
“La vie est hérissée de ces épines, et je n'y sais d'autre remède que de cultiver son jardin.”
Une collection de citations sur le thème de jardin, tout, pluie, bien-être.
“La vie est hérissée de ces épines, et je n'y sais d'autre remède que de cultiver son jardin.”
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Madame Roland
Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002
“Je n'aurai rien à désirer, si votre bibliothèque est accompagnée d'un jardin.”
Si hortum in bibliotheca habes, deerit nihil.
la
Sur les rapports des français avec les américains
“C'était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins du palais d'Hamilcar.”
Salammbô
Salammbô, 1862
Variante: C'était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d'Hamilcar.
“Je me suis faite belle dans mes habits usés,
Comme un jardin fleuri dans un village en ruine.”
Le Suicide et le Chant, Quelques Landays
Roman, La Marge (prix Goncourt), 1967
Le Suicide et le Chant, Quelques Landays
Guerillas 1808
La Promesse de l'aube, 1960
À Francesco, prieur des Saints-Apotres de Florence, Familiarum rerum, XIII, 8, Vaucluse, été 1352
Le Jardin imparfait, 1998
Inferno, August Strindberg, Gallimard, L'Imaginaire, 1996, 1897, 39, II. Saint Louis m'introduit chez feu M. Orfila, 978-2-07-076456-35
Inferno, 1897
Histoire de la poésie provençale
Recueils de nouvelles, Soleil des loups, 1951, L’Archéologue
fr
J'en rencontrais quatre autres, dans un coin du jardin, disputant avec âpreté, prêts à en venir aux mains. Je demandais d'où venait leur différend, ce à quoi je m'entendis répondre qu'il débataient depuis quatre jours, de trois et plus que scientifiques recherches, à la résolution desquelles, ils se promettaient montagne d'or. La première concernait l'ombre d'un âne couillu, l'autre de la fumée d'une lanterne, la troisième, de la question de savoir si le poil de chèvre était de la laine.
Accueillis comme hôtes par la reine de la Quinte Essence, les voyageurs observent une série d'activités grotesques et stériles.
Œuvre, Cinquième Livre
La vie secrète de Salvador Dalí
“Le jardinier est la plus belle rose de son jardin.”
Pompes funèbres, 1947
Recueil de nouvelles, La Dame à la Louve, 1904, Les Sœurs du silence
“Le presbytère n'a rien perdu de son charme, ni le jardin de son éclat.”
Le mystère de la chambre jaune
Paroles
Variante: Peindre d'abord une cage/ Avec une porte ouverte/ peindre ensuite/ quelque chose de joli/ quelque chose de simple/ quelque chose de beau/ quelque chose d'utile/ pour l'oiseau/ placer ensuite la toile contre un arbre/ dans un jardin/ dans un bois/ ou dans une forêt/ se cacher derrière l'arbre/ sans rien dire/ sans bouger.../ Parfois l'oiseau arrive vite/ mais il peut aussi bien mettre de longues années/ avant de se décider/ Ne pas se décourager
attendre/ attendre s’il Ie faut pendant des années/ la vitesse ou la lenteur de l'arrivée de l'oiseau/ n’ayant aucun rapport/ avec la réussite du tableau/ Quand l'oiseau arrive/ s'il arrive/ observer le plus profond silence/ attendre que l'oiseau entre dans la cage/ et quand il est entré/ fermer doucement la porte avec le pinceau/ puis/ effacer un à un tous les barreaux/ en ayant soin de ne toucher aucune des plumes de l'oiseau/ Faire ensuite le portrait de l'arbre/ en choisissant la plus belle de ses branches/ pour l'oiseau/ peindre aussi le vert feuillage et la fraîcheur du vent/ la poussière du soleil/ et le bruit des bêtes de l'herbe dans la chaleur de l'été/ et puis attendre que l'oiseau se décide à chanter/ Si l'oiseau ne chante pas/ c'est mauvais signe/ signe que le tableau est mauvais/ mais s'il chante c'est bon signe/ signe que vous pouvez signer/ Alors vous arrachez tout doucement/ une des plumes de l'oiseau/ et vous écrivez votre nom dans un coin du tableau.
“Poete hault, loenge d'escuiye,
En ton jardin ne seroie qu'ortie.”
A quelque amant néronien caché sous le felze, Venise offrira dans une heure le spectacle d’une ville délirante qui s’incendie.
Stelio sourit en remarquant à quel point ses familiers s’étaient imprégnés de son essence et combien profondément le sceau de son style s’était imprimé sur leurs esprits. Subitement s’offrit à son désir l’image de la Foscarina empoisonnée par l’art, chargée d’expérience voluptueuse, ayant le goût de la maturité et de la corruption dans sa bouche éloquente, ayant l’aridité de la vaine fièvre dans ses mains qui avaient exprimé le suc des fruits fallacieux, gardant les vestiges de cent masques sur ce visage qui avait simulé la fureur des passions mortelles. C’était ainsi que se la représentait son désir ; et il palpitait à la pensée que, tout à l’heure, il la verrait émerger de la foule comme de l’élément dont elle était l’esclave, et qu’il puiserait dans le regard de cette femme l’ivresse nécessaire.
Romans, Le Feu, 1900