Citations sur pluie
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“Car Dieu dans le commandement qu'il fit à l'homme ne considérait que son obéissance, vertu qui est la mère et la gardienne de toutes les vertus, puisque la créature raisonnable a été créée de sorte, que rien ne lui est plus utile que d'être soumise à son Créateur, ni rien plus pernicieux que de faire sa propre volonté.”

Sed obedientia commendata est in præcepto, quæ virtus in ereatura rationali mater quodam modo est omnium custosque virtutum: quando quidem ita facta est, ut ei subditam esse sit utile; perniciosum autem suam, non eius a quo ereata est, facere voluntatem.
la
Citations de saint Augustin, La Cité de Dieu

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“Il prend un verre, elle rentre à l'intérieur,
Il se met à hurler, les vases volent dans la pièce,
Il espère qu'elle ne se mette pas à pleurer,
Il n'est plus amoureux d'elle.
[…]
Elle n'en peut plus, elle tire un trait
Mais elle reviendra et elle le sait,
Une chance de tout recommencer, jusqu'à ce que la mort nous sépare.”

Madonna (1958) chanteuse américaine

He takes a drink, she goes inside,
He starts to scream, the vases fly
He wishes that she wouldn't cry
He's not in love with her anymore.
[…]
She's had enough, she says the end,
But she'll come back, she knows it then,
A chance to start it all again, till death do us part.
en
Paroles de chansons

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“Ils ont montré que le leadership n'est même pas la partie la plus intéressante; il n'y a pas de mystère à savoir pourquoi les gens veulent mener. Le vrai mystère est de savoir pourquoi les gens veulent suivre.”

en
They point out that leadership is not even the more interesting hand; it's no puzzle to understand why people want to lead. The real puzzle is why people are willing to follow.
The Righteous Mind (2012)

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“Le premier livre des Confessions n'est pas le plus remarquable, mais Rousseau s'y trouve déjà renfermé tout entier, avec son orgueil, ses vices en germe, ses humeurs bizarres et grotesques, ses bassesses et ses saletés; avec sa fierté aussi et ce ressort d'indépendance et de fermeté qui le relève; avec son enfance heureuse et saine, son adolescence souffrante et martyrisée et ce qu'elle lui inspirera plus tard (on le pressent) d'apostrophes à la société et de représailles vengeresses; avec son sentiment attendri du bonheur domestique et de famille qu'il goûta si peu, et encore avec les premières bouffées de printemps et des premières haleines, signal du réveil naturel qui éclatera dans la littérature du dix-neuvième siècle. Nous oublions combien ces premiers paysages parurent frais et nouveaux alors, et quel évènement c'était au milieu de cette société spirituelle, très fine, mais sèche, aussi dénuée d'imagination que de sensibilité vraie, dépourvue en elle-même de cette sève qui circule et qui, à chaque saison, refleurit. C'est Rousseau qui, le premier, ramena et infusa cette sève végétale puissante dans l'arbre délicat qui s'épuisait. Les lecteurs français, habitués à l'air factice d'une atmosphère de salon, ces lecteurs urbains, comme il les appelle, s'étonnèrent, tout ravis de sentir arriver du côté des Alpes ces bonnes et fraîches haleines des montagnes qui venaient raviver une littérature aussi distinguée que desséchée. Il était temps, et c'est en cela que Rousseau n'est pas un corrupteur de la langue, mais, somme toute, un régénérateur.”

Jean-Jacques Rousseau (1712–1778) philosophe, compositeur et critique musical genevois
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“Au feu maintenant! Il ne s'agit plus de crier « Vive la République! » mais de la vivre!”

Prosper-Olivier Lissagaray (1838–1901) journaliste français

Le Tribun du Peuple

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“Les yeux ouverts, les yeux fermés, je vois, je sais. A l'heure où le désir s'échappe comme d'un loup qui couvre mon visage, cette femme nue au coin du bois anonyme et violée et précise et familière, est-ce celle sublimée et subtile qui s'avance et grandit et me choisit et me livre et me délivre dans la lumière oblique de ce qui est plus que ma vie? Elle se détache et se confond avec celle qui habite entre mes bras. La meilleure. La révélée. La femme est flamme. Elle est nue comme une amande. Il y a des champs d'ivoire dans l'amour. Elle est chaste comme je suis chaste : un scandale d'innocence. C'est toujours l'âge du premier amour. Et voici que je tremble. Tout est chair. Sexe de l'iode, des lèvres, des sacs à fermoir, des rives, des rivages de ce lac calme où nous prenons dimensions. Si j'ouvre les yeux, je suis nageur qui fait provision d'oxygène pour mieux plonger dans le délire. Je me rassure, j'étais seul. Soudain, je suis tous. Je dois fonder quelque ville, quelque part. Puis la respiration devient broussaille. Je rejoins le réel, l'imaginaire, la mort attelée dans le dos.”

Jean Malrieu (1915–1976) poète français

Réponse de Jean Malrieu à l'interrogation suivante : Comment se caractérisent vos représentations imaginaires dans l'acte d'amour ? Justifient-elles un jugement de valeur ? Sont-elles spontanées ou volontaires ? se succèdent-elles dans un ordre fixe ? Lequel ? — Il est clairement question d'une enquête initiée par la revue surréaliste La Brèche en décembre 1964. [Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, Jean Malrieu, La Brèche, 7, Décembre 1964, 92]
Presse, Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, 1964

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“Il y avait entre les cercles doctrinaires studieux, raisonneurs, bien nobles alors assurément, mais surtout fructueux, et les cercles purement aristocratiques et frivoles, il y avait un intervalle fort marqué, un divorce obstiné et complet; d'un côté les lumières, les idées modernes, de l'autre le charme ancien, séparés par des prétentions et une morgue réciproque. En quelque endroit pourtant la conciliation devait naître et s'essayer. De même que du sein des rangs royalistes une voix éloquente s'élevait par accès, qui conviait à une chevaleresque alliance la légitimité et la liberté, et qui, dans l'ordre politique, invoquait un idéal de monarchie selon la Charte, de même, tout à côté, et avec plus de réussite, dans la haute compagnie, il se trouvait une femme rare, qui opérait naturellement autour d'elle un compromis merveilleux entre le goût, le ton d'autrefois et les puissances nouvelles. Le salon de Mme de Duras, sa personne, son ascendant, tout ce qui s'y rattache, exprime, on ne saurait mieux, l'époque de la Restauration par un aspect de grande existence encore et d'accès à demi aplani, par un composé d'aristocratie et d'affabilité, de sérieux sans pesanteur, d'esprit brillant et surtout non vulgaire, semi-libéral et progressif insensiblement, par toute cette face d'illusions et de transactions dont on avait ailleurs l'effort et la tentative, et dont on ne sentait là que la grâce. C'à été une des productions naturelles de la Restauration, comme ces îles de fleurs formées un moment sur la surface d'un lac, aux endroits où aboutissent, sans trop se heurter, des courants contraires. On a comparé toute la construction un peu artificielle de l'édifice des quinze ans à une sorte de terrasse de Saint-Germain, au bas de laquelle passait sur la grande route le flot populaire, qui finit par la renverser : il y eut sur cette terrasse un coin, et ce ne fut pas le moins attrayant d'ombrage et de perspective, qui mérite de garder le nom de Mme de Duras : il a sa mention assurée dans l'histoire détaillée de ces temps.”

Charles-Augustin Sainte-Beuve (1804–1869) critique littéraire et écrivain français

Juin 1834
Portraits de Femmes, 1844, Concernant Claire de Duras

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“Mon pari, c'est qu'il existe une donnée dont on n'a pas tenu compte dans l'interprétation : l'échelle à laquelle on regarde. (…) Le principe nouveau que j'ajoute à la physique, plus précisément, la relativité d'échelle, explique qu'on puisse voir des choses différentes en fonction de la résolution. Le monde quantique n'est plus fou puisque la différence inexpliquée des résultats en fonction de l'échelle est maintenant nécessaire et compréhensible. En fait, c'est l'espace-temps lui même qui est différent selon les échelles. Et c'est parce que son rôle est primordial qu'il produit des résultats différents en fonction des échelles. (…) Il faut d'abord bien comprendre que la transition entre ces mondes n'est pas absolue mais relative au système considéré. En règle générale, la limite classique-quantique se situe au niveau de l'angström (un dix-millionième de millimètre, ou 10^-10 m), c'est-à-dire à l'échelle caractéristique des atomes. Mais l'identification entre microscopique et quantique est abusive : il y a des objets quantiques macroscopiques. Par exemple, lorsqu'on écoute la radio sur les ondes métriques, c'est le rayonnement aux propriétés quantiques qui nous parvient. Ma conjecture, c'est que les propriétés quantiques sont un effet du caractère fractal de l'espace-temps à petite échelle.”

Laurent Nottale (1952) astrophysicien français

Citation de Laurent Nottale.

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“Les hommes ont plus de compassion/noblesse/magnanimité/générosité que Dieu; car les hommes pardonnent les morts, mais Dieu ne le fait pas.”

Mark Twain (1835–1910) romancier, journaliste et humoriste américain

Men are more compassionate/(nobler)/magnanimous/generous than God; for men forgive the dead, but God does not.
en

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“Dans la société soviétique, les tendances à l'asservissement réciproque qui se manifestaient déjà à l'époque de Tchékhov se sont renforcées démesurément. Par rapport à la société du passé l'esclavage communiste multiplie considérablement le nombre de ceux qui deviennent les dépositaires de l'autorité officielle de sorte que presque tous les membres ordinaires de la société sont en fait investis d'une parcelle de pouvoir qu'ils exercent sur les autres. Cette société a étendu la masse du pouvoir qui a atteint des dimensions sans précédents et elle en a confié l'exécution à des millions de simples gens. Elle les a investis suivant la lois qui y déterminent la distribution des biens : à chacun selon sa position sociale. Mais chacun y reçoit sa part. C'est un esclavage particulier, où la soumission de chacun est compensée par la possibilité de voir autour de lui des créatures soumises à sa propre autorité. Ainsi, à la place de la liberté s'offre la possibilité de priver les autres de leur liberté, c'est-à-dire d'obtenir la participation dans l'asservissement. Un ersatz de liberté est proposé ici aux citoyens: ce n'est pas l'aspiration à être libre, mais l'aspiration à priver les autres de leur volonté de liberté. Ce qui est beaucoup plus facile que de lutter pour ne pas être un esclave.”

Alexandre Zinoviev (1922–2006) écrivain russe

Mon Tchékhov, 1989

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“Il importe que, sans tarder, vous vous portiez au secours de vos frères qui habitent les pays d'Orient et qui déjà bien souvent ont réclamé votre aide. En effet, comme la plupart d'entre vous le savent déjà, un peuple venu de Perse, les Turcs, a envahi leur pays. Ils se sont avancés jusqu'à la mer Méditerranée (…) Ils s'étendent continuellement au détriment des terres des chrétiens, après avoir vaincu ceux-ci à sept reprises en leur faisant la guerre. Beaucoup sont tombés sous leurs coups; beaucoup ont été réduits en esclavage. Ces Turcs détruisent les églises; ils saccagent le royaume de Dieu. Si vous demeuriez encore quelque temps sans rien faire, les fidèles de Dieu seraient encore plus largement victimes de cette invasion. Aussi je vous exhorte et je vous supplie — et ce n'est pas moi qui vous exhorte, c'est le Seigneur lui-même —, vous, les hérauts du Christ, à persuader à tous, à quelque classe qu'ils appartiennent, chevaliers ou piétons, riches ou pauvres, par vos fréquentes prédications, de se rendre à temps au secours des chrétiens et de repousser ce peuple néfaste loin de nos territoires. Je le dis à ceux qui sont ici, je le mande à ceux qui sont absents : le Christ l'ordonne.”

Urbain II (1035–1099) prélat catholique

Appel de Clermont qu'adresse le pape Urbain II en 1095 aux évêques réunis lors du Concile de Clermont (1095) . Il sera suivi de la Première croisade .

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“Quand je ne serai plus rien, est-ce que je ne serai plus rien? Que je voudrais n'être plus rien quand je ne serai plus rien!”

Antonio Porchia (1885–1968)

Cuando no sea más nada, ¿no seré más nada?¡Cómo quisiera no ser más nada cuando no sea más nada!.
es

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“Le plus clair de mon temps, dit Colin, je le passe à l'obscurcir.”

L'Écume des jours
L'Écume des jours, 1947
Variante: Le plus clair de mon temps je le passe à l'obscurcir.

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“Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir. De là le droit du plus fort.”

The Social Contract
Du contrat social, 1762
Variante: Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir.

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“La colonisation, je le répète, déshumaniste l'homme même le plus civilisé; […] l'action coloniale, l'entreprise coloniale, la conquête coloniale, fondée sur le mépris de l'homme indigène et justifiée par ce mépris, tend inévitablement à modifier celui qui l'entreprend; […] le colonisateur, qui, pour se donner bonne conscience, s'habitue à voir dans l'autre la bête, s'entraîne à le traiter en bête, tend objectivement à se transformer lui-même en bête.”

Discourse on Colonialism
Discours sur le colonialisme, 1950
Variante: La colonisation, je le répète, déshumanise l'homme même le plus civilisé; que l'action coloniale, l'entreprise coloniale, la conquête coloniale, fondée sur le mépris de l'homme indigène et justifiée par ce mépris, tend inévitablement à modifier celui qui l'entreprend; que le colonisateur, qui, pour se donner bonne conscience, s'habitue à voir dans l'autre la bête, s'entraîne à le traiter en bête, tend objectivement à se transformer lui-même en bête.

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“Il y a plus d'un garçon aujourd'hui qui ne voit en la guerre que gloire, mais, mes garçons, elle n'est qu'enfer.”

William Tecumseh Sherman (1820–1891) militaire, homme d'affaires, enseignant et écrivain américain

There is many a boy here today who looks on war as all glory, but, boys, it is all hell.
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“Plus loin que Louvre est un chemin bordé de pommiers dont j'ai vu bien des fois les fleurs éclater dans la nuit comme des étoiles de la terre.”

Les Filles du feu, Gérard de Nerval, Maxi-Livres, Maxi-Poche Classiques Français, 1997, 1834, 117, Sylvie — Souvenir du valois, III. Résolution, 2-8771-4348-1
Les Filles du feu, 1834, Sylvie

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“les riches ne peuvent jamais être fous (ils sont excentriques), ils ne peuvent pas non plus être grossiers”

ils sont francs et directs
Les Annales du Disque-monde, Masquarade, 1995

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“Le 4e régiment de tirailleurs tunisiens accomplit un des faits d'armes les plus brillants de la guerre au prix de pertes énormes.”

Corps expéditionnaire français en Italie (1888–1967) général français

Le général de Gaulle à propos du fait d'armes accompli par le 4e régiment de tirailleurs tunisiens lors de la bataille du Belvédère du 25 janvier au 4 février 1944
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“J’avais vingt ans quand l’Europe, fouettée à vif, fouettée à mort par Hitler, Mussolini, Franco, Staline, et rendue folle, avait sombré. Comment guérir de cette souffrance? À Lanzberg, le 4 mai 1945, il avait fallu forcer la grande porte du camp des Juifs. Seule la mort nous avait reçus. Les gardiens, avant de filer, avaient cadenassé les déportés dans les baraques, et ils avaient brûlé le tout. Des enfants avaient couru, pour échapper. Le lance-flammes les avait rattrapés. Nous avions enjambé les petits corps noircis. La neige était tombée, vers midi, du ciel sale, et les avait recouverts. […] Plus tard, j'ai assisté à la projection de la bande filmée par les services hitlériens lors du procès des conjurés du 20 juillet 1944, en Allemagne. Images terribles, ineffaçables. Un président du tribunal convulsionnaire, hurlait, tendait le poing, insultait. Un général accusé qui serait, le soir même, pendu la gorge ouverte à un croc de boucher et qui s’occupait à retenir son pantalon, dont on avait coupé les bretelles. Ces images, je ne m’en suis jamais défait. D’autres encore, de sang, de boue, de honte. Scénario interchangeable. Pas plus que la liberté, la tyrannie n’a de frontière. […] Ô nuit de l’âme! Cet univers polaire où l’homme cède à la raison d’État, à la loi du parti, au fanatisme de la race, et chavire dans la servitude, je l’exècre. Charlot s’est trompé de rôle. Je ne ris pas des dictateurs.”

François Mitterrand (1916–1996) 4e président de la cinquième République Française

Ouvrages, La Rose au poing

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“J'ai été à la faculté, et j'ai eu comme professeur le doyen de la faculté, qui les avait plus ses facultés depuis un moment déja.”

Coluche (1944–1986) humoriste et comédien français

Music-hall, L’étudiant

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“Il n'y a pas plus terrible monstre que la raison.”

De si jolis chevaux, 1992

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