Citations sur action

Une collection de citations sur le thème de action, bien-être, tout, pluie.

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“Ce que tu fais de valeureux aujourd’hui inspire les actions des autres dans le futur.”

Marcus Garvey (1887–1940) militant jamaïcain

Citation

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“Il y a deux passions qui ont toujours marqué les actions humaines : l'amour du pouvoir et l'amour de l'argent”

Benjamin Franklin (1706–1790) un des Pères fondateurs des Etats Unis d'Amérique, politicien, écrivain, philosophe, physicien, publiciste …
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“La liberté, c'est l'action.”

Ian Watson (1943) auteur de science-fiction britannnique

Orgasmachine, 1976

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“La femme n’a pour elle que son art et sa beauté. Or la beauté n’est pas générale; elle périt par mille accidents, elle passe avec les années; l’habitude en détruit l’effet. L’esprit seul est la véritable ressource, la ressource durable de la femme, — « non ce sot esprit auquel on donne tant de prix dans le monde, et qui ne sert à rien pour rendre la vie heureuse, mais l’art de tirer parti de celui des hommes et de se prévaloir de nos propres avantages. » Cette sorte d’adresse qui lui appartient en propre est un dédommagement équitable de la force qu’elle n’a point. Toutes ses réflexions doivent tendre à étudier l’homme, non par abstraction l’homme en général, mais les hommes qui l’entourent et auxquels elle est assujettie. Il faut qu’elle s’apprenne à pénétrer le fond de leur cœur à travers leurs discours, leurs actions, leurs regards, leurs gestes. Mît-elle pour les deviner et les conduire un peu de ruse, il n’importe, et c’est son droit. La ruse est un penchant naturel, et tous les penchants naturels sont bons. Il est juste de cultiver celui-là comme les autres; il ne s’agit que d’en prévenir l’abus. Et c’est ainsi que Rousseau rétablit l’égalité qu’il a d’abord si singulièrement troublée. Tout ce que la femme ne peut faire ou vouloir par elle-même, son talent est de le faire faire ou le faire vouloir aux hommes; à elle de donner à son mari, sans y paraître, tels sentiments qu’il lui plaît. Dans le ménage, l’homme est l’œil et le bras; mais elle est l’âme. Elle est son juge, sinon son maître. Si elle ne gouverne pas, elle règne. Est-il donc si pénible de se rendre aimable pour être heureuse, et habile pour être obéie?”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Jean-Jacques Rousseau

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“Cette information nous apprend, tout d'abord, que l'entrée dans le gouvernement révolutionnaire de représentants du prolétariat socialiste aux côtés de la petite bourgeoisie est, sur le plan des principes, parfaitement acceptable et, dans des conditions déterminées, tout simplement obligatoire. Cette information nous montre ensuite que la tâche réelle dont la Commune a dû s'acquitter était avant tout la réalisation de la dictature non pas socialiste, mais démocratique, l'application de notre « programme minimum ». Enfin, cette information nous rappelle que, tirant la leçon de la Commune de Paris, nous devons imiter non ses erreurs (les communards n'ont pas pris la Banque de France, ils n'ont pas lancé d'offensive contre Versailles, n'avaient pas de programme clair, etc.), mais ces actions pratiques couronnées de succès qui nous montrent la voie à suivre. Nous ne devons pas emprunter le mot « Commune » aux grands combattants de 1871, nous ne devons pas répéter aveuglément chacun de leurs mots d'ordre, mais promouvoir clairement des mots d'ordre de programme et d'action qui répondent à la situation actuelle de la Russie et que l'on peut résumer ainsi: dictature révolutionnaire démocratique du prolétariat et des paysans.”

Lénine (1870–1924) révolutionnaire et homme d'état soviétique

Conclusion de l'article « La Commune de Paris et les tâches de la dictature démocratique», in Prolétari n°8 du 17 juillet 1905

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“Manon Phlipon a été le disciple des doctrines philosophiques et sociales de Jean-Jacques sans les connaître ou avant de les avoir connues : tant l’action qu’elles exerçaient s’était étendue et avait comme enveloppé les esprits! […] La lecture de l’ Héloïse lui fut comme une révélation. En moins de quelques jours, Jean-Jacques « tout entier y passa. » « Avoir Jean-Jacques en sa possession, écrit-elle à Sophie Cannet, pouvoir le consulter sans cesse, se consoler, s’éclairer et s’élever avec lui à toutes les heures de la vie, c’est un délice, une félicité qu’on ne peut bien goûter qu’en l’adorant comme je le fais. » Et quelques jours après, à trois heures du matin : « Je suis rentrée depuis onze heures et je griffonne des papiers depuis minuit; je vais me coucher pour l’amour de toi, car un peu de Jean-Jacques me ferait bien passer la nuit, mais tu gronderais et je ne veux pas te fâcher. » Ses amies s’étonnaient de son admiration. Elle s’étonnait de leur froideur. « Rousseau est le bienfaiteur de l’humanité, le mien… Qui donc peint la vertu d’une manière plus noble et plus touchante?… Quant à moi, je sais bien que je lui dois ce que j’ai de meilleur. Son génie a échauffé mon âme, je l’ai senti m’enflammer, m’élever et m’ennoblir. Je ne nie point qu’il y ait quelques paradoxes dans son Émile, quelques procédés que nos mœurs rendent impraticables. Mais combien de vues saines et profondes! Que de préceptes utiles! Que de beautés pour racheter quelques défauts!… Son Héloïse est un chef-d’œuvre de sentiment. La femme qui l’a lue sans s’en être trouvée meilleure n’a qu’une âme de boue et ne sera jamais qu’au-dessous du commun. Son discours sur l’ Inégalité est aussi profondément pensé que fortement écrit… Ce n’est pas seulement l’homme de génie, c’est l’honnête homme, le citoyen… »”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

Il est ici question de l'opinion de Madame Roland.
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Madame Roland

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“Il faut parler tant qu’on peut par les actions, et ne dire que ce qu’on ne saurait faire.”

Jean-Jacques Rousseau (1712–1778) philosophe, compositeur et critique musical genevois

, 1762

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“Premièrement, il s'agit d'une magnifique propagande pour l'idéal maçonnique. Si la maison royale appartient à une loge, alors elle est respectable aux yeux de la masse, du possédant et des classes éduquées. Tous les doutes sont alors réduits au silence. Les maçons n'ont plus besoin de se défendre, mais seulement d'invoquer le roi, leur frère maçon. Est-ce qu'un individu va se montrer plus intelligent que son roi? Un tel membre automatiquement attire tous ceux que recherchent particulièrement les maçons, toutes les personnalités officielles et politiques influentes. Sans avoir besoin d'entreprendre d'autres actions, ils ont gagné les politiciens en vue et les figures de l'industrie à la Maçonnerie. La loge maçonnique devient alors un centre de vie sociale avec des banquets et des célébrations pour l'anniversaire du roi ou du prince. Cela ressemble à un grand club national ou social; du vin et des dîners bon marché offrent une attraction considérable aux officiels qui ne sont pas fortunés.”

Heinrich Himmler (1900–1945) homme politique nazi et militaire allemand

First of all it's wonderful propaganda for the Masonic idea. If the royal house belongs to a lodge, then it is respectable in the eyes of the broad masses, the propertied and the educated classes. All doubts are at once silenced. The Masons no longer need to defend themselves, but only point to the king, their brother Mason. Is any individual going to be more clever than his king? Such membership automatically attracts all those whom the Masons particularly want, influential officials and politicians. Without any need for further action they have won over leading political and industrial figures to Masonry. The Masonic lodge now becomes the centre of social life with riotous banquets and celebrations for the king's or prince's birthday. It all seems like a great national and social club; cheap wining and dining offer no small attraction to the official unblessed with this world's goods.
en
Sur la Franc-maçonnerie

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“Le mécanisme de la justification est la pièce centrale de l’œuvre bourgeoise, sa signification, sa motivation. Pour arriver (à ses fins), le bourgeois se construit un monde réel mais aussi un monde imaginaire qu'il fait prévaloir sur tous les autres dans le mécanisme de la conscience fausse. Car le bourgeois se sait, inconsciemment, un exploiteur, mais il ne peut pas se supporter pour ce qu'il est. (En cela,) il exprime une tendance propre à tout homme (…), celle d’être à la fois en accord avec son milieu (…) et avec lui-même. (…) Et pour ne pas reconnaître ce qu'il est en réalité, le bourgeois ne peut pas voir les motivations réelles de son action. Il ne peut pas discerner les forces motrices qui le poussent à être ce qu'il est en agissant comme il le fait. Ce n'est pas l'hypocrisie au sens courant : le bourgeois le voudrait-il, il ne le peut pas. (…) Comme il ne peut pas non plus agir sans motivation, il se crée un système explicatif, un système de motifs imaginant des forces motrices pour légitimer son action. Bien entendu, ces forces motrices ne sont pas seulement imaginaires, théoriques, (sinon), elles ne feraient illusion sur personne : elles sont apparentes. L'un des jeux permanents de la conscience bourgeoise consiste à éviter le profond pour tout (ramener) à l'évident. (…) Les évidences sont les plus sûrs atouts de la conscience fausse. (…) Il y a ainsi déguisement de la condition réelle, mais déguisement plus réel que le réel parce qu'investi d'évidence.”

Jacques Ellul (1912–1994) professeur d'histoire du droit, sociologue et théologien protestant français

Métamorphose du bourgeois, 1967

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“Action et réaction sont égales et opposés.”

Alfred Elton van Vogt (1912–2000) écrivain américain

, 1971

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“La franc-maçonnerie est une organisation globale. Leur pouvoir réel est basé en Angleterre et en France. Mais ils ont également de grandes organisations aux États-Unis. Ils ont des branches en Russie, partout dans le monde. En Inde également. Ils ont pris des positions clés dans le gouvernement. Ils peuvent également exercer leur pouvoir sur les cours de justice. Parfois ils ont leur mainmise sur les forces de sécurité. Ils peuvent exercer un pouvoir sur chaque secteur de l'état. Ils peuvent creuser un chemin pour y accéder. S'ils veulent organiser n'importe quelle sorte d'action, ils emploient leurs membres pour les exécuter.”

Adnan Oktar (1956) créationniste turc

Freemasonry is a global organization. Their real power [base] is in England and France. But they also have large organization in the United States. They have branches in Russia, everywhere in the world. In India too. They have taken hold of the key positions in the government. They even can exert power over the courts. Sometimes they lay hands on the security forces. They can assume control over of every kind of sector in the state. They can worm their way inside. If they want to organize any kind of action, they use their members to set up these things.
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“Le langage à trois fonctions principales : transmettre une information, induire un état et pousser à l'action.”

Thomas Szasz (1920–2012) psychiatre hongrois

Idéologie et Folie, 1970

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“Aucune bonne action ne demeure impunie.”

Andrew Coburn (1932–2018) écrivain américain

Des voix dans les ténèbres, 1994

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“Vous voyez la vérité sur laquelle nous insistons, c'est que la seule chose qui établit une différence entre les actions des hommes, c'est la racine de la charité. Un grand nombre d'actions peuvent être bonnes en apparence, et cependant elles ne proviennent point de la racine de la charité. Les épines elles-mêmes ont des fleurs, et il est des actions qui ont une apparence de dureté, de cruauté même; cependant elles sont faites dans l'intérêt du bien et sous l'inspiration de la charité. Dieu vous donne donc un commandement bien abrégé : « Aimez, et faites ce que vous voulez. » Vous gardez le silence, faites-le par amour; vous ouvrez la bouche, parlez par un motif de charité; vous reprenez votre frère, reprenez-le par amour; vous croyez devoir l'épargner, faites-le également par amour. Ayez au fond du cœur la racine de l'amour; cette racine ne peut produire que d'excellents fruits.”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

Videte quid commendamus, quia non discernuntur facta hominum, nisi de radice caritatis. Nam multa fieri possunt quæ speciem habent bonam, et non procedunt de radice caritatis. Habent enim et spinæ flores: quæedam vero videntur aspera, videntur truculenta; sed fiunt ad disciplinam dictante caritate. Semel ergo breve præceptum tibi præcipitur: Dilige, et quod vis fac: sive taceas, dilectione taceas; sive clames, dilectione clames; sive emendes, dilectione emendes; sive parcas, dilectione parcas: radix sit intus dilectionis, non potest de ista radice nisi bonum existere.
la
Citations de saint Augustin, Traités sur l'épitre de Saint-Jean aux Parthes

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“La femme n’a pour elle que son art et sa beauté. Or la beauté n’est pas générale; elle périt par mille accidents, elle passe avec les années; l’habitude en détruit l’effet. L’esprit seul est la véritable ressource, la ressource durable de la femme, — « non ce sot esprit auquel on donne tant de prix dans le monde, et qui ne sert à rien pour rendre la vie heureuse, mais l’art de tirer parti de celui des hommes et de se prévaloir de nos propres avantages. » Cette sorte d’adresse qui lui appartient en propre est un dédommagement équitable de la force qu’elle n’a point. Toutes ses réflexions doivent tendre à étudier l’homme, non par abstraction l’homme en général, mais les hommes qui l’entourent et auxquels elle est assujettie. Il faut qu’elle s’apprenne à pénétrer le fond de leur cœur à travers leurs discours, leurs actions, leurs regards, leurs gestes. Mît-elle pour les deviner et les conduire un peu de ruse, il n’importe, et c’est son droit. La ruse est un penchant naturel, et tous les penchants naturels sont bons. Il est juste de cultiver celui-là comme les autres; il ne s’agit que d’en prévenir l’abus. Et c’est ainsi que Rousseau rétablit l’égalité qu’il a d’abord si singulièrement troublée. Tout ce que la femme ne peut faire ou vouloir par elle-même, son talent est de le faire faire ou le faire vouloir aux hommes; à elle de donner à son mari, sans y paraître, tels sentiments qu’il lui plaît. Dans le ménage, l’homme est l’œil et le bras; mais elle est l’âme. Elle est son juge, sinon son maître. Si elle ne gouverne pas, elle règne. Est-il donc si pénible de se rendre aimable pour être heureuse, et habile pour être obéie?”

Jean-Jacques Rousseau (1712–1778) philosophe, compositeur et critique musical genevois