Citations sur porte-parole
Une collection de citations sur le thème de porte-parole.
AvecUn total de filtre 977 citations:

„En ce qui concerne l’obtention des droits de citoyenneté et des opportunités pour un développement sans entraves du peuple africain, qui pourra nier que j’ai consacré trente années de ma vie à frapper en vain, patiemment, modérément et modestement à une porte restée fermée et cadenassée ?“
— Albert Lutuli homme politique sud-africain 1898 - 1967

„[…] nous avons toujours eu (chut, chut, fermez les portes!), nous avons toujours eu beaucoup de mal à comprendre l'image du monde que nous offre la mécanique quantique. Du moins, en ce qui me concerne, parce que je suis assez âgé, je ne suis pas encore parvenu à me convaincre que tous ces trucs-là étaient évidents. OK, ça m'énerve toujours. Ainsi quelques étudiants plus jeunes… Vous savez ce que c'est : à chaque nouvelle idée, il faut une ou deux générations pour constater qu'elle ne pose pas de vraie difficulté. Il n'est toujours pas évident pour moi qu'il n'y a pas de vrai problème. Je ne peux pas définir le vrai problème donc je soupçonne qu'il n'y a pas de vrai problème mais je ne suis pas sûr qu'il n'y ait pas de vrai problème.“
— Richard Feynman physicien américain 1918 - 1988
[...] we have always had (secret, secret, close the doors!) we have always have had a great deal of difficulty in understanding the world view that quantum mechanics represents. At least I do, because I'm an old enough man that I haven't got to the point that this stuff is obvious to me. Okay, I still get nervous with it. And therefore, some of the youngest students...you know how it always is, every new idea, it takes a generation or two until it becomes obvious that there's no real problem. It has not yet become obvious to me that there is no real problem. I cannot define the real problem, therefore I suspect there's no real problem, but I'm not sure there's no real problem.
en

„La construction d'une machine propre à exprimer tous les sons de nos paroles, avec toutes les articulations , seroit sans-doute une découverte bien importante. … La chose ne me paroît pas impossible.“
— Leonhard Euler mathématicien, physicien, philosophe, théologien et orientaliste suisse 1707 - 1783

„Si vous ne croyez pas à mes paroles, croyez au moin à mes oeuvres.“
— Joseph Kabila président de la République démocratique du Congo depuis 2001 1971
Les discours du President congolais Kabila

„Les hommes et les femmes ne se réunissent au théâtre que pour entendre parler de l'amour, et pour prendre part aux douleurs et aux joies qu'il cause. Tous les autres intérêts de l'humanité restent à la porte.“
— Alexandre Dumas fils écrivain et dramaturge français, fils de l'écrivain et dramaturge homonyme 1824 - 1895
„Nadal vous lui entrouvrez une porte il vous la défonce à grand coup d'épaule.“
— Rafael Nadal joueur de tennis espagnol 1986

„Je demeure convaincu qu'un journaliste n'est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort. Il est de porter la plume dans la plaie…“
— Albert Londres journaliste français 1884 - 1932
Citation rapportée d'Albert Londres

„Le principe des temps modernes […] consiste d'abord à négliger les édifices, puis à les restaurer. Prenez soin de vos monuments et vous n'aurez nul besoin de les restaurer. Quelques feuilles de plomb placées en temps voulu sur la toiture, le balayage opportun de quelques feuilles mortes et de brindilles de bois obstruant un conduit sauveront de la ruine à la fois murailles et toiture. Veillez avec vigilance sur un vieil édifice, gardez-le de votre mieux et par tous les moyens de toute cause de délabrement. Comptez-en les pierres comme vous le feriez pour les joyaux d'une couronne, mettez-y des gardes comme vous en placeriez aux portes d'une ville assiégée; liez-le par le fer quand il se désagrège; soutenez-le à l'aide de poutres quand il s'affaisse; ne vous préoccupez pas de la laideur du secours que vous lui apportez, mieux vaut une béquille que la perte d'un membre; faites-le avec tendresse, avec respect, avec une vigilance incessante, et encore plus d'une génération naîtra et disparaîtra à l'ombre de ses murs. Sa dernière heure enfin sonnera; mais qu'elle sonne ouvertement et franchement, et qu'aucune substitution déshonorante et mensongère ne le vienne priver des devoirs funèbres du souvenir. […] La conservation des monuments du passé n'est pas une simple question de convenance ou de sentiment. Nous n'avons pas le droit d'y toucher. Ils ne nous appartiennent pas. Ils appartiennent en partie à ceux qui les ont construits, en partie à toutes les générations d'hommes qui viendront après nous.“
— John Ruskin auteur, poète, artiste et critique d’art britannique 1819 - 1900
Les sept lampes de l'architecture, 1849 (Mercure de France, 1904)

„Ailleurs, ce sont peut-être des avocats qui vous disent comment il faut cultiver la terre, vous semez peut-être plus de paroles que de grains. Vous avez peut-être les yeux fixés sur les océans pour supputer les cargaisons des steamers. Ici, au-delà de l'arbre (qui donne ses fruits) il y a le ciel qui donne également ses fruits sans qu'il soit nécessaire d'établir entre lui et nous un cordon douanier. Gardez vos avocats, ils font trop de bruit, nous gardons nos siestes. Nous n'avons pas trop mal réussi, puisque lorsque vous êtes harassés de votre monde — et c'est vite fait — vous vous hâtez de venir dans le nôtre, et que vous ne le quittez pas sans mélancolie.“
— Jean Giono écrivain français 1895 - 1970
Les terrasses de l'île d'Elbe, 1976

„Quoique dise la vieille espérance. Forçons les portes du doute“
— Kateb Yacine écrivain et poète algérien 1929 - 1989

„Il n’est qu’un jeune chat, fils d’un de ces rayés. Il porte sur son pelage les raies de la race, les vieilles marques de l’ancêtre sauvage. Mais le sang de sa mère a jeté, sur ces rayures, un voile floconneux et bleuâtre de poils longs, impalpables comme une transparente gaze de Perse. Il sera donc beau, il est déjà ravissant, et nous essayons de le nommer Kamaralzaman — en vain, car la cuisinière et la femme de chambre, qui sont des personnes raisonnables, traduisent Kamaralzaman par Moumou.“
— Colette, livre La Maison de Claudine
Romans, La Maison de Claudine, 1922