Citations sur faire
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“Qu’on me donne six lignes écrites de la main du plus honnete homme, j'y trouverai de quoi le faire pendre.”

Armand Jean du Plessis de Richelieu (1585–1642) prélat catholique et personnalité politique française

Variante: Qu'on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme, j'y trouverai de quoi le faire pendre.

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Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
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“Quand on a le sexe mort et qu’on ne peut plus faire l’amour, on s’en sert encore pour uriner.”

Jean-Marie Adiaffi (1941–1999) écrivain ivoirien

La Carte d’identité, 1980

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“Une année de travail sur l’intelligence artificielle est suffisante pour vous faire croire en Dieu.”

Alan Perlis (1922–1990) informaticien américain

Intelligence artificielle

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“Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique de l’échec humain. […] Mais il n’est pas question que le national-socialisme se mette un jour à singer la religion en établissant une forme de culte. Sa seule ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine qui ne soit rien de plus qu’un hommage à la raison […] Il n’est donc pas opportun de nous lancer maintenant dans un combat avec les Églises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort naturelle. Une mort lente a quelque chose d’apaisant. Le dogme du christianisme s’effrite devant les progrès de la science. La religion devra faire de plus en plus de concessions. Les mythes se délabrent peu à peu. Il ne reste plus qu’à prouver que dans la nature il n’existe aucune frontière entre l’organique et l’inorganique. Quand la connaissance de l’univers se sera largement répandue, quand la plupart des hommes sauront que les étoiles ne sont pas des sources de lumière mais des mondes, peut-être des mondes habités comme le nôtre, alors la doctrine chrétienne sera convaincue d’absurdité […] Tout bien considéré, nous n’avons aucune raison de souhaiter que les Italiens et les Espagnols se libèrent de la drogue du christianisme. Soyons les seuls à être immunisés contre cette maladie.”

Adolf Hitler (1889–1945) homme d'État allemand né en Autriche

Religion

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“Je n'ai fait celle-ci plus longue que parce que je n'ai pas eu le loisir de la faire plus courte.”

Les Provinciales
Source: The Provincial Letters

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“Qu’un écrivain déclare, comme la chose la plus naturelle du monde, qu’il préfère le commerce charnel des très jeunes personnes aux turpitudes classiques de ses contemporains, et il n’en faut pas plus – en pleine société permissive [sic] – pour le faire passer pour le Diable dans le Landerneau parisien. […] Pour ma part, c’est ce « scandale »qui me scandalise. Question de goût d’abord : n’aurait-on pas le droit de préférer caresser les hanches des lycéennes plutôt que la poitrine mafflue de la comtesse Grancéola (réplique matznévienne de la Castafiore ou la ménopause bien sonnée de la baronne Adélaïde Cramouillard, présidente de l’Union mystique universelle. Question de principe aussi : on peut désapprouver ce que l’on veut, mais comment peut-on, au sens propre du terme, être choqué par quoi que ce soit? Quant à la gravité du délit, enfin, il me semble, selon mon échelle de valeurs personnelles, qu’il est plus « scandaleux » de regarder les jeux télévisés, de jouer au Loto ou de lire Le Meilleur, que d’avoir la passion des fesses fraîches, des émotions naissantes et des seins en boutons. Bien des imbéciles se sont horrifiés de la publication des Moins de seize ans. Que des adultes qui admettent fort bien que leur progéniture s’abrutisse des journées entières devant des machines à sous ou des téléfilms débiles, tremblent à l’idée que leur fille, plutôt que de passer son temps avec des crétins de son âge, puisse coucher avec un écrivain « qui pourrait être son père » et tomber dans les rets de ce suborneur de Gabriel, me fait, quant à moi, plutôt éclater de rire. [.. ] Quant aux jeunes personnes qui fréquentent Gabriel Matzneff, je ne doute pas qu’elles apprendront à son contact plus de choses belles et élevées que dans la vulgarité et la niaiserie que secrète à foison leur vie familiale et scolaire.”

Alain de Benoist (1943) écrivain français

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“Je n'avais pas réalisé à quel point j'étais devenu libéral jusqu'à ce qu'on de demande de faire des choix comiques passionnés plutôt que des choix comiques efficaces.”

Stephen Colbert (1964) humoriste, satiriste et animateur de télévision américain

I didn't realize quite how liberal I was until I was asked to make passionate comedic choices as opposed to necessarily successful comedic choices.
en

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“Faire rire! Devenir un roi du rire! C’est moins effrayant que d’être guillotiné, mais c’est aussi infamant.”

Marcel Pagnol (1895–1974) écrivain, dramaturge, cinéaste et producteur français

Films, Le Schpountz, 1937-1938

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“Je le rappelle : les images ont une fonction, elles sont le terreau qui nourrit la Raison. Il s’agit donc de classement, de principe des catégories mis en œuvre, en un mot, d’élaborer l’identité : faire jouer les images identificatoires à l’échelle institutionnelle. De nos jours comme pour les cultures antiques, c’est par la propagation d’un discours de ces images fondatrices que se déploie la version de l’Interdit quel qu’en soit le contenu, aujourd'hui la version de l’anti-Tabou. En définitive, si c’est à coups de propagandes d’anti-Référence que se défont les Références classiques du Droit de la filiation, il ne s’ensuit pas que ces propagandes échappent pour autant à la logique de la Référence, telle que j’en décris les éléments et le fonctionnement. Dans ces conditions, malgré les dénis, la dogmatique de la sur-liberté demeure assujettie à la logique de la conservation de l’espèce. Cela nous ouvre la possibilité de comprendre que le rapport de dettes entre les générations est en voie de bouleversement, au préjudice des sujets à venir, appelés à payer ce que par avance nous leur infligeons, le surcoût généalogique de l’autofondation. Autrement dit, la débâcle du discours de l’identité ne sera pas payée par nous, mais par ceux qui nous suivent.”

Leçons VI Les enfants du Texte. Étude sur la fonction parentale des États

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“Que te dire, Amine? Je crois que même les terroristes les plus chevronnés ignorent vraiment ce qu’il leur arrive. Et ça peut arriver à n’importe qui. Un déclic quelque part dans le subconscient, et c’est parti. Les motivations n’ont pas la même consistance, mais généralement, ce sont des trucs qui s’attrapent comme ça, dit-il en claquant des doigts. Ou ça te tombe sur la tête comme une tuile, ou ça s’ancre en toi tel un ver solitaire. Après, tu ne regardes plus le monde de la même manière. Tu n’as qu’une idée fixe : soulever cette chose qui t’habite corps et âme pour voir ce qu’il y a en dessous. À partir de là, tu ne peux plus faire marche arrière. D’ailleurs, ce n’est plus toi qui es aux commandes. Tu crois n’en faire qu’à ta tête, mais c’est pas vrai. T’es rien d’autre que l’instrument de tes propres frustrations. Pour toi, la vie, la mort, c’est du pareil au même. Quelque part, tu auras définitivement renoncé à tout ce qui pourrait donner une chance à ton retour sur terre. Tu planes. Tu es un extraterrestre. Tu vis dans les limbes, à traquer les houris et les licornes. Le monde d’ici, tu ne veux plus en entendre parler. Tu attends juste le moment de franchir le pas. La seule façon de rattraper ce que tu as perdu ou de rectifier ce que tu as raté – en deux mots, la seule façon de t’offrir une légende, c’est de finir en beauté : te transformer en feu d’artifice au beau milieu d’un bus scolaire ou en torpille lancée à tombeau ouvert contre un char ennemi. Boum! Le grand écart avec, en prime, le statut de martyr. Le jour de la levée de ton corps devient alors, à tes yeux, le seul instant où l’on t’élève dans l’estime des autres. Le reste, le jour d’avant et le jour d’après, c’est plus ton problème; pour toi, ça n’a jamais existé.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

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“L'existence d'un marché libre n'élimine évidemment pas le besoin de gouvernement. Au contraire, le gouvernement est essentiel, à la fois comme forum pour déterminer les « règles du jeu » et comme arbitre pour interpréter et faire respecter les règles qui ont été adoptées.”

The existence of a free market does not of course eliminate the need for government. On the contrary, government is essential both as a forum for determining the "rule of the game" and as an umpire to interpret and enforce the rules decided on.
en
Capitalisme et liberté, 1962

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“Il ne fait pas bon être mort, mais avec le temps, on doit pouvoir s’y faire”

Imre Kertész (1929–2016) écrivain hongrois

comme à tout
Journal de galère , Hongrie 1992, France 2010

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“Nous ne savons pas où nous allons, mais du moins il nous reste bien des choses à faire.”

Alan Turing (1912–1954) mathématicien britannique

We can only see a short distance ahead, but we can see plenty there that needs to be done.
en
, 1950

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“Ces personnes travaillaient vraiment fort à leur raisonnement, mais ce n'était pas un raisonnement cherchant la vérité, c'était un raisonnement soutenant leur réaction émotionnelle, un raisonnement tel que décrit par David Hume en 1739, qui disait : « la raison n'est qu'un serviteur des passions. Elle ne peut rien faire d'autre que les servir avec obéissance.»”

en
These subjects were reasoning. They were working quite hard at reasoning. But it was not reasoning in search of truth; it was reasoning in support of their emotional reactions. It was reasoning as described by the philosopher David Hume, who wrote in 1739 that "reason is, and ought only to be the slave of the passions, and can never pretend to any other office than to serve and obey them.".
The Righteous Mind (2012)

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“Porter sur toute chose un regard lucide, sans faire intervenir les souvenirs d’hier : alors, la vie cesse d’être problématique.”

Jiddu Krishnamurti (1895–1986) philosophe indien

L’Esprit et la Pensée (On Mind and Thought), 1993

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“S’il existe quelque remède au mal, à quoi bon s’affliger? À quoi bon s’affliger, s’il n’y a rien à faire?”

Shantideva (685–763) philosophe indien madhyamika, une branche du bouddhisme mahāyāna

Bodhicharyavatara, Chapitre 6

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“[…] le développement des villes, des salons, de la cour impose à chacun de maîtriser ses pulsions et d'affiner ses manières et son langage. On assiste à un remarquable effort de civilisation, c'est-à-dire de transformation de l'être naturel, égocentrique et impulsif (Alceste, héros du Misanthrope) en sujet social plus ou moins complaisant (Philinte). De 1630 à 1690 environ, la qualité sociale essentielle c'est l' honnêteté, qui ne désigne pas, comme aujourd'hui, une probité morale, mais une civilité, un art de plaire, de s'adapter à l'attente d'autrui en contrôlant ses désirs. […] le XVIIe siècle voit le développement d'une bourgeoisie composée de juristes et administrateurs, portés à la discipline, et de négociants et financiers, soucieux d'économiser pour accroître leur puissance. Or, la morale est aussi une discipline et une économie des désirs. Cette bourgeoisie veut être reconnue comme élite; il lui faut pour cela s'imposer par sa vertu, d'autant plus qu'elle n'a pas la naissance qui définit la noblesse. Il lui faut surtout se démarquer du peuple. Cet effort de distinction culturelle élimine digestion, sexualité et tout ce qui peut paraître grossier dans le comportement ou l'expression. Il tend à réduire la spontanéité au profit de la raison, à imposer à la nature la maîtrise de l'art, à récuser le savoir-faire spontané ou empirique, fondé sur le génie ou le métier, au bénéfice d'un savoir-faire méthodique, fondé en théorie. C'est pour ces raisons fondamentales que les années trente, contredisant Aristote et renversant la tendance du premier tiers du siècle, soumettent l'art, et particulièrement la tragédie, à la morale.”

Jean Rohou (1934) écrivain et universitaire breton

La Tragédie classique, 1996, La « discipline » classique

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“Mon objectif était alors de battre les rebelles, de rappeler leur fierté à plus d'humilité, de les poursuivre dans leurs derniers retranchements, et de leur inspirer peur et effroi. 'La crainte de l'Éternel est le commencement de la sagesse.'68 Je ne voulais pas qu'ils nous jettent au visage, ce que le général Hood avait fait à Atlanta, que nous avions dû faire appel à leurs esclaves pour nous aider à les assujettir. Mais, s'agissant de la bonté de la race …, je tiens à affirmer qu'aucune armée n'a jamais plus fait pour cette race que celle que j'ai commandée à Savannah.”

William Tecumseh Sherman (1820–1891) militaire, homme d'affaires, enseignant et écrivain américain

My aim then was to whip the rebels, to humble their pride, to follow them to their inmost recesses, and make them fear and dread us. "Fear of the Lord is the beginning of wisdom." I did not want them to cast in our teeth what General Hood had once done at Atlanta, that we had to call on their slaves to help us to subdue them. But, as regards kindness to the race . . ., I assert that no army ever did more for that race than the one I commanded at Savannah.
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“C'est illégal ce que je vais faire mais je vais le faire quand même… Il faut pas déconner, ça c'est pas pour les pauvres, c'est pour le nucléaire.”

Serge Gainsbourg (1928–1991) auteur-compositeur-interprète français

Sur le plateau du 11 mars 1984 à l'émission 7 sur 7, Serge Gainsbourg brûle un billet de 500 francs.

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“Entreprendre, ce n'est somme toute rien d'autre qu'utiliser son courage et son désespoir pour faire bouger les choses.”

Muhammad Yunus (1940) économiste et entrepreneur bangladais

Vers un monde sans pauvreté, 1997

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“J'ai un tee-shirt qui dit « Awesome Possum » et il y a une photo d'un opossum. Je sais que c'est débile, mais un ami me l'a offert… Vous savez quoi, allez vous faire foutre, je l'ai acheté, je l'ai trouvé cool.”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

I have this tee-shirt and it says « Awesome Possum » on it, it's got a picture of a possum. I know it's stupid, but a friend of mine gave it to me... Fuck you I bought it, I thought it was cool.
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Shameless (2005)

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“La liberté de tout dire n'a d'ennemis que ceux qui veulent se réserver la liberté de tout faire.”

Jean-Paul Marat (1743–1793) médecin, physicien, journaliste et homme politique français

Dénonciation à la nation, contre M. Malouet, 1790

“Faire l’Europe ce n’est pas détruire les nations mais simplement annihiler ce qu’elles présentent de mauvais.”

Roger Nimier (1925–1962) écrivain français

Les écrivains sont-ils bêtes ?

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