Citations sur moins

Une collection de citations sur le thème de moins, pluie, tout, bien-être.

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“Si vous ne croyez pas à mes paroles, croyez au moin à mes oeuvres.”

Joseph Kabila (1971) président de la République démocratique du Congo depuis 2001

Les discours du President congolais Kabila

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“La motion n’est rien moins qu’une motion d’ordre. Elle tend à gêner la liberté qu’a l’Assemblée de décréter, et chaque membre de proposer ce qui sera utile aux colonies. C’est tout soumettre au Comité colonial. Je demande la question préalable.”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Discours, Intervention de Robespierre contre la motion d'ordre de Moreau de Saint-Mery, député de la Martinique, tendant à créer un comité chargé de contrôler les décisions coloniales de l'assemblée. [11, janvier, 1791]

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“Un être typiquement morbide ne deviendra jamais sain, et pourra encore moins se rendre la santé; pour quelqu'un de typiquement sain, au contraire, le fait d'être malade peut être un stimulant énergique de vie, du « plus-vivre ». C'est en fait ainsi que m'apparaît maintenant cette longue période de maladie : je découvris pour ainsi dire la vie, y compris moi-même, avec des yeux neufs, je savourai toutes les bonnes — et même les petites — choses, comme d'autres auraient du mal à les savourer — je fis de ma volonté de santé et de vie ma philosophie… Car, qu'on y prenne bien garde : mes années de plus faible vitalité furent celles où je cessai d'être pessimiste : l'instinct de l'« autoreconstitution » m'interdisait une philosophie de la pauvreté et du découragement… Et à quoi, au fond, reconnaît-on l' épanouissement physique? À ce qu'un être épanoui fait du bien à nos sens; à ce qu'il est taillé dans un bois qui est à la fois ferme, tendre et odorant. Il n'a de goût que pour ce qui lui fait du bien; son plaisir, son envie, cesse là où la mesure de ce qui convient est franchie. Il invente des remèdes contre les lésions, il exploite à son avantage les hasards malencontreux : ce qui ne le fait pas périr lui donne des forces. D'instinct, de tout ce qu'il voit, entend et vit, il amasse son propre capital : il est un principe de sélection, il élimine bien des choses. Il est toujours dans sa société bien à lui, qu'il commerce avec des livres, des hommes ou des paysages; par son choix, il honore ce qu'il a choisi, ce qu'il admet, ce à quoi il fait confiance. À toutes sortes de sollicitations, il réagit lentement, avec cette lenteur dont une longue prudence et une fierté délibérée lui ont imposé la discipline. Bien loin d'aller au-devant d'elle, il examine attentivement la sollicitation qui se présente à lui. Il ne croit ni à la « malchance », ni à la « faute » : il vient à bout de lui-même et des autres, il sait oublier”

il est assez fort pour que tout, nécessairement, tourne à son avantage. Eh bien, je suis tout le contraire d'un décadent : car c'est moi-même que je viens de décrire.
Ecce homo, 1888, Pourquoi je suis si sage

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“Pour [mon père], les infortunes ne sont pas une fatalité, mais des incidents de parcours qu’il faut dépasser, quitte à en pâtir dans les minutes qui suivent. Son humilité et son discernement étaient un régal. J’ai tant voulu lui ressembler, jouir de sa frugalité et sa modération! Grâce à lui, alors que je grandissais sur une terre tourmentée depuis la nuit des temps, je refusais de considérer le monde comme une arène. Je voyais bien que les guerres se succédaient aux guerres, les représailles aux représailles, mais je m’interdisais de les cautionner d’une manière ou d’une autre. Je ne croyais pas aux prophéties de la discorde et n’arrivais pas à me faire à l’idée que Dieu puisse inciter ses sujets à se dresser les uns contre les autres et à ramener l’exercice de la foi à une absurde et effroyable question de rapport de forces. Dès lors, je m’étais méfié comme d’une teigne de ce qui me réclame un peu de mon sang pour purifier mon âme. Je ne voulais croire ni aux vallées des larmes ni à celles des ténèbres – il y avait d’autres sites plus séduisants et moins déraisonnables autour de soi. Mon père me disait : « Celui qui te raconte qu’il existe symphonie plus grande que le souffle qui t’anime te ment. Il en veut à ce que tu as de plus beau : la chance de profiter de chaque instant de ta vie. Si tu pars du principe que ton pire ennemi est celui-là même qui tente de semer la haine dans ton cœur, tu auras connu la moitié du bonheur. Le reste, tu n’auras qu’à tendre la main pour le cueillir. Et rappelle-toi ceci : il n’y a rien, absolument rien au-dessus de ta vie… Et ta vie n’est pas au-dessus de celle des autres. »
Je ne l’ai pas oublié.
J’en ai même fait ma principale devise, convaincu que lorsque les hommes auront adhéré à cette logique, ils auront enfin atteint la maturité.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

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“J'aime mieux la religion de Mahomet. Elle est moins ridicule que la nôtre.”

Napoléon Bonaparte (1769–1821) général, premier consul et empereur des Français

Sur la religion

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“[…] nous avons toujours eu (chut, chut, fermez les portes!), nous avons toujours eu beaucoup de mal à comprendre l'image du monde que nous offre la mécanique quantique. Du moins, en ce qui me concerne, parce que je suis assez âgé, je ne suis pas encore parvenu à me convaincre que tous ces trucs-là étaient évidents. OK, ça m'énerve toujours. Ainsi quelques étudiants plus jeunes… Vous savez ce que c'est : à chaque nouvelle idée, il faut une ou deux générations pour constater qu'elle ne pose pas de vraie difficulté. Il n'est toujours pas évident pour moi qu'il n'y a pas de vrai problème. Je ne peux pas définir le vrai problème donc je soupçonne qu'il n'y a pas de vrai problème mais je ne suis pas sûr qu'il n'y ait pas de vrai problème.”

Richard Feynman (1918–1988) physicien américain

[...] we have always had (secret, secret, close the doors!) we have always have had a great deal of difficulty in understanding the world view that quantum mechanics represents. At least I do, because I'm an old enough man that I haven't got to the point that this stuff is obvious to me. Okay, I still get nervous with it. And therefore, some of the youngest students...you know how it always is, every new idea, it takes a generation or two until it becomes obvious that there's no real problem. It has not yet become obvious to me that there is no real problem. I cannot define the real problem, therefore I suspect there's no real problem, but I'm not sure there's no real problem.
en

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“Troisième maxime. - Tout impôt doit être perçu à l'époque et selon le mode que l'on peut présumer les moins gênants pour le contribuable.”

Adam Smith (1723–1790) philosophe et économiste écossais (1723-1790)

The Wealth of Nations

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“Si cinquante millions de gens disent une sottise, ça n'en reste pas moins une sottise.”

Anatole France (1844–1924) écrivain, biographe, journaliste et critique littéraire français

Variante: Si 50 millions de personnes disent une bêtise, c'est quand même une bêtise.

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“Il faut travailler, sinon par goût, au moins par désespoir, puisque, tout bien vérifié, travailler est moins ennuyeux que s'amuser.”

Charles Baudelaire (1821–1867) poète français

Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)

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“D'un grain de riz poussent des feuilles vertes et des racines, à moins qu'il ne soit précuit ou décortiqué.”

Tanella Boni (1954) écrivaine, philosophe et professeure

Une vie de crabe, 1990

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“Se réclamer d’un Livre saint (ou du sens qu’une époque lui prête) n’est qu’un facteur historique parmi d’autres. Aucune société, aucune culture, avec son fourmillement et ses contradictions, n’est fondée sur une doctrine. De l’entrecroisement confus de facteurs de tout espèce qui composent une civilisation, la partie qui semble émerger est la religion, ou encore les grands principes affichés, parce que c’est la partie audible, lisible, langagière d’une civilisation, la partie qui saute aux yeux et aux oreilles et d’après laquelle on est porté à la caractériser et à la dénommer. On parle donc de civilisation chrétienne de l’Occident, on attribue son humanitarisme au christianisme. […] la religion n’est qu’un facteur parmi bien d’autres […] vouloir privilégier tel ou tel facteur, est un choix partisan et confessionnel. De plus, en notre siècle, les Églises ont une influence plus réduite dans les sociétés sécularisées. Le christianisme y est enraciné, il n’en est pas pour autant la racine; encore moins le représentant de ces sociétés devenues différentes de lui, sauf lorsqu’il s’en inspire. L’Europe n’a pas de racines, chrétiennes ou autres, elle s’est faite par étapes imprévisibles, aucune de ses composantes n’étant plus originales qu’une autre. Elle n’est pas préformée dans le christianisme, elle n’est pas le développement d’un germe, mais le résultat d’une épigénèse. Le christianisme également du reste.”

Paul Veyne (1930) historien français

Quand notre monde est devenu chrétien, 2007

“Il arrive toujours du côté où on l'attend le moins, le pas tranquille de l'ange.”

Wajdi Mouawad (1968) homme de théâtre, metteur en scène, auteur, comédien, directeur artistique, plasticien et cinéaste libano-canadi…

Forêts, 2006

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“Qu’un écrivain déclare, comme la chose la plus naturelle du monde, qu’il préfère le commerce charnel des très jeunes personnes aux turpitudes classiques de ses contemporains, et il n’en faut pas plus – en pleine société permissive [sic] – pour le faire passer pour le Diable dans le Landerneau parisien. […] Pour ma part, c’est ce « scandale »qui me scandalise. Question de goût d’abord : n’aurait-on pas le droit de préférer caresser les hanches des lycéennes plutôt que la poitrine mafflue de la comtesse Grancéola (réplique matznévienne de la Castafiore ou la ménopause bien sonnée de la baronne Adélaïde Cramouillard, présidente de l’Union mystique universelle. Question de principe aussi : on peut désapprouver ce que l’on veut, mais comment peut-on, au sens propre du terme, être choqué par quoi que ce soit? Quant à la gravité du délit, enfin, il me semble, selon mon échelle de valeurs personnelles, qu’il est plus « scandaleux » de regarder les jeux télévisés, de jouer au Loto ou de lire Le Meilleur, que d’avoir la passion des fesses fraîches, des émotions naissantes et des seins en boutons. Bien des imbéciles se sont horrifiés de la publication des Moins de seize ans. Que des adultes qui admettent fort bien que leur progéniture s’abrutisse des journées entières devant des machines à sous ou des téléfilms débiles, tremblent à l’idée que leur fille, plutôt que de passer son temps avec des crétins de son âge, puisse coucher avec un écrivain « qui pourrait être son père » et tomber dans les rets de ce suborneur de Gabriel, me fait, quant à moi, plutôt éclater de rire. [.. ] Quant aux jeunes personnes qui fréquentent Gabriel Matzneff, je ne doute pas qu’elles apprendront à son contact plus de choses belles et élevées que dans la vulgarité et la niaiserie que secrète à foison leur vie familiale et scolaire.”

Alain de Benoist (1943) écrivain français

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“[Les Musulmanes] ne veulent pas de liberté! Je vais vous dire : récemment, j'ai discuté avec quelqu'un, une personne dont je tairai le nom parce que c'est vraiment gênant… Et cette personne me disait : « Nous voulons libérer les femmes du vous-savez-quoi. » D'abord, j'ai répondu : « Oui, ça paraît logique. C'est sympa. » Et puis, j'ai vu des entretiens de femmes. Elles disaient : « Mais nous ne voulons pas la retirer, on la porte depuis des millénaires. Pourquoi quelqu'un nous y forcerait-il? » Elles le veulent! Mince alors! Pourquoi va-t-on s'embourber dans ce débat? En fait, c'est même pratique : elles n'ont même plus à mettre de maquillage. Regardez comme elles sont belles… Est-ce que ce ne serait pas plus simple? Je vous le dis : si j'étais une femme, hop! « Et voilà chéri, je suis prête! » Sérieusement… La raison pour laquelle je ne peux pas dire le nom de la personne, c'est parce que c'est un républicain. Mais les démocrates n'en pensent pas moins! Ils veulent de la démocratie. Mais on ne peut plus avoir de démocratie…”

Donald Trump (1946) 45e président des États-Unis

It's like I saw somebody, and I won't even say because it's embarrassing: 'We want it where the women over there don't have to wear the you-know-what.' I saw a woman interviewed. They said 'We want to wear them, we've worn them for a thousand years. Why would anybody tell us not?' They want to ! What the hell are we getting involved for? Fact is, it's easy. You don't have to put on makeup, look how beautiful everyone looks. Wouldn't it be easier? Right? Wouldn't that be easy? I'll tell ya, if I was a woman I don't want to. "I'm ready, darling, let's go!"
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Sur les musulmanes

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“Moins on croit être, plus on supporte. Et si on ne croit rien être, on supporte tout.”

Antonio Porchia (1885–1968)

Cuanto menos uno cree ser, más soporta. Y si cree ser nada, soporta todo.
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“Faire rire! Devenir un roi du rire! C’est moins effrayant que d’être guillotiné, mais c’est aussi infamant.”

Marcel Pagnol (1895–1974) écrivain, dramaturge, cinéaste et producteur français

Films, Le Schpountz, 1937-1938

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“Nous ne savons pas où nous allons, mais du moins il nous reste bien des choses à faire.”

Alan Turing (1912–1954) mathématicien britannique

We can only see a short distance ahead, but we can see plenty there that needs to be done.
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, 1950

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“[…] le développement des villes, des salons, de la cour impose à chacun de maîtriser ses pulsions et d'affiner ses manières et son langage. On assiste à un remarquable effort de civilisation, c'est-à-dire de transformation de l'être naturel, égocentrique et impulsif (Alceste, héros du Misanthrope) en sujet social plus ou moins complaisant (Philinte). De 1630 à 1690 environ, la qualité sociale essentielle c'est l' honnêteté, qui ne désigne pas, comme aujourd'hui, une probité morale, mais une civilité, un art de plaire, de s'adapter à l'attente d'autrui en contrôlant ses désirs. […] le XVIIe siècle voit le développement d'une bourgeoisie composée de juristes et administrateurs, portés à la discipline, et de négociants et financiers, soucieux d'économiser pour accroître leur puissance. Or, la morale est aussi une discipline et une économie des désirs. Cette bourgeoisie veut être reconnue comme élite; il lui faut pour cela s'imposer par sa vertu, d'autant plus qu'elle n'a pas la naissance qui définit la noblesse. Il lui faut surtout se démarquer du peuple. Cet effort de distinction culturelle élimine digestion, sexualité et tout ce qui peut paraître grossier dans le comportement ou l'expression. Il tend à réduire la spontanéité au profit de la raison, à imposer à la nature la maîtrise de l'art, à récuser le savoir-faire spontané ou empirique, fondé sur le génie ou le métier, au bénéfice d'un savoir-faire méthodique, fondé en théorie. C'est pour ces raisons fondamentales que les années trente, contredisant Aristote et renversant la tendance du premier tiers du siècle, soumettent l'art, et particulièrement la tragédie, à la morale.”

Jean Rohou (1934) écrivain et universitaire breton

La Tragédie classique, 1996, La « discipline » classique

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“On n'est plus du monde quand on commence à le bien connoître; au moins le voyage est bien avancé devant que l'on sache le meilleur chemin.”

Antoine Gombaud, chevalier de Méré (1607–1684) écrivain français

Le Chevalier de Méré ou De l’honnête homme au XVIIe siècle, Sainte-Beuve, Revue des Deux Mondes, T. 21, 1848, url, Le Chevalier de Méré ou De l’honnête homme au XVIIe siècle, http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Chevalier_de_M%C3%A9r%C3%A9_ou_De_l%E2%80%99honn%C3%AAte_homme_au_XVIIe_si%C3%A8cle