Citations sur tout
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“Les gens essaient tout le temps de trouver des horreurs à raconter sur les autres.”

Barry Gifford (1946)

Jour de chance pour Sailor, 1991

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“Le point fondamental est le suivant : le travail, la terre et l'argent sont des éléments essentiels de l'industrie; ils doivent eux aussi être organisés en marchés; ces marchés forment en fait une partie absolument essentielle du système économique. Mais il est évident que travail, terre et monnaie ne sont pas des marchandises; en ce qui les concerne, le postulat selon lequel tout ce qui est acheté et vendu doit avoir été produit pour la vente est carrément faux. En d'autres termes, si l'on s'en tient à la définition empirique de la marchandise, ce ne sont pas des marchandises. Le travail n'est que l'autre nom de l'activité économique qui accompagne la vie elle-même -- laquelle, de son côté, n'est pas produite pour la vente mais pour des raisons entièrement différentes --, et cette activité ne peut pas non plus être détachée du reste de la vie, être entreposée ou mobilisée; la terre n'est que l'autre nom de la nature, qui n'est pas produite par l'homme; enfin, la monnaie réelle est simplement un signe de pouvoir d'achat qui, en règle générale, n'est pas le moins du monde produit, mais est une création du mécanisme de la banque ou de la finance d'État. Aucun de ces trois éléments -- travail, terre, monnaie -- n'est produit pour la vente; lorsqu'on les décrit comme des marchandises, c'est entièrement fictif.”

La Grande Transformation (1944), Deuxième partie : Grandeur et décadence de l'économie de marché, Chapitre 6 : Le marché autorégulateur et les marchandises fictives : travail, terre et monnaie

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“Tout un État est dans ses chefs, et une armée de même. Les gens qui se conduisent mal doivent aux leçons de leurs maîtres d'être devenus des méchants.”

πόλις γὰρ ἔστι πᾶσα τῶν ἡγουμένων
στρατός τε σύμπας, οἱ δ’ ἀκοσμοῦντες βροτῶν
διδασκάλων λόγοισι γίγνονται κακοί.
grc
Philoctète (parlant d'Ulysse et des Atrides).
Philoctète

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“Chaque jour est comme tout autre jour.”

Héraclite d'Éphèse (-535) philosophe grec antique

Fragments

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“Mais la calumnie de certains Canibales, misanthropes, agelastes, avoit tant contre moy esté atroce et desraisonnée, quelle avoit vaincu ma patience : et plus n'estoit deliberé en escrire un Iota. Car l'une des moindres contumelies dont ilz usoient, estoit, que telz livres tous estoient farciz d'heresies diverses : n'en povoient toutes fois une seulle exhiber en endroict aulcun : de folastrerie joyeuses hors l'offence de Dieu, et du Roy, prou (c'est le subjet et theme unicque d'iceilx livres) d'heresies poinct : sinon perversement et contre tout usaige de raison et de languaige commun, interpretans ce que à poine de mille fois mourir, si autant possible estoit, ne vouldrois avoir pensé : comme qui pain, interpretroit pierre : poisson, serpent : œuf, scorpion.”

François Rabelais (1494–1553) auteur français du 16e siècle

fr
Mais la calomnie de certains cannibales, misanthropes, agelastes, avait était si atroce et déraisonnée à mon encontre, qu'elle avait vaincu ma patience ; et je ne désiré plus écrire un iota. Car l'une de leurs moindre injures était que de tels livres étaient farcis d'hérésies diverses : ils ne pouvaient toutefois en dévoiler aucune et nulle part, beaucoup de folatries joyeuses sans offense de Dieu et du Roi (c'est l'unique thème et sujet de ces livres) mais non d'hérésies, sauf à interpréter de travers, contre tout usage de la raison et de la langue commune, interprétations pour lesquelles j'aurais préféré mille fois mourir plutôt que de les avoir pensé, si cela était possible : lisait pierre à la place de pain, le serpent pour le poisson, le scorpion pour l'œuf.
Rabelais s'adresse à Odet de Coligny, cardinal de Chatillon, à qui il doit le privilège royal de 1550. Ses ennemis à qui il fait référence ici sont soit Putherbe, Calvin ou les théologiens de la Sorbonne. Agelaste veut dire dépourvu de rire.
Œuvre, Quart Livre

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“Maintenant, homme, tout dépend de toi personnellement! Montre ce dont tu es capable, chef-d’œuvre de la création!”

Alexandre Zinoviev (1922–2006) écrivain russe

Le Communisme comme réalité, 1981, Irréversibilité de l'évolution sociale

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“Tout n'est pourtant qu'illusion. L'ours de la vraie vie attend tout le monde au tournant.”

James Crumley (1939–2008) écrivain américain

Le Canard siffleur mexicain , 1993

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“Le couple, c'est essayer de régler à deux, des problèmes qu'on aurait jamais eu tout seul.”

Gustave Parking (1955) acteur de théâtre et cinéma, animateur de radio et de télévision

Le jardinier misanthrope

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“Tout allait de travers. Les gens s’accrochaient aveuglément à la première bouée de sauvetage venue : le communisme, la diététique, le zen, le surf, la danse classique, l’hypnotisme, la dynamique de groupe, les orgies, le vélo, l’herbe, le catholicisme, les haltères, les voyages, le retrait intérieur, la cuisine végétarienne, l’Inde, la peinture, l’écriture, la sculpture, la musique, la profession de chef d’orchestre, les balades sac à dos, le yoga, la copulation, le jeu, l’alcool, zoner, les yaourts surgelés, Beethoven, Bach, Bouddha, le Christ, le H, le jus de carotte, le suicide, les costumes sur mesure, les voyages en avion, New York City, et soudain, tout se cassait la gueule, tout partait en fumée. Il fallait bien que les gens trouvent quelque chose à faire en attendant de mourir. Pour ma part, je trouvais plutôt sympa qu’on ait le choix.”

en
Nothing was ever in tune. People just blindly grabbed at whatever there was: communism, health foods, zen, surfing, ballet, hypnotism, group encounters, orgies, biking, herbs, Catholicism, weight-lifting, travel, withdrawal, vegetarianism, India, painting, writing, sculpting, composing, conducting, backpacking, yoga, copulating, gambling, drinking, hanging around, frozen yogurt, Beethoven, Back, Buddha, Christ, TM, H, carrot juice, suicide, handmade suits, jet travel, New York City, and then it all evaporated and fell apart. People had to find things to do while waiting to die. I guess it was nice to have a choice.
Women, 1978

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“[L]a France a élevé dans le monde le principe d’une civilisation purement idéale, écartant toute idée de différence de races.”

Ernest Renan (1823–1892) écrivain, philologue, philosophe et historien français.

Races

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“Chef-d'œuvre de conduite comique, de morale et de diction; tout est à étudier.(…)
Il faut lire cent fois cette pièce, et l'admirer chaque fois davantage.”

Jean-Pierre Claris de Florian (1755–1794) auteur dramatique, romancier, poète et fabuliste français

Mes idées sur nos auteurs comiques, L'Étourdi, L'École des Maris

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“262. Assise sur le stoep aux côtés de mon père, je regarde la terre tourner, les oiseaux s’occuper à nouveau de bâtir leurs nids; la brise est fraîche sur mes joues, et peut-être aussi sur les siennes. «Tu te souviens», dis-je, «quand on allait à la mer, autrefois? On remplissait un panier de sandwiches et de fruits, on allait en carriole à la gare et on prenait le train du soir? On dormait dans le train, bercés par la chanson des roues, on s'éveillait à peine, tout somnolents, quand le train s'arrêtait pour prendre de l'eau, on entendait le murmure lointain des cheminots, et on se rendormait; le lendemain, on arrivait à la mer, on allait à la plage, et on retirait nos chaussures pour patauger, tu me tenais par la main et tu me soulevais au-dessus des vagues? Tu te souviens, le bernard-l'hermite qui m'a pincé l'orteil, et j'ai pleuré, pleuré, et tu me faisais des grimaces pour me consoler? (Tu te souviens de la pension où on logeait? Cette nourriture insipide - un soir, tu as repoussé ton assiette et déclaré que tu ne mangerais pas d'immondices, tu t'es levé et tu as quitté la salle à manger, et j'ai repoussé mon assiette et je t'ai suivi. Et tu te rappelles comme les chiens étaient contents de nous revoir? Une fois, le vieux Jakob avait oublié de les nourrir, et tu as juré épouvantablement et tu lui as supprimé sa ration de viande pour une semaine.. Tu te rappelles Jakob, et Hendrik, et Ou-Anna et Klein-Anna? Tu te rappelles ce fils de Ou-Anna qui avait été tué dans un accident et qu'on avait ramené à la ferme pour l'enterrer, et Ou-Anna qui voulait se jeter dans la fosse?»”

J. M. Coetzee (1940) romancier et professeur en littérature sud-africain

Au cœur de ce pays , 1976

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“Les deux notions, aujourd'hui souvent confondues, sont cependant, à bien des égards, opposables, sinon antinomiques. Tout d'abord, loin de présenter la quasi-universalité du monument dans le temps et dans l'espace, le monument historique est une invention, bien datée, de l'Occident.”

L'Allégorie du patrimoine, Françoise Choay, Seuil, 1999 (édition revue et augmentée), 20, Monument et monument historique, 2-02-0300230, 1992, la couleur des idées, fr
L'Allégorie du patrimoine

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“Quand on peut tout ce que l’on veut, il n’est pas aisé de ne vouloir que ce que l’on doit.”

Louis XIV (1638–1715) roi de France et de Navarre de 1643 à 1715

Il est bien plus facile d’obéir à son supérieur que de se commander à soi-même ; et quand on peut tout ce que l’on veut, il n’est pas aisé de ne vouloir que ce que l’on doit.
Mémoires pour l’instruction du Dauphin, Volume 2

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“Mon écriture relève de deux catégories. Il y a mon écriture créative (…) et mon écriture critique. Ce qui caractérise mon écriture critique, (…) ce qui lui confère une sorte d’unité thématique, c’est que dans l’ensemble, sans aucune exception, elle n’a pas été éditée. Rien n’en est paru sous aucune forme imprimée que ce soit, elle n’a en aucun cas attiré le moindre mot d’éloge d’aucun agent, directeur littéraire, ou secrétaire d’édition. En revanche, il lui est arrivé de susciter des lettres de refus rédigées avec une conviction qu’on ne peut qualifier que de religieuse. Cependant, à l’intérieur même de cette catégorie, il faut faire des distinctions, entre ce qui n’a simplement jamais été publié, et ce qui, en outre, n’a jamais été lu. Car il y a certains ouvrages, pour cette raison sans doute les plus symptomatiques, les plus typiques, les plus centraux de mon œuvre, que je ne suis même pas parvenu à faire lire à mes amis les plus proches, et auquel personne, à ma connaissance, n’a réussi à s’accrocher, même avec la meilleure volonté du monde. Mais quant à mes ouvrages critiques, ils ont une caractéristique légèrement différente, à savoir qu’aucun, sans aucune exception, n’a jamais été écrit ; ils n’ont, en réalité, aucune existence du tout en dehors de l’imagination de mon directeur de thèse”

Jonathan Coe (1961) écrivain britannique

quand il est optimiste
idem
Une touche d'amour , 1989

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“Toutes les fois que je vous entends, je suis [très] mécontent de moi-même.”

Louis XIV (1638–1715) roi de France et de Navarre de 1643 à 1715

Parole flatteuse adressée à Massillon en 1699.

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“Le passé est tout ce que nous avons.”

Andrew Coburn (1932–2018) écrivain américain

La Voix du sang , 1997

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“Hé! Hé! Je me demande si l'institution des castrats ne fut pas la réponse qu'inventa le génie italien pour éluder les prescriptions trop sévères du code d'honneur castillan. Il est remarquable que le premier castrat soit apparu après, seulement après l'implantation des Espagnols dans la péninsule, et que le royaume de Naples, où ils restèrent deux siècles et demi, sans compter le règne de Charles, ait acquis pour ainsi dire le monopole du recrutement et de la formation des dessus. Sans cette échappatoire, le brillant chérubin italien aurait fini comme le sombre don Juan, victime tragique de la monogamie et du culte de la puissance virile. L'Italie, et surtout le royaume de Naples, se trouvèrent soumis à un code de l'honneur pour lequel ils n'étaient pas du tout préparés. L'invention des castrats, et en général la diffusion de la mode des travestis sur la scène, furent une trouvaille spécifiquement napolitaine, une ruse de l'instinct populaire, une protestation contre les règles insupportables de la morale castillane. En allant admirer des castrats, ou des femmes qui chantaient des rôles masculins, on prenait le droit, en quelque sorte, de s'attarder dans indétermination sexuelle, d'oublier les tâches de la maturité. Comment se rappeler qu'on avait le devoir d'être un homme, si ceux dont on applaudissait l'incomparable voix se trouvaient dispensés de cette obligation! Un grand capitaine, un roi, un conquérant, César, Alexandre lui-même! dépouillés de leur puissance virile tout en gardant leur pouvoir de séduction : quelle aubaine pour des gens dont la sensualité subtile, complexe et hésitante s'accommodait fort mal des prescriptions brutales d'un code sans nuances, qui était par surcroît celui des occupants.”

Porporino ou les Mystères de Naples, 1974

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“Tout est né d’une vie partagée, jamais d’une théorie. La communion est la vie partagée.”

Joseph Wresinski (1917–1988) fondateur d'ATD Quart monde

Écrits et paroles, 1992

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“L'athéisme est aristocratique; l'idée d'un grand être qui veille sur l'innocence opprimée, et qui punit le crime triomphant est toute populaire. Le peuple, les malheureux m'applaudissent : si je trouvais des censeurs ce serait parmi les riches et les coupables.”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Discours, Rapport présenté au club des Jacobins contre le philosophisme et pour la liberté des cultes, [21, novembre, 1793] (1 frimaire an II)

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“Elle était hostilement pure comme une de ces petites bêtes marines qui vivent tapies en un coquillage aux parois de nacre… Je vis la contraction douloureuse de tout son visage brun.”

Renée Vivien (1877–1909) poétesse britannique, écrivant en français

Recueil de nouvelles, La Dame à la Louve, 1904, Brune comme une Noisette

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“Partout où il y a esclavage, il ne peut y avoir éducation; dans toute société, les femmes sont esclaves; donc la femme sociale n'est pas susceptible d'éducation.”

Pierre Choderlos de Laclos (1741–1803) romancier français

Traité sur l'éducation des femmes, 1783, Discours sur la question proposée par l'académie de Châlons-sur-Marne

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“Mais rien n'est plus doux que d'occuper solidement les hauts lieux fortifiés par la science des sages, régions sereines d'où l'on peut abaisser ses regards sur les autres hommes, les voir errer de toutes parts, et chercher au hasard le chemin de la vie, rivaliser de génie, se disputer la gloire de la naissance, nuit et jour s'efforcer, par un labeur sans égal, de s'élever au comble des richesses ou de s'emparer du pouvoir. O misérable esprits des hommes, ô cœurs aveugles! Dans quelles ténèbres et dans quels dangers s'écoule ce peu d'instants qu'est la vie! Ne voyez-vous pas ce que crie la nature? Réclame-t-elle autre chose que pour le corps l'absence de douleur, et pour l'esprit un sentiment de bien-être, dépourvu d'inquiétude et de crainte?”

Sed nihil dulcius est, bene quam munita tenere
edita doctrina sapientum templa serena,
despicere unde queas alios passimque videre
errare atque viam palantis quaerere vitae,
certare ingenio, contendere nobilitate,
noctes atque dies niti praestante labore
ad summas emergere opes rerumque potiri.
O miseras hominum mentes, o pectora caeca !
Qualibus in tenebris vitae quantisque periclis
degitur hoc aevi quod cumquest ! Nonne videre
nihil aliud sibi naturam latrare, nisi ut qui
corpore seiunctus dolor absit, mente fruatur
iucundo sensu cura semota metuque ?
la
De natura rerum (De la nature)

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“J'ai fait beaucoup de pipes inutiles. Là je sais que les mecs ne seront pas d'accord. « Oh, Margaret, ça n'existe pas, des pipes inutiles! Toutes les pipes sont utiles! Toutes les pipes au monde sont désirées et nécessaires. Je gère un foyer d'accueil pour les pipes inutiles. »”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

I gave a LOT of unnecessary head. And I know that guys are going to argue with me about this. "Oh, Margaret, there's no such thing as unnecessary head! All head is necessary! All head is wanted and needed in the world. I run a home for unnecessary head."
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I'm the One that I Want

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“Ayez des fêtes générales et plus solennelles pour toute la République; ayez des fêtes particulières et pour chaque lieu qui soient des jours de repos, et qui remplacent ce que les circonstances ont détruit.”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Discours, Sur les rapport des idées religieuses et morales avec le principe républicains et sur les fêtes nationales. Rapport présenté au nom du comité de salut public, [7, mai, 1794] (18 floréal an II)