Citations sur oui

Une collection de citations sur le thème de oui, tout, bien-être, pluie.

Citations sur oui

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“Oui, partout, oui, toujours, oui, pour combattre les violences et les impostures, oui, pour réhabiliter les lapidés et les accablés, oui, pour conclure logiquement et marcher droit, oui, pour consoler, pour secourir, pour relever, pour encourager, pour enseigner, oui, pour panser en attendant qu'on guérisse, oui, pour transformer la charité en fraternité, l'aumône en assistance, la fainéantise en travail, l'oisiveté en utilité, la centralisation en famille, l'iniquité en justice, le bourgeois en citoyen, la populace en peuple, la canaille en nation, les nations en humanité, la guerre en amour, le préjugé en examen, les frontières en soudures, les limites en ouvertures, les ornières en rails, les sacristies en temples, l'instinct du mal en volonté du bien, la vie en droit, les rois en hommes, oui, pour ôter des religions l'enfer et des sociétés le bagne, oui, pour être frère du misérable, du serf, du fellah, du prolétaire, du déshérité, de l'exploité, du trahi, du vaincu, du vendu, de l'enchaîné, du sacrifié, de la prostituée, du forçat, de l'ignorant, du sauvage, de l'esclave, du nègre, du condamné et du damné, oui, nous sommes tes fils, Révolution!”

Victor Hugo (1802–1885) écrivain français

Shakespeare: Une Vie de Genie Et D'Amertume
Variante: Oui, partout, oui, toujours, oui, pour combattre les violences et les impostures, oui pour réhabiliter les lapidés et les accablés, oui, pour conclure logiquement et marcher droit, oui, pour consoler, pour secourir, pour relever, pour encourager, pour enseigner, oui, pour panser en attendant qu'on guérisse, oui, pour transformer la charité en fraternité, l'aumône en assistance, la fainéantise en travail, l'oisiveté en utilité, la centralisation en famille, l'iniquité en justice, le bourgeois en citoyen, la populace en peuple, la canaille en nation, les nations en humanité, la guerre en amour, le préjugé en examen, les frontières en soudures, les limites en ouvertures, les ornières en rails, les sacristies en temples, l'instinct du mal en volonté du bien, la vie en droit, les rois en hommes, oui, pour ôter des religions l'enfer et des sociétés le bagne, oui, pour être frère du misérable, du serf, du fellah, du prolétaire, du déshérité, de l'ex- ploité, du trahi, du vaincu, du vendu, de l'enchaîné, du sacrifié, de la prostituée, du forçat, de l'ignorant, du sauvage, de l'esclave, du nègre, du condamné et du damné, oui, nous sommes tes fils, Révolution!

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“Oui, l'Univers a eu un début. Oui, l'Univers continue d'évoluer et oui, on peut remonter l'histoire de chacun des atomes de notre corps jusqu'au Big Bang à travers les fournaises thermonucléaires que sont les étoiles très massives. Nous ne sommes pas simplement « dans » l'Univers : nous en faisons partie. Nous en sommes nés. Certains affirment même que nous avons été formés par l'Univers pour qu'il puisse prendre conscience de lui-même. Et nous avons tout juste commencé à le faire.”

Neil deGrasse Tyson (1958) astrophysicien américain

Yes, the universe had a beginning. Yes, the universe continues to evolve. And yes, every one of our body's atoms is traceable to the big bang and to the thermonuclear furnace within high-mass stars. We are not simply in the universe, we are part of it. We are born from it. One might even say we have been empowered by the universe to figure itself out — and we have only just begun.
Planétarium Hayden

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“J’allais ouvrir la bouche et aborder cette fille, quand quelqu’un me toucha l’épaule. Je me retournai, surpris, et j’aperçus un homme d’aspect ordinaire, ni jeune ni vieux, qui me regardait d’un air triste.
— Je voudrais vous parler, dit-il.
Je fis une grimace qu’il vit sans doute, car il ajouta :
— « C’est important. »
Je me levai et le suivis à l’autre bout du bateau :
— « Monsieur, reprit-il, quand l’hiver approche avec les froids, la pluie et la neige, votre médecin vous dit chaque jour : « Tenez-vous les pieds bien chauds, gardez-vous des refroidissements, des rhumes, des bronchites, des pleurésies. » Alors vous prenez mille précautions, vous portez de la flanelle, des pardessus épais, des gros souliers, ce qui ne vous empêche pas toujours de passer deux mois au lit. Mais quand revient le printemps avec ses feuilles et ses fleurs, ses brises chaudes et amollissantes, ses exhalaisons des champs qui vous apportent des troubles vagues, des attendrissements sans cause, il n’est personne qui vienne vous dire : « Monsieur, prenez garde à l’amour! Il est embusqué partout; il vous guette à tous les coins; toutes ses ruses sont tendues, toutes ses armes aiguisées, toutes ses perfidies préparées! Prenez garde à l’amour!… Prenez garde à l’amour! Il est plus dangereux que le rhume, la bronchite et la pleurésie! Il ne pardonne pas, et fait commettre à tout le monde des bêtises irréparables. » Oui, monsieur, je dis que, chaque année, le gouvernement devrait faire mettre sur les murs de grandes affiches avec ces mots : « Retour du printemps. Citoyens français, prenez garde à l’amour; » de même qu’on écrit sur la porte des maisons : « Prenez garde à la peinture! » — Eh bien, puisque le gouvernement ne le fait pas, moi je le remplace, et je vous dis : « Prenez garde à l’amour; il est en train de vous pincer, et j’ai le devoir de vous prévenir comme on prévient, en Russie, un passant dont le nez gèle. »
Je demeurai stupéfait devant cet étrange particulier, et, prenant un air digne :
— « Enfin, monsieur, vous me paraissez vous mêler de ce qui ne vous regarde guère. »
Il fit un mouvement brusque, et répondit :
— « Oh! monsieur! monsieur! si je m’aperçois qu’un homme va se noyer dans un endroit dangereux, il faut donc le laisser périr?”

Guy de Maupassant (1850–1893) écrivain français
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“finalement, éperdu d'amour et au comble de la frénésie érotique, je m'assis dans l'herbe et j'enlevai un de mes souliers en caoutchouc.

— Je vais le manger pour toi, si tu veux. Si elle le voulait I Ha! Mais bien sûr qu'elle le voulait, voyons! C'était une vraie petite femme. --- Elle posa son cerceau par terre et s'assit sur ses ta-lons. Je crus voir dans ses yeux une lueur d'estime. Je n'en demandais pas plus. Je pris mon canif et enta-mai le caoutchouc. Elle me regardait faire.

— Tu vas le manger cru?

— Oui.

J'avalai un morceau, puis un autre. Sous son regard enfin admiratif, je me sentais devenir vraiment un homme. Et j'avais raison. Je venais de faire mon apprentissage. J'entamai le caoutchouc encore plus profondément, soufflant un peu, entre les bouchées, et je continuai ainsi un bon moment, jusqu'à ce qu'une sueur froide me montât au front. Je continuai même un peu au-delà, serrant les dents, luttant contre la nausée, ramassant toutes mes forces pour demeurer sur le terrain, comme il me fallut le faire tant de fois, depuis, dans mon métier d'homme.

Je fus très malade, on me transporta à l'hôpital, ma mère sanglotait, Aniela hurlait, les filles de l'atelier geignaient, pendant qu'on me mettait sur un brancard dans l'ambulance. J'étais très fier de moi.

Mon amour d'enfant m'inspira vingt ans plus tard mon premier roman Éducation européenne, et aussi certains passages du Grand Vestiaire.

Pendant longtemps, à travers mes pérégrinations, j'ai transporté avec moi un soulier d'enfant en caoutchouc, entamé au couteau. J'avais vingt-cinq ans, puis trente, puis quarante, mais le soulier était toujours là, à portée de la main. J'étais toujours prêt à m'y attabler, à donner, une fois de plus, le meilleur de moi-même. Ça ne s'est pas trouvé. Finalement, j'ai abandonné le soulier quelque part derrière moi. On ne vit pas deux fois.
(La promesse de l'aube, ch. XI)”

Promise at Dawn

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“Oui, je l'ai insulté; mais je voulais me battre avec lui, et quand on veut se battre avec les gens il faut bien les insulter.”

Alexandre Dumas (1802–1870) écrivain et dramaturge français, père de l'écrivain et dramaturge homonyme

Le Bagnard de l'Opéra, 1868

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“[Les Musulmanes] ne veulent pas de liberté! Je vais vous dire : récemment, j'ai discuté avec quelqu'un, une personne dont je tairai le nom parce que c'est vraiment gênant… Et cette personne me disait : « Nous voulons libérer les femmes du vous-savez-quoi. » D'abord, j'ai répondu : « Oui, ça paraît logique. C'est sympa. » Et puis, j'ai vu des entretiens de femmes. Elles disaient : « Mais nous ne voulons pas la retirer, on la porte depuis des millénaires. Pourquoi quelqu'un nous y forcerait-il? » Elles le veulent! Mince alors! Pourquoi va-t-on s'embourber dans ce débat? En fait, c'est même pratique : elles n'ont même plus à mettre de maquillage. Regardez comme elles sont belles… Est-ce que ce ne serait pas plus simple? Je vous le dis : si j'étais une femme, hop! « Et voilà chéri, je suis prête! » Sérieusement… La raison pour laquelle je ne peux pas dire le nom de la personne, c'est parce que c'est un républicain. Mais les démocrates n'en pensent pas moins! Ils veulent de la démocratie. Mais on ne peut plus avoir de démocratie…”

Donald Trump (1946) 45e président des États-Unis

It's like I saw somebody, and I won't even say because it's embarrassing: 'We want it where the women over there don't have to wear the you-know-what.' I saw a woman interviewed. They said 'We want to wear them, we've worn them for a thousand years. Why would anybody tell us not?' They want to ! What the hell are we getting involved for? Fact is, it's easy. You don't have to put on makeup, look how beautiful everyone looks. Wouldn't it be easier? Right? Wouldn't that be easy? I'll tell ya, if I was a woman I don't want to. "I'm ready, darling, let's go!"
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Sur les musulmanes

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“Nous nous rappellerons que quelque chose se passe en Amérique, que nous ne sommes pas aussi divisés que nos politiques le suggèrent, que nous somme un peuple uni, nous sommes une Nation, et ensemble, nous allons ouvrir le prochain chapitre de l’Histoire américaine avec ces trois mots qui vont retentir de tous les côtés du pays, d’un océan à l’autre… : Oui nous pouvons!”

Barack Obama (1961) 44e président des États-Unis

we will remember that there is something happening in America, that we are not as divided as our politics suggest, that we are one people, we are one nation.
Discours de défaite aux primaires du New Hampshire

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“[À propos des relations hommes/femmes] Le courage qu'il faut aux femmes pour accepter de sortir avec un homme est inimaginable. Une femme qui dit oui à un homme est littéralement fou et mal avisé. Comment elles font pour encore sortir avec des gars, si l'on considère qu'il n'y a pas de plus grande menace pour les femmes que les hommes? Universellement et historiquement, nous sommes la principale cause de danger pour les femmes, la pire chose qui leur est jamais arrivé. Tu sais ce qu'est la principale cause de danger pour nous? Les maladies cardio-vasculaires.”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

The courage it take for a woman to say yes is beyond anything I can imagine. A woman saying yes to a date with a man is litteraly insane, and ill-advised. And the whole species' existence count on them for doing it. How do women still go out with guys, when you consider the fact that there is no greater threat to women than men? Men are the number one threat! Globally and historically, men are the number one cause of injuries to women. We're the worst thing that ever happend to them. You know what our number one threat is? Heart diseases.
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Oh My God (2013)

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“Il y a la possibilité de parler sur les musulmans qui effectivement sur la planète subissent notre politique islamophobe. […] Il y a de l'islamophobie quand il y a de la détestation des musulmans. Quand il y a une critique d'un texte religieux dont on dit effectivement qu'il ne respecte pas le féminisme, la possibilité d'être homosexuel, est-on islamophobe? Pour l'instant, oui. […] L'islamophobie, ce n'est pas ça. Ce n'est pas la lecture d'un texte dans lequel on va dire, ça cela ne convient pas. Y compris dans la Bible, dans le Talmud ou d'autres textes. […] Je dis simplement que nous menons depuis 1991, avec la guerre d'Irak, une politique étrangère islamophobe. Et que avec Mitterrand, qui estime que il faut pouvoir justifier les bombardements en Irak, jusqu'à Sarkozy qui considère qu'on doit pouvoir justifer les bombardements au Mali en passant par la destruction de l'Afghanistan, en passant par la Libye, la Cisjordanie, la bande de Gaza etc. Cela veut dire que la France, depuis des années, droite et gauche confondues, bombarde sur la planète entière les peuples musulmans. On tue des enfants, des femmes, des vieillards, des innocents, des gens qui n'ont fait qu'être musulmans… C'est une longue tradition. On vous détruit sur la planète entière parce qu'on a envie de lutter contre le terrorisme. Je dis juste, nous avons créé le terrorisme en prétendant que nous allions lutter contre.”

Michel Onfray (1959) philosophe français
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“Oui, j'aime le succès, la beauté, la réussite, la race; c'est pourquoi je suis ici.”

Maud de Belleroche (1922–2017) actrice, femme de lettres et journaliste française

Ouvrages, L'Ordinatrice ? (1968)

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“Oui, moi de toute façon, je pense que j'ai une vocation, chrétienne, catholique, sans doute, d'être un bouc émissaire. Voilà, j'assumerai.”

Christine Boutin (1944) femme politique française

Renonçant à une rémunération de 9500€ mensuels] pour une mission de l’Élysée se cumulant à deux autres revenus
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“Oui, souffrir, c'est nécessaire, même en vain, pour ne pas vivre en vain.”

Antonio Porchia (1885–1968)

Sí, es necesario padecer, aun en vano, para no vivir en vano.
es

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“Si vous avez déjà acheté de la drogue, vous savez que pour quelque raison bizarre il faut simuler une relation avec son vendeur, comme si on n'y va pas vraiment pour acheter de la drogue mais pour une visite sociale. La drogue est la surprise qui s'y produit par hasard. « Oh, du pot, je n'avais aucune idée! » Il vous parle et vous essayez de faire semblant d'être intéressé : « Ah, oui, vraiment, j'adore Foghat. Sans blague. » Et à l'intérieur, vous pensez, « Mais donne-le-moi, merde! Je te déteste, ta maison sent la pisse de chat! » Pourquoi toutes les maisons de vendeurs de drogue sentent la pisse de chat?”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

If you've ever bought drugs before, you understand that for some bizarre reason you have to feign this relationship with your dealer. It's like you're not really going to him to buy drugs. You're going for a social visit. Drugs are the surprise that just happens when you get there. "Oh, hash! I didn't know!" And he's talkin' to you and you're tryin' to be interested, you know, "Oh yeah? No, really ... I love Foghat. No, seriously." And inside you're like, "Just fuckin' give it! I hate you. Your house smells like cat pee!" Why do all drug dealers' houses smell like cat pee?
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Notorious C.H.O.

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“Quand un de ses lieder m'enthousiasmait, il disait : « Oui, mais c'est surtout un bon texte! »”

Franz Schubert (1797–1828) compositeur autrichien

Anselm Hüttenbrenner (1794-1868)

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“Le temps nous est compté, dit la sagesse populaire. Oui, mais en quelle monnaie? Ajoute Albert Einstein.”

Albert Einstein (1879–1955) physicien allemand

Propos explicatif de la notion de relativité et donc d'inexistence de temps ou d'espace absolu, fer de lance de la pensée newtonienne.

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“Oui, le public est d'une merveilleuse tolérance. Il pardonne tout, sauf le génie.”

Oscar Wilde (1854–1900) poète irlandais

De l'importance d'avoir de l'esprit

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“Oui mes frères. Hier encore, nous étions chrétiens, musulmans, juifs, bouddhistes, israéliens… et nous savons bien aujourd'hui que cette adoration du tout nous a conduit à rien, rien, rien du tout.”

Dieudonné (1966) humoriste, acteur et militant politique français

Précision
À propos de la nouvelle église athéiste du rien.
One man show, Best of

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“Oui, tu as raison, tu as toujours raison. L'amour survivra. On n'a pas pu le tuer avec des coiffures mauves, on ne le tuera pas avec une peste. Les garçons tomberont en amour avec leurs lobes d'oreille si c'est tout ce qui reste. Parce que l'important n'était jamais vraiment le sexe, n'est-ce pas, c'était l'amour.”

Robert Patrick (1937) auteur dramatique, parolier, acteur et metteur en scène

You're right, you're always right, yes, yes, of course. Love will survive. They couldn't kill it with purple hair-do's, they can't kill it with a plague. Boys will fall in love with each other's earlobes if all else should fail. Because it never really was about sex, was it? It was about love.
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Untold Decades: Seven Comedies of Gay Romance (1988)

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“Tu as seulement besoin de ta propre imagination, alors utilise la c'est à ça qu'elle sert!
Va chercher l'inspiration au plus profond de toi, tes rêves t'ouvriront la porte!
Aucune différence que tu sois noir ou blanc, que tu sois un homme ou une femme.
Si la musique résonne elle te donnera une nouvelle vie!
Tu es une superstar, c'est ce que tu es et tu le sais!”

Madonna (1958) chanteuse américaine

All you need is your own imagination, so use it that's what it's for!
Go inside, for your finest inspiration, your dreams will open the door!
It makes no difference if you're black or white, if you're a boy or a girl.
If the music's pumping it will give you new life!
You're a superstar, yes, that's what you are, you know it!
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Paroles de chansons