui s'en rendent fantasmatiquement maîtres. Ainsi niant à la fois le caractère exclusif de la fête aristocratique et le caractère collectif de la fête révolutionnaire, l'architecture noire ouvre un espace de subversion où le nombre délimite négativement le champ d'affirmation de l'unique pour en faire une prison, de même que l'unique y vient nier la possibilité d'un plaisir partagé, excluant tout ce qui s'oppose à sa propre satisfaction. Car illustrant l'idée fort répandue en cette fin de siècle que « l'extrême liberté de quelques-uns attente à la liberté de tous », les demeures du roman noir exposent aussi que la liberté de tous porte atteinte à la liberté de chacun dont elles esquissent les perspectives illimitées.”

Annie Le Brun (1942) poétesse française

Annie Le Brun cite ici à deux reprises Jean Starobinski (in l'Invention de la liberté).
Essai critique, Les châteaux de la subversion, 1982

Etty Hillesum photo
André Breton photo
Jerzy Popiełuszko photo
Marc Lévy photo
Joseph Kessel photo
Anne Sylvestre photo
Michel Pastoureau photo
Franz Werfel photo
Marcel Bigeard photo
Maria-Antonietta Macciocchi photo

“Quand le Nouvel Observateur a sorti son reportage sur un cours de sexologie à l'université de Vincennes (l'article avait un titre explicite : « Je te tiens, tu me tiens… »), s'il est vrai que les petits-bourgeois ont envoyé ausitôt des milliers de lettres au sous-secrétaire d'État Soisson pour se plaindre, pour rouspéter (« C'est ainsi que vous dépensez l'argent des honnêtes contribuables? »), il n'en est pas moins vrai que la réaction générale a été la méfiance à l'égard du journal : dans toute cette affaire, c'est lui qui est apparu le plus suspect, avec son étrange moralisme de gauche. […] Moyennant quoi, je me suis souvenue qu'en effet, le soir, pendant que je tenais mon cours sur les origines du fascisme, des murmures étranges, des gémissements chantés se faisaient entendre dans la salle à côté, et que j'avais tapé plusieurs fois sur le mur pour les faire taire. En écoutant les commentaires grivois du quartier, où l'on avait dévoré les articles de France-Soir et où l'on ne parlait plus que de ça, je me suis dit qu'il devait s'agir de ce fameux cours de sexologie. J'en ai conclu que c'eût été une suprême ironie que de l'avoir à côté de moi, pendant que je dissertais sur « l'évolution structurale des classes en France ». Et je n'ai rien dit, de peur qu'on ne se fiche de moi encore plus. Je n'ai signalé la coïncidence qu'à un ami; sa réponse? « Eh bien, tu vois, l'Université? Elle est décidément aussi vieille et décrépite qu'avant 68. Personne ne sait ce qui se passe d'intéressant dans la salle d'à côté. »”

Maria-Antonietta Macciocchi (1922–2007) femme politique

De la France

“penser De penser qu'il pense fait peur au schizophrène autant qu'au névrosé de penser qu'il désire.”

Paul-Claude Racamier (1924–1996) psychiatre et psychanalyste français

Les Schizophrènes, 1980, Schizogrammes

“…vivre dans la peur n'est pas vivre.”

La terre demeure, 1949

André Breton photo
George Sand photo
Frank Herbert photo

“L'adoration est produite par la peur.”

Les Yeux d'Heisenberg, 1966

Jean Jaurès photo
André Breton photo
Éliette Abécassis photo
Tzvetan Todorov photo