Citations sur l'argent

Une collection de citations sur le thème de affaires, échec, richesse, argent.

Meilleures citations sur l'argent

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“Avoir de l'argent c'est se libérer de l'argent.”

A Happy Death (1971)

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“Le manque d'argent est la racine de tous les maux.”

Père riche, père pauvre, 1997

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“L'argent est un bon serviteur mais un mauvais maître.”

Alexandre Dumas fils (1824–1895) écrivain et dramaturge français, fils de l'écrivain et dramaturge homonyme

Citation rapportée

“Le sang excite l'esprit humain autant que l'argent.”

Warlock, 1958

“Là où il y a de l'argent il y a de la merde.”

James Crumley (1939–2008) écrivain américain

Le Dernier Baiser , 1978

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“Il faut de l'intelligence pour ne pas gagner d'argent.”

Joseph Heller (1923–1999) écrivain américain

, 1961

“L'argent est impuissant contre la douleur.”

William Hjortsberg (1941–2017) écrivain américain

Angel Heart, 1978

Citations sur l'argent

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“Si nous nous concentrons uniquement sur le fait de gagner de l'argent, les connaissances des gens seront réduites jusqu'à ce que nous devenions des experts dans notre domaine, mais ignorants des êtres humains”

José Baroja (1983) écrivain et éditeur chilien

Source: Fuente: https://www.peruinforma.com/entrevista-cultural-al-escritor-chileno-jose-baroja/


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“On en trouve [l'argent] toujours quand il s’agit d’aller faire tuer des hommes sur la frontière: il n’y en a plus quand il faut les sauver.”

Voltaire (1694–1778) écrivain et philosophe français

Questions sur l'Encyclopédie (1770–1774)

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“Et puis, tu sais, si on ne pouvait pas acheter de l'amour avec de l'argent, l'amour perdrait beaucoup de sa valeur et l'argent aussi.”

Gros-Câlin
Gros-Câlin, 1974
Variante: Si on ne pouvait pas acheter de l'amour avec de l'argent, l'amour perdrait beaucoup de sa valeur et l'argent aussi.

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“L'argent c'est la drogue ultime. Et le désir, le serpent qui se mort la queue.”

James Crumley (1939–2008) écrivain américain

Le Canard siffleur mexicain , 1993

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“Ne donnez pas votre argent à l'église. C'est eux qui devraient vous donner leur argent.”

George Carlin (1937–2008) humoriste américain

A Place for My Stuff (Un endroit pour mes affaires), 1981

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“Il y a deux passions qui ont toujours marqué les actions humaines : l'amour du pouvoir et l'amour de l'argent”

Benjamin Franklin (1706–1790) un des Pères fondateurs des Etats Unis d'Amérique, politicien, écrivain, philosophe, physicien, publiciste …
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“Quand on y regarde de très près, rien de ce qui touche l'argent n'est drôle.”

Charles Willeford (1919–1988) écrivain américain

L'Île flottante infestée de requin, 1993

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“Un travailleur qualifié est celui qui ne regarde pas la récompense, mais qui aime son travail. Si, par exemple, un tailleur adroit sait que les vêtements qu'il confectionne correspondent en tout point à leurs propriétaires, il en retire un plaisir spirituel — soit bien plus que l'argent qu'il reçoit pour le fruit de son labeur.”

Baruch Ashlag (1907–1991) rabbin polonais

A good, skillful worker is one who does not consider the reward, but enjoys his work. If, for example, a skillful tailor knows that the clothing fits its owner at every point, it gives him pleasure, more than the money he receives.
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“Chaque récolte est enfermée dans une petite ampoule de cristal, de verre ou d’argent, soigneusement étiquetée et, avec les plus grandes précautions, expédiée à Paris.”

Robert Desnos (1900–1945) poète français

Il est ici question du Club des Buveurs de Sperme.
La Liberté ou l'Amour !, 1927

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“À cette heure, édifié par les subtils génies du Feu, un temple nouveau s’élevait là même où, dans le crépuscule, on avait cru voir un neptunien palais d’argent dont l’architecture imitait les torsions des conques marines. C’était, agrandi, un de ces labyrinthes construits sur le fer des landiers, demeures aux cent portes habitées par les présages ambigus; un de ces fragiles châteaux vermeils aux mille fenêtres, où se montrent un moment les princesses salamandres qui rient voluptueusement au poète charmé. Rose comme une lune naissante rayonnait sur la triple loggia la sphère de la Fortune, supportée par les épaules des Atlantes; et ses reflets engendraient un cycle de satellites. Du quai des Esclavons, de la Giudecca, de San Giorgio, avec un crépitement continu, des faisceaux de tiges enflammées convergeaient au zénith et s’y épanouissaient en roses, en lis, en palmes, formant un jardin aérien qui se détruisait et se renouvelait sans cesse par des floraisons de plus en plus riches et étranges. C’était une rapide succession de printemps et d’automnes à travers l’empyrée. Une immense pluie scintillante de pétales et de feuillages tombait des dissolutions célestes et enveloppait toutes choses d’un tremblement d’or. Au loin, vers la lagune, par les déchirures ouvertes dans cet or mobile, on voyait s’avancer une flotte pavoisée : une escadre de galères semblables peut-être à celles qui naviguent dans le rêve du luxurieux dormant son dernier sommeil sur un lit imprégné de parfums mortels. Comme celles-là peut-être, elles avaient des cordages composés avec les chevelures tordues des esclaves capturées dans les villes conquises, ruisselants encore d’une huile suave; comme celles-là, elles avaient leurs cales chargées de myrrhe, de nard, de benjoin, d’éléomiel, de cinnamome, de tous les aromates, et de santal, de cèdre, de térébinthe, de tous les bois odoriférants accumulés en plusieurs couches. Les indescriptibles couleurs des flammes dont elles apparaissaient pavoisées évoquaient les parfums et les épices. Bleues, vertes, glauques, safranées, violacées, de nuances indistinctes, ces flammes semblaient jaillir d’un incendie intérieur et se colorer de volatilisations inconnues. Ainsi sans doute flamboyèrent, dans les antiques fureurs du saccage, les profonds réservoirs d’essences qui servaient à macérer les épouses des princes syriens. Telle maintenant, sur l’eau parsemée des matières en fusion qui gémissaient le long des carènes, la flotte magnifique et perdue s’avançait vers le bassin, lentement, comme si des rêves ivres eussent été ses pilotes et qu’ils l’eussent conduite se consumer en face du Lion stylite, gigantesque bûcher votif dont l’âme de Venise resterait parfumée et stupéfiée pour l’éternité.”

Romans, Le Feu, 1900

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“Un mal nécessaire n'est pas un moindre mal. Le pire des maux est celui dont on a besoin. Par exemple, l'argent.”

Livres, Comment peut-on être païen ?, 1981, Dernière Année. Notes pour conclure le siècle http://books.google.fr/books?id=LI5vx9Mdgb4C&printsec=frontcover&source=gbs_navlinks_s#v=onepage&q=&f=false, 2001

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“Les serviteurs s'affairaient parmi les timbales d'argent et les flacons stilligouttes. Entre leurs mains naissaient des mélanges complexes et opalisés.”

Renée Dunan (1892–1936) écrivain, critique et poétesse française, anarchiste et féministe

La Culotte en jersey de soi, Renée Dunan, Le Cercle Poche, 2011, 1923, 19, 978-2-84714-152-8
La Culotte en jersey de soi, 1923

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“Quand le Nouvel Observateur a sorti son reportage sur un cours de sexologie à l'université de Vincennes (l'article avait un titre explicite : « Je te tiens, tu me tiens… »), s'il est vrai que les petits-bourgeois ont envoyé ausitôt des milliers de lettres au sous-secrétaire d'État Soisson pour se plaindre, pour rouspéter (« C'est ainsi que vous dépensez l'argent des honnêtes contribuables? »), il n'en est pas moins vrai que la réaction générale a été la méfiance à l'égard du journal : dans toute cette affaire, c'est lui qui est apparu le plus suspect, avec son étrange moralisme de gauche. […] Moyennant quoi, je me suis souvenue qu'en effet, le soir, pendant que je tenais mon cours sur les origines du fascisme, des murmures étranges, des gémissements chantés se faisaient entendre dans la salle à côté, et que j'avais tapé plusieurs fois sur le mur pour les faire taire. En écoutant les commentaires grivois du quartier, où l'on avait dévoré les articles de France-Soir et où l'on ne parlait plus que de ça, je me suis dit qu'il devait s'agir de ce fameux cours de sexologie. J'en ai conclu que c'eût été une suprême ironie que de l'avoir à côté de moi, pendant que je dissertais sur « l'évolution structurale des classes en France ». Et je n'ai rien dit, de peur qu'on ne se fiche de moi encore plus. Je n'ai signalé la coïncidence qu'à un ami; sa réponse? « Eh bien, tu vois, l'Université? Elle est décidément aussi vieille et décrépite qu'avant 68. Personne ne sait ce qui se passe d'intéressant dans la salle d'à côté. »”

Maria-Antonietta Macciocchi (1922–2007) femme politique

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“Le point fondamental est le suivant : le travail, la terre et l'argent sont des éléments essentiels de l'industrie; ils doivent eux aussi être organisés en marchés; ces marchés forment en fait une partie absolument essentielle du système économique. Mais il est évident que travail, terre et monnaie ne sont pas des marchandises; en ce qui les concerne, le postulat selon lequel tout ce qui est acheté et vendu doit avoir été produit pour la vente est carrément faux. En d'autres termes, si l'on s'en tient à la définition empirique de la marchandise, ce ne sont pas des marchandises. Le travail n'est que l'autre nom de l'activité économique qui accompagne la vie elle-même -- laquelle, de son côté, n'est pas produite pour la vente mais pour des raisons entièrement différentes --, et cette activité ne peut pas non plus être détachée du reste de la vie, être entreposée ou mobilisée; la terre n'est que l'autre nom de la nature, qui n'est pas produite par l'homme; enfin, la monnaie réelle est simplement un signe de pouvoir d'achat qui, en règle générale, n'est pas le moins du monde produit, mais est une création du mécanisme de la banque ou de la finance d'État. Aucun de ces trois éléments -- travail, terre, monnaie -- n'est produit pour la vente; lorsqu'on les décrit comme des marchandises, c'est entièrement fictif.”

La Grande Transformation (1944), Deuxième partie : Grandeur et décadence de l'économie de marché, Chapitre 6 : Le marché autorégulateur et les marchandises fictives : travail, terre et monnaie

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“L'argent ne doit être que le plus puissant de nos esclaves.”

Abel Bonnard (1883–1968) homme politique, écrivain, essayiste et poète français

Ouvrages, L'Argent (1928)

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“Ce n'est pas vanité, c'est besoin; aujourd'hui la publicité aussi bien que le temps est de l'argent. Je suppose qu'à l'ordinaire vous vendiez un tableau quinze cents francs; ayez trois pages bien signées dans trois journaux notables, joignez y quelque petite manœuvre à l'hôtel des ventes, vous vendrez le tableau suivant, tout pareil, quatre mille francs. Un objet commercial quelconque, toiture en zinc ou clysopompe, cheminée fumivore ou râtelier en hippopotame, gagne tant d'acheteurs par tant de lignes d'annonce; la proportion est connue. Forcément, fatalement, telle denrée, tel remède, qu'on rencontre tous les jours, partout, en grosses lettres, en petites lettres, sur les murs, dans les gazettes, dans les chemins de fer, aux cafés, chez soi, chez les autres, imprime son nom dans la mémoire. On n'a pas voulu le lire et on l'a lu; on a évité de le retenir et on le sait par cœur; on s'en est moqué tout haut, ce qui a accru sa publicité. Que le besoin de la chose en question survienne :on n'a pas de conseil sous la main, on n'a pas d'autre nom en tête, on est pressé, on se dit par lassitude que, puisque celui-là est public, il en vaut un autre; on va à l'adresse connue, on avale et on recommence. L'an dernier, j'ai trouvé en province des gens qui traitaient leurs enfants par la médecine Leroy, comme en 1820; les noms s'encroûtent dans la mémoire humaine; il est aussi difficile d'en sortir que d'y entrer.”

Hippolyte Taine (1828–1893) philosophe et historien français

Notes sur Paris: vie et opinions de Frédéric-Thomas Graindorge