Citations sur signe

Une collection de citations sur le thème de signe, tout, pluie, bien-être.

Citations sur signe

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“Dans la vie, tout est signe”

The Alchemist
Variante: Dans la vie tout est signe

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“C'est un signe d'insécurité que de sentir bien tranquille”

John Henry Newman (1801–1890) prélat catholique

To be at ease is to be unsafe
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Tranquillité

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“La pensée sarkozyenne ne mériterait guère le détour tant elle est superficielle et mensongère. Mais elle nous mène au chaos. Qu'il lui ait fallu récupérer un concept d'un philosophe de gauche est le signe de la nécessité de trouver une enveloppe humaine à une politique de civilisation visant en vérité à la déshumanisation.”

Michel Onfray (1959) philosophe français

Le philosophe de gauche dont parlent les auteurs est Edgar Morin et son concept celui de politique de civilisation, récupéré par Nicolas Sarkozy dans ses vœux aux Français du 31 décembre 2007 http://www.lefigaro.fr/politique/2008/01/01/01002-20080101ARTFIG00003-nicolas-sarkozy-veut-reformer-sans-brutalite-.php.
Personnalités politiques

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“Ne pas sentir la putréfaction du monde moderne est un signe de contamination.”

Nicolás Gómez Dávila (1913–1994)

Les Horreurs de la démocratie

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“Il n’est pas un signe ou un acte de civilisation qui ne soit en même temps un acte de barbarie.”

Edgar Morin (1921) sociologue et philosophe français

Culture et barbarie européennes, 2005

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“Brutus Malefoy : Il n'est pas de signe plus sûr d'une faible magie que la faiblesse envers une compagnie dépourvue de magie.”

Dans le Sorcier en Guerre (Gazette anti-moldus), 1675.
Les Contes de Beedle le barde, 2008

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“Hugo et moi sommes allés dans un autre bordel, où les femmes étaient plus laides que celles du 32, rue Blondel. La pièce était couverte de miroirs. Les femmes se déplaçaient comme un troupeau d'animaux passifs, deux par deux, en se dandinant, sur la musique du phonographe. Je m'étais fait beaucoup d'idées avant de venir. Je n'arrivais pas à croire à la laideur de ces femmes lorsqu'elles sont entrées. Dans mon esprit, la danse de femmes nues était encore un spectacle plein de beauté et de volupté. En voyant tous ces seins tombant avec leurs gros mamelons marron comme du cuir, en voyant ces jambes bleuâtres, ces ventres proéminents, des sourires où il manquait des dents et ces amas de chair brute tournoyant passivement, tels des chevaux de bois sur un manège, j'ai perdu toute sensibilité […]. Les poses monotones se succédaient et, de temps à autre, sans le moindre signe de désir, les femmes s'embrassaient entre elles sans passion, asexuées. Hanches, fesses rebondies, mystérieuse toison sombre entre les jambes — tout cela exposé aux regards avec si peu de sens qu'il nous a fallu deux jours, à Hugo et à moi, pour dissocier mon corps, mes jambes, mes seins de ce troupeau d'animaux remuants. Ce que j'aimerais, c'est me joindre à elles un soir, marcher, nue, au milieu d'elles dans la pièce, regarder les hommes et les femmes assis là et observer leurs réactions au moment où j'apparais, moi, l'intruse.”

Anaïs Nin (1903–1977) écrivain américaine

Henry et June — Les cahiers secrets, 1986

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“La curiosité est le signe d'un esprit actif.”

Citations de ses romans, Le Wankh, 1969

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“J'appelle charité, l'amour de ce qui n'est pas inférieur à celui qui aime [littéralement : lorsque les choses qui sont aimées ne doivent pas être tenues pour négligeables en comparaison de celui qui aime], c'est-à-dire ce qui est éternel, et qu'on peut aimer éternellement. Dieu donc et l'âme qui aime Dieu [littéralement : Dieu, donc et l'âme, lorsqu'ils sont aimés], voilà la charité dans son état le plus pur et le plus parfait, s'il ne s'y mêle point d'autre amour [littéralement : si rien d'autre n'est aimé]; on l'appelle aussi la dilection. Mais lorsque Dieu est plus aimé que l'âme, au point que l'homme aime mieux être à Dieu qu'à lui-même, c'est alors qu'il est dans la voie du souverain bien pour son âme, et conséquemment pour son corps; puisque nous n'avons plus aucun souci de satisfaire aucun désir, prenant les choses à tout hasard et comme elles se présentent. Or, le poison de la charité, c'est le désir d'acquérir ou de conserver les biens temporels. Son aliment, c'est la diminution de la cupidité; sa perfection, l'extinction de la cupidité. Le signe de son progrès, c'est de craindre peu; le signe de sa perfection, c'est de ne rien craindre, « car la cupidité est la racine de tous les maux, comme la parfaite dilection chasse toute crainte; »”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

I Tim., VI, 10; I Jean, IV, 18.
Caritatem voco qua amantur ea quæ non sunt præ ipso amante contemnenda, id est, quod æternum est et quod amare ipsum æternum potest. Deus igitur et animus cum amantur, caritas proprie dicitur, purgatissima et consummata, si nihil aliud amatur; hanc et dilectionem dici placet. Sed cum Deus magis diligitur quam animus, ut malit homo ejus esse quam suus, tunc vere animo summeque consulitur, consequenter et corpori, nobis id non curantibus aliquo appetitu satagente, sed tantum promta et oblata sumentibus. Caritatis autem venenum est spes adipiscendorum aut retinendorum temporalium; nutrimentum ejus est imminutio cupiditatis; perfectio nulla cupiditas. Signum provectus ejus est imminutio timoris; signum perfectionis ejus nullus timor, quia et radix est omnium malorum cupiditas (1 Tim 6, 10); et consummata dilectio foras mittit timorem (1 Io 4, 18.)
la
Citations de saint Augustin, Quatre-vingt trois questions diverses

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“Le point fondamental est le suivant : le travail, la terre et l'argent sont des éléments essentiels de l'industrie; ils doivent eux aussi être organisés en marchés; ces marchés forment en fait une partie absolument essentielle du système économique. Mais il est évident que travail, terre et monnaie ne sont pas des marchandises; en ce qui les concerne, le postulat selon lequel tout ce qui est acheté et vendu doit avoir été produit pour la vente est carrément faux. En d'autres termes, si l'on s'en tient à la définition empirique de la marchandise, ce ne sont pas des marchandises. Le travail n'est que l'autre nom de l'activité économique qui accompagne la vie elle-même -- laquelle, de son côté, n'est pas produite pour la vente mais pour des raisons entièrement différentes --, et cette activité ne peut pas non plus être détachée du reste de la vie, être entreposée ou mobilisée; la terre n'est que l'autre nom de la nature, qui n'est pas produite par l'homme; enfin, la monnaie réelle est simplement un signe de pouvoir d'achat qui, en règle générale, n'est pas le moins du monde produit, mais est une création du mécanisme de la banque ou de la finance d'État. Aucun de ces trois éléments -- travail, terre, monnaie -- n'est produit pour la vente; lorsqu'on les décrit comme des marchandises, c'est entièrement fictif.”

La Grande Transformation (1944), Deuxième partie : Grandeur et décadence de l'économie de marché, Chapitre 6 : Le marché autorégulateur et les marchandises fictives : travail, terre et monnaie

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“Que les souffrances des justes ne soient point pour nous un sujet de scandale; elles ne sont pour eux qu'une épreuve, et non point un signe de réprobation. Nous frémissons d'horreur en voyant sur la terre le juste en proie aux tribulations de la calomnie et de la douleur, et nous oublions ce qu'eut à souffrir le juste par excellence et le Saint des saints.”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

Non ergo nos moveat labor piorum; exercitatio est. Nisi forte horremus cum videmus indigna et gravia in hac terra perpeti aliquem iustum, et obliviscimur quæ pertulerit iustus iustorum sanctusque sanctorum.
la
Citations de saint Augustin, La ruine de Rome

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“Ce n'est pas vanité, c'est besoin; aujourd'hui la publicité aussi bien que le temps est de l'argent. Je suppose qu'à l'ordinaire vous vendiez un tableau quinze cents francs; ayez trois pages bien signées dans trois journaux notables, joignez y quelque petite manœuvre à l'hôtel des ventes, vous vendrez le tableau suivant, tout pareil, quatre mille francs. Un objet commercial quelconque, toiture en zinc ou clysopompe, cheminée fumivore ou râtelier en hippopotame, gagne tant d'acheteurs par tant de lignes d'annonce; la proportion est connue. Forcément, fatalement, telle denrée, tel remède, qu'on rencontre tous les jours, partout, en grosses lettres, en petites lettres, sur les murs, dans les gazettes, dans les chemins de fer, aux cafés, chez soi, chez les autres, imprime son nom dans la mémoire. On n'a pas voulu le lire et on l'a lu; on a évité de le retenir et on le sait par cœur; on s'en est moqué tout haut, ce qui a accru sa publicité. Que le besoin de la chose en question survienne :on n'a pas de conseil sous la main, on n'a pas d'autre nom en tête, on est pressé, on se dit par lassitude que, puisque celui-là est public, il en vaut un autre; on va à l'adresse connue, on avale et on recommence. L'an dernier, j'ai trouvé en province des gens qui traitaient leurs enfants par la médecine Leroy, comme en 1820; les noms s'encroûtent dans la mémoire humaine; il est aussi difficile d'en sortir que d'y entrer.”

Hippolyte Taine (1828–1893) philosophe et historien français

Notes sur Paris: vie et opinions de Frédéric-Thomas Graindorge

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“Tu ne peux pas te relire mais tu peux signer.”

Fureur et mystère, 1948, Feuillets d'Hypnos (1943-1944)

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“Nous ne pouvons plus aujourd'hui parler argent sans penser à la vie économique, globale : […] l'argent en est le symbole. […] (car il) a subi une abstraction et une objectivation au cours du dernier siècle.
- Une abstraction, car l'individu n'a plus entre les mains une valeur en soi, il ne peut plus attribuer de sens au signe monétaire. Et ce n'est plus seulement la monnaie papier mais aussi la monnaie scripturale qui conduit à cette abstraction. L'individu ne s'attache plus au billet mais à son seul pouvoir d'achat. Le signe s'est rapproché de sa réalité économique en devenant lui-même plus abstrait.
- Une objectivation également, car l'on a de plus le sentiment que la manipulation de l'argent n'est pas un fait personnel, une appropriation, mais résulte de combinaisons lointaines et complexes dont nos actes ne sont que l'écho.
Il n'y a (donc) plus véritablement de relation entre l'individu et son argent parce que cet argent est (devenu) abstrait et objectif. Dès lors, il n'y a plus de problème moral de l'argent : […] l'homme n'est plus responsable de ce qu'il gagne, ni du « comment il gagne », ni du « comment il dépense », car il s'agit uniquement (pour lui) d'un jeu objectif d'opérations économiques dans lequel (il se sent) très peu de chose.”

Jacques Ellul (1912–1994) professeur d'histoire du droit, sociologue et théologien protestant français

L'homme et l'argent, 1953

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“Mes chers concitoyens, je suis ravi de vous annoncer aujourd'hui que je viens de signer une loi bannissant la Russie pour toujours. Le bombardement va commencer dans cinq minutes.”

Ronald Reagan (1911–2004) 40e président des États-Unis

My fellow Americans, I'm pleased to tell you today that I've signed legislation that will outlaw Russia forever. We begin bombing in five minutes. [Ronald Reagan, Plantu dans Le Monde du 14 août 1984., Weekly Saturday address, National Public Radio, 11 août 1984, en]
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Sur la guerre froide

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“Quand un vrai génie apparaît en ce monde, on peut le reconnaître à ce signe, que les imbéciles sont tous ligués contre lui.”

Jonathan Swift (1667–1745) écrivain, satiriste, essayiste, pamphlétaire politique anglo-irlandais

When a true genius appears in this world, you may know him by this sign, that the dunces are all in confederacy against him.
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Pensées
Variante: Quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on peut le reconnaitre à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui.
Source: Litt. cancres.
Source: Litt. conspiration.

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“Oui, il y a inégalité des races, comme il y a inégalité des civilisations, je persiste et signe […]. Sans inégalité, la France ne serait pas la France.”

Jean-Marie Le Pen (1928) homme politique français

Déclarations de Jean-Marie Le Pen le 12 octobre 1996, devant deux cents personnes dans un salon de l’hôtel Lutetia
Autres citations

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“Comment fait-on un signe de croix? Je ne connais rien à la religion. Comment faire un signe de croix avec des mains blanches de chantilly”

Anne Calife (1966) littératrice française, romancière et dramaturge, a été aussi professeur de sciences médico-sociales
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“[Les hommes] préfèrent mourir à petit feu plutôt que de montrer le moindre signe d'émotion.”

Karen Young (1959) écrivain américain

Citations de ses romans, Retour à Belle Pointe, (Belle Pointe), 2007

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“Dans le bruit du « siècle lâche » son œuvre, liée simplement aux grandes valeurs aristocratiques, se dresse comme une tour d'ivoire qui est aussi un ermitage. Descendant des comtes catalans de Montherlant, ce grand écrivain a toujours eu le sentiment précis d'être l'héritier d'une tradition précieuse, d'être appelé à la réaffirmer. Il aimait rappeler que son grand-père, zouave pontifical, défendit « l'épée à la main l'héritage des Césars » et que son bisaïeul maternel, le comte de Riamcey, fut à la tête du parti légitimiste et ultramontain aux temps de Napoléon III. Montherlant se déclarait de la race qui « hurle aux loups » et il interprétait comme un signe du destin le fait d'être né le jour anniversaire de Rome, le 21 avril de 1896, à Paris.”

Giorgio Locchi (1923–1992)

Nel rumore del «secolo vile» la sua opera, unicamente attenta ai grandi valori aristocratici, si accampa come una torre d'avorio che è anche un eremo. Discendente dalla stirpe catalana dei conti di Montherlant, questo grande scrittore ha sempre avuto il sentimento preciso di essere l'erede di una tradizione preziosa, di essere chiamato a riaffermarla. Egli amava ricordare come il nonno, zuavo pontificio, avesse «difeso spada alla mano l'eredità dei Cesari» e come il suo bisavolo materno, il conte di Riamcey, avesse guidato il partito legittimista ultramontano ai tempi di Napoleone III. Montherlant si diceva della razza che «urla ai lupi» e vedeva come un segno del destino il fatto di essere venuto alla luce il giorno in cui ricorre il Natale di Roma, il 21 aprile del 1896, a Parigi.
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“Le cynisme est un signe de santé intellectuelle.”

Bertrand Laverdure (1967) journaliste, poète et écrivain canadien

Gomme de xanthane, 2006

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“Il avance qu’il y a des signes qui ne trompent pas.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

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“Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu, quand il ne veut pas signer.”

Théophile Gautier (1811–1872) écrivain français

The Cross of Berny or Irene's Lovers
La Croix de Berny, 1845
Variante: Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer.