Citations sur faire
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“Pour connaître la vérité vraie de la vie, en faire l'expérience immédiate.”

Ian Watson (1943) auteur de science-fiction britannnique

, 1973

“Les gens ont trois secondes d'attention. Faire court, c'est la garantie!”

Éric McComber (1964) écrivain canadien

La Solde, 2011

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“L'Amour est un maître bien plus impérieux et bien plus cruel pour ceux qui ne se laissent pas faire que pour ceux qui se reconnaissent ses esclaves.”

Acrius inuitos multoque ferocius urget,
Quam qui seruitium ferre fatentur, Amor.
la
Les Amours

“A coup de pied au cul ils te déménageront, le travail est là-bas, et encore là-bas, plus loin et encore plus loin, jusqu'au Nicaragua qu'ils te pousseront, à l'aise puisque ceux des pays comme cela, on les pousse bien au cul à l'aise et qu'ils débarquent ici, pas question de parler […], si tu veux travailler, déménage, alors, si on laisse faire : nous, les cons d'ici, on se laisse pousser à coup de pied au cul jusqu'au Nicaragua, et les cons de là-bas, ils se laissent faire et ils débarquent ici, tandis que le travail, lui, il est toujours ailleurs, et jamais tu ne peux dire : c'est chez moi et ciao”

Bernard-Marie Koltès (1948–1989) auteur dramatique

ce qui fait que moi, quand je quitte un endroit, j'ai toujours l'impression de quitter là où c'était davantage chez moi que là où je vais débarquer, et quand on te pousse au cul de nouveau et que tu pars de nouveau, là où tu vas aller, tu seras encore davantage étranger, et ainsi de suite : tu est toujours plus étranger, tu es de moins en moins chez toi, on te pousse toujours plus loin, que tu ne saches pas où tu vas, et quand tu te retournes, vieux, tu regardes derrière toi, c'est toujours, toujours le désert.
Bernard-Marie Koltes, La Nuit juste avant les forêts, Éditions de minuit, 1977.
La nuit juste avant les forêts (1977)

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“La femme n’a pour elle que son art et sa beauté. Or la beauté n’est pas générale; elle périt par mille accidents, elle passe avec les années; l’habitude en détruit l’effet. L’esprit seul est la véritable ressource, la ressource durable de la femme, — « non ce sot esprit auquel on donne tant de prix dans le monde, et qui ne sert à rien pour rendre la vie heureuse, mais l’art de tirer parti de celui des hommes et de se prévaloir de nos propres avantages. » Cette sorte d’adresse qui lui appartient en propre est un dédommagement équitable de la force qu’elle n’a point. Toutes ses réflexions doivent tendre à étudier l’homme, non par abstraction l’homme en général, mais les hommes qui l’entourent et auxquels elle est assujettie. Il faut qu’elle s’apprenne à pénétrer le fond de leur cœur à travers leurs discours, leurs actions, leurs regards, leurs gestes. Mît-elle pour les deviner et les conduire un peu de ruse, il n’importe, et c’est son droit. La ruse est un penchant naturel, et tous les penchants naturels sont bons. Il est juste de cultiver celui-là comme les autres; il ne s’agit que d’en prévenir l’abus. Et c’est ainsi que Rousseau rétablit l’égalité qu’il a d’abord si singulièrement troublée. Tout ce que la femme ne peut faire ou vouloir par elle-même, son talent est de le faire faire ou le faire vouloir aux hommes; à elle de donner à son mari, sans y paraître, tels sentiments qu’il lui plaît. Dans le ménage, l’homme est l’œil et le bras; mais elle est l’âme. Elle est son juge, sinon son maître. Si elle ne gouverne pas, elle règne. Est-il donc si pénible de se rendre aimable pour être heureuse, et habile pour être obéie?”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Jean-Jacques Rousseau

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“Mais une fois que nous sommes forcés de faire la guerre, il n'y a pas d'autre possibilité que d'utiliser tous les moyens disponibles pour la terminer rapidement. L'objet même de la guerre est la victoire, et non pas l'indécision prolongée. À la guerre, il n'y a pas de substitut pour la victoire.”

Douglas MacArthur (1880–1964) militaire américain

But once war is forced upon us, there is no other alternative than to apply every available means to bring it to a swift end. War's very object is victory, not prolonged indecision. In war there is no substitute for victory.
en
Discours au Congrès lors de sa démission (18 avril 1951)

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“L'homme n'est pas un être, mais un faire; il n'est pas une nature, mais une histoire.”

José Ortega y Gasset (1883–1955) philosophe, sociologue, essayiste, homme de presse et homme politique espagnol

Le Spectateur, 1992

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“La France n'est pas une race, mais une nation. Si le racisme était la vérité, la France n'aurait qu'une chose à faire : se dissoudre.”

René Gillouin (1881–1971) écrivain, critique littéraire, journaliste et homme politique français

J'étais l'ami du maréchal Pétain, 1966

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“Les gens qui dirigent sont toujours conservateurs. Pour eux tout changement ne peut que leur faire du tort.”

Henry Kuttner (1915–1958) écrivain américain

Vénus et le titan, 1957

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“On a toujours l'impression qu'il reste quelque chose à faire.”

Pete Dexter (1943) écrivain américain

Deadwood, 1986

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“Ils [les grands trusts chimiques] ont choisi une ligne, doivent entretenir leurs employés. Ils font leur travail, qui est de vendre, comme celui de l'écrivain est de remplir des pages.À la nuance près qu'en vertu de leur extraordinaire puissance publicitaire, ils sont les seuls à pouvoir encombrer le cerveau des indécis pour leur faire croire que les poisons modernes nous sont indispensables.</p”

Jean Valnet (1920–1995) médecin français

Préface à la 9 édition, 1979, reproduite dans la 10 édition et toutes ses réimpressions jusqu'en 2009. À noter : le sous-titre original du livre, lors des premières éditions chez Maloine S.A., était : « Traitement des maladies par les essences des plantes »
Sur les grands trusts chimiques

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“Il vaut mieux péter pour tuer le temps, que de médire, de faire des libelles ou de mauvais vers.”

Salvador Dalí (1904–1989) peintre, sculpteur, graveur, scénariste et écrivain catalan

Extrait de la citation originelle : [Si ces messieurs n’ont rien de mieux à faire, ils ont raison, il faut égayer l’ennui d'un bureau, et il vaut mieux péter pour tuer le temps, que de médire, de faire des libelles ou de mauvais vers.]
Journal d’un génie adolescent

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“Je crois que dans une cinquantaine d’années il sera possible de programmer des ordinateurs, avec une capacité de mémoire d’à peu près 10⁹, pour les faire si bien jouer au jeu de l’imitation qu’un interrogateur moyen n’aura pas plus de 70 pour cent de chances de procéder à l’identification exacte après cinq minutes d’interrogation.”

Alan Turing (1912–1954) mathématicien britannique

I believe that in about fifty years’ time it will be possible to programme computers, with a storage capacity of about 10⁹, to make them play the imitation game so well that an average interrogator will not have more than 70 per cent. chance of mating the right identification after five minutes of questioning.
en
, 1950

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“Plus encore que le patriotisme qui est une hystérie comme une autre, mais plus creuse et plus mortelle qu’une autre, ce qui nous répugne c’est l’idée de Patrie qui est vraiment le concept le plus bestial, le moins philosophique dans lequel on essaie de faire entrer notre esprit.”

Louis Aragon (1897–1982) poète et romancier français

Citation extraite de « La révolution d'abord et toujours » publié en août 1925 dans diverses revues, en réaction à la guerre du Maroc

“J'ai dû attendre quatorze ans avant d'avoir un poste de chartiste. j'ai passé toutes ses années à faire des « petits boulots ». J'ai, par exemple, donné des leçons chez des particuliers aux quatre coins de Paris. C'est pour cela que je comprends bien les jeunes qui ont tant de mal à trouver du travail aujourd'hui.”

Régine Pernoud (1909–1998) archiviste paléographe et historienne médiéviste, fondatrice et directrice du Centre Jeanne d’Arc, à Orléan…

Citations de ses ouvrages, Histoire et lumière, 1998, Éléments biographiques

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“Mon cœur se contracte au spectacle qui s’offre à moi… Janin… C’était la grande cité de mon enfance. Les terres tribales se trouvant à une trentaine de kilomètres de là, j’accompagnais souvent mon père quand il se rendait en ville proposer ses toiles à de louches marchands d’art. À cette époque, Janin me paraissait aussi mystérieuse que Babylone, et j’aimais à prendre ses nattes pour des tapis volants. Puis, lorsque la puberté me rendit plus attentif au déhanchement des femmes, j’appris à m’y rendre seul comme un grand. Janin, c’était la ville rêvée des anges délurés, avec ses petites manières de grosse bourgade singeant les grandes villes, sa cohue incessante qui rappelle le souk un jour de ramadan, ses boutiques aux allures de caverne d’Ali Baba où les babioles s’évertuaient à minimiser l’ombre des pénuries, ses ruelles parfumées où les galopins évoquaient des princes aux pieds nus; mais aussi son côté pittoresque qui fascinait les pèlerins dans une vie antérieure, l’odeur de son pain que je n’ai retrouvée nulle part ailleurs et sa bonhomie toujours vivace malgré tant d’infortunes… Où sont donc passées les petites touches qui faisaient son charme et sa griffe, qui rendaient la pudeur de ses filles aussi mortelle que leur effronterie et les vieillards vénérables en dépit de leur caractère impossible? Le règne de l’absurde a ravagé jusqu’aux joies des enfants. Tout a sombré dans une grisaille malsaine. On se croirait sur une aile oubliée des limbes, hantée d’âmes avachies, d’êtres brisés, mi-spectres mi-damnés, confits dans les vicissitudes tels des moucherons dans une coulée de vernis, le faciès décomposé, le regard révulsé, tourné vers la nuit, si malheureux que même le grand soleil d’As-Samirah ne parvient pas à l’éclairer.
Janin n’est plus qu’une ville sinistrée, un immense gâchis; elle ne dit rien qui vaille et a l’air aussi insondable que le sourire de ses martyrs dont les portraits sont placardés à chaque coin de la rue. Défigurée par les multiples incursions de l’armée israélienne, tour à tour clouée au pilori et ressuscitée pour faire durer le plaisir, elle gît dans ses malédictions, à bout de souffle et à court d’incantations…”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

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“Je sais que je suis pas la meilleure chanteuse et que je suis pas la meilleure danseuse mais ça m'intéresse pas de l'être! Ce qui m'intéresse, c'est de faire bouger les gens : j'aime les provoquer si je peux, y compris politiquement.”

Madonna (1958) chanteuse américaine

I know I'm not the best singer and I know I'm not the best dancer, but I'm not interested in that. I'm interested in pushing people's buttons, in being provocative and in being political.
en
Propos tenus dans le documentaire In Bed with Madonna d' Alek Keshishian sorti en 1991.
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“La réelle installation de Dieu doit se faire dans notre cœur.”

The real installation of god has to be done within one’ss heart.
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“Je dirai que le rire est un remède à tout. Mais c'est même plus que ça. C'est comme un régime entier d'antibiotiques et de corticoïdes. Le rire fait dégonfler notre psyché nationale et il applique par-dessus une crème antibiotique… Manifestement, c'est un défi de faire venir la lumière dans l'obscurité, mais c'est mieux que de rien faire d'autre que pleurer.”

Stephen Colbert (1964) humoriste, satiriste et animateur de télévision américain

I would say laughter is the best medicine. But it’s more than that. It’s an entire regime of antibiotics and steroids. Laughter brings the swelling down on our national psyche, and then applies an antibiotic cream... Obviously, it’s a challenge to make light of the darkness but, um, it’s better than crying about it.
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