Citations sur le faute

Une collection de citations sur le thème de faute, bien-être, tout, pluie.

Meilleures citations sur le faute

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“Il faut se souvenir de Dieu plus souvent qu'on ne respire.”

Grégoire de Nazianze (329–389) théologien et docteur de l’Église

Citations par thèmes, Prière

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“C'est d'âme qu'il faut changer, et non de climat.”
Animum debes mutare, non cœlum.

la
Lettres à Lucilius (Epistulae morales ad Lucilium)

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“Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger.”

Molière (1622–1673) Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, auteur et homme de théâtre français

Célèbre chiasme.
L'Avare ou l'École du mensonge, 1668
Variante: Il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger.

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“Il y a des fois où il ne faut pas trop réfléchir.”

Antigone, 1944, Antigone à Ismène

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“Pour être heureux, il faut penser au bonheur d'un autre.”

Gaston Bachelard (1884–1962) philosophe français

La Psychanalyse du feu, 1938

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“Il nous faut en riant instruire la jeunesse.”

L'École des maris, 1661

Citations sur le faute

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“Comme donc rien ne s'oppose à la mobilité de la terre, je pense qu'il faut examiner maintenant s'il ne convient pas de lui [attribuer] même plusieurs mouvements, de manière à ce qu'elle puisse être envisagée comme une des planètes.”
Cum igitur nihil prohibeat mobilitatem terrae, videndum nunc arbitror, an etiam plures illi motus conveniant, ut possit una errantium syderum existimari.

la
De revolutionibus orbium coelestium (1543)
Source: « La terre est une planète », c'est-à-dire une étoile ! C'est par cette affirmation-là que l'astronomie copernicienne enthousiasma la Renaissance. Ce fut, on le sait bien, Nicolas de Cues qui, le premier, fit de la terre une Stella nobilis (v. De docta ignorantia, II, 17).

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Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
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“Un être typiquement morbide ne deviendra jamais sain, et pourra encore moins se rendre la santé; pour quelqu'un de typiquement sain, au contraire, le fait d'être malade peut être un stimulant énergique de vie, du « plus-vivre ». C'est en fait ainsi que m'apparaît maintenant cette longue période de maladie : je découvris pour ainsi dire la vie, y compris moi-même, avec des yeux neufs, je savourai toutes les bonnes — et même les petites — choses, comme d'autres auraient du mal à les savourer — je fis de ma volonté de santé et de vie ma philosophie… Car, qu'on y prenne bien garde : mes années de plus faible vitalité furent celles où je cessai d'être pessimiste : l'instinct de l'« autoreconstitution » m'interdisait une philosophie de la pauvreté et du découragement… Et à quoi, au fond, reconnaît-on l' épanouissement physique? À ce qu'un être épanoui fait du bien à nos sens; à ce qu'il est taillé dans un bois qui est à la fois ferme, tendre et odorant. Il n'a de goût que pour ce qui lui fait du bien; son plaisir, son envie, cesse là où la mesure de ce qui convient est franchie. Il invente des remèdes contre les lésions, il exploite à son avantage les hasards malencontreux : ce qui ne le fait pas périr lui donne des forces. D'instinct, de tout ce qu'il voit, entend et vit, il amasse son propre capital : il est un principe de sélection, il élimine bien des choses. Il est toujours dans sa société bien à lui, qu'il commerce avec des livres, des hommes ou des paysages; par son choix, il honore ce qu'il a choisi, ce qu'il admet, ce à quoi il fait confiance. À toutes sortes de sollicitations, il réagit lentement, avec cette lenteur dont une longue prudence et une fierté délibérée lui ont imposé la discipline. Bien loin d'aller au-devant d'elle, il examine attentivement la sollicitation qui se présente à lui. Il ne croit ni à la « malchance », ni à la « faute » : il vient à bout de lui-même et des autres, il sait oublier”

il est assez fort pour que tout, nécessairement, tourne à son avantage. Eh bien, je suis tout le contraire d'un décadent : car c'est moi-même que je viens de décrire.
Ecce homo, 1888, Pourquoi je suis si sage

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“Il faut savoir choisir, […], entre la révélation passée et la liberté future.”

Mustafa Kemal Atatürk (1881–1938) fondateur et le premier président de la République turque

Attribuées

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“On en trouve [l'argent] toujours quand il s’agit d’aller faire tuer des hommes sur la frontière: il n’y en a plus quand il faut les sauver.”

Voltaire (1694–1778) écrivain et philosophe français

Questions sur l'Encyclopédie (1770–1774)

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“On peut se tromper, c’est humain, mais il faut se garder de vouloir tromper les autres.”

Félix Houphouët-Boigny (1905–1993) homme politique ivoirien

fr
4ème Congrès du PDCI-RDA, 23 septembre 1965

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“[La ville, c’]était formidable, les gars, c’était épatant. Y a tellement de gens dans les rues qu’ils sont obligés de se marcher sur les pieds… […] Les maisons sont si hautes que ça vous donne le tournis… […] Un « fourroir », les gars. […] C’est à peine si t’as une bouffée d’air pour toi. Souvent, il te faut aller la pomper sous le nez de ton prochain. Le bon Dieu, en ville, il doit se sentir vachement dans ses p’tits souliers. […] Ça ne ressemble à rien d’autre, la ville. Je ne peux pas vous faire une comparaison. La ville, c’est « comment dire… ». J’étais à deux doigts de me déboîter la mâchoire tant j’en revenais pas. Des feux partout, des écritures qui s’allumaient sur les murs, des bagnoles comme des dauphins, des bus pareils à des accordéons, et des trains, et des bruits à vous fissurer les tempes, et des lampadaires alignés comme des oignons le long des boulevards, et des vitrines tellement limpides qu’elles vous surprennent le nez dedans, et des squares plus grands que notre terrain vague, et de la bouffe à perte de vue, et des nanas partout, les cheveux au vent, belles à choper l’insolation… mais, Ach, j’ai regardé dans les jardins, j’ai regardé dans le port, j’ai regardé dans tous les coins, et pas la moindre trace de la femme dont tu me parlais.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Olympe des Infortunes, 2010

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“Il ne faut pas confondre ce qui est personnel et ce qui est important.”

Les Annales du Disque-monde, Le cinquième éléphant, 1999

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“Il faut avancer… parce que le christianisme et la liberté sont incompatibles”

Gracchus Babeuf (1760–1797) homme politique et révolutionnaire français

Sur la religion

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“Pour [mon père], les infortunes ne sont pas une fatalité, mais des incidents de parcours qu’il faut dépasser, quitte à en pâtir dans les minutes qui suivent. Son humilité et son discernement étaient un régal. J’ai tant voulu lui ressembler, jouir de sa frugalité et sa modération! Grâce à lui, alors que je grandissais sur une terre tourmentée depuis la nuit des temps, je refusais de considérer le monde comme une arène. Je voyais bien que les guerres se succédaient aux guerres, les représailles aux représailles, mais je m’interdisais de les cautionner d’une manière ou d’une autre. Je ne croyais pas aux prophéties de la discorde et n’arrivais pas à me faire à l’idée que Dieu puisse inciter ses sujets à se dresser les uns contre les autres et à ramener l’exercice de la foi à une absurde et effroyable question de rapport de forces. Dès lors, je m’étais méfié comme d’une teigne de ce qui me réclame un peu de mon sang pour purifier mon âme. Je ne voulais croire ni aux vallées des larmes ni à celles des ténèbres – il y avait d’autres sites plus séduisants et moins déraisonnables autour de soi. Mon père me disait : « Celui qui te raconte qu’il existe symphonie plus grande que le souffle qui t’anime te ment. Il en veut à ce que tu as de plus beau : la chance de profiter de chaque instant de ta vie. Si tu pars du principe que ton pire ennemi est celui-là même qui tente de semer la haine dans ton cœur, tu auras connu la moitié du bonheur. Le reste, tu n’auras qu’à tendre la main pour le cueillir. Et rappelle-toi ceci : il n’y a rien, absolument rien au-dessus de ta vie… Et ta vie n’est pas au-dessus de celle des autres. »
Je ne l’ai pas oublié.
J’en ai même fait ma principale devise, convaincu que lorsque les hommes auront adhéré à cette logique, ils auront enfin atteint la maturité.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

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“Si on veut changer le monde, il faut l'accepter tel qu'il est.”

Pascal Boniface (1956) géopolitologue français

À propos du régime politique en Iran.

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“Ce n'est pas dans le monde des intellectuels, avilis par un siècle d'oppression capitaliste, qu'il faut aller chercher des exemples de courage civique et de dignité morale.”

Paul Lafargue (1842–1911) personnalité politique française, journaliste et socialiste

Le socialisme et les intellectuels, 1900

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“[…] il faut d'abord apprendre à vivre soi-même avant de faire la leçon aux autres!”

Les Carnets du sous-sol (Записки из подполья), 1864, Partie II : Sur la neige mouillée

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“Quand le mal a toutes les audaces, il faut que le bien ait tous les courages.”

Charles Chesnelong (1820–1899) personnalité politique française

Prononcé lors de l'Assemblée générale des Comités catholiques de France de 1873.

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“Dans toute controverse ou argumentation, il faut que l'on s'entende sur quelque chose, un principe à partir duquel on va juger du problème posé : on ne saurait discuter avec quelqu'un qui conteste les principes.”
Contra negantem principia non est disputandum.

Arthur Schopenhauer (1788–1860) philosophe allemand

La Dialectique éristique publiée en Français sous le titre L'Art d'avoir toujours raison, 1830

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“Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si l'on ne devait jamais mourir.”

Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues (1715–1747) moraliste et essayiste français

Réflexions et maximes
Variante: Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si on ne devait jamais mourir.

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“[…] nous avons toujours eu (chut, chut, fermez les portes!), nous avons toujours eu beaucoup de mal à comprendre l'image du monde que nous offre la mécanique quantique. Du moins, en ce qui me concerne, parce que je suis assez âgé, je ne suis pas encore parvenu à me convaincre que tous ces trucs-là étaient évidents. OK, ça m'énerve toujours. Ainsi quelques étudiants plus jeunes… Vous savez ce que c'est : à chaque nouvelle idée, il faut une ou deux générations pour constater qu'elle ne pose pas de vraie difficulté. Il n'est toujours pas évident pour moi qu'il n'y a pas de vrai problème. Je ne peux pas définir le vrai problème donc je soupçonne qu'il n'y a pas de vrai problème mais je ne suis pas sûr qu'il n'y ait pas de vrai problème.”

Richard Feynman (1918–1988) physicien américain

[...] we have always had (secret, secret, close the doors!) we have always have had a great deal of difficulty in understanding the world view that quantum mechanics represents. At least I do, because I'm an old enough man that I haven't got to the point that this stuff is obvious to me. Okay, I still get nervous with it. And therefore, some of the youngest students...you know how it always is, every new idea, it takes a generation or two until it becomes obvious that there's no real problem. It has not yet become obvious to me that there is no real problem. I cannot define the real problem, therefore I suspect there's no real problem, but I'm not sure there's no real problem.
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“Il faut travailler, sinon par goût, au moins par désespoir, puisque, tout bien vérifié, travailler est moins ennuyeux que s'amuser.”

Charles Baudelaire (1821–1867) poète français

Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)

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“Il ne faut jamais vendre la peau de l’ours
Qu’on ne l’ait mis par terre.”

Jean de La Fontaine (1621–1695) poète, fabuliste, conteur et auteur dramatique français

Remaniement des vers originels : [Il m’a dit qu’il ne faut jamais
Vendre la peau de l’Ours qu’on ne l’ait mis par terre.]
Livre Fables/Hachette, Livre cinquième, fable XX, 154 à 157, L’Ours et les deux Compagnons

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“Il faut cependant que je sache combien j'ai de temps jusqu'au jour de l'an, puisque j'ai promis à maman de savoir lire pour ce jour-là. Donnez-moi, je vous prie, mon bon abbé, deux leçons par jour, et je m'appliquerai tout de bon.”

Louis XVII (1785–1795) héritier de la couronne de France

Source: Mémoires de Mme de Tourzel, gouvernante des enfants de France pendant les années 1789 à 1795

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“Il est des moments où il faut voir un peu plus loin que le bout de son scoop.”

Dominique Jamet (1936) journaliste et écrivain français

À l'occasion de la publication par Paris-Match des photographies des talibans exibant les dépouilles tirés des corps des soldats français tués dans l'embuscade du 18 août 2008

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“Qu’un écrivain déclare, comme la chose la plus naturelle du monde, qu’il préfère le commerce charnel des très jeunes personnes aux turpitudes classiques de ses contemporains, et il n’en faut pas plus – en pleine société permissive [sic] – pour le faire passer pour le Diable dans le Landerneau parisien. […] Pour ma part, c’est ce « scandale »qui me scandalise. Question de goût d’abord : n’aurait-on pas le droit de préférer caresser les hanches des lycéennes plutôt que la poitrine mafflue de la comtesse Grancéola (réplique matznévienne de la Castafiore ou la ménopause bien sonnée de la baronne Adélaïde Cramouillard, présidente de l’Union mystique universelle. Question de principe aussi : on peut désapprouver ce que l’on veut, mais comment peut-on, au sens propre du terme, être choqué par quoi que ce soit? Quant à la gravité du délit, enfin, il me semble, selon mon échelle de valeurs personnelles, qu’il est plus « scandaleux » de regarder les jeux télévisés, de jouer au Loto ou de lire Le Meilleur, que d’avoir la passion des fesses fraîches, des émotions naissantes et des seins en boutons. Bien des imbéciles se sont horrifiés de la publication des Moins de seize ans. Que des adultes qui admettent fort bien que leur progéniture s’abrutisse des journées entières devant des machines à sous ou des téléfilms débiles, tremblent à l’idée que leur fille, plutôt que de passer son temps avec des crétins de son âge, puisse coucher avec un écrivain « qui pourrait être son père » et tomber dans les rets de ce suborneur de Gabriel, me fait, quant à moi, plutôt éclater de rire. [.. ] Quant aux jeunes personnes qui fréquentent Gabriel Matzneff, je ne doute pas qu’elles apprendront à son contact plus de choses belles et élevées que dans la vulgarité et la niaiserie que secrète à foison leur vie familiale et scolaire.”

Alain de Benoist (1943) écrivain français

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