Citations sur marché
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“Que le riche paye, puisqu'il n'est pas digne, le plus souvent, de combattre pour la liberté; qu'il paye largement et que l'homme du peuple marche dans la Vendée.”

Georges Jacques Danton (1759–1794) avocat, homme politique et révolutionnaire français

Pour un nouvel impôt relatif à l'envoi de troupes en Vendée, 8 mai 1793
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“J'ai marché sur le miroir d'une rivière pleine d'anneaux de couleuvre et de danses de papillons.”

Fureur et mystère, 1948, Le Poème pulvérisé (1945-1947)

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“Mon remords marche si lentement que le pardon et l'oubli le rattrapent toujours.”

Marco Denevi (1922–1998) écrivain argentin

Mi culpa marcha tan lenta que siempre la alcanzan el perdón y el olvido.
es

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“La vérité est en marche et rien ne l’arrêtera.”

Émile Zola (1840–1902) romancier, auteur dramatique, critique artistique et littéraire et journaliste français

J'accuse… !, 1898

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“Expliquez-moi comment ça marche : j'aimerai savoir comment on fait un enfant.”

Frigide Barjot (1962) humoriste et militante française

Opposition au projet de loi de mariage pour tous, 2012-2013

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“Je connais l'endroit idéal pour les logements sociaux. J'ai la solution à ce problème. Je sais où nous pouvons construire des logements pour les sans-abris : les terrains de golf! C'est parfait! Juste ce qui nous faut. Des terrains abondants, dans des beaux quartiers, des terrains qui sont actuellement gâchés par une activité débile, dépourvue de sens, et principalement pratiquée par des homme d'affaire blancs et de bonne société, qui utilisent ce jeu pour se réunir et se découper des tranches de plus en plus fines de ce pays. J'en ai marre, vraiment marre, de ces salauds de golfeurs. Avec leurs pantalons verts, et leurs pantalons jaunes, et leurs pantalons oranges, et leurs adorables petits chapeaux et leurs petites voiturettes mignonnes! Il est temps de récupérer les terrains de golf des riches et de les donner aux pauvres! Le golf est un jeu arrogant, élitiste, prenant beaucoup trop de place dans ce pays. Beaucoup trop de place dans ce pays! C'est un jeu arrogant par le principe même, la simple conception du jeu est toute arrogance. Pensez à la taille d'un terrain de golf — la balle a cette putain de taille! Pour quoi tout ces connards débiles ont-ils besoin de tant de terrain?! Il y a plus de dix-sept mille terrains de golf en Amérique, d'en moyenne plus de cent cinquante acres pièce — c'est plus de trois millions d'acres, quatre mille huit cent vingt miles carrés — on pourrait construire deux Rhode Islands et un Delaware pour les sans-abris sur ces terres actuellement gâchées par ce jeu débile, sans aucun sens, arrogant, élitiste — raciste, en voila une autre chose ; les seuls noirs aperçus au country club servent les plats. Et un jeu chiant, un jeu chiant pour des gens chiants. Vous avez déjà vu le golf à la télé? C'est comme regarder des mouches s'enculer! Et débile, complétement débile. Imaginez l’intellect nécessaire pour tirer plaisir de cette activité : taper dans une balle — avec un bâton tordu — et puis … marcher pour la retrouver! Et après, la taper de nouveau! Je dis, t'as qu'a la ramasser connard, t'as bien eu la chance de la retrouver! Mets-la dans ta poche et rentre chez toi, t'as gagné, tu l'as retrouvée! Mais non! Ducon avec sa culotte écossaise va la taper de nouveau et marcher encore! Ces salauds de riches n'ont qu'a jouer au golf miniature! Laissez les s'emmerder avec un moulin à vent pendant une bonne heure et demie! Voyons s'il y a vraiment du talent parmi ces gens. Bon, je sais qu'il y a des gens qui jouent au golf et qui ne se considèrent pas riches. Je les emmerde! Et ils devraient avoir honte de pratiquer un passe-temps aussi élitiste et arrogant.”

George Carlin (1937–2008) humoriste américain

Jammin' in New York (Improvisation à New York), 1992

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“Le problème de la concurrence à l'intérieur du marché commun est un problème sérieux, est un problème grave. Seulement, ce que je souhaiterais pour ma part, c'est que ceux qui s'adressent comme vous même, qui s'adressent aux industriels, aux commerçants, à ceux qui dirigent l'économie, au lieu de leur dire que ça va mal et c'est la faute du gouvernement, leur disent : "vous avez pendant 50 ans vécu à l'abri de protections inadmissibles. Pendant 50 ans vous étiez tranquilles, chacun produisait sa petite affaire, sans savoir à quel prix de revient, et la revendait tranquillement avec son petit bénéfice. Il y avait de bonnes frontières douanières, il n'y avait aucune concurrence, et le client français était traité comme un client qui est obligé de payer ce qu'on lui donnait au prix qu'on demandait. Nous vivrons et l'économie française et les industriels et les commerçants français doivent vivre, désormais, dans la préoccupation permanente. Il s'agit de se dire qu'ils sont toujours menacés par la concurrence, qu'il faut toujours qu'ils fassent mieux, qu'il faut toujours qu'ils produisent à meilleur compte, qu'ils vendent la meilleur marchandise à meilleur prix et que c'est ça la loi de la concurrence et la seule raison d'être du libéralisme. Car si ce n'est pas ça, je ne vois pas pourquoi on se livrerait à ce genre de spéculation et pourquoi on prendrait tous ces risques et tous ces dangers. Nous serons donc en risque permanent! Et le gouvernement en est parfaitement conscient. Son rôle est de diminuer ces risques parfois, mais son rôle n'est certainement pas d'inviter les gens à la paresse en leur créant de nouvelles protections.”

Georges Pompidou (1911–1974) 2e président français de la cinquième République Française

Cité à l'occasion de l'émission « rien foutre al pais ». Déclaration faite en novembre 1967 pour justifier la suppression totale des barrière douanières au sein de la CEE.

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“Le football est un jeu avant un produit, un spectacle avant un business et un sport avant un marché.”

Michel Platini (1955) footballeur, entraîneur et dirigeant français

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Citation de Michel Platini reprise par Frédéric Thiriez (président de la Ligue de football professionnel).

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“On peut marcher sans tête.”

Xavier Forneret (1809–1884) écrivain, poète, dramaturge et journaliste français

Sans titre (1838)

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“Rien ne marche comme il faudrait.”

Maître de l'espace et du temps, 1984

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“L'univers, c'est un marché aux puces où chaque objet est surestimé.”

Kurt Vonnegut (1922–2007) écrivain américain

, 1959

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“Premièrement, il s'agit d'une magnifique propagande pour l'idéal maçonnique. Si la maison royale appartient à une loge, alors elle est respectable aux yeux de la masse, du possédant et des classes éduquées. Tous les doutes sont alors réduits au silence. Les maçons n'ont plus besoin de se défendre, mais seulement d'invoquer le roi, leur frère maçon. Est-ce qu'un individu va se montrer plus intelligent que son roi? Un tel membre automatiquement attire tous ceux que recherchent particulièrement les maçons, toutes les personnalités officielles et politiques influentes. Sans avoir besoin d'entreprendre d'autres actions, ils ont gagné les politiciens en vue et les figures de l'industrie à la Maçonnerie. La loge maçonnique devient alors un centre de vie sociale avec des banquets et des célébrations pour l'anniversaire du roi ou du prince. Cela ressemble à un grand club national ou social; du vin et des dîners bon marché offrent une attraction considérable aux officiels qui ne sont pas fortunés.”

Felix Kersten (1898–1960) médecin allemand

First of all it's wonderful propaganda for the Masonic idea. If the royal house belongs to a lodge, then it is respectable in the eyes of the broad masses, the propertied and the educated classes. All doubts are at once silenced. The Masons no longer need to defend themselves, but only point to the king, their brother Mason. Is any individual going to be more clever than his king? Such membership automatically attracts all those whom the Masons particularly want, influential officials and politicians. Without any need for further action they have won over leading political and industrial figures to Masonry. The Masonic lodge now becomes the centre of social life with riotous banquets and celebrations for the king's or prince's birthday. It all seems like a great national and social club; cheap wining and dining offer no small attraction to the official unblessed with this world's goods.
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“Je ne sais pas, mon amie, à quoi nous serviraient nos tares, si elles ne nous enseignaient la pitié.
Je m'habituai. On s'habitue facilement. Il y a une jouissance à savoir qu'on est pauvre, qu'on est seul et que personne ne songe à nous. Cela simplifie la vie. Mais c'est aussi une grande tentation. Je revenais tard, chaque nuit, par les faubourgs presque déserts à cette heure, si fatigué que je ne sentais plus la fatigue. Les gens que l'on rencontre dans les rues, pendant le jour, donnent l'impression d'aller vers un but précis, que l'on suppose raisonnable, mais, la nuit, ils paraissent marcher dans leurs rêves. Les passants me semblaient, comme moi, avoir l'aspect vague de figures qu'on voit dans les songes, et je n'étais pas sûr que toute la vie ne fût pas un cauchemar inepte, épuisant, interminable. Je n'ai pas à vous dire la fadeur de ces nuits viennoises. J'apercevais quelquefois des couples d'amants étalés sur le seuil des portes, prolongeant tout à leur aise leurs entretiens, ou leurs baisers peut-être ; l'obscurité, autour d'eux, rendait plus excusable l'illusion réciproque de l'amour ; et j'enviais ce contentement placide, que je ne désirais pas. Mon amie, nous sommes bien étranges. J'éprouvais pour la première fois un plaisir de perversité à différer des autres ; il est difficile de ne pas se croire supérieur, lorsqu'on souffre davantage, et la vue des gens heureux donne la nausée du bonheur.”

Marguerite Yourcenar (1903–1987) écrivaine française

Alexis ou le Traité du Vain Combat, 1929

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“Ça marche, c'est tout.”

Steve Jobs (1955–2011) entrepreneur et inventeur américain