Citations sur nom

Une collection de citations sur le thème de nom, tout, pluie, bien-être.

Citations sur nom

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“Un nom se porte, un parent se respecte”

Michel Largillière Auteur français

Source: Personnel

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“Expérience est le nom que nous donnons à nos erreurs.”

Experience is the name everyone gives to their mistakes.
en
L'Éventail de Lady Windermere ('), 1892

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“Sage Pétion, la Commune de Paris avait levé l'étendard de l'insurrection au nom de la patrie, la cause de la Commune était celle de la France entière.”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Réponse à Jérôme Pétion.
Écrits et articles, « Des papiers publics », Lettres de M. Robespierre à ses commettants, n° 7, [novembre, 1792]

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“Si, dans un cataclysme, toute notre connaissance scientifique devait être détruite et qu'une seule phrase passe aux générations futures, quelle affirmation contiendrait le maximum d'informations dans le minimum de mots? Je pense que c'est l'hypothèse atomique (ou le fait atomique, ou tout autre nom que vous voudrez lui donner) que toutes les choses sont faites d'atomes - petites particules qui se déplacent en mouvement perpétuel, s'attirant mutuellement à petite distance les unes les autres et se repoussant lorsque l'on veut les faire se pénétrer. Dans cette seule phrase, vous verrez qu'il y a une énorme quantité d'information sur le monde, si on lui applique un peu d'imagination et de réflexion.”

Richard Feynman (1918–1988) physicien américain

If, in some cataclysm, all of scientific knowledge were to be destroyed, and only one sentence passed on to the next generations of creatures, what statement would contain the most information in the fewest words? I believe it is the atomic hypothesis (or the atomic fact, or whatever you wish to call it) that all things are made of atoms little particles that move around in perpetual motion, attracting each other when they are a little distance apart, but repelling upon being squeezed into one another. In that one sentence, you will see, there is an enormous amount of information about the world, if just a little imagination and thinking are applied.
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Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
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“Reconnaissons que Dieu n’est pas quelque chose de vague, notre Dieu n’est pas un Dieu en spray, il est concret et non pas abstrait. Il a d’ailleurs un nom : Dieu est amour.”

François (pape) (1936) 266e pape de l'Église catholique

Il nostro Dio non è un Dio « spray », è concreto, non è un astratto, ma ha un nome: ‘Dio è amore’.
it

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“[Les Musulmanes] ne veulent pas de liberté! Je vais vous dire : récemment, j'ai discuté avec quelqu'un, une personne dont je tairai le nom parce que c'est vraiment gênant… Et cette personne me disait : « Nous voulons libérer les femmes du vous-savez-quoi. » D'abord, j'ai répondu : « Oui, ça paraît logique. C'est sympa. » Et puis, j'ai vu des entretiens de femmes. Elles disaient : « Mais nous ne voulons pas la retirer, on la porte depuis des millénaires. Pourquoi quelqu'un nous y forcerait-il? » Elles le veulent! Mince alors! Pourquoi va-t-on s'embourber dans ce débat? En fait, c'est même pratique : elles n'ont même plus à mettre de maquillage. Regardez comme elles sont belles… Est-ce que ce ne serait pas plus simple? Je vous le dis : si j'étais une femme, hop! « Et voilà chéri, je suis prête! » Sérieusement… La raison pour laquelle je ne peux pas dire le nom de la personne, c'est parce que c'est un républicain. Mais les démocrates n'en pensent pas moins! Ils veulent de la démocratie. Mais on ne peut plus avoir de démocratie…”

Donald Trump (1946) 45e président des États-Unis

It's like I saw somebody, and I won't even say because it's embarrassing: 'We want it where the women over there don't have to wear the you-know-what.' I saw a woman interviewed. They said 'We want to wear them, we've worn them for a thousand years. Why would anybody tell us not?' They want to ! What the hell are we getting involved for? Fact is, it's easy. You don't have to put on makeup, look how beautiful everyone looks. Wouldn't it be easier? Right? Wouldn't that be easy? I'll tell ya, if I was a woman I don't want to. "I'm ready, darling, let's go!"
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Sur les musulmanes

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“Aucune éloge n'est à la hauteur de tel nom.”

Nicolas Machiavel (1469–1527) philosophe florentin

Épitaphe ornant le tombeau de Machiavel

“Des millions d'enfants juifs ou arabes sont, pour le dogme, soumis à la circoncision, étant bébés ou à un âge plus avancé. Une telle cruauté n'est possible qu'avec le déni total de la sensibilité de l'enfant. Mais qui peut aujourd'hui sérieusement dire qu'un enfant ne ressent rien? En Inde, des millions de filles ont été violées en tant que jeunes mariées, et ceci au nom de la doctrine religieuse sanctionnée par le mariage. Un nombre infini de rites d'initiation, pardonnés par la religion, ne sont rien d'autre que de sadiques maltraitances de l'enfant.”

Alice Miller (1923–2010)

Millions of Jewish or Arab children are, for the sake of dogma, subjected to circumcision, as infants or at an advanced age. Such cruelty is only possible with the total denial of the child's sensibility. But who can seriously say today that a child does not feel? In India, millions of girls have been raped as brides and this in the name of the religiously sanctioned doctrine of marriage. Countless initiation rites, condoned by religion, are nothing more than the sadistic mistreatment of children
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Articles et interviews

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“La mélodie consiste en une certaine fluidité de sons coulants et doux comme le miel d’où elle a tiré son nom.”

Joseph Joubert (1754–1824) philosophe et essayiste français

Tome 2, Des beaux-arts

“Le ton de votre préambule (« fusion du réel et de l'imaginaire » comme la fusion des âmes et des corps) m'a fait rouvrir les manuels classiques d'érotologie hindous. J'ai trouvé que l'Ananga Ranga rompait d'un certain point de vue le silence fait sur les représentations mentales des amoureux en mettant la jouissance de la femme en rapport avec le cycle lunaire. Nul doute que chez les Orientaux pour qui il n'y a pas antagonisme entre l'esprit et la chair, leurs postures physiques s'associent au monde objectif dans un dessein profond. Le corps de la femme est lui-même une représentation du monde où les astres viennent conjuguer leurs influences suivant l'envahissement de l'ombre, comme ils rythment les mouvements océaniques. Tout ce qui vient au cœur des amants alors que s'éveillant enfin à l'aimée, rien d'assez pur ne saurait dessiner un lieu où naître, se résout dans cette énigme dramatique : à la fois ils sont au monde et ils ne sont pas au monde. Ils ont basculé d'un côté où « l'étreinte de chair, tant qu'elle dure, défend toute échappée sur la misère du monde.»”

Robert Guyon (1941)

Ce qui les entoure porte leurs noms.
Il est ici question d'une enquête initiée par la revue surréaliste La Brèche en décembre 1964 engageant le thème des représentations érotiques (Robert Guyon cite succintement André Breton). [Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, Robert Guyon, La Brèche, 8, Novembre 1965, 105]
Réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, 1965

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“Le dindon, qui répondait au nom de Troisétoiles, en manière de plaisanterie, ne savait plus où donner de la tête.”

André Breton (1896–1966) poète et écrivain français

Poisson soluble, 1924

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“Tout ce que possède un homme en prison, c'est son nom parmi ses pairs.”

Edward Bunker (1933–2005) écrivain américain

La Bête contre les murs, 1977

“A. Est-ce que je pense, en écrivant ce nom, à toi? Donc la première lettre était une lettre d’amour.”

Hervé Guibert (1955–1991) écrivain français

Les Aventures singulières 1982

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“Fort recherchée pour son esprit et sa beauté, elle avait institué à Lausanne, que sa famille était venue habiter pour elle, une Académie des Eaux où la jeunesse des deux sexes se livrait à des exercices littéraires que ne distinguait pas toujours la simplicité. Sous les auspices de Thémire — c’est le nom qu’elle s’était donné, — les cimes alpestres qui couronnent le lac de Genève et les riantes campagnes du pays de Vaud avaient vu renaître les fictions de l’ Astrée jadis enfantées dans la fièvre des grandes villes. Cette éducation à la fois simple et hardie, grave et aimable, fondée sur une large base d’études et ouverte à toutes les inspirations, même à celles de la fantaisie, avait été également celle de Germaine. Toute jeune, Germaine avait sa place aux vendredis de sa mère, sur un petit tabouret de bois où il lui fallait se tenir droite sans défaillance; elle entendait discourir sur la vertu, les sciences, la philosophie, Marmontel, Morellet, D’Alembert, Grimm, Diderot, Naigeon, Thomas, Buffon, se prêtait aux questions qu’on prenait plaisir à lui adresser, — non sans chercher parfois à l’embarrasser, — et se faisait rarement prendre en défaut. Mme Necker lui apprenait les langues, la laissait lire à son gré, la conduisait à la comédie. À onze ans elle composait des éloges, rédigeait des analyses, jugeait l’ Esprit des lois; l’abbé Raynal voulait lui faire écrire, pour son Histoire philosophique des établissements et du commerce des Européens dans les deux Indes, un morceau sur la révocation de l’Édit de Nantes; elle adressait à son père, à l’occasion du Compte rendu de 1781, un mémoire où son style la trahissait. La poésie n’avait pas pour elle moins d’attraits. Envoyée à la campagne pour rétablir sa santé loin des livres et des entretiens, elle parcourait les bosquets avec son amie, Mlle Huber, vêtue en nymphe, déclamait des vers, composait des drames champêtres et des élégies.”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

Il est ici question de l'opinion du quotidien de Suzanne Necker.
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Madame Necker

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“(…) dogmatique est le discours occupant la place mythique de la vérité et, de ce fait, servant de fondement aux images identificatoires, pour la société en tant que telle et pour tout sujet ressortissant de cette représentation. Or, de nos jours, le discours dogmatique capable d’accueillir la croyance aux images et de fonder la représentation ne peut être mis en scène, si j’ose ainsi m’exprimer, que sous le chapeau de la Science et coiffé par la Démocratie gestionnaire, ou par tout autre signifiant socialement emblématique, c'est-à-dire politiquement plausible. Le Droit est donc refoulé dans la culture, essentiellement parce que la Science lui a ravi, au cours de l’histoire du système normatif européen, la place mythique, le Science ayant pris statut de fondement des lois, à l’instar du divin, avec lequel le Droit civil, nous le verrons plus loin, est directement lié. On observera que l’idée même de dogmaticité fait horreur aujourd'hui et à bon escient, car le présupposé d’après lequel l’objet-Science échappe au statut dogmatique du discours des images (le Droit lui-même cessant d’être pensé comme dogmatique) est nécessaire au montage social d’idéalisation normative de la Science, comme il est nécessaire que le Droit soit présenté, non comme manœuvre fondatrice du vivant (auquel cas la Science en tant qu’idéal religieux s’en trouverait détrônée) –du vivant parlant, c'est-à-dire du sujet-, mais comme anecdote sociale et simple technique de régulation gestionnaire. À voir la panique qui saisit juristes et psys à la perspective de parler dogmes, au sens que mes travaux donnent à ce terme, on ne s’étonne pas de cette nouvelle peur de penser : la crainte de trahir la Science paralyse la réflexion sur les montages institutionnels, dès lors qu’une telle réflexion touche au rite moderne d’entrée dans la légalité, c'est-à-dire au fin fond de ce qui nous porte hors de l’abîme indicible, nos représentations de l’Au nom de, l’inaugural que j’appelle aussi discours de la Référence, tout aussi divin aujourd'hui que l’ancien, en ce qu’il est lui aussi intouchable et sacré.”

Leçons VI Les enfants du Texte. Étude sur la fonction parentale des États

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“Zeus! … quel que soit son vrai nom, si celui-ci lui agrée, c'est celui dont je l'appelle.”

Ζεύς, ὅστις ποτ’ ἐστίν, εἰ τόδ’ αὐ-
τῷ φίλον κεκλημένῳ,
τοῦτό νιν προσεννέπω.
grc
Invocation à Zeus pendant la parodos (entrée du Chœur sur scène)
L'Orestie, Agamemnon

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“Rien dans cette immensité n'avait de nom : il se retint de penser que l'oiseau qui pêchait, balancé sur une crête, était une mouette, et l'étrange animal qui bougeait dans une mare ses membres si différents de ceux de l'homme une étoile de mer. La marée baissait toujours, laissant derrière elle des coquillages aux spirales aussi pures que celles d'Archimède; le soleil montait insensiblement, diminuant cette ombre humaine sur le sable. Plein d'une révérencieuses pensée qui l'eût fait mettre à mort sur toutes les places publiques de Mahomet ou du Christ, il songea que les symboles les plus adéquats du conjectural Bien Suprême sont encore ceux qui passent absurdement pour les plus idolâtres, et ce globe igné le seul Dieu visible pour des créatures qui dépériraient sans lui. De même, le plus vrai des anges était cette mouette qui avait de plus que les Séraphins et les Trônes l'évidence d'exister. Dans ce monde sans fantômes, la férocité même était pure : le poisson qui frétillait sous la vague ne serait dans un instant qu'un sanglant bon morceau sous le bec de l'oiseau pêcheur, mais l'oiseau ne donnait pas de mauvais prétexte à sa faim. Le renard et le lièvre, la ruse et la peur, habitaient la dune où il avait dormi, mais le tueur ne se réclamait pas de lois promulguées jadis par un renard sagace ou un renard-dieu; la victime ne se croyait pas châtiée pour ses crimes et ne protestait pas en mourant de sa fidélité à son prince. La violence du flot était sans colère. La mort, toujours obscène chez les hommes, était propre dans cette solitude.”

L'Œuvre au noir, 1968

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“Quand cela leur est utile, les hommes peuvent croire une théorie dont ils ne connaissent rien de plus que le nom.”

When it is useful to them, men can believe a theory of which they know nothing more than its name.
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Manuel d'économie politique

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“Les deux vices radicaux [de l’organisation actuelle du travail] : morcellement industriel et fraude commerciale fardée du nom de libre concurrence.”

Charles Fourier (1772–1837) philosophe et économiste français

Le Nouveau Monde industriel et sociétaire, 1829

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“Et cette inexistence est inscrite en tes initiales, BHL. Tu n'as même pas de nom à toi, rien qu'un sigle, comme RATP, ou SNCF.”

Guy Hocquenghem (1946–1988) écrivain français

Lettre ouverte à ceux qui sont passés du col Mao au Rotary, 1986

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“Le nom de Marx pénètre pourtant en ce moment : on s'incline devant sa science, sa logique d'acier, même si on n'en a pas lu une ligne.”

Paul Lafargue (1842–1911) personnalité politique française, journaliste et socialiste

Articles de 1883

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“Observez avec quel plaisir, quelle délectation, quel bonheur même, les journalistes révèlent le vrai nom de Joey Starr – décidément, toujours lui – à la première occasion venue (concours du plus joli pit-bull de Saint-Denis, discussion informelle avec une hôtesse de l’air, concert caritatif au profit des orphelins de la police, échange métaphysique avec un chimpanzé…), comme pour dire : bien sûr, il est connu, lui, il (se) tape plein de gonzesses, lui, il parle vraiment aux gens, de façon peut-être contestable, mais infiniment moins servile que moi (c’est le journaliste qui s’exprime, évidemment), et pourtant, ce n’est pas un extra-terrestre, la preuve, lui aussi, il a un vrai nom, comme moi, et, toujours par le même glissement riemannien de la vérité, il en déduit, rasséréné : il est comme moi, puis, l’alcool bon marché aidant (essayez d’acheter du Haut-Brion avec une paye de pigiste), il est moi, je suis Joey Starr. Alors, le journaliste aviné sort dans la rue, prend sa voiture, fonce à Saint-Denis, et là, existant enfin comme un homme pour la première fois de sa vie, hurle dans la nuit, ivre de joie : « Qu’est-ce qu’on attend pour foutre le feu? », avant de croiser quelques skinheads ou quelques branleurs de banlieue, moins blancs mais tout aussi accorts, qui finalement, lui mettent la fièvre, pendant des heures.”

Je gagne toujours à la fin, 2003

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“…la mathématique est l’art de donner le même nom à des choses différentes.”

Henri Poincaré (1854–1912) mathématicien, physicien, philosophe et ingénieur français

, 1908

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