Citations sur poids

Une collection de citations sur le thème de poids, pluie, tout, bien-être.

Citations sur poids

Victor Hugo photo
Howard Bloom photo
Étienne de La Boétie photo
Joseph Kessel photo
Naguib Mahfouz photo
Ernst Jünger photo
George Gordon Byron photo
Loïc Decrauze photo
Mélanie Vincelette photo
David Hume photo
Virginia Woolf photo
Imre Kertész photo
Octave Mirbeau photo

“Le vieux monde croule sous le poids de ses propres crimes. C'est lui-même qui allumera la bombe qui doit l'emporter. Et cette bombe sera d'autant plus terrible qu'elle ne contiendra ni poudre, ni dynamite. Elle contiendra de l'Idée et de la Pitié, ces deux forces contre lesquelles on ne peut rien.”

Octave Mirbeau (1848–1917) romancier, essayiste et dramaturge, journaliste et critique d'art français

« Ravachol » http://www.scribd.com/doc/2264826/Octave-Mirbeau-Ravachol L'Endehors, 1er mai 1892
Combats politiques, 1990

Friedrich Engels photo
Margaret Cho photo
Laurent Nottale photo
Dante Alighieri photo

“Lève-toi donc; vaincs cette angoisse
par le courage qui gagne les batailles,
s'il ne fléchit pas sous le poids du corps. […] »”

Dante Alighieri (1265–1321) poète, homme politique et écrivain italien

L'Enfer (1308-1321), Chant vingt-quatrième

Gaston Bachelard photo
Jacques Attali photo
Renée Vivien photo
Amanda Sthers photo

“Je me bats à coups de plume contre le poids des silences maudits.”

Amanda Sthers (1978) auteur dramatique, scénariste, parolière

Rompre le charme (2012)

Richard Bach photo
Jacques Attali photo

“Le marché doit utiliser des instruments honnêtes, en particulier un système précis de poids et mesures.”

Jacques Attali (1943) économiste français

Les Juifs, le monde et l'argent, 2002

Carl Gustav Jung photo
Arturo Pérez-Reverte photo

“Près de quarante mille bébés sont venus au monde durant cette sinistre période. Dans les années 1960, les chercheurs se sont penchés sur l'évolution de ces rescapés de la famine : les fœtus qui en étaient à leur dernier trimestre de gestation au plus dur de cet hiver de la faim sont venus au monde avec un déficit de poids. Par la suite, ces enfants ont été correctement alimentés et se sont développés normalement. Mais, à l'age adulte, beaucoup ont été atteints de diabète.
Quand aux fœtus qui en étaient aux six premiers mois de gestation lorsque la famille s'est fait le plus cruellement ressentir, ceux-ci sont nés avec un poids normal, ayant vraisemblablement rattrapé leur retard de croissance au cours du dernier trimestre de la grossesse. Une fois adultes, ces personnes ont cependant donné naissance à des enfants de très petite taille... Les sujets exposés à la famine prénatale ont également développé une propension accrue aux affections rénales et pulmonaires obstructives, à l'athérosclérose, à l'hypertension artérielle, à l'obésité et aux troubles cardiaques. À la quarantaine, de nombreux cas de diabète et d'obésité ont été observés chez les femmes, tandis que les hommes se révélaient prédisposés à la schizophrénie et une hypersensibilité biologique au stress… David Barker, un chercheur britannique, a tenté dans les années 1980 d'expliquer ce phénomène ; il a conclut que le corps de la femme enceinte influe sur le développement du fœtus afin d'augmenter ses chances de survie.”

Le régime génotype, 2008

Houria Bouteldja photo
Yasmina Khadra photo
Imre Kertész photo
Zinedine Zidane photo
Karl Marx photo
Loïc Decrauze photo
Jean-François Revel photo
Marine Le Pen photo
Dominique Fernandez photo
Jean-Claude Rodet photo

“Pour obtenir un effet protecteur, on peut se baser sur la consommation d'un verre de vin par jour et par 25 kg de poids.”

Posologie du professeur Dominique Lanzmann-Petithory de l' Université Bordeaux II
Vins biologiques, 2012

Samuel Huntington photo
George Gordon Byron photo
Éric Pichet photo
Georges Bernanos photo
Jacques Ellul photo
Marquis de Sade photo
Claude Allègre photo
Pétrarque photo
Margaret Cho photo

“J'étais devant cent et un critiques à un congrès de critiques, et un critique m'a demandé, « Mlle Cho, n'est-il pas vrai que vos gérants vous ont demandé de perdre du poids pour figurer comme vous-même dans votre propre émission? » Gail [la réalisatrice] m'a pris le micro et a dit, « Il n'y a absolument rien de vrai là-dedans. » J'avais… tellement… faim.”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

I stood in front of a hundred and one critics at a critic's convention, ... and a critic asked me, "Miss Cho, isn't it true that your management asked you to lose weight to play the part of yourself in your own TV show?" Gail grabbed the mike from me and said, "There is no truth in that whatsoever." I... was so... hungry.
en
I'm the One that I Want

Carl Gustav Jung photo
Margaret Cho photo
Alain Gresh photo
François Mitterrand photo
Jean-François Deniau photo
Matthew Phipps Shiel photo

“La solitude polaire pèse d'un énorme poids sur une malheureuse âme humaine.”

Matthew Phipps Shiel (1865–1947) écrivain britannique

Le Nuage pourpre, 1901

Alain de Benoist photo
Yasmina Khadra photo

“Ça va changer quoi? Quelle plaie cautériser, quelle fracture rebouter?… Au fond de moi, je ne suis même pas sûr de vouloir remonter jusqu’à la racine de mon malheur. Certes, je n’ai pas peur d’en découdre, mais comment croiser le fer avec des fantômes. Ça crève les yeux que je ne fais pas le poids. Je ne connais rien aux gourous ni à leurs sbires. Toute ma vie, j’ai tourné opiniâtrement le dos aux diatribes des uns et aux agissements des autres, cramponné à mes ambitions tel un jockey à sa monture. J’ai renoncé à ma tribu, accepté de me séparer de ma mère, consenti concession sur concession pour ne me consacrer qu’à ma carrière de chirurgien; 'je n’avais pas le temps de m’intéresser aux traumatismes qui sapent les appels à la réconciliation de deux peuples élus qui ont choisi de faire la terre bénie de Dieu un champ d’horreur et de colère'. Je ne me souviens pas d’avoir applaudi le combat des uns ou condamné celui des autres, leur trouvant à tous une attitude déraisonnable et navrante. Jamais je ne me suis senti impliqué, de quelque manière que ce soit, dans le conflit sanglant qui ne fait, en vérité, qu’opposer à huis clos les souffre-douleur aux boucs émissaires d’une Histoire scélérate toujours prête à récidiver. J’ai connu tant d’hostilités méprisables que le seul moyen de ne pas ressembler à ceux qui étaient derrière est de ne pas les pratiquer à mon tour. Entre tendre l’autre joue et rendre les coups, j’ai choisi de soulager les patients. J’exerce le plus noble métier des hommes et pour rien au monde je ne voudrais compromettre la fierté qu’il m’insuffle.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

Andreï Makine photo
Benoît Mandelbrot photo
Colette photo
Jean d'Ormesson photo
Loïc Decrauze photo
Henry Miller photo
Erri De Luca photo
Malika Mokeddem photo
Daniel Defoe photo
Anna Gavalda photo
Anna de Noailles photo
Jean-Christophe Rufin photo

“Le poids de ton sac, c'est de la peur.”

Jean-Christophe Rufin (1952) médecin, historien, écrivain, et diplomate français
Jean Ziegler photo
Charles Baudelaire photo
André Breton photo
Manu Larcenet photo

“On entend souvent parler du "poids des années"… Foutaises! Le temps nous vide!”

Manu Larcenet (1969) auteur de bande dessinée

Pourvu que les bouddhistes se trompent

Nancy Huston photo
Christian Jacq photo
Emmanuel Carrère photo
Honoré de Balzac photo
Voltaire photo

“C'est un poids bien pesant qu'un nom trop tôt fameux.”

Voltaire (1694–1778) écrivain et philosophe français
Augustin Fresnel photo
Simone Weil photo
Yasmina Khadra photo

“Chacun mène sa guerre sainte comme il l’entend. Si Faten est quelque part, inutile d’essayer de la rattraper. Elle est majeure et parfaitement libre de faire ce qu’elle veut de sa vie. Et de sa mort. Il n’y a pas deux poids et deux mesures, docteur.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

Quand on accepte de prendre les armes, on doit accepter que les autres en fassent autant. Chacun a droit à sa part de gloire. On ne choisit pas son destin, mais c’est bien de choisir sa fin. C’est une façon démocratique de dire merde à la fatalité.
L’Attentat, 2005

Yasmina Khadra photo

“Ça va changer quoi? Quelle plaie cautériser, quelle fracture rebouter?… Au fond de moi, je ne suis même pas sûr de vouloir remonter jusqu’à la racine de mon malheur. Certes, je n’ai pas peur d’en découdre, mais comment croiser le fer avec des fantômes. Ça crève les yeux que je ne fais pas le poids. Je ne connais rien aux gourous ni à leurs sbires. Toute ma vie, j’ai tourné opiniâtrement le dos aux diatribes des uns et aux agissements des autres, cramponné à mes ambitions tel un jockey à sa monture. J’ai renoncé à ma tribu, accepté de me séparer de ma mère, consenti concession sur concession pour ne me consacrer qu’à ma carrière de chirurgien; je n’avais pas le temps de m’intéresser aux traumatismes qui sapent les appels à la réconciliation de deux peuples élus qui ont choisi de faire la terre bénie de Dieu un champ d’horreur et de colère.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

Je ne me souviens pas d’avoir applaudi le combat des uns ou condamné celui des autres, leur trouvant à tous une attitude déraisonnable et navrante. Jamais je ne me suis senti impliqué, de quelque manière que ce soit, dans le conflit sanglant qui ne fait, en vérité, qu’opposer à huis clos les souffre-douleur aux boucs émissaires d’une Histoire scélérate toujours prête à récidiver. J’ai connu tant d’hostilités méprisables que le seul moyen de ne pas ressembler à ceux qui étaient derrière est de ne pas les pratiquer à mon tour. Entre tendre l’autre joue et rendre les coups, j’ai choisi de soulager les patients. J’exerce le plus noble métier des hommes et pour rien au monde je ne voudrais compromettre la fierté qu’il m’insuffle.
L’Attentat, 2005

“Si le temps est mis à mort, sacrifié, l’homme est libéré du poids funeste de l’Histoire.”

Jean-Marie Adiaffi (1941–1999) écrivain ivoirien

Les naufragés de l’intelligence , 2000

Gustave de Molinari photo