Citations sur la mode

Une collection de citations sur le thème de mode, tout, pluie, bien-être.

Meilleures citations sur la mode

Amélie Nothomb photo

“On ne change pas le mode sans changer le sens.”

Cosmétique de l'ennemi, 2001

Xavier Forneret photo

“L'Ennui s'habille à la mode.”

Xavier Forneret (1809–1884) écrivain, poète, dramaturge et journaliste français

Sans titre (1838)

Jean-Claude Rodet photo

“Manger bio, ce n'est pas une mode!”

Guide de santé alimentaire, 2012

Marie de Sévigné photo

“La mode d'aimer Racine passera comme la mode du café.”

Marie de Sévigné (1626–1696) écrivain française

Hoyt's New Cyclopedia Of Practical Quotations

Citations sur la mode

Isabelle Stengers photo
Charles Baudelaire photo
Lady Gaga photo

“Le préjudice est une maladie. Ainsi est la mode. Mais je ne vais pas porter préjudice.”

Lady Gaga (1986) auteur-compositrice-interprète américaine

Prejudice is a disease. So is fashion. But I will not wear prejudice.
en

Lady Gaga photo

“Je pense que la mode et la musique vont main dans la main et devraient toujours en être ainsi. C’est le travail de l’artiste de créer les images qui correspondent à la musique… je pense qu’elles sont très entrelacées.”

Lady Gaga (1986) auteur-compositrice-interprète américaine

I think that fashion and music go hand-in-hand, and they always should. It ’s the artist ’s job to create imagery that matches the music… I think they ’re very intertwined.
en

Fernando Sánchez Dragó photo

“Du végétarisme, que j’ai toujours respecté, même si je n’ai jamais pratiqué malgré ce que beaucoup croient, nous sommes passés au véganisme. Une autre de ces modes qui envahit tout avec les insultes de ceux qui se croient en la possession de la vérité et excluant le reste des mortels d’accéder à celle-ci… Un intégrisme, non?”

Fernando Sánchez Dragó (1936) journaliste et écrivain espagnol

Del vegetarianismo, que siempre he respetado, aunque nunca he practicado pese a lo que muchos creen, hemos saltado al veganismo. Otra de esas modas que todo lo invaden con las ínfulas de quienes se creen en posesión de la verdad y nos excluyen al resto de los mortales del acceso a ella… Un integrismo, no?
es

Guy de Maupassant photo
Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
Francesco Grimaldi photo

“La lumière se propage et se transmet non seulement directement, par réfraction et réflexion, mais aussi par un quatrième mode, la diffraction.”
Lumen propagatur seu diffunditur non solum Directe, Refracte, ac Reflexe, sed etiam alio quodam quarto modo, Diffracte.

Francesco Grimaldi (1618–1663) physicien italien
Honoré de Balzac photo
Henry de Montherlant photo
Gilbert Keith Chesterton photo
Jean-Claude Michéa photo
Frantz Fanon photo
Jack Vance photo
Christine Boutin photo

“[…] mais enfin, vous savez, dans tout excès il y a une erreur; donc aujourd'hui, c'est la mode, c'est les gays. Bon, très bien. On est envahis de gays.”

Christine Boutin (1944) femme politique française

En réaction à la Palme d’or à Cannes au film La Vie d’Adèle
Le mariage pour tous

Joseph Joubert photo
Alexis Carrel photo
Samuel Huntington photo
Manuel Valls photo
Jean Baudrillard photo
Guy Bedos photo
Alain de Benoist photo
Georges Bataille photo
André Breton photo
Jean d'Ormesson photo
Maud de Belleroche photo

“Je fis l'amour, non la guerre, avant que les hippies n'eussent mis la formule à la mode.”

Maud de Belleroche (1922–2017) actrice, femme de lettres et journaliste française

Ouvrages, Le Ballet des crabes (1975)

Dominique Fernandez photo
Antoine Prost photo
Marguerite Yourcenar photo
Anselme de Cantorbéry photo
Dominique Fernandez photo

“Hé! Hé! Je me demande si l'institution des castrats ne fut pas la réponse qu'inventa le génie italien pour éluder les prescriptions trop sévères du code d'honneur castillan. Il est remarquable que le premier castrat soit apparu après, seulement après l'implantation des Espagnols dans la péninsule, et que le royaume de Naples, où ils restèrent deux siècles et demi, sans compter le règne de Charles, ait acquis pour ainsi dire le monopole du recrutement et de la formation des dessus. Sans cette échappatoire, le brillant chérubin italien aurait fini comme le sombre don Juan, victime tragique de la monogamie et du culte de la puissance virile. L'Italie, et surtout le royaume de Naples, se trouvèrent soumis à un code de l'honneur pour lequel ils n'étaient pas du tout préparés. L'invention des castrats, et en général la diffusion de la mode des travestis sur la scène, furent une trouvaille spécifiquement napolitaine, une ruse de l'instinct populaire, une protestation contre les règles insupportables de la morale castillane. En allant admirer des castrats, ou des femmes qui chantaient des rôles masculins, on prenait le droit, en quelque sorte, de s'attarder dans indétermination sexuelle, d'oublier les tâches de la maturité. Comment se rappeler qu'on avait le devoir d'être un homme, si ceux dont on applaudissait l'incomparable voix se trouvaient dispensés de cette obligation! Un grand capitaine, un roi, un conquérant, César, Alexandre lui-même! dépouillés de leur puissance virile tout en gardant leur pouvoir de séduction : quelle aubaine pour des gens dont la sensualité subtile, complexe et hésitante s'accommodait fort mal des prescriptions brutales d'un code sans nuances, qui était par surcroît celui des occupants.”

Porporino ou les Mystères de Naples, 1974

Alexandre Soljenitsyne photo
Maximilien de Robespierre photo
Hyman Minsky photo
Bertrand Russell photo
Eric Hobsbawm photo
Pascal Décaillet photo
Victor Serge photo
John Varley photo
John Varley photo
Robert Darnton photo
Patrick Rambaud photo
Dominique Fernandez photo
Mario Vargas Llosa photo
Charles Seignobos photo
William S. Burroughs photo
Suzanne Curchod photo

“Pour apprécier exactement la direction des idées de Mme Necker, il faut d’abord se rendre compte de l’effort qu’elle s’imposa en arrivant à Paris, afin de s’approprier la langue et les mœurs du pays dont elle avait à se faire adopter. Sainte-Beuve a dit qu’elle ne fut jamais qu’une fleur transplantée. Il semble que Mme Necker eût prévu la critique. « Pour avoir un goût parfait, disait-elle, faut-il être né dans un pays ou dans une société, à Paris par exemple, où l’on reçoive les principes du goût avec le lait et par l’autorité? Ou bien serait-il à préférer d’y arriver dans l’âge où l’on peut les acquérir sans préjugé et apprendre à juger par sa propre raison nouvellement éclairée? Ce goût ainsi formé serait plus sûr et plus dégagé de toutes les préventions du siècle, du lieu et de la mode. C’est ainsi que Rousseau, dans un objet plus grave, voulait qu’on ne prit une religion que quand la raison serait formée. » Mme Necker se vise manifestement elle-même dans cette dernière observation; et je ne sais pas d’exemple d’une acclimatation ou d’une naturalisation intellectuelle suivie avec plus de zèle. Il n’en coûtait rien à Grimm de ne paraître à Paris qu’un Allemand. Mme Necker voulut être Française.”

Suzanne Curchod (1737–1794) femme de lettres française et salonnière, épouse de Jacques Necker.

D'autres auteurs la concernant

Gaston Bachelard photo
Guillaume Musso photo
Noam Chomsky photo
Emil Cioran photo

“L'arc est un passage voûté dont le sombre crépi assez bien s'accorde à des relents d'urine qui font la suggestion de l'entrée d'une vespasienne à l'usage de géants. Tout au moins la voûte et l'odeur ont-elles pour Sigismond le caractère de ce qui est romain, et qui se trouve à Nîmes autant que dans la cité couleur d'or et de bran où il fut avec Sergine au mois de mai, guère plus tard qu'à présent, dans l'année qui suivit la naissance du petit Elie. Rome est partout dans les villes du Midi, quoique le denier Vespasien ne soit plus payé par personne. Sergine, un œillet sous les narines un peu busquées qu'elle remuait avec des manières de pouliche, accélérait le pas aux endroits où vraiment le marbre sentait trop, car la puanteur du marbre où l'ammoniaque au soleil s'évapore est le plus intolérable défaut des lieux sublimes. Sans tant de nervosité, Sigismond de même accélère. Le quartier de ruelles, où par la voie de l'arc il est venu de la Rambla, n'est pas aussi peuplé que les environs de son hôtel, les lumières n'y sont pas aussi vives, les bars n'y ont pas de si tapageuses musiques, et lui-même, en épiant entre les rideaux d'une cafétéria le jeu muet des serveuses, éprouve un sentiment de gêne que la persistance de la mauvaise odeur ne suffit pas à expliquer. Devant lui se rétrécit la calle Arco del Teatro. A droite, au premier coin, il préfère tourner dans Lancaster, large tranchée sinistre au milieu de laquelle sur de gros pavés joints de poussière et d'ordure il chemine, méprisant le trottoir plus disjoint, négligeant un bar assez louche qui à la mode anglaise se réclame de pirates. Point de passants là. Il est, pour un moment, à l'obscur.”

André Pieyre de Mandiargues (1909–1991) écrivain français

Roman, La Marge (prix Goncourt), 1967

Frédéric Lefebvre photo

“Celui qui conçoit l'écriture comme un agréable passe-temps permettant d'accéder à un mode de vie bourgeois n'écrira jamais que de la merde.”

Robin Cook (1931–1994) chirurgien, spécialiste de romans policiers médicaux

Il est mort les yeux ouverts, 1983

Michel Houellebecq photo
Boris Vian photo
Charles Baudelaire photo
Ludwig Wittgenstein photo
Jean-Marie Pelt photo
Marcel Proust photo
Enzo Traverso photo
Pascal Lamy photo
Jean-Jacques Rousseau photo
Dominique Fernandez photo
Coco Chanel photo

“Chanel est d'abord un style. La mode se démode. Le style, jamais.”

Coco Chanel (1883–1971) créatrice, modiste et grande couturière française

fr
Citation de Coco Chanel

Jean Giono photo
George Sand photo
Jacques Ellul photo

“C’est devenu un lieu commun, que l’on tient pour une évidence vérifiée : le monde moderne est un monde séculier, sécularisé, athée, laïcisé, désacralisé, démythisé. Et dans la plupart des écrits contemporains, on considère tous ces termes comme équivalents sans prendre en compte les différences considérables qu’il peut y avoir par exemple entre laïcisation et sécularisation ou entre désacralisation et démythisation. On veut en gros exprimer l’idée que le monde moderne (est) devenu adulte ou majeur (parce qu’il) ne croit plus, il veut des preuves, il obéit à la raison et non aux croyances, surtout religieuses, il s'est débarrassé de Dieu, et lui parler de religion n'a plus de sens. Il est entré dans un nouveau mode de pensée, qui n’est plus la pensée traditionnelle s'exprimant dans les mythes. (…) Il est difficile de discerner si, dans ce (genre de) propos, il s’agit d’un constat de fait, d'un souhait, d’une constatation sociologique ou d’une construction imaginaire, élaborée à partir de l’idée qu’on peut se faire d’un homme imbu de la science. En réalité, si l’on examine les textes qui reposent sur ces affirmations, on s’aperçoit qu’il s’agit (…) d’une explication a posteriori. On part de l'évidence: « l’homme moderne ne veut plus entendre parler du christianisme, il a perdu la foi, l’Église ne mord plus sur la société, elle n’a plus d’audience, le message chrétien ne veut rien plus dire (…) ». (Mais) comme l’on constate en même temps que l’homme moderne reçoit plus ou moins une éducation technicienne sinon scientifique, on en conclut implicitement : « c’est parce que cet homme est imbu de science qu’il est non religieux » et l’on assimile alors le rejet du christianisme avec l’abandon de toute posture religieuse. Déduction qui m’apparaît pour le moins hâtive.,(…) C'est pourquoi je pense qu'il est fondamental de savoir si (…) nous sommes dans un temps déréligiosisé.”

Jacques Ellul (1912–1994) professeur d'histoire du droit, sociologue et théologien protestant français

Les nouveaux possédés, 1973

Jean-Jacques Rousseau photo
Hans Günther photo

“On constate un apport de sang négroïde depuis les temps les plus anciens dans toute la région méditerranéenne (des nègres dans l'armée de César, des esclaves noirs) et surtout dans les villes portuaires depuis les Croisades. Dans les grandes villes, les domestiques nègres étaient - et le sont toujours - à la mode. Les mariages avec les Européens du sud apportèrent un sang négroïde en Europe centrale; souvent, chez les terrassiers italiens surtout, on pouvait plus ou moins constater l'apport de sang négroïde. Venant des colonies françaises, le sang négroïde afflua vers la France. Au Portugal, en raison de l'introduction qui s'est faite autrefois d'esclaves africains, l'influence négroïde est même particulièrement apparente. De nos jours, c'est avant tout la politique de la France qui représente pour le monde entier une augmentation du « danger noir », en donnant aux Nègres, par octroi de la nationalité et de l'élévation au rang d'officier, l'accès à un pouvoir dont les conséquences sont encore imprévisibles. […] La domination de la France représente pour l'Allemagne « l'ignominie noire », à savoir les agressions de femmes européennes par les Africains dans les territoires occupés dont les conséquences, elles aussi, sont encore imprévisibles. […] L'influence négroïde en France, surtout dans le sud de ce pays ou les Africains du Nord arrivent en masse - et sans femmes - est depuis plusieurs années en augmentation croissante. Il paraît qu'une ville comme Marseille, n'a plus un aspect « européen », tellement le métissage par le sang africain s'y fait sentir.”

Hans Günther (1891–1968) anthropologue
Marcel Proust photo

“(…) les modes changent étant nées elles-mêmes du besoin de changement”

À la recherche du temps perdu, À l'ombre des jeunes filles en fleurs

“Je ne vois pas que nous puissions faire autrement ici que revenir aux conditions, liées à la reproduction de notre espèce, dans lesquelles chaque homme, pour vivre, tout simplement vivre, entre dans l’univers par la représentation. Or, évoquer la représentation, c’est du même coup avoir affaire à l’horreur des commencements pour l’humain, à la logique subjective qui comporte, pour tout sujet, la nécessité de s’arracher à l’opacité, par le langage. En clair, cela revient à poser la loi de l’animal parlant : la nécessité de tout ramener aux mots pour qu’il y ait des choses. Méconnaître cette loi, vouloir ignorer son ressort et ses conséquences, c’est se condamner à ne rien comprendre à la logique de l’Interdit. (…) Si l’humain symbolise comme il respire, il n’entre dans la symbolisation que moyennant son passage sous les fourches caudines de l’institution du langage, dont il faut tâcher de comprendre que l’Interdit, en toute société et pour chaque sujet, constitue l’accompagnement, l’ombre portée en quelque sorte. Prenons donc la mesure de ce dont il s’agit : symboliser signifie rendre présent quelque chose d’absent, le représenter. Si la logique de l’Interdit est à ce point liée au phénomène du langage, à la représentation, par la parole, d’une absence, c’est qu’il est dans la nature du langage d’instituer. Le langage nous sépare des choses en les nommant, mais aussi notre séparation d’avec les choses institue les choses sous un nom pour le sujet qui parle, et de ce fait institue le sujet lui-même comme sujet du discours social des catégories, dont relèvent le nom des choses et la raison de ce qui entre elles les divise. S’arracher à l’opacité première par le langage, surmonter l’horreur des commencements, entrer dans l’échange symbolique : toute l’entreprise humaine fait jouer le principe institutionnel comme principe fondateur du discours et de la parole dans la société considérée. En ce sens, nous avons affaire à un (…) déterminisme symbolique (…). Réfléchissons sur les manifestations d’un tel déterminisme, rapportable à l’institution du langage et dont relèverait l’élaboration sociale de l’Interdit. Mes remarques viennent de faire apparaître le phénomène de l’institution de la communication humaine comme comportant plusieurs registres indépendants et en même temps soumis à un mode de relation, celui-là même où se révèle à nous l’idée d’institution. Ainsi distinguons nous : le registre du sujet de la parole, celui de l’univers nommé des objets –objet, ici, au sens de chose ou personne-dans-le-monde, par rapport à quoi tout sujet conquiert son identité-, celui enfin du discours des catégories.”

Leçons VI Les enfants du Texte. Étude sur la fonction parentale des États

Octave Mirbeau photo
Octave Gréard photo
Oskar Freysinger photo
Octave Gréard photo

“Pour apprécier exactement la direction des idées de Mme Necker, il faut d’abord se rendre compte de l’effort qu’elle s’imposa en arrivant à Paris, afin de s’approprier la langue et les mœurs du pays dont elle avait à se faire adopter. Sainte-Beuve a dit qu’elle ne fut jamais qu’une fleur transplantée. Il semble que Mme Necker eût prévu la critique. « Pour avoir un goût parfait, disait-elle, faut-il être né dans un pays ou dans une société, à Paris par exemple, où l’on reçoive les principes du goût avec le lait et par l’autorité? Ou bien serait-il à préférer d’y arriver dans l’âge où l’on peut les acquérir sans préjugé et apprendre à juger par sa propre raison nouvellement éclairée? Ce goût ainsi formé serait plus sûr et plus dégagé de toutes les préventions du siècle, du lieu et de la mode. C’est ainsi que Rousseau, dans un objet plus grave, voulait qu’on ne prit une religion que quand la raison serait formée. » Mme Necker se vise manifestement elle-même dans cette dernière observation; et je ne sais pas d’exemple d’une acclimatation ou d’une naturalisation intellectuelle suivie avec plus de zèle. Il n’en coûtait rien à Grimm de ne paraître à Paris qu’un Allemand. Mme Necker voulut être Française.”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Madame Necker

Lénine photo

“Mais les révolutionnaires qui ne savent pas allier aux formes illégales de lutte toutes les formes légales sont de bien mauvais révolutionnaires. Il n'est pas difficile d'être un révolutionnaire quand la révolution a éclaté déjà et bat son plein; quand tout un chacun s'y rallie par simple engouement, pour suivre la mode, parfois même pour faire carrière. Sa "libération" de ces piètres révolutionnaires, le prolétariat doit la payer plus tard, après sa victoire, par des efforts inouïs, par un martyre douloureux, pourrait-on dire. Il est beaucoup plus difficile - et beaucoup plus précieux - de se montrer révolutionnaire quand la situation ne permet pas encore la lutte directe, déclarée, véritablement massive, véritablement révolutionnaire, de savoir défendre les intérêts de la révolution (par la propagande, par l'agitation, par l'organisation) dans des institutions non révolutionnaires, voire nettement réactionnaires, dans une ambiance non révolutionnaire, parmi des masses incapables de comprendre tout de suite la nécessité d'une méthode d'action révolutionnaire. Savoir trouver, pressentir, déterminer exactement la voie concrète ou le tour spécial des événements, qui conduira les masses vers la grande lutte révolutionnaire véritable, décisive et finale : tel est le principal objet du communisme actuel en Europe occidentale et en Amérique.”

La Maladie infantile du communisme (le « gauchisme »), 1920

Jean-Marie Pelt photo
Émile Jalley photo
Madonna photo

“Je suis une célébrité de premier plan et je sais que mes fans gays savent que je ne juge pas leur mode de vie et que je les soutiens. C'est utile pour eux d'avoir quelqu'un qui le dit ouvertement et ils m'apprécient pour ça.”

Madonna (1958) chanteuse américaine

I am a high-visibility person, and I know that they know that I’m completely compassionate about their choice in life, their life-style, and I support it. To have a person like me saying that is helpful to them. They appreciate that.
en
Années 1990

Isabelle Stengers photo
Elena Botchorichvili photo