Citations sur bons

Une collection de citations sur le thème de bons, bien-être, tout, pluie.

Citations sur bons

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“Ce qui est bon dans le monde africain traditionnel est mauvais au regard du blanc.”

Citation extraite de Le monde s’effondre ( Things Fall Apart ), paru en 1958.
Citation rapportée

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“Tous les genres sont bons, hormis le genre ennuyeux.”

Voltaire (1694–1778) écrivain et philosophe français

Théâtre
Variante: Tous les genres sont bons, hors le genre ennuyeux.

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“Un bon croquis vaut mieux qu'un long discours.”

Napoléon Bonaparte (1769–1821) général, premier consul et empereur des Français
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“Ciel, entends la prière qu'ici je fais! Conserve un si bon père à ses sujets!”

Louis XVII (1785–1795) héritier de la couronne de France

Source: Prière qu'il a prononcé devant sa mère

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“[La ville, c’]était formidable, les gars, c’était épatant. Y a tellement de gens dans les rues qu’ils sont obligés de se marcher sur les pieds… […] Les maisons sont si hautes que ça vous donne le tournis… […] Un « fourroir », les gars. […] C’est à peine si t’as une bouffée d’air pour toi. Souvent, il te faut aller la pomper sous le nez de ton prochain. Le bon Dieu, en ville, il doit se sentir vachement dans ses p’tits souliers. […] Ça ne ressemble à rien d’autre, la ville. Je ne peux pas vous faire une comparaison. La ville, c’est « comment dire… ». J’étais à deux doigts de me déboîter la mâchoire tant j’en revenais pas. Des feux partout, des écritures qui s’allumaient sur les murs, des bagnoles comme des dauphins, des bus pareils à des accordéons, et des trains, et des bruits à vous fissurer les tempes, et des lampadaires alignés comme des oignons le long des boulevards, et des vitrines tellement limpides qu’elles vous surprennent le nez dedans, et des squares plus grands que notre terrain vague, et de la bouffe à perte de vue, et des nanas partout, les cheveux au vent, belles à choper l’insolation… mais, Ach, j’ai regardé dans les jardins, j’ai regardé dans le port, j’ai regardé dans tous les coins, et pas la moindre trace de la femme dont tu me parlais.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Olympe des Infortunes, 2010

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“Nous pouvons détruire les animaux plus facilement qu’ils ne peuvent nous détruire : c’est la seule base solide de notre prétention de supériorité. Nous valorisons l’art, la science et la littérature, parce que ce sont des choses dans lesquelles nous excellons. Mais les baleines pourraient valoriser le fait de souffler et les ânes pourraient considérer qu’un bon braiement est plus exquis que la musique de Bach. Nous ne pouvons prouver qu'ils ont tort, sauf par l’exercice de notre pouvoir arbitraire. Tous les systèmes éthiques, en dernière analyse, dépendent des armes de guerre.”

Bertrand Russell (1872–1970) mathématicien, logicien, philosophe, épistémologue, homme politique considéré comme l'un des plus important…

We can destroy animals more easily than they can destroy us; that is the only solid basis of our claim to superiority. We value art and science and literature, because these are things in which we excel. But whales might value spouting, and donkey might maintain that a good bray is more exquisite than the music of Bach. We cannot prove them wrong except by the exercise of arbitrary power. All ethical systems, in the last analysis, depend upon weapons of war.
en
Supériorité de l'espèce humaine basée sur le pouvoir arbitraire (1931-33)

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“A quoi bon enseigner la géométrie, la physique, la chimie à un garçon qui veut être musicien? Qu'en retient-il? Rien.”

Adolf Hitler (1889–1945) homme d'État allemand né en Autriche

Antiphaties sociales et philosophiques

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“Oh… Principale erreur? La drogue. C'est pas bon la drogue.”

Jean-Claude Van Damme (1960) acteur belge

En reponse à la question "Votre principale erreur, ça a été quoi ?".
La drogue

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“La négritude doit être le soporifique du nègre. C’est l’opium. C’est la drogue qui permettra à l’heure des grands partages d’avoir de « bons nègres .»”

Stanislas Spero Adotevi (1934) philosophe béninois

Extrait de son essai Négritude et négrologues où il dénonce le concept de négritude.

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“La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit.”

Ultime phrase du roman inspirée par Flaubert dans une lettre adressée à Maupassant en 1878 : [Les choses ne sont jamais ni aussi mauvaises ni aussi bonnes qu’on croit] .
Roman, Une vie, 1883

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“On devient bon écrivain comme on devient bon menuisier: en rabotant ses phrases.”

Anatole France (1844–1924) écrivain, biographe, journaliste et critique littéraire français
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“On voit qu'il se travaille à dire de bons mots.”

Le Misanthrope (1666)

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“Je vois bien qu'il y a des méchants qui font de la peine à papa, et je regrette nos bons gardes du corps, que j'aimais bien mieux que ces gardes-là, dont je ne me soucie pas du tout.”

Louis XVII (1785–1795) héritier de la couronne de France

Source: Mémoires de Mme de Tourzel, gouvernante des enfants de France pendant les années 1789 à 1795

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“Il faut cependant que je sache combien j'ai de temps jusqu'au jour de l'an, puisque j'ai promis à maman de savoir lire pour ce jour-là. Donnez-moi, je vous prie, mon bon abbé, deux leçons par jour, et je m'appliquerai tout de bon.”

Louis XVII (1785–1795) héritier de la couronne de France

Source: Mémoires de Mme de Tourzel, gouvernante des enfants de France pendant les années 1789 à 1795

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“N'importe qui étant bon à n'importe quoi, on peut, n'importe quand, le mettre n'importe où.”

Charles Benoist (1861–1936) journaliste, homme politique, royaliste et diplomate français

fr
Déclaration faite à la chambre de députés quelques temps avant la première guerre mondiale et constituant une critique.

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“Envoyez-moi votre fille, écrivait saint Jérôme à Læta; je me charge de l’élever. » « Gardez auprès de vous votre fille, » répond Fénelon à une mère qui lui avait demandé son avis. Le conseil était nouveau. Le couvent était resté la ressource commune, presque la seule ressource d’éducation pour les jeunes filles. Fénelon n’hésite pas à en signaler les dangers. « J’estime fort l’éducation des bons couvents, dit-il en substance, mais je compte encore plus sur les soins d’une bonne mère, quand elle est libre de s’y appliquer. Si un couvent n’est pas régulier, c’est une école de vanité : les jeunes filles n’y entendent parler du monde que comme d’une espèce d’enchantement; il n’est pas de poison plus subtil; mieux vaut le monde lui-même qu’un couvent mondain. Si l’établissement est demeuré fidèle à l’esprit de son institut, l’ignorance absolue du siècle y règne : l’enfant qui en sort pour entrer dans la vie est comme une personne qu’on aurait nourrie dans les ténèbres d’une profonde caverne, et qu’on ferait tout d’un coup passer au grand jour; rien ne peut être plus redoutable pour une imagination vive que cette surprise soudaine. C’est à la mère sage et discrète qu’il convient d’introduire peu à peu la jeune fille dans la société où elle doit vivre, et d’y accoutumer sa vue. Elle seule d’ailleurs peut découvrir dans son esprit et dans son cœur les mouvements qu’il importe de connaître pour la bien diriger.”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Fénelon

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“Un bon scientifique est un détective sur la piste de la nature.”

John Darnton (1941) journaliste et écrivain américain

La Conspiration de Darwin (The Darwin Conspiracy), 2005

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“Il ne fait pas bon être mort, mais avec le temps, on doit pouvoir s’y faire”

Imre Kertész (1929–2016) écrivain hongrois

comme à tout
Journal de galère , Hongrie 1992, France 2010

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“S’il existe quelque remède au mal, à quoi bon s’affliger? À quoi bon s’affliger, s’il n’y a rien à faire?”

Shantideva (685–763) philosophe indien madhyamika, une branche du bouddhisme mahāyāna

Bodhicharyavatara, Chapitre 6

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“Tout le monde a besoin de plus de bon sens qu'il n'en a.”

Charles Willeford (1919–1988) écrivain américain

L'Île flottante infestée de requin, 1993

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“Faut-il vraiment passer par les cinq étapes officielles du deuil - voyons, lesquelles? Colère, déni, marchandage, dépression et acceptation. Bon, reculez: voici mon discours d'acceptation. Je suis maintenant et j'ai toujours été une grande tapette, responsable pour le chic dans toutes ses manifestations, et j'ai mes propres cinq étapes : insouciance, sentimentalité, sarcasme, burlesque et cochonnerie! Ils m'ont soutenu au long de ma vie et, merde, ils me soutiendront en mourant!”

Robert Patrick (1937) auteur dramatique, parolier, acteur et metteur en scène

Must one go through the five official stages? What are those five stages again: "anger, denial, bargaining, depression, and acceptance." Well, back up: here comes my acceptance speech. "I am now, and I have always been a flaming faggot, responsible for style in its every manifestation. I have my own five steps: flippancy, sentimentality, sarcasm, camp, and smut. They've got me through life, and deity dammit, they'll get me through death!"
en
Untold Decades: Seven Comedies of Gay Romance (1988)

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“Il y a à peu près un an, je suis descendu dans la cour de mon immeuble pour la première fois. C'était un dimanche matin, et c'est le moment de la semaine où je suis le moins présentable. J'avais un tee-shirt avec des tâches de nourriture, de moi, d'autres choses… et j'étais assis là dans cette cour où je me sentais un peu décalé. Et j'ai remarqué ce type de l'autre côté de la cour, le genre chic, et il me regardait comme ça [grimace de dégoût et de suspicion]. Je sais qu'il était persuadé que je ne vivais pas dans l'immeuble, que je traînais dans la rue et que j'avais décidé de venir m'assoir dans la cour. Et je sais qu'il avait envie de venir et de s'occuper de moi lui-même. Je me disais « Oh, s'il te plait, fais-le! », et j'ai essayé de paraître encore plus dégueu.
Finalement, je le vois venir vers moi, genre « ah non, ça ne va pas se passer comme ça… » Et moi, j'étais tellement excité! D'avoir cette confrontation dans laquelle je n'ai absolument pas tort! Il arrive devant moi et il me dit : « Excusez-moi. Est-ce que vous habitez ici? » Et je lui répond « Non. » Alors il me dit : « Mais alors qu'est-ce que vous faites là? » Je lui dit : « J'ai besoin de me reposer, je passe un moment difficile… » Il réplique « C'est une propriété privée. » Et je lui sort : « Ouais, mais je n'y crois pas vraiment à ça… » […] Alors il va voir le portier et je le vois parler de moi. Et je vois le portier lui répondre « Oh non, c'est bon, ce type habite ici. » Ahhhh, le regard du gars! Un magnifique cocktail de colère et de confusion. C'est comme si j'avais inventé une nouvelle façon de blesser quelqu'un.”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

Oh My God (2013)

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“Il n'est pas bon d'être tellement aimé, si jeune, si tôt. Ca vous donne de mauvaises habitudes. On croit que c'est arrivé. On croit que ça existe ailleurs, que ça peut se retrouver. On compte la dessus. On regarde, on espère, on attend. Avec l'amour maternel, la vie vous fait à l'aube une promesse qu'elle ne tient jamais. On est obligé ensuite de manger froid jusqu'à la fin de ses jours. Après cela, chaque fois qu'une femme vous prend dans ses bras et vous serre sur son cœur, ce ne sont que des condoléances. On revient toujours gueuler sur la tombe de sa mère comme un chien abandonné. Jamais plus, jamais plus, jamais plus. Des bras adorables se referment autour de votre cou et des lèvres très douces vous parlent d'amour, mais vous êtes au courant. Vous êtes passés à la source très tôt et vous avez tout bu. Lorsque la soif vous reprend, vous avez beau vous jeter de tous côtés, il n'y a plus de puits, il n'y a que des mirages. Vous avez fait, dès la première lueur de l'aube, une étude très serrée de l'amour et vous avez sur vous de la documentation. Je ne dis pas qu'il faille empêcher les mères d'aimer leurs petits. Je dis simplement qu'il vaut mieux que les mères aient encore quelqu'un d'autre à aimer. Si ma mère avait eu un amant, je n'aurai pas passé ma vie à mourir de soif auprès de chaque fontaine. Malheureusement pour moi, je me connais en vrais diamants.”

La Promesse de l'aube, 1960

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“[…] mais enfin, vous savez, dans tout excès il y a une erreur; donc aujourd'hui, c'est la mode, c'est les gays. Bon, très bien. On est envahis de gays.”

Christine Boutin (1944) femme politique française

En réaction à la Palme d’or à Cannes au film La Vie d’Adèle
Le mariage pour tous

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“La guerre c'est comme la coke: c'est bon au début, mais ensuite, ça détruit”

Roselyne Bachelot (1946) personnalité politique française

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Déclarations à France 2 le dimanche 20 janvier 2013
À propos de l'intervention militaire au Mali décidée par le président Hollande

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“La femme n’a pour elle que son art et sa beauté. Or la beauté n’est pas générale; elle périt par mille accidents, elle passe avec les années; l’habitude en détruit l’effet. L’esprit seul est la véritable ressource, la ressource durable de la femme, — « non ce sot esprit auquel on donne tant de prix dans le monde, et qui ne sert à rien pour rendre la vie heureuse, mais l’art de tirer parti de celui des hommes et de se prévaloir de nos propres avantages. » Cette sorte d’adresse qui lui appartient en propre est un dédommagement équitable de la force qu’elle n’a point. Toutes ses réflexions doivent tendre à étudier l’homme, non par abstraction l’homme en général, mais les hommes qui l’entourent et auxquels elle est assujettie. Il faut qu’elle s’apprenne à pénétrer le fond de leur cœur à travers leurs discours, leurs actions, leurs regards, leurs gestes. Mît-elle pour les deviner et les conduire un peu de ruse, il n’importe, et c’est son droit. La ruse est un penchant naturel, et tous les penchants naturels sont bons. Il est juste de cultiver celui-là comme les autres; il ne s’agit que d’en prévenir l’abus. Et c’est ainsi que Rousseau rétablit l’égalité qu’il a d’abord si singulièrement troublée. Tout ce que la femme ne peut faire ou vouloir par elle-même, son talent est de le faire faire ou le faire vouloir aux hommes; à elle de donner à son mari, sans y paraître, tels sentiments qu’il lui plaît. Dans le ménage, l’homme est l’œil et le bras; mais elle est l’âme. Elle est son juge, sinon son maître. Si elle ne gouverne pas, elle règne. Est-il donc si pénible de se rendre aimable pour être heureuse, et habile pour être obéie?”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Jean-Jacques Rousseau

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“Si vous allez jusqu'au fond des choses […], vous verrez tout ce que cette conclusion implique d'horrible. On sait depuis longtemps que l'énergie nerveuse produite par la pensée, de même que la réaction des émotions glandulaires, est de nature électrique ou para-électrique : c'est de cette énergie que se nourrissent nos mystérieux seigneurs. Ils peuvent, et ils ne s'en privent pas, augmenter le rendement quand bon leur semble en attisant les rivalités, les jalousies, les haines, afin d'exciter les émotions. Chrétiens contre musulmans, Blancs contre Noirs, communistes contre catholiques, tout est bon pour les Vitons, tout sert sans que nous le sachions à nourrir des estomacs que nous ne pouvons imaginer. De même que nous cultivons des plantes qui nous nourrissent, les Vitons nous cultivent. De même que nous labourons, semons et récoltons, ainsi font les Vitons. Nous ne sommes qu'un terrain de chair, où les circonstances imposées par les Vitons viennent creuser leurs sillons; nos maîtres y sèment des sujets de controverse, sur lesquels ils répandent l'engrais des fausses rumeurs, des mensonges délibérés, ils arrosent tout cela avec de la méfiance et de la jalousie, et font lever ainsi de splendides moissons d'énergie émotionnelle. Chaque fois que quelqu'un hurle à la guerre, les Vitons se préparent à festoyer!”

Eric Frank Russell (1905–1978) écrivain britannique

Guerre aux invisibles (Sinister Barrier), 1939

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