Citations sur la nature

Une collection de citations sur le thème de nature, bien-être, pluie, tout.

Meilleures citations sur la nature

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“L'homme est la nature prenant conscience d'elle-même.”

Élisée Reclus (1830–1905) géographe, écrivain et anarchiste français

Issu de ses ouvrages, L'homme et la terre, 1905-1908

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“Mais la nature a toujours quelque visée secrète.”

Franz Werfel (1890–1945) écrivain autrichien

L'étoile de ceux qui ne sont pas nés , 1945

“Le droit primordial de la nature est de survivre…”

Joseph-Marie Lo Duca (1910–2004) écrivain et critique de cinéma franco-italien

Le Huitième Sceau, 1968

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“La nature n'ayant donné de propriété à personne.”

Gracchus Babeuf (1760–1797) homme politique et révolutionnaire français

Sur la propriété

“La nature a la complétude, et l'art a la fixité.”

Clément Bénech (1991) écrivain et journaliste français

Autres citations

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“Ô Nature! ô ma mère!”

Arthur Rimbaud (1854–1891) poète français

Issue d'une lettre à Ernest Delahaye (mai 1873)
Correspondance

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“Les avocats sont des puces sur le dos de la nature humaine.”

Stephen King (1947) écrivain américain

, 2010

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“La mer est la religion de la Nature”

Fernando Pessoa (1888–1935) écrivain et poète portugais
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“Il faut aimer la nature et les hommes malgré la boue.”

Jules Renard (1864–1910) écrivain français

Journal, 1887-1910

Citations sur la nature

Adolf Hitler photo

“La vie ne pardonne aucune faiblesse. Éprouver de la pitié pour les faibles va à l'encontre de la loi de la nature!”

Adolf Hitler (1889–1945) homme d'État allemand né en Autriche

Propos rapporté à 1h 13min
La chute, 2004

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“Qu'est ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout.”

Blaise Pascal (1623–1662) mathématicien, physicien, inventeur, écrivain et philosophe chrétien français (XVIIe siècle)
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“L’économiste doit être mathématicien, historien, politicien et philosophe. Il doit aborder simultanément l’abstraction et la réalité et étudier le présent à la lumière du passé en vue de l’avenir sans qu’aucun aspect de la nature des institutions ne lui échappe.”

John Maynard Keynes (1883–1946) économiste britannique

Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie,chapitre 24, 1936.
Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie, 1936

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“Aucun homme n'a reçu de la nature le droit de commander aux autres. La liberté est un présent du ciel.”

Aucun homme n'a reçu de la nature le droit de commander aux autres. La liberté est un présent du ciel, et chaque individu de la même espèce a le droit d'en jouir aussitôt qu'il jouit de la raison. Si la nature a établi quelque
Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers

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“Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique de l’échec humain. […] Mais il n’est pas question que le national-socialisme se mette un jour à singer la religion en établissant une forme de culte. Sa seule ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine qui ne soit rien de plus qu’un hommage à la raison […] Il n’est donc pas opportun de nous lancer maintenant dans un combat avec les Églises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort naturelle. Une mort lente a quelque chose d’apaisant. Le dogme du christianisme s’effrite devant les progrès de la science. La religion devra faire de plus en plus de concessions. Les mythes se délabrent peu à peu. Il ne reste plus qu’à prouver que dans la nature il n’existe aucune frontière entre l’organique et l’inorganique. Quand la connaissance de l’univers se sera largement répandue, quand la plupart des hommes sauront que les étoiles ne sont pas des sources de lumière mais des mondes, peut-être des mondes habités comme le nôtre, alors la doctrine chrétienne sera convaincue d’absurdité […] Tout bien considéré, nous n’avons aucune raison de souhaiter que les Italiens et les Espagnols se libèrent de la drogue du christianisme. Soyons les seuls à être immunisés contre cette maladie.”

Adolf Hitler (1889–1945) homme d'État allemand né en Autriche

Religion

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“Les passions ne sont que nature ; c’est le non repentir qui est corruption.”

Joseph Joubert (1754–1824) philosophe et essayiste français

Tome 1

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“Dans la nature, le lion ne prélève pas au-delà de ce qui lui est nécessaire. Il n'a pas d'entrepôt ni de banque d'antilopes.”

Pierre Rabhi (1938) essayiste, agriculteur biologiste, romancier et poète français

Graines de possibles, regards croisés sur l'écologie

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“Tous autant que nous sommes, nous nourrissons le secret désir de revenir à la nature.”

Alfred Elton van Vogt (1912–2000) écrivain américain

, 1953

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“Un bon scientifique est un détective sur la piste de la nature.”

John Darnton (1941) journaliste et écrivain américain

La Conspiration de Darwin (The Darwin Conspiracy), 2005

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“[…] le développement des villes, des salons, de la cour impose à chacun de maîtriser ses pulsions et d'affiner ses manières et son langage. On assiste à un remarquable effort de civilisation, c'est-à-dire de transformation de l'être naturel, égocentrique et impulsif (Alceste, héros du Misanthrope) en sujet social plus ou moins complaisant (Philinte). De 1630 à 1690 environ, la qualité sociale essentielle c'est l' honnêteté, qui ne désigne pas, comme aujourd'hui, une probité morale, mais une civilité, un art de plaire, de s'adapter à l'attente d'autrui en contrôlant ses désirs. […] le XVIIe siècle voit le développement d'une bourgeoisie composée de juristes et administrateurs, portés à la discipline, et de négociants et financiers, soucieux d'économiser pour accroître leur puissance. Or, la morale est aussi une discipline et une économie des désirs. Cette bourgeoisie veut être reconnue comme élite; il lui faut pour cela s'imposer par sa vertu, d'autant plus qu'elle n'a pas la naissance qui définit la noblesse. Il lui faut surtout se démarquer du peuple. Cet effort de distinction culturelle élimine digestion, sexualité et tout ce qui peut paraître grossier dans le comportement ou l'expression. Il tend à réduire la spontanéité au profit de la raison, à imposer à la nature la maîtrise de l'art, à récuser le savoir-faire spontané ou empirique, fondé sur le génie ou le métier, au bénéfice d'un savoir-faire méthodique, fondé en théorie. C'est pour ces raisons fondamentales que les années trente, contredisant Aristote et renversant la tendance du premier tiers du siècle, soumettent l'art, et particulièrement la tragédie, à la morale.”

Jean Rohou (1934) écrivain et universitaire breton

La Tragédie classique, 1996, La « discipline » classique

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“La nature tombe rarement juste du premier coup.”

Henry Kuttner (1915–1958) écrivain américain

Les Mutants, 1953

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“La nature ne se préoccupe pas des bonnes ou des mauvaises méthodes.”

Alfred Elton van Vogt (1912–2000) écrivain américain

, 1971

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“Ce que nous appelons la terre est un élément de la nature qui est inextricablement entrelacé avec les institutions de l'homme. La plus étrange de toutes les entreprises de nos ancêtres a peut-être été de l'isoler et d'en former un marché. Traditionnellement, la main-d'œuvre et la terre ne sont pas séparées; la main-d'œuvre fait partie de la vie, la terre demeure une partie de la nature, la vie et la nature forment un tout qui s'articule. La terre est ainsi liée aux organisations fondées sur la famille, le voisinage, le métier et la croyance -- avec la tribu et le temple, le village, la guilde et l'église. Le Grand Marché unique, d'autre part, est un dispositif de la vie économique qui comprend des marchés pour des facteurs de production. Puisque ces facteurs se trouvent être indiscernables des éléments qui constituent les relations humaines, l'homme et la nature, il est facile de voir que l'économie de marché implique une société dont les institutions sont subordonnées aux exigences du mécanisme du marché. Cette proposition est utopique aussi bien en ce qui concerne la terre qu'en ce qui concerne la main-d'œuvre. La fonction économique n'est que l'une des nombreuses fonctions vitales de la terre. Celle-ci donne sa stabilité à la vie de l'homme; elle est le lieu qu'il habite; elle est une condition de sa sécurité matérielle; elle est le paysage et les saisons. Nous pourrions aussi bien imaginer l'homme venant au monde sans bras ni jambes que menant sa vie sans terre. Et pourtant, séparer la terre de l'homme et organiser la société de manière à satisfaire les exigences d'un marché de l'immobilier, cela a été une partie vitale de la conception utopique d'une économie de marché.”

La Grande Transformation (1944), Deuxième partie : Grandeur et décadence de l'économie de marché, Chapitre 15 : Le marché et la nature

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“L'être humain est créé de sorte que cinq doigts lui suffisent amplement. Son cerveau est conçu de façon à ce qu'il préfère travailler avec cinq doigts, bien que, si nécessaire, il puisse composer avec des doigts en moins et pallier, en quelque sorte, sa déficience. Toutefois, l'être humain n'est absolument pas préparé à travailler avec six ou sept doigts; la nature ne l'a doté d'aucune technique propre à un tel usage. Il ne peut même pas s'imaginer ce qu'il ferait d'un doigt supplémentaire […] Ainsi, tout ce qui relève de la matière ne nous pose aucun problème. Si nous nous en tenons aux limites qu'elle nous impose, nous nous trouvons plutôt satisfaits des connaissances que nous y acquérons. Mais imaginez maintenant qu'un Kabbaliste, qui atteint des formes (de connaissance) supérieures, ressente le caractère insignifiant des niveaux de compréhension inférieurs. Faites-vous une idée de son aspiration quasi obsessive pour ce qui est d'étendre, jusqu'à l'infini, la gamme de ses facultés sensorielles. Un Kabbaliste voudrait acquérir des milliers de doigts-tentacules. Il n'aura de cesse qu'il n'ait élargi sa palette de couleurs-sensations, et ce, jusqu'à ce qu'elles fusionnent en une science tout-en-un dont la simplicité n'ait d'égale que la blancheur qui émane des hautes sphères spirituelles.”

I am created so that five digits are absolutely sufficient for me. My
Introduction to the Book of Zohar (2005)

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“La plage est le seul lieu de jouissance découvert dans la nature par l’espèce humaine.”

Henri Lefebvre (1901–1991) philosophe français

La Production de l'espace, 1974

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“L'homme n'est pas un être, mais un faire; il n'est pas une nature, mais une histoire.”

José Ortega y Gasset (1883–1955) philosophe, sociologue, essayiste, homme de presse et homme politique espagnol

Le Spectateur, 1992

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“Si vous allez jusqu'au fond des choses […], vous verrez tout ce que cette conclusion implique d'horrible. On sait depuis longtemps que l'énergie nerveuse produite par la pensée, de même que la réaction des émotions glandulaires, est de nature électrique ou para-électrique : c'est de cette énergie que se nourrissent nos mystérieux seigneurs. Ils peuvent, et ils ne s'en privent pas, augmenter le rendement quand bon leur semble en attisant les rivalités, les jalousies, les haines, afin d'exciter les émotions. Chrétiens contre musulmans, Blancs contre Noirs, communistes contre catholiques, tout est bon pour les Vitons, tout sert sans que nous le sachions à nourrir des estomacs que nous ne pouvons imaginer. De même que nous cultivons des plantes qui nous nourrissent, les Vitons nous cultivent. De même que nous labourons, semons et récoltons, ainsi font les Vitons. Nous ne sommes qu'un terrain de chair, où les circonstances imposées par les Vitons viennent creuser leurs sillons; nos maîtres y sèment des sujets de controverse, sur lesquels ils répandent l'engrais des fausses rumeurs, des mensonges délibérés, ils arrosent tout cela avec de la méfiance et de la jalousie, et font lever ainsi de splendides moissons d'énergie émotionnelle. Chaque fois que quelqu'un hurle à la guerre, les Vitons se préparent à festoyer!”

Eric Frank Russell (1905–1978) écrivain britannique

Guerre aux invisibles (Sinister Barrier), 1939

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“Vivre selon notre tradition, c’est se conformer à l’idéal qu’elle incarne, cultiver l’excellence par rapport à sa nature, retrouver ses racines, transmettre l’héritage, être solidaire des siens.”

Dominique Venner (1935–2013) historien, journaliste et essayiste français d'extrême droite

Histoire et tradition des Européens : 30 000 ans d'identité, 2002

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“La nature est dans un état de flux permanent – en fait, elle est constituée
de processus et non de choses.”

J.B.S. Haldane (1892–1964) généticien britannique

Articles, Rationalist Annual

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“Le savant n’étudie pas la nature parce que cela est utile; il l’étudie parce qu’il y prend plaisir et il y prend plaisir parce qu’elle est belle. Si la nature n’était pas belle, elle ne vaudrait pas la peine d’être connue, la vie ne vaudrait pas la peine d’être vécue. Je ne parle pas ici, bien entendu, de cette beauté qui frappe les sens, de la beauté des qualités et des apparences; non que j’en fasse fi, loin de là, mais elle n’a rien à faire avec la science; je veux parler de cette beauté plus intime qui vient de l’ordre harmonieux des parties, et qu'une intelligence pure peut saisir.”

Science et Méthode, 1908
Variante: Le savant n'étudie pas la nature parce que cela est utile; il l'étudie parce qu'il y prend plaisir et il y prend plaisir parce qu'elle est belle. Si la nature n'était pas belle, elle ne vaudrait pas la peine d'être connue, la vie ne vaudrait pas la peine d'être vécue. Je ne parle pas ici, bien entendu, de cette beauté qui frappe les sens, de la beauté des qualités et des apparences; non que j'en fasse fi, loin de là, mais elle n'a rien à faire avec la science; je veux parler de cette beauté plus intime qui vient de l'ordre harmonieux des parties, et qu'une intelligence pure peut saisir.

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“L’opinion d’un artiste doit être la foi dans les œuvres… et son seul moyen de succès, le travail quand la nature lui a donné le feu sacré.”

Honoré de Balzac (1799–1850) romancier, critique littéraire, essayiste, journaliste et écrivain français

Les Comédiens sans le savoir 1846

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