Cotes sur le temps

Une collection de citations sur le thème de temps, tout, pluie, bien-être.

Meilleures cotes sur le temps

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“Comme si vous pouviez tuer le temps sans nuire à l'éternité.”

Henry David Thoreau (1817–1862) essayiste, enseignant, philosophe, naturaliste amateur et poète américain
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“L'éternité de Dieu ne se mesure pas par le temps.”

Citations de saint Augustin, Les Confessions, La Création du monde et du temps (extraits des Confessions)

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“C'est par l'esprit que nous mesurons les temps.”

Citations de saint Augustin, Les Confessions, La Création du monde et du temps (extraits des Confessions)

“Le temps passe, et nous, on reste.”

James Sallis (1944) romancier américain

L'Œil du criquet , 1997

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“Tout ce temps déjà écoulé est pour nous une torture…”

Ian Watson (1943) auteur de science-fiction britannnique

, 1973

“En réalité, le temps ne passe pas. C'est nous qui passons.”

Ken Bruen (1951) écrivain irlandais

Delirium Tremens, 2004

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“Le temps est un aigle agile dans un temple.”

Robert Desnos (1900–1945) poète français

Rrose Sélavy, 1922

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“C'est l'Alexandre Dumas de notre temps.”

Max Gallo (1932–2017) historien, écrivain et homme politique français

“Il fait le même temps partout.”

Roland Topor (1938–1997) dessinateur, peintre, romancier et cinéaste

“Le temps n'attend personne.”

Pete Dexter (1943) écrivain américain

Spooner, 2009

Cotes sur le temps

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“Je pense qu'il est temps de se tuer pour nos femmes. Il est temps de guérir nos femmes, soyons vrais envers nos femmes.”

Tupac Shakur (1971–1996) rappeur américain

I think it's time to kill for our women. Time to heal our women, be real to our women.
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Keep Ya Head Up

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“Il est nécessaire que les choses retournent à l’état qui les a vues naître. Car les choses se donnent mutuellement réparation et compensation pour leur injustice, d’après le décret du temps.”

Anaximandre (-610–-547 avant J.-C.) physiologue milésien (présocratique)

Citation rapportée par Simplicius dans son commentaire à la Physique d’Aristote (24, 13).

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“Le principe des temps modernes […] consiste d'abord à négliger les édifices, puis à les restaurer. Prenez soin de vos monuments et vous n'aurez nul besoin de les restaurer. Quelques feuilles de plomb placées en temps voulu sur la toiture, le balayage opportun de quelques feuilles mortes et de brindilles de bois obstruant un conduit sauveront de la ruine à la fois murailles et toiture. Veillez avec vigilance sur un vieil édifice, gardez-le de votre mieux et par tous les moyens de toute cause de délabrement. Comptez-en les pierres comme vous le feriez pour les joyaux d'une couronne, mettez-y des gardes comme vous en placeriez aux portes d'une ville assiégée; liez-le par le fer quand il se désagrège; soutenez-le à l'aide de poutres quand il s'affaisse; ne vous préoccupez pas de la laideur du secours que vous lui apportez, mieux vaut une béquille que la perte d'un membre; faites-le avec tendresse, avec respect, avec une vigilance incessante, et encore plus d'une génération naîtra et disparaîtra à l'ombre de ses murs. Sa dernière heure enfin sonnera; mais qu'elle sonne ouvertement et franchement, et qu'aucune substitution déshonorante et mensongère ne le vienne priver des devoirs funèbres du souvenir. […] La conservation des monuments du passé n'est pas une simple question de convenance ou de sentiment. Nous n'avons pas le droit d'y toucher. Ils ne nous appartiennent pas. Ils appartiennent en partie à ceux qui les ont construits, en partie à toutes les générations d'hommes qui viendront après nous.”

John Ruskin (1819–1900) auteur, poète, artiste et critique d’art britannique

Les sept lampes de l'architecture, 1849 (Mercure de France, 1904)

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“Si vous voulez qu’une vérité fasse le tour du monde, faites-la conduire par un train-express. Mais si vous désirez qu’un mensonge fasse le même trajet, laissez-le aller de lui-même. Il volera sur les ailes du vent, car il est léger comme une plume. Le mensonge aura fait le tour du globe pendant le temps qu’aura passé la vérité à mettre ses bottes.”

Charles Spurgeon (1834–1892)

If you want truth to go round the world you must hire an express train pull it ; but if you want a lie to go round the world, it will fly : it is light as a feather, and a breath will carry it. It is well said in the old Proverb, “A lie will go round the world while truth is pulling its boots on.”
en

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“[La ville, c’]était formidable, les gars, c’était épatant. Y a tellement de gens dans les rues qu’ils sont obligés de se marcher sur les pieds… […] Les maisons sont si hautes que ça vous donne le tournis… […] Un « fourroir », les gars. […] C’est à peine si t’as une bouffée d’air pour toi. Souvent, il te faut aller la pomper sous le nez de ton prochain. Le bon Dieu, en ville, il doit se sentir vachement dans ses p’tits souliers. […] Ça ne ressemble à rien d’autre, la ville. Je ne peux pas vous faire une comparaison. La ville, c’est « comment dire… ». J’étais à deux doigts de me déboîter la mâchoire tant j’en revenais pas. Des feux partout, des écritures qui s’allumaient sur les murs, des bagnoles comme des dauphins, des bus pareils à des accordéons, et des trains, et des bruits à vous fissurer les tempes, et des lampadaires alignés comme des oignons le long des boulevards, et des vitrines tellement limpides qu’elles vous surprennent le nez dedans, et des squares plus grands que notre terrain vague, et de la bouffe à perte de vue, et des nanas partout, les cheveux au vent, belles à choper l’insolation… mais, Ach, j’ai regardé dans les jardins, j’ai regardé dans le port, j’ai regardé dans tous les coins, et pas la moindre trace de la femme dont tu me parlais.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Olympe des Infortunes, 2010

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“Françaises, Français, il y a sept ans, le peuple français me confiait la destinée de notre pays. Cela était un grand honneur pour moi de le diriger dans un monde difficile, dangereux, aux prises avec une crise économique, sociale et morale sans précédent depuis cinquante ans. Vous m'aviez donné en garde les biens les plus précieux de la collectivité nationale : la paix, la liberté et nos institutions. J'en ai été le gardien, et à l'heure où je m'en vais, ils vous sont restitués intactes. […] Après-demain, je quitterai l'Élysée. Je viens ce soir vous dire très simplement « au revoir ». […] Pendant sept ans, la France a vécu en paix, sans souffrir de secousses intérieures graves, ni politiques, ni sociales; toutes les élections ont eu lieu à leurs dates normales; la France est restée le pays de toutes les libertés : le déroulement de l'élection présidentielle vient d'en apporter la preuve. […] Chaque fois que nos forces ont eu à intervenir à l'extérieur, elle l'ont fait avec succès. Si notre pays n'a pas connu toute la prospérité que je voulais pour lui, nous avons maintenu pendant sept ans la solidité du franc, limité le déficit budgétaire, rétabli l'équilibre de la sécurité sociale, et sauvé ainsi nos régimes sociaux. […] En ce jour qui marque pour beaucoup le terme de grandes espérances, je sais que vous êtes nombreux à partager mon émotion. […] Et dans ces temps difficiles, où le mal rôde et frappe dans le monde, je souhaite que la Providence veille sur la France, pour son bonheur, pour son bien et pour sa grandeur. Au revoir!”

Valéry Giscard d'Estaing (1926–2020) 3e président de la cinquième République Française

Allocution d'adieu de 1981

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“Un philosophe argentin et moi parlions une fois sur le sujet du temps. Et le philosophe a dit : « Par rapport à ça, on a fait beaucoup de progrès ces dernières années. » Et j’ai pensé que si je lui avais parlé de l’espace, sans doute m’aurait-il répondu : « Par rapport à ça, on a fait beaucoup de progrès dans les cent derniers mètres.»”

Jorge Luis Borges (1899–1986) écrivain argentin de prose et de poésie

C’est un philosophe très connu.
Un filósofo argentino y yo conversábamos una vez sobre el tema del tiempo. Y el filósofo dijo: “En cuanto a esto, se hicieron muchos progresos en los últimos años”. Y yo pensé que si le hubiera hecho una pregunta acerca del espacio, seguramente él me hubiera respondido: “En cuanto a esto, se hicieron muchos progresos en los últimos cien metros”. Es un filósofo muy conocido.
es

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“Pour [mon père], les infortunes ne sont pas une fatalité, mais des incidents de parcours qu’il faut dépasser, quitte à en pâtir dans les minutes qui suivent. Son humilité et son discernement étaient un régal. J’ai tant voulu lui ressembler, jouir de sa frugalité et sa modération! Grâce à lui, alors que je grandissais sur une terre tourmentée depuis la nuit des temps, je refusais de considérer le monde comme une arène. Je voyais bien que les guerres se succédaient aux guerres, les représailles aux représailles, mais je m’interdisais de les cautionner d’une manière ou d’une autre. Je ne croyais pas aux prophéties de la discorde et n’arrivais pas à me faire à l’idée que Dieu puisse inciter ses sujets à se dresser les uns contre les autres et à ramener l’exercice de la foi à une absurde et effroyable question de rapport de forces. Dès lors, je m’étais méfié comme d’une teigne de ce qui me réclame un peu de mon sang pour purifier mon âme. Je ne voulais croire ni aux vallées des larmes ni à celles des ténèbres – il y avait d’autres sites plus séduisants et moins déraisonnables autour de soi. Mon père me disait : « Celui qui te raconte qu’il existe symphonie plus grande que le souffle qui t’anime te ment. Il en veut à ce que tu as de plus beau : la chance de profiter de chaque instant de ta vie. Si tu pars du principe que ton pire ennemi est celui-là même qui tente de semer la haine dans ton cœur, tu auras connu la moitié du bonheur. Le reste, tu n’auras qu’à tendre la main pour le cueillir. Et rappelle-toi ceci : il n’y a rien, absolument rien au-dessus de ta vie… Et ta vie n’est pas au-dessus de celle des autres. »
Je ne l’ai pas oublié.
J’en ai même fait ma principale devise, convaincu que lorsque les hommes auront adhéré à cette logique, ils auront enfin atteint la maturité.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

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“Chaque jour qui passe joue contre nous. La temps n'est pas de notre côté.”

Cormac McCarthy (1933) écrivain américain

Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme, 2005

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“Je ne parlerai plus d'amour, je ne parlerai que du temps qu'il fait.”

Victor Chklovski (1893–1984) écrivain russe

Zoo. Lettres qui ne parlent pas d'amour, ou La Troisième Héloïse (1923)

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“Tous les hommes de qualité sont frères, n'importe la race, le pays et le temps.”

Alain de Benoist (1943) écrivain français

Livres, Les Idées à l'endroit , 1979

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“Patience et longueur de temps
Font plus que force ni que rage.”

Jean de La Fontaine (1621–1695) poète, fabuliste, conteur et auteur dramatique français

Fables (1668–1679)

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“Il faut cependant que je sache combien j'ai de temps jusqu'au jour de l'an, puisque j'ai promis à maman de savoir lire pour ce jour-là. Donnez-moi, je vous prie, mon bon abbé, deux leçons par jour, et je m'appliquerai tout de bon.”

Louis XVII (1785–1795) héritier de la couronne de France

Source: Mémoires de Mme de Tourzel, gouvernante des enfants de France pendant les années 1789 à 1795

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“Figure lointaine à nos yeux que celle du chevalier. Et pourtant figure intacte, ayant triomphé des injures des hommes et du temps, préservée par les cheminements secrets de la nostalgie.”

Dominique Venner (1935–2013) historien, journaliste et essayiste français d'extrême droite

Histoire et tradition des Européens : 30 000 ans d'identité, 2002

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“Wittgenstein considérait que, « dans la course de la philosophie, gagne celui qui peut courir le plus lentement; ou : celui qui atteint le but le dernier »; et il suggérait que « le salut des philosophes entre eux devrait être : “Donnez-vous du temps” [Lass dir Zeit].»”

Jacques Bouveresse (1940) philosophe français

Ludwig Wittgenstein, Remarques mêlées, traduit de l’allemand par Gérard Granel, Flammarion GF, 1984/2002, p. 153.
Essais, Essais IV, 2004

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“Qu’un écrivain déclare, comme la chose la plus naturelle du monde, qu’il préfère le commerce charnel des très jeunes personnes aux turpitudes classiques de ses contemporains, et il n’en faut pas plus – en pleine société permissive [sic] – pour le faire passer pour le Diable dans le Landerneau parisien. […] Pour ma part, c’est ce « scandale »qui me scandalise. Question de goût d’abord : n’aurait-on pas le droit de préférer caresser les hanches des lycéennes plutôt que la poitrine mafflue de la comtesse Grancéola (réplique matznévienne de la Castafiore ou la ménopause bien sonnée de la baronne Adélaïde Cramouillard, présidente de l’Union mystique universelle. Question de principe aussi : on peut désapprouver ce que l’on veut, mais comment peut-on, au sens propre du terme, être choqué par quoi que ce soit? Quant à la gravité du délit, enfin, il me semble, selon mon échelle de valeurs personnelles, qu’il est plus « scandaleux » de regarder les jeux télévisés, de jouer au Loto ou de lire Le Meilleur, que d’avoir la passion des fesses fraîches, des émotions naissantes et des seins en boutons. Bien des imbéciles se sont horrifiés de la publication des Moins de seize ans. Que des adultes qui admettent fort bien que leur progéniture s’abrutisse des journées entières devant des machines à sous ou des téléfilms débiles, tremblent à l’idée que leur fille, plutôt que de passer son temps avec des crétins de son âge, puisse coucher avec un écrivain « qui pourrait être son père » et tomber dans les rets de ce suborneur de Gabriel, me fait, quant à moi, plutôt éclater de rire. [.. ] Quant aux jeunes personnes qui fréquentent Gabriel Matzneff, je ne doute pas qu’elles apprendront à son contact plus de choses belles et élevées que dans la vulgarité et la niaiserie que secrète à foison leur vie familiale et scolaire.”

Alain de Benoist (1943) écrivain français

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“Le débat [de la réduction du temps de travail] fait chier tout le monde”

Pierre Larrouturou (1964) personnalité politique française

Anecdotes

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“Marx et Engels ont réalisé, dans notre temps, l'idéal de l'amitié que dépeignent les poêtes de l'antiquité.”

Paul Lafargue (1842–1911) personnalité politique française, journaliste et socialiste

Karl Marx, Souvenirs personnels, 1890

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“Le temps passé à méditer a plus d'importance que le travail accompli.”

Orages d'acier, 1920, Soixante-dix s'efface, Soixante-dix s'efface I 1965-1970

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“Les assassins sont comme les militaires : ennuyeux et dangereux en même temps.”

Robin Cook (1931–1994) chirurgien, spécialiste de romans policiers médicaux

Les mois d'avril sont meurtriers, 1984

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“Il ne fait pas bon être mort, mais avec le temps, on doit pouvoir s’y faire”

Imre Kertész (1929–2016) écrivain hongrois

comme à tout
Journal de galère , Hongrie 1992, France 2010

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“Le temps lui a donné raison, comme il le fait souvent avec les gens désagréables.”

Robertson Davies (1913–1995) romancier canadien

Le Manticore (Trilogie de Deptford, II)

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