Citations sur noir

Une collection de citations sur le thème de noir, tout, pluie, bien-être.

Citations sur noir

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“Mes faux amis disent qu'ils m'aiment mais je sais qu'ils mentent, car dans le noir je vois que leur cœur est plein de crimes.”

Tupac Shakur (1971–1996) rappeur américain

My fake friends say they love me but I know they lie, 'cause in the dark see they hearts' full of homicide.
en
Thug Style

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“Et bien qu'étant accro au crack, maman. Tu as toujours été une reine noire, maman. J'ai finalement compris que pour une femme seule ce n'est pas facile d'élever un homme.”

Tupac Shakur (1971–1996) rappeur américain

And even as a crack fiend, mama. You always was a black queen, mama. I finally understand for a woman it ain't easy tryin' to raise a man.
en
Dear Mama

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“Pourquoi on est contrôlé [par la police] 17 fois [par jour]? Mais parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes; c'est comme ça, c'est un fait.”

Éric Zemmour (1958) journaliste et essayiste français

Éric Zemmour a été condamné pour provocation à la discrimination raciale à 1000 euros d'amende avec sursis.
Les noirs et les arabes

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“Tu es blanche, et je suis noir; mais le jour a besoin de s’unir à la nuit pour enfanter l’aurore et le couchant qui sont plus beaux que lui!”

Parole de la chanson Porque me huyes, Maria ? chantée en espagnol par Bug-Jargal à Marie d’Auverney.
Roman, Bug-Jargal, 1826

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Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
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“Je confesse aujourd'hui de bonne foi que je m'en veux d'avoir autrefois vu en noir, et le gouvernement révolutionnaire et Robespierre et Saint-Just. Je crois que ces hommes valaient mieux à eux seuls que tous les révolutionnaires ensembles.”

Gracchus Babeuf (1760–1797) homme politique et révolutionnaire français

Sur Maximilien de Robespierre
Variante: Je confesse aujourd'hui de bonne foi que je m'en veux d'avoir autrefois vu en noir, et le gouvernement révolutionnaire et Robespierre et Saint-Just. Je crois que ces hommes valaient mieux à eux seuls que tous les révolutionnaires ensemble.

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“Moi, je vous prends le pari sur les statistiques de délinquance des mineurs, je pense qu'il y a entre 90 et 95% des Noirs et de Maghrébins.”

Éric Zemmour (1958) journaliste et essayiste français

Propos médiatiques, Sur les Noirs et les Arabes

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“Main levée, vêtu de la robe noire, je prête le serment d'Hippocrate : Medicus in aeternum.”

Mémoires d'un médecin aux pieds nus, 2009

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“L'encre noire ouvre ses larges ailes. Mais la lampe éclate et couvre mes mots d'une couche de cristaux brisés.”

Octavio Paz (1914–1998) poète, essayiste et diplomate mexicain

Poésie, Liberté sur parole, 1929

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“Dans le noir, longtemps, j'avais repensé à la peau blanche de la petite fille, à ses pupilles élargies de douleur. Le jour perçait. Dehors, les arbres formaient des boules blanches contre le vert de la plaine. Pourquoi les fleurs s’ouvrent-elles à même le bois noir et nu?”

Anne Calife (1966) littératrice française, romancière et dramaturge, a été aussi professeur de sciences médico-sociales

Anne Calife sous le nom de Anne Colmerauer, La déferlante, 2003, Anne Calife, Paul et le chat, 2004

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“Sept preux capitaines ont, sur un bouclier noir, égorgé un taureau, et, leurs mains dans le sang, par Arès, Ényô, et la Déroute altérée de carnage, fait serment, ou d'abattre et saccager la ville de Cadmos, ou, par leur mort, d'engraisser ce sol de leur sang.”

ἄνδρες γὰρ ἑπτά, θούριοι λοχαγέται,
ταυροσφαγοῦντες ἐς μελάνδετον σάκος
καὶ θιγγάνοντες χερσὶ ταυρείου φόνου,
Ἄρη τ’, Ἐνυώ, καὶ φιλαίματον Φόβον
ὡρκωμότησαν ἢ πόλει κατασκαφὰς
θέντες λαπάξειν ἄστυ Καδμείων βίᾳ,
ἢ γῆν θανόντες τήνδε φυράσειν φόνῳ
grc
Le serment des sept chefs argiens contre Thèbes, décrit à Étéocle par un Messager.
Les Sept contre Thèbes

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“Un jour, je découvris une inscription toute fraîche sur le mur de l'école, je m'approchai et je lus : « le père Barrault est un con. » Mon cœur battit à se rompre, la stupeur me cloua sur place, j'avais peur. « Con », ça ne pouvait être qu'un de ces « vilains mots » qui grouillaient dans les bas-fonds du vocabulaire et qu'un enfant bien élevé ne rencontre jamais; court et brutal, il avait l'horrible simplicité bébête élémentaires. C'était déjà trop de l'avoir lu : je m'interdis de le prononcer, fût-ce à voix basse. Ce cafard accroché à la muraille, je ne voulais pas qu'il me sautât dans la bouche pour se métamorphoser au fond de ma gorge en un claironnement noir. Si je faisais semblant de ne pas avoir remarqué, peut-être rentrerait-il dans un trou de mur. Mais, quand je détournais mon regard, c'était pour retrouver l'appellation infâme : « le père Barrault » qu'il épouvantait plus encore : le mot « con », après tout, je ne faisais qu'en augurer le sens; mais je savais très bien qui on appelait « père untel » dans ma famille : les jardiniers, les facteurs, le père de la bonne, bref les vieux pauvres. […] Il me semblait à la fois qu'un fou cruel raillait ma politesse, mon respect, mon zèle, le plaisir que j'avais chaque matin à ôter ma casquette en disant « bonjour, Monsieur l'instituteur » et que j'étais moi-même ce fou, que les vilains mots et les vilaines pensées pullulaient dans mon cœur. Qu'est-ce qui m'empêchait, par exemple, de crier plein gosier : « ce vieux sagouin pue comme un cochon. » Je murmurai : « le père Barrault pue » et tout se mit à tourner : je m'enfuis en pleurant. Dès le lendemain je retrouvai ma déférence pour M. Barrault, pour son col de celluloïd et son nœud à papillon.”

Les Mots, 1964

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“Il n’y a pas une Amérique progressiste et une Amérique conservatrice — il y a les États-Unis d’Amérique. Il n’y a pas une Amérique noire, une Amérique blanche, une Amérique latino et une Amérique asiatique, il y a les États-Unis d’Amérique.”

Barack Obama (1961) 44e président des États-Unis

There is not a liberal America and a conservative America — there is the United States of America. There is not a Black America and a White America and Latino America and Asian America — there’s the United States of America.
en
Discours du 27 juillet 2004 à Boston, lors de la convention démocrate.
Discours au congrès démocrate de 2004

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“Si vous allez jusqu'au fond des choses […], vous verrez tout ce que cette conclusion implique d'horrible. On sait depuis longtemps que l'énergie nerveuse produite par la pensée, de même que la réaction des émotions glandulaires, est de nature électrique ou para-électrique : c'est de cette énergie que se nourrissent nos mystérieux seigneurs. Ils peuvent, et ils ne s'en privent pas, augmenter le rendement quand bon leur semble en attisant les rivalités, les jalousies, les haines, afin d'exciter les émotions. Chrétiens contre musulmans, Blancs contre Noirs, communistes contre catholiques, tout est bon pour les Vitons, tout sert sans que nous le sachions à nourrir des estomacs que nous ne pouvons imaginer. De même que nous cultivons des plantes qui nous nourrissent, les Vitons nous cultivent. De même que nous labourons, semons et récoltons, ainsi font les Vitons. Nous ne sommes qu'un terrain de chair, où les circonstances imposées par les Vitons viennent creuser leurs sillons; nos maîtres y sèment des sujets de controverse, sur lesquels ils répandent l'engrais des fausses rumeurs, des mensonges délibérés, ils arrosent tout cela avec de la méfiance et de la jalousie, et font lever ainsi de splendides moissons d'énergie émotionnelle. Chaque fois que quelqu'un hurle à la guerre, les Vitons se préparent à festoyer!”

Eric Frank Russell (1905–1978) écrivain britannique

Guerre aux invisibles (Sinister Barrier), 1939

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“Quelque chose de traumatique m'est arrivée quand j'étais jeune. J'étais avec une vieille femme noire; elle était très sage, très Alice Walker, La Couleur pourpre… Elle m'a regardée et elle m'a dit, « Bébé, autrefois je pouvais voler mais je ne peux plus voler, bébé. Mais, bébé, toi, t'es trop grosse pour voler. »”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

Something traumatic happened to me when I was younger. I was with this old black woman, and she was very wise, very Alice Walker, The Color Purple… She looked at me and she says, "Baby…you know I used to be able to fly but I can't fly no more, baby. But baby, you...? You too fat to fly."
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Drunk with Power

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“Ce qui me frappa [chez les Américains], c'est la grande influence du Noir, influence psychologique naturellement sans mélange de sang. L'expression émotionnelle de l'Américain, particulièrement sa façon de rire, peut être étudiée le mieux dans les suppléments des journaux américains; ce rire inimitable de Roosevelt, vous le trouverez dans sa forme primitive chez le Noir américain. La démarche particulière avec les articulations relativement lâches ou bien la hanche balancée que l'on observe si souvent chez les Américains proviennent du Noir américain. La musique américaine a pris au Noir sa principale inspiration tout comme la danse. […] La vivacité de l'Américain moyen, qui se manifeste non seulement au jeu de baseball, mais tout particulièrement par un amour extraordinaire de l'expression verbale — le flot perpétuel et sans limite de bavardages qui caractérisent les journaux américains en est l'exemple le plus marquant — ne peut guère dériver des ancêtres germaniques, mais ressemble surtout au « bavardage » du village africain. […] Ainsi l'Américain nous présente l'image singulière d'un Européen avec le comportement d'un Noir et l'âme d'un Indien.”

Carl Gustav Jung (1875–1961) Médecin psychiatre suisse qui crée la psychologie analytique

Another thing that struck me was the great influence of the Negro, a psychological influence naturally, not due to the mixing of blood. The emotional way an American expresses himself, especially the way he laughs, can best be studied in the illustrated supplements of the American papers; the inimitable Teddy Roosevelt laugh is found in its primordial form in the American Negro. The peculiar walk with loose joints, or the swinging of the hips so frequently observed in Americans, also comes from the Negro. American music draws its main inspiration from the Negro, and so does the dance. […] The vivacity of the average American, which shows itself not only at baseball games but quite particularly in his extraordinary love of talking - the ceaseless gabble of American papers is an eloquent example of this - is scarcely to be derived from his Germanic forefathers, but is far more like the chattering of a Negro village. […] Thus the American presents a strange picture: a European with Negro behaviour and an Indian soul.
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“Les noirs ont le rythme dans la peau, la peau sur les os et les os dans le nez.”

Pierre Desproges (1939–1988) humoriste français

Dictionnaire superflu

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“la France n'est pas un pays de race noire, de même que l’Afrique n’est pas un pays de race blanche”

Nadine Morano (1963) personnalité politique française

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La France, «pays judéo-chrétien de race blanche» septembre 2015, Réactions dans les rangs du FN

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“Mais le Corsaire Sanglot, la chanteuse de music-hall, Louise Lame, les explorateurs polaires et les fous, réunis par inadvertance dans la plaine aride d’un manuscrit, hisseront en vain du haut des mâts blancs les pavillons noirs annonciateurs de peste s’ils n’ont auparavant, fantômes jaillis de la nuit profonde de l’encrier, abandonné les préoccupations chères à celui qui, de cette nuit liquide et parfaite, ne fit jamais autre chose que des taches à ses doigts, taches propres à l’apposition d’empreintes digitales sur les murs ripolinés du rêve et par là capables d’induire en erreur les séraphins ridicules de la déduction logique persuadés que seul un esprit familier des majestueuses ténèbres a pu laisser une trace tangible de sa nature indécise en s’enfuyant à l’approche d’un danger comme le jour ou le réveil, et loin de penser que le travail du comptable et celui du poète laissent finalement les mêmes stigmates sur le papier et que seul l’œil perspicace des aventuriers de la pensée est capable de faire la différence entre les lignes sans mystère du premier et le grimoire prophétique et, peut-être à son insu, divin du second, car les pestes redoutables ne sont que tempêtes de cœurs entrechoqués et il convient de les affronter avec des ambitions individuelles et un esprit dégagé du stupide espoir de transformer en miroir le papier par une écriture magique et efficace.”

Robert Desnos (1900–1945) poète français

La Liberté ou l'Amour !, 1927

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“Vous pouvez passer vous-même l'IAT à ProjectImplicit. org. Mais soyez avertis : cela peut être dérangeant. Vous pouvez sentir le ralentissement de vos mouvements lorsque l'on vous demande d'associer de bonnes choses avec certains visages plutôt que d'autres. Vous voyez le conflit entre votre attitude implicite et les associations implicites avec certains groupes sociaux tels les noirs, les immigrants, les personnes obèses et âgées.”

en
You can take the IAT yourself at ProjectImplicit.org. But be forewarned: it can be disturbing. You can actually feel yoursel moving more slowly when you are asked to associate good things with the faces of one race rather than another. You can watch as you implicit attitude contradicts implicit associations with many social groups, such as black people, immigrants, obese people, and the elderly.
The Righteous Mind (2012)

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“[…] cette confusion des lieux de peur et des lieux de plaisir dans l'imaginaire européen, qui donne à chacun l'occasion de se rendre fantasmatiquement maître de l'espace destiné à l'asservissement du nombre, préfigure paradoxalement la fête révolutionnaire alors conçue comme « l'éveil d'un sujet collectif qui naît à lui-même, et qui se perçoit en toutes ses parties, en chacun de ses participants ». Et quand la première fête révolutionnaire aurait été la prise de la Bastille, c'est-à-dire la prise de possession collective d'un lieu clos ou bien l'abolition d'un décor qui sépare, le roman noir propose la même fête, mais à l'intérieur d'un décor où la séparation ne se serait maintenue que pour exalter la souveraineté de tous ceux qui s'en rendent fantasmatiquement maîtres. Ainsi niant à la fois le caractère exclusif de la fête aristocratique et le caractère collectif de la fête révolutionnaire, l'architecture noire ouvre un espace de subversion où le nombre délimite négativement le champ d'affirmation de l'unique pour en faire une prison, de même que l'unique y vient nier la possibilité d'un plaisir partagé, excluant tout ce qui s'oppose à sa propre satisfaction. Car illustrant l'idée fort répandue en cette fin de siècle que « l'extrême liberté de quelques-uns attente à la liberté de tous », les demeures du roman noir exposent aussi que la liberté de tous porte atteinte à la liberté de chacun dont elles esquissent les perspectives illimitées.”

Annie Le Brun (1942) poétesse française

Annie Le Brun cite ici à deux reprises Jean Starobinski (in l'Invention de la liberté).
Essai critique, Les châteaux de la subversion, 1982

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“Et long et brun et mince comme la nuit
Et pâle comme la pluie
Avec des gouttes de joie au bord de ses yeux noirs
Avec des rires de moi à fleur de lèvres.”

Maud de Belleroche (1922–2017) actrice, femme de lettres et journaliste française

Ouvrages, Le Ballet des crabes (1975)

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“Je dirai donc que je ne suis pas ni n'ai jamais été pour l'égalité politique et sociale des noirs et des blancs, que je ne suis pas, ni n'ai jamais été, pour le fait d'avoir des électeurs ni des jurés noirs, ni pour le fait de les former à exercer ses fonctions, ni en faveur des mariages mixtes; et je dirai en plus de ceci, qu'il y a une différence physique entre la race blanche et la race noire qui interdira pour toujours aux deux races de vivre ensemble dans des conditions d'égalité sociale et politique. Et dans la mesure où ils ne peuvent pas vivre ensemble mais qu'ils coexistent, il faut qu'il y ait une position de supériorité et d'infériorité, et moi-même, autant que n'importe quel autre homme, je suis pour le fait que la position de supériorité soit attribuée à la race blanche.”

Abraham Lincoln (1809–1865) 16e président des États-Unis

I will say, then, that I am not nor have ever been in favor of bringing about in any way the social and political equality of the black and white races, that I am not, nor ever have been, in favor of making voters or jurors of negroes, nor of qualifying them to hold office, nor to intermarry with White people; and I will say in addition to this that there is a physical difference between the White and black races which will ever forbid the two races living together on terms of social and political equality. And inasmuch as they cannot so live, while they do remain together, there must be the position of
Speeches and Writings, 1832-1858

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“Me faire passer pour quelqu'un qui serait raciste, alors que j'ai des amis qui sont justement Arabes, et dont ma meilleure amie qui est Tchadienne, donc plus noire qu'une Arabe, je trouve ça choquant.”

Nadine Morano (1963) personnalité politique française

Nadine Morano a des amis arabes, et même tchadiens, donc plus noirs que des arabes, et elle aime le couscous juin 2012

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