Citations sur les couleurs

Une collection de citations sur le thème de couleur, pluie, tout, bien-être.

Meilleures citations sur les couleurs

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“Eclatez couleurs. Les criminels ont les mains bleues.”

René Crevel (1900–1935) écrivain et poète français, dadaïste puis surréaliste

Le Pont de la mort, 1926

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“La couleur d'un poisson ne le rend pas moins poisseux.”

La Mort blanche, 1982

“On ne rêve pas en couleurs.”

Kenneth Cook (1929–1987) réalisateur australien

Cinq matins de trop, 1961

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“Pas la Couleur, rien que la nuance!”

Paul Verlaine (1844–1896) poète français

"Art poétique", from Jadis et naguère (1884)

Citations sur les couleurs

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“C'est dans la salle de bains que se passait le meilleur de notre temps. Elle était située au même étage que notre chambre. Une buée épaisse « à couper au couteau » s'y étendait par places, notamment autour de la toilette, à ce point qu'il était impossible d'y saisir quoi que ce fût. De multiples accessoires de fard y trouvaient incompréhensiblement leur existence. Un jour que je pénétrais le premier, vers huit heures du matin, dans cette pièce où régnait je ne sais quel malaise supérieur, dans l'espoir, je crois, d'éprouver le sort mystérieux qui commençait à planer sur nous, quelle ne fut pas ma surprise d'entendre un grand bruit d'ailes suivi presque aussitôt de celui de la chute d'un carreau, lequel présentait cette particularité d'être de la couleur dite « aurore » alors que la vitre demeurée intacte était au contraire faiblement bleue. Sur le lit de massage reposait une femme de grande beauté dont je fus assez heureux pour surprendre la dernière convulsion et qui, lorsque je me trouvai près d'elle, avait cessé de respirer.
Une lime d'ivoire que je ramassai à terre fit instantanément s'ouvrir autour de moi un certain nombre de mains de cire qui restèrent suspendues en l'air avant de se poser sur des coussins verts. Les moyens me manquaient, on l'a vu, pour interroger le souffle de la morte. Solange n'avait pas paru de la nuit et pourtant cette femme ne lui ressemblait pas à l'exception des petits souliers blancs dont la semelle au point d'insertion des orteils présentait d'imperceptibles hachures comme celles des danseuses.”

André Breton (1896–1966) poète et écrivain français

L'Année des chapeaux rouges, 1922

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“L'être humain est créé de sorte que cinq doigts lui suffisent amplement. Son cerveau est conçu de façon à ce qu'il préfère travailler avec cinq doigts, bien que, si nécessaire, il puisse composer avec des doigts en moins et pallier, en quelque sorte, sa déficience. Toutefois, l'être humain n'est absolument pas préparé à travailler avec six ou sept doigts; la nature ne l'a doté d'aucune technique propre à un tel usage. Il ne peut même pas s'imaginer ce qu'il ferait d'un doigt supplémentaire […] Ainsi, tout ce qui relève de la matière ne nous pose aucun problème. Si nous nous en tenons aux limites qu'elle nous impose, nous nous trouvons plutôt satisfaits des connaissances que nous y acquérons. Mais imaginez maintenant qu'un Kabbaliste, qui atteint des formes (de connaissance) supérieures, ressente le caractère insignifiant des niveaux de compréhension inférieurs. Faites-vous une idée de son aspiration quasi obsessive pour ce qui est d'étendre, jusqu'à l'infini, la gamme de ses facultés sensorielles. Un Kabbaliste voudrait acquérir des milliers de doigts-tentacules. Il n'aura de cesse qu'il n'ait élargi sa palette de couleurs-sensations, et ce, jusqu'à ce qu'elles fusionnent en une science tout-en-un dont la simplicité n'ait d'égale que la blancheur qui émane des hautes sphères spirituelles.”

I am created so that five digits are absolutely sufficient for me. My
Introduction to the Book of Zohar (2005)

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“Quelque chose de traumatique m'est arrivée quand j'étais jeune. J'étais avec une vieille femme noire; elle était très sage, très Alice Walker, La Couleur pourpre… Elle m'a regardée et elle m'a dit, « Bébé, autrefois je pouvais voler mais je ne peux plus voler, bébé. Mais, bébé, toi, t'es trop grosse pour voler. »”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

Something traumatic happened to me when I was younger. I was with this old black woman, and she was very wise, very Alice Walker, The Color Purple… She looked at me and she says, "Baby…you know I used to be able to fly but I can't fly no more, baby. But baby, you...? You too fat to fly."
en
Drunk with Power

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“Ce n’est pas seulement à l’égalité des couleurs que nous devons rendre hommage; il nous faut venger la représentation nationale outragée dans la personne des trois députés munis des pouvoirs du peuple de Saint-Domingue qui viennent d’être admis.”

Georges Jacques Danton (1759–1794) avocat, homme politique et révolutionnaire français

Sur l'arrivée de trois députés de Saint-Domingue (Blanc-Dufay, Métis-Mills, Noir-Belley) emprisonnés après dénonciation,15 pluviôse an II-3 février 1794.
Discours

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“A ma rencontre vinrent plusieurs servantes vêtues d'une combinaison collante de satin couleur du jour.”

André Breton (1896–1966) poète et écrivain français

Poisson soluble, 1924

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“À cette heure, édifié par les subtils génies du Feu, un temple nouveau s’élevait là même où, dans le crépuscule, on avait cru voir un neptunien palais d’argent dont l’architecture imitait les torsions des conques marines. C’était, agrandi, un de ces labyrinthes construits sur le fer des landiers, demeures aux cent portes habitées par les présages ambigus; un de ces fragiles châteaux vermeils aux mille fenêtres, où se montrent un moment les princesses salamandres qui rient voluptueusement au poète charmé. Rose comme une lune naissante rayonnait sur la triple loggia la sphère de la Fortune, supportée par les épaules des Atlantes; et ses reflets engendraient un cycle de satellites. Du quai des Esclavons, de la Giudecca, de San Giorgio, avec un crépitement continu, des faisceaux de tiges enflammées convergeaient au zénith et s’y épanouissaient en roses, en lis, en palmes, formant un jardin aérien qui se détruisait et se renouvelait sans cesse par des floraisons de plus en plus riches et étranges. C’était une rapide succession de printemps et d’automnes à travers l’empyrée. Une immense pluie scintillante de pétales et de feuillages tombait des dissolutions célestes et enveloppait toutes choses d’un tremblement d’or. Au loin, vers la lagune, par les déchirures ouvertes dans cet or mobile, on voyait s’avancer une flotte pavoisée : une escadre de galères semblables peut-être à celles qui naviguent dans le rêve du luxurieux dormant son dernier sommeil sur un lit imprégné de parfums mortels. Comme celles-là peut-être, elles avaient des cordages composés avec les chevelures tordues des esclaves capturées dans les villes conquises, ruisselants encore d’une huile suave; comme celles-là, elles avaient leurs cales chargées de myrrhe, de nard, de benjoin, d’éléomiel, de cinnamome, de tous les aromates, et de santal, de cèdre, de térébinthe, de tous les bois odoriférants accumulés en plusieurs couches. Les indescriptibles couleurs des flammes dont elles apparaissaient pavoisées évoquaient les parfums et les épices. Bleues, vertes, glauques, safranées, violacées, de nuances indistinctes, ces flammes semblaient jaillir d’un incendie intérieur et se colorer de volatilisations inconnues. Ainsi sans doute flamboyèrent, dans les antiques fureurs du saccage, les profonds réservoirs d’essences qui servaient à macérer les épouses des princes syriens. Telle maintenant, sur l’eau parsemée des matières en fusion qui gémissaient le long des carènes, la flotte magnifique et perdue s’avançait vers le bassin, lentement, comme si des rêves ivres eussent été ses pilotes et qu’ils l’eussent conduite se consumer en face du Lion stylite, gigantesque bûcher votif dont l’âme de Venise resterait parfumée et stupéfiée pour l’éternité.”

Romans, Le Feu, 1900

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“Navigateur du silence, le dock est sans couleur et sans forme ce quai d'où partira ce soir le beau vaisseau fantôme, ton esprit.”

René Crevel (1900–1935) écrivain et poète français, dadaïste puis surréaliste

Le Pont de la mort, René Crevel, La Révolution Surréaliste, 7, 15 juin 1926, 27
Le Pont de la mort, 1926

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“La plupart des Londoniennes s’habillent de noir de la tête aux pieds, paraissant ainsi porter le deuil des couleurs perdues.”

Ruth Rendell (1930–2015) skieuse alpine autrichienne

Jeux de mains, 1999

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“Je sens que je suis ici pour défendre les droits des hommes de couleur en Amérique, dans toute leur étendue; qu'il ne m'est pas permis, que je ne puis pas sans m'exposer à un remords cruel, sacrifier une partie de ces hommes-là à une portion de ces mêmes hommes.”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Discours, Contre l'amendement Rewbell excluant les hommes des couleur libres qui ne sont pas nés de père et mère libres,[15, mai, 1791]

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“Une pensée peut s'allumer comme un bandage et sauter comme une certaine couleur verte que j'ai composée une fois avec le sang du colibri, le caoutchouc des bicyclettes à califourchon sur un fil télégraphique.”

Tristan Tzara (1896–1963) écrivain français

Cette citation provient d'une revue dirigée par André Breton.
Citations autres, Pierre Reverdy : Le Voleur de Talan, 1917, Tristan Tzara, Atrocités d'Arthur et Trompette et Scaphandrier, 1919

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“L'amour est notre véritable essence. Cet amour n'a pas de limite de caste, de couleur, de croyance ou de religion. Nous sommes tous des perles enfilées sur le fil même de l'amour. Éveillez cette unité et répandez ce message d'amour et de service.”

Love is our true essence. This love does not have any limitations of caste, creed, colour or religion. We are all beads strung on the same thread of love. Awaken that unity and spread the message of love and service.
http://www.amritavarsham.org/ Page d'accueil du site officiel www.amritavarsham.org
L'Amour

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“La gloire, comme les phénomènes qui lui sont apparentés — le lever et le coucher du soleil —, a un habit d'or, mais non la consistance de l'or; elle en a la couleur et l'éclat.”

José Ortega y Gasset (1883–1955) philosophe, sociologue, essayiste, homme de presse et homme politique espagnol

Le Spectateur (El Espectador), 1916-1936

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“Je défais le lit et je m’allonge sur le matelas nu, supposant qu’un malaise va s’emparer de moi à sentir le fantôme d’un autre homme subsister dans ses odeurs et les débris de sa vie. Mais je ne ressens rien de pareil : la chambre me paraît toujours aussi connue. Le bras sur la figure, je m’aperçois que je glisse dans le sommeil. Il se peut que le monde tel qu’il est ne soit pas une illusion, ni le mauvais rêve d’une nuit. Il se peut que l’éveil qui nous y projette soit inéluctable, que nous ne puissions ni l’oublier ni nous en dispenser. Mais j’ai toujours autant de mal à croire que la fin est proche. Si les barbares faisaient irruption maintenant, je mourrais dans mon lit, j’en suis sûr, aussi stupide et ignorant qu’un bébé. Il serait encore plus approprié qu’on me surprenne en bas, dans le cellier, une cuiller à la main, la bouche pleine de confiture de figues fauchée dans le dernier bocal de l’étagère : on pourrait alors couper et jeter sur le tas de têtes amoncelées sur la place une tête qui porterait encore une expression coupable, peinée, étonnée de cette irruption de l’Histoire dans le temps immobile de l’oasis. A chacun la fin qui lui convient le mieux. Certains se feront prendre dans des abris creusés sous leur cave, serrant leur trésor contre leur sein, fermant les yeux de toutes leurs forces. D’autres mourront sur la route, aux prises avec les premières neiges de l’hiver. De rares individus mourront peut-être en combattant, armés de fourches. Après moi, les barbares se torcheront avec les archives de la ville. Jusqu’à la fin, nous n’aurons rien appris. Il semble y avoir chez nous tous, au fond de nous, quelque chose de l’ordre du granit, qui résiste à l’enseignement. Bien que la panique déferle dans les rues, personne ne croit vraiment que le monde de certitudes tranquilles qui nous a accueillis à notre naissance est sur le point de disparaître. Personne ne peut accepter qu’une armée impériale ait été anéantie par des hommes armés d’arcs, de flèches et de vieux fusils rouillés, qui vivent dans des tentes, ne se lavent jamais et ne savent ni lire ni écrire. Et qui suis-je pour ricaner d’illusions qui aident à vivre? Est-il meilleure façon de passer ces jours ultimes que de rêver d’un sauveur, l’épée brandie, qui disperserait les armées ennemies, nous pardonnerait les erreurs commises par d’autres en notre nom et nous accorderait une seconde chance de bâtir notre paradis terrestre? Couché sur le matelas nu, je m’applique à animer une représentation de moi-même en nageur, nageant infatigablement, à longues brasses égales, dans le fluide du temps – un fluide plus inerte que l’eau, dépourvu de remous, s’insinuant partout, sans couleur, sans odeur, sec comme du papier.”

J. M. Coetzee (1940) romancier et professeur en littérature sud-africain

En attendant les barbares , Angleterre 1980, Afrique du Sud 1981

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“Vous souvient-il de la scène où Perséphone est sur le point de s’abîmer dans l’Érèbe, tandis que gémit le chœur des Océanides? Son visage est pareil au vôtre, quand le vôtre s’obscurcit. Rigide dans son peplum couleur de safran, elle penche en arrière sa tête couronnée; et il semble que la nuit coule en sa chair devenue exsangue et s’amasse au-dessous du menton, dans la cavité des yeux, autour des narines, lui donnant l’aspect d’un sombre masque tragique. C’est votre masque, Perdita. Quand je composais mon Mystère, la mémoire que j’avais de vous m’a aidé à évoquer la personne divine. Ce petit ruban de velours safrané que vous portez habituellement au cou m’a indiqué la couleur convenable pour le peplum de Perséphone. Et un soir, dans votre maison, comme je prenais congé de vous sur le seuil d’une pièce où les lampes n’étaient pas encore allumées, —; un soir agité du dernier automne, vous en souvient-il? — vous avez réussi, par un seul de vos gestes, à mettre dans la pleine lumière de mon âme la créature qui s’y trouvait encore gisante et enveloppée; et puis, sans vous douter de cette nativité subite, vous êtes rentrée dans l’intime obscurité de votre Érèbe. Ah! j’étais sûr d’entendre vos sanglots; et cependant il courait en moi un torrent de joie indomptable. Jamais, je crois, je ne vous ai raconté ces choses. J’aurais dû vous consacrer mon œuvre comme à une Lucine idéale.”

Romans, Le Feu, 1900

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“L'arc est un passage voûté dont le sombre crépi assez bien s'accorde à des relents d'urine qui font la suggestion de l'entrée d'une vespasienne à l'usage de géants. Tout au moins la voûte et l'odeur ont-elles pour Sigismond le caractère de ce qui est romain, et qui se trouve à Nîmes autant que dans la cité couleur d'or et de bran où il fut avec Sergine au mois de mai, guère plus tard qu'à présent, dans l'année qui suivit la naissance du petit Elie. Rome est partout dans les villes du Midi, quoique le denier Vespasien ne soit plus payé par personne. Sergine, un œillet sous les narines un peu busquées qu'elle remuait avec des manières de pouliche, accélérait le pas aux endroits où vraiment le marbre sentait trop, car la puanteur du marbre où l'ammoniaque au soleil s'évapore est le plus intolérable défaut des lieux sublimes. Sans tant de nervosité, Sigismond de même accélère. Le quartier de ruelles, où par la voie de l'arc il est venu de la Rambla, n'est pas aussi peuplé que les environs de son hôtel, les lumières n'y sont pas aussi vives, les bars n'y ont pas de si tapageuses musiques, et lui-même, en épiant entre les rideaux d'une cafétéria le jeu muet des serveuses, éprouve un sentiment de gêne que la persistance de la mauvaise odeur ne suffit pas à expliquer. Devant lui se rétrécit la calle Arco del Teatro. A droite, au premier coin, il préfère tourner dans Lancaster, large tranchée sinistre au milieu de laquelle sur de gros pavés joints de poussière et d'ordure il chemine, méprisant le trottoir plus disjoint, négligeant un bar assez louche qui à la mode anglaise se réclame de pirates. Point de passants là. Il est, pour un moment, à l'obscur.”

André Pieyre de Mandiargues (1909–1991) écrivain français

Roman, La Marge (prix Goncourt), 1967

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“Stanley est fort sur le son. Stanley est fort sur la couleur du micro. Stanley est fort sur le vendeur du micro. Stanley est fort.”

Stanley Kubrick (1928–1999) réalisateur américain

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“Mon amant préfère les yeux couleur de ciel
Et je ne sais où changer les miens couleur de nuit.”

Sayd Bahodine Majrouh (1928–1988) homme politique afghan

Le Suicide et le Chant, Quelques Landays

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