Citations sur bien-être

Une collection de citations sur le thème de bien-être, être, pluie, tout.

Citations sur bien-être

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“Et bien qu'étant accro au crack, maman. Tu as toujours été une reine noire, maman. J'ai finalement compris que pour une femme seule ce n'est pas facile d'élever un homme.”

Tupac Shakur (1971–1996) rappeur américain

And even as a crack fiend, mama. You always was a black queen, mama. I finally understand for a woman it ain't easy tryin' to raise a man.
en
Dear Mama

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“Un village n’est pas fait d’une poignée de héros, mais bien d’individus nombreux.”

Citation extraite de Le monde s’effondre ( Things Fall Apart ), paru en 1958.
Citation rapportée

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“Comme donc rien ne s'oppose à la mobilité de la terre, je pense qu'il faut examiner maintenant s'il ne convient pas de lui [attribuer] même plusieurs mouvements, de manière à ce qu'elle puisse être envisagée comme une des planètes.”
Cum igitur nihil prohibeat mobilitatem terrae, videndum nunc arbitror, an etiam plures illi motus conveniant, ut possit una errantium syderum existimari.

la
De revolutionibus orbium coelestium (1543)
Source: « La terre est une planète », c'est-à-dire une étoile ! C'est par cette affirmation-là que l'astronomie copernicienne enthousiasma la Renaissance. Ce fut, on le sait bien, Nicolas de Cues qui, le premier, fit de la terre une Stella nobilis (v. De docta ignorantia, II, 17).

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“Cette guerre ne ressemble pas à celles du passé : quiconque occupe un territoire lui impose aussi son système social. Tout le monde impose son propre système aussi loin que son armée peut avancer. Il ne saurait en être autrement.”

Joseph Staline (1879–1953) Secrétaire général du Comité central du Parti communiste de la RSFSR puis d'URSS

à Tito en avril 1945 à propos de la Seconde Guerre mondiale, cité par Milovan Djilas dans Conversations avec Staline (1963)
Seconde Guerre mondiale

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“tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles.”

Les Misérables
Variante: Tant qu'il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles.

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“Si je vous ai bien compris, vous êtes en train de dire : « à la prochaine fois! »”

René Lévesque (1922–1987) politicien canadien

La réponse à la défaite référendaire sur la Souveraineté-Association du Québec.
Discours de victoire du 15 novembre 1976
Variante: Si j'ai bien compris, vous êtes en train de me dire: à la prochaine fois.

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“Je pense que si Dieu existe, il est pas comme celui de la Bible, parce que c'est une histoire bizarre. Il est Notre père et nous sommes Ses enfants. C'est tout. Où est notre mère? Qu'est-ce qu'Il a fait à notre maman? Il s'est passé quelque chose, forcément. Quelque part au Paradis, il y a une véranda sous laquelle est enterrée une femme. Quelqu'un doit vérifier le coffre de la bagnole de Dieu pour voir s'il n'y a pas de javel, de corde ou de fibres.
Comment on peut ne pas avoir de mère? Au pire, peut-être que Dieu est divorcé, qu'il a une ex-femme. Dieu, c'est un père célibataire qui nous élève seul. Nous on prie et lui il fait genre « Je fais ce que je peux, OK? Je suis tout seul là-haut. »”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

I think if there is a God, I don’t know if it’s the one in the Bible, ’cause that’s a weird story, is He’s our father and we’re His children. That’s it. “Our father, who art in Heaven.” Where’s our mother? What happened to our mom? What did He do to our mom? Something happened. Somewhere in Heaven, there’s a porch with a dead lady under it, and I want the story. Somebody’s gotta check the trunk of God’s car for bleach and rope and fibers.
Well, how can we not have a mother?! At least, maybe, God’s divorced. Maybe he has an ex-wife. God’s a single dad and He’s raising us alone and we’re praying… and He’s like, “I’m trying! It’s just me up here!” Maybe that’s what’s going on. Maybe your life is your time… this is our weekend with Dad, that’s what life is… and then when you die, you go to mom’s house…
en
Saturday Night Live (2014)

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“Un être typiquement morbide ne deviendra jamais sain, et pourra encore moins se rendre la santé; pour quelqu'un de typiquement sain, au contraire, le fait d'être malade peut être un stimulant énergique de vie, du « plus-vivre ». C'est en fait ainsi que m'apparaît maintenant cette longue période de maladie : je découvris pour ainsi dire la vie, y compris moi-même, avec des yeux neufs, je savourai toutes les bonnes — et même les petites — choses, comme d'autres auraient du mal à les savourer — je fis de ma volonté de santé et de vie ma philosophie… Car, qu'on y prenne bien garde : mes années de plus faible vitalité furent celles où je cessai d'être pessimiste : l'instinct de l'« autoreconstitution » m'interdisait une philosophie de la pauvreté et du découragement… Et à quoi, au fond, reconnaît-on l' épanouissement physique? À ce qu'un être épanoui fait du bien à nos sens; à ce qu'il est taillé dans un bois qui est à la fois ferme, tendre et odorant. Il n'a de goût que pour ce qui lui fait du bien; son plaisir, son envie, cesse là où la mesure de ce qui convient est franchie. Il invente des remèdes contre les lésions, il exploite à son avantage les hasards malencontreux : ce qui ne le fait pas périr lui donne des forces. D'instinct, de tout ce qu'il voit, entend et vit, il amasse son propre capital : il est un principe de sélection, il élimine bien des choses. Il est toujours dans sa société bien à lui, qu'il commerce avec des livres, des hommes ou des paysages; par son choix, il honore ce qu'il a choisi, ce qu'il admet, ce à quoi il fait confiance. À toutes sortes de sollicitations, il réagit lentement, avec cette lenteur dont une longue prudence et une fierté délibérée lui ont imposé la discipline. Bien loin d'aller au-devant d'elle, il examine attentivement la sollicitation qui se présente à lui. Il ne croit ni à la « malchance », ni à la « faute » : il vient à bout de lui-même et des autres, il sait oublier”

il est assez fort pour que tout, nécessairement, tourne à son avantage. Eh bien, je suis tout le contraire d'un décadent : car c'est moi-même que je viens de décrire.
Ecce homo, 1888, Pourquoi je suis si sage

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“L'homme est condamné à être libre.”

L'existentialisme est un humanisme, 1946
Variante: Je suis condamné à être libre.

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“Et pour que les savants et les ignorants voient pareillement que je ne veux éviter aucunement le jugement de personne, j'ai voulu dédier ces miennes recherches à Ta Sainteté plutôt qu'à tout autre, parce que, même dans ce coin éloigné de la terre où je vis, tu es considéré comme la personne la plus éminente, autant dans l'ordre de la dignité que pour l'amour des lettres et même des mathématiques; afin que, par ton autorité et jugement tu puisses réprimer les morsures des calomniateurs; quoiqu'il soit bien connu qu'il n'y a pas de remède contre la morsure des sycophantes.”
Ut vero pariter docti atque indocti viderent, me nullius omnino subterfugere judicium, malui Tuae Sactitati, quam cuiqam alteri, hameas lucubrationes dedicare; propterea quod et in hoc remotissimo angulo terrae, in quo ego ago, ordinis dignitate et litterarum omnium atque mathematices etiam amore eminentissimus habearis, ut facile tua autoritate et judicio calumniantium morsus reprimere possis, etsi in proverbio sit, non esse remiedium adversus sycophantae morsum.

Ut vero pariter docti atque indocti viderent, me nullius omnino subterfugere judicium, malui Tuae Sactitati, quam cuiqam alteri, hameas lucubrationes dedicare ; propterea quod et in hoc remotissimo angulo terrae, in quo ego ago, ordinis dignitate et litterarum omnium atque mathematices etiam amore eminentissimus habearis, ut facile tua autoritate et judicio calumniantium morsus reprimere possis, etsi in proverbio sit, non esse remiedium adversus sycophantae morsum.
la
De revolutionibus orbium coelestium (1543)

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“Oui, partout, oui, toujours, oui, pour combattre les violences et les impostures, oui, pour réhabiliter les lapidés et les accablés, oui, pour conclure logiquement et marcher droit, oui, pour consoler, pour secourir, pour relever, pour encourager, pour enseigner, oui, pour panser en attendant qu'on guérisse, oui, pour transformer la charité en fraternité, l'aumône en assistance, la fainéantise en travail, l'oisiveté en utilité, la centralisation en famille, l'iniquité en justice, le bourgeois en citoyen, la populace en peuple, la canaille en nation, les nations en humanité, la guerre en amour, le préjugé en examen, les frontières en soudures, les limites en ouvertures, les ornières en rails, les sacristies en temples, l'instinct du mal en volonté du bien, la vie en droit, les rois en hommes, oui, pour ôter des religions l'enfer et des sociétés le bagne, oui, pour être frère du misérable, du serf, du fellah, du prolétaire, du déshérité, de l'exploité, du trahi, du vaincu, du vendu, de l'enchaîné, du sacrifié, de la prostituée, du forçat, de l'ignorant, du sauvage, de l'esclave, du nègre, du condamné et du damné, oui, nous sommes tes fils, Révolution!”

Victor Hugo (1802–1885) écrivain français

Shakespeare: Une Vie de Genie Et D'Amertume
Variante: Oui, partout, oui, toujours, oui, pour combattre les violences et les impostures, oui pour réhabiliter les lapidés et les accablés, oui, pour conclure logiquement et marcher droit, oui, pour consoler, pour secourir, pour relever, pour encourager, pour enseigner, oui, pour panser en attendant qu'on guérisse, oui, pour transformer la charité en fraternité, l'aumône en assistance, la fainéantise en travail, l'oisiveté en utilité, la centralisation en famille, l'iniquité en justice, le bourgeois en citoyen, la populace en peuple, la canaille en nation, les nations en humanité, la guerre en amour, le préjugé en examen, les frontières en soudures, les limites en ouvertures, les ornières en rails, les sacristies en temples, l'instinct du mal en volonté du bien, la vie en droit, les rois en hommes, oui, pour ôter des religions l'enfer et des sociétés le bagne, oui, pour être frère du misérable, du serf, du fellah, du prolétaire, du déshérité, de l'ex- ploité, du trahi, du vaincu, du vendu, de l'enchaîné, du sacrifié, de la prostituée, du forçat, de l'ignorant, du sauvage, de l'esclave, du nègre, du condamné et du damné, oui, nous sommes tes fils, Révolution!

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“Faire, et en faisant se faire et n'être rien que ce qu'on fait”

Jean-Paul Sartre (1905–1980) philosophe, dramaturge, romancier, nouvelliste et essayiste français
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“Si les morts ne sont pas assez forts pour être sans cesse présents en nous, ne doivent-ils pas être ce qu’ils sont, morts?”

Wole Soyinka (1934) écrivain nigérian

Les Interprètes (The Interpreters), 1964

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“Si Dieu nous a faits à son image, nous le lui avons bien rendu.”

Voltaire (1694–1778) écrivain et philosophe français

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“Par conséquent, puisque chaque individu tâche, le plus qu’il peut, 1° d’employer son capital à faire valoir l’industrie nationale, et 2° de diriger cette industrie de manière à lui faire produire la plus grande valeur possible, chaque individu travaille nécessairement à rendre aussi grand que possible le revenu annuel de la société. À la vérité, son intention, en général, n’est pas en cela de servir l’intérêt public, et il ne sait même pas jusqu’à quel point il peut être utile à la société. En préférant le succès de l’industrie nationale à celui de l’industrie étrangère, il ne pense qu’à se donner personnellement une plus grande sûreté; et en dirigeant cette industrie de manière à ce que son produit ait le plus de valeur possible, il ne pense qu’à son propre gain; en cela, comme dans beaucoup d’autres cas, il est conduit par une main invisible à remplir une fin qui n’entre nullement dans ses intentions; et ce n’est pas toujours ce qu’il y a de plus mal pour la société, que cette fin n’entre pour rien dans ses intentions. Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d’une manière bien plus efficace pour l’intérêt de la société, que s’il avait réellement pour but d’y travailler. je n'ai jamais vu que ceux qui aspiraient, dans leurs entreprises de commerce, à travailler pour le bien général, aient fait beaucoup de bon­nes choses.”

Adam Smith (1723–1790) philosophe et économiste écossais (1723-1790)

By preferring the support of domestic to that of foreign industry, he intends only his own security; and by directing that industry in such a manner as its produce may be of the greatest value, he intends only his own gain, and he is in this, as in many other cases, led by an invisible hand to promote an end which was no part of his intention. Nor is it always the worse for the society that it was no part of it. By pursuing his own interest he frequently promotes that of the society more effectually than when he really intends to promote it. I have never known much good done by those who affected to trade for the public good. It is an affectation, indeed, not very common among merchants, and very few words need be employed in dissuading them from it.
en
Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776), Livre I, Livre IV
Variante: Mais le revenu annuel de toute société est toujours précisément égal à la valeur échangeable de tout le produit annuel de son industrie, ou plutôt c'est précisément la même chose que cette valeur échangeable. Par conséquent, puisque chaque individu tâche, le plus qu'il peut, 1° d'employer son capital à faire valoir l'industrie nationale, et - 2° de diriger cette industrie de manière à lui faire produire la plus grande valeur possible, chaque individu travaille nécessairement à rendre aussi grand que possible le revenu annuel de la société. A la vérité, son intention, en général, n'est pas en cela de servir l'intérêt public, et il ne sait même pas jusqu'à quel point il peut être utile à la société. En préférant le succès de l'industrie nationale à celui de l'industrie étrangère, il ne pense qu'à se donner personnellement une plus grande sûreté; et en dirigeant cette industrie de manière à ce que son produit ait le plus de valeur possible, il ne pense qu'à son propre gain; en cela, comme dans beaucoup d'autres cas, il est conduit par une main invisible à remplir une fin qui n'entre nullement dans ses intentions; et ce n'est pas toujours ce qu'il y a de plus mal pour la société, que cette fin n'entre pour rien dans ses intentions. Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d'une manière bien plus efficace pour l'intérêt de la société, que s'il avait réellement pour but d'y travailler. Je n'ai jamais vu que ceux qui aspiraient, dans leurs entreprises de commerce, à travailler pour le bien général, aient fait beaucoup de bonnes choses. Il est vrai que cette belle passion n'est pas très commune parmi les marchands, et qu'il ne faudrait pas de longs discours pour les en guérir.

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“Gardez-vous bien de confondre l'efficacité des peines avec l'excès de la sévérité; l'une est absolument opposée à l'autre.”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Discours, Sur la peine de mort, [30, mai, 1791]

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“Le milieu a tué un parrain. C'est bien, mais deux par deux ça irait plus vite.”

Coluche (1944–1986) humoriste et comédien français

Radio, Y'se foutent bien de notre gueule

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“Françaises, Français, il y a sept ans, le peuple français me confiait la destinée de notre pays. Cela était un grand honneur pour moi de le diriger dans un monde difficile, dangereux, aux prises avec une crise économique, sociale et morale sans précédent depuis cinquante ans. Vous m'aviez donné en garde les biens les plus précieux de la collectivité nationale : la paix, la liberté et nos institutions. J'en ai été le gardien, et à l'heure où je m'en vais, ils vous sont restitués intactes. […] Après-demain, je quitterai l'Élysée. Je viens ce soir vous dire très simplement « au revoir ». […] Pendant sept ans, la France a vécu en paix, sans souffrir de secousses intérieures graves, ni politiques, ni sociales; toutes les élections ont eu lieu à leurs dates normales; la France est restée le pays de toutes les libertés : le déroulement de l'élection présidentielle vient d'en apporter la preuve. […] Chaque fois que nos forces ont eu à intervenir à l'extérieur, elle l'ont fait avec succès. Si notre pays n'a pas connu toute la prospérité que je voulais pour lui, nous avons maintenu pendant sept ans la solidité du franc, limité le déficit budgétaire, rétabli l'équilibre de la sécurité sociale, et sauvé ainsi nos régimes sociaux. […] En ce jour qui marque pour beaucoup le terme de grandes espérances, je sais que vous êtes nombreux à partager mon émotion. […] Et dans ces temps difficiles, où le mal rôde et frappe dans le monde, je souhaite que la Providence veille sur la France, pour son bonheur, pour son bien et pour sa grandeur. Au revoir!”

Valéry Giscard d'Estaing (1926–2020) 3e président de la cinquième République Française

Allocution d'adieu de 1981

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“Qu'on le veuille ou non, l'heure est venue ou d'être citoyen du monde ou de voir
périr toute civilisation.”

Anatole France (1844–1924) écrivain, biographe, journaliste et critique littéraire français

Trente ans de vie sociale, 1897-1924

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“Comment pourrais-je être l'adversaire des étrangers alors qu'il n'y a pas plus étranger que moi au monde dans lequel je vis?”

Livres, Comment peut-on être païen ?, 1981, Dernière Année. Notes pour conclure le siècle http://books.google.fr/books?idLI5vx9Mdgb4C&printsecfrontcover&sourcegbs_navlinks_s#vonepage&q&ffalse, 2001

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“L'idée de l'Être Suprême et de l'immortalité de l'âme est un rappel continuel à la justice; elle est donc sociale et républicaine.”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Discours, Sur les rapport des idées religieuses et morales avec le principe républicains et sur les fêtes nationales. Rapport présenté au nom du comité de salut public, [7, mai, 1794] (18 floréal an II)

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