Citations sur la joie

Une collection de citations sur le thème de de motivation, bonheur, vie, motivation.

Meilleures citations sur la joie

“Ne fais pas ta joie du malheur d'autrui.”

Publius Syrus poète latin

Sentences

“La joie la plus douce est celle qui se refuse à vous.”

Robin Cook (1931–1994) chirurgien, spécialiste de romans policiers médicaux

Quand se lève le brouillard rouge, 1994

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“Mieux vaut une vraie tristesse qu'une fausse joie.”

André Comte-Sponville (1952) philosophe français

Le bonheur, désespérément

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“joie de vivre.”

The Wordy Shipmates

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“La véritable joie est une chose sérieuse.”

Lettres à Lucilius (Epistulae morales ad Lucilium)

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“Car l'argent est une grande joie.”

Walker Percy (1916–1990) écrivain américain

Le Cinéphile, 1961

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“Quand la joie devient l'ennemie de la joie…”

Amin Maalouf (1949) écrivain franco-libanais

التائهون

Citations sur la joie

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“L'ironie, c'est la gaieté de la réflexion et la joie de la sagesse.”

Anatole France (1844–1924) écrivain, biographe, journaliste et critique littéraire français

The Literary Life (1888-1892)

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“En revenant de New-York, Paris m'a fait l'effet d'un joli bibelot; mais quelle joie de le revoir!”

Camille Saint-Saëns (1835–1921) pianiste, organiste et compositeur français de l'époque post-romantique

Regard sur mes contemporains, ed. 1990

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“La joie de vivre ne s'achète ni au supermarché ni même dans les magasins de luxe.”

Pierre Rabhi (1938) essayiste, agriculteur biologiste, romancier et poète français

Graines de possibles, regards croisés sur l'écologie

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“Toutes les émotions : plaisir, joie, colère, angoisse, peur, timidité, peuvent-être ramenées à la manière dont le tonus se forme, se consomme ou se conserve.”

Henri Wallon (1879–1962) philosophe, psychologue, neuropsychiatre, pédagogue et homme politique français

La vie mentale (encyclopédie), 1938, Sur l'Émotion :

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“J’aimerais redire sans cesse : je contrôle les livres d’affaires des mathématiciens; les processus mentaux, joies, dépressions, instincts des gens d’affaires, aussi importants qu’ils soient à d’autres égards, je ne m’en soucie pas.”

Ludwig Wittgenstein (1889–1951) philosophe et logicien autrichien, puis britannique

Ludwig Wittgenstein, Grammaire philosophique, traduit de l’allemand par Marie-Anne Lescourret, Gallimard, Paris, 1980, p. 301.

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“Mon cœur se contracte au spectacle qui s’offre à moi… Janin… C’était la grande cité de mon enfance. Les terres tribales se trouvant à une trentaine de kilomètres de là, j’accompagnais souvent mon père quand il se rendait en ville proposer ses toiles à de louches marchands d’art. À cette époque, Janin me paraissait aussi mystérieuse que Babylone, et j’aimais à prendre ses nattes pour des tapis volants. Puis, lorsque la puberté me rendit plus attentif au déhanchement des femmes, j’appris à m’y rendre seul comme un grand. Janin, c’était la ville rêvée des anges délurés, avec ses petites manières de grosse bourgade singeant les grandes villes, sa cohue incessante qui rappelle le souk un jour de ramadan, ses boutiques aux allures de caverne d’Ali Baba où les babioles s’évertuaient à minimiser l’ombre des pénuries, ses ruelles parfumées où les galopins évoquaient des princes aux pieds nus; mais aussi son côté pittoresque qui fascinait les pèlerins dans une vie antérieure, l’odeur de son pain que je n’ai retrouvée nulle part ailleurs et sa bonhomie toujours vivace malgré tant d’infortunes… Où sont donc passées les petites touches qui faisaient son charme et sa griffe, qui rendaient la pudeur de ses filles aussi mortelle que leur effronterie et les vieillards vénérables en dépit de leur caractère impossible? Le règne de l’absurde a ravagé jusqu’aux joies des enfants. Tout a sombré dans une grisaille malsaine. On se croirait sur une aile oubliée des limbes, hantée d’âmes avachies, d’êtres brisés, mi-spectres mi-damnés, confits dans les vicissitudes tels des moucherons dans une coulée de vernis, le faciès décomposé, le regard révulsé, tourné vers la nuit, si malheureux que même le grand soleil d’As-Samirah ne parvient pas à l’éclairer.
Janin n’est plus qu’une ville sinistrée, un immense gâchis; elle ne dit rien qui vaille et a l’air aussi insondable que le sourire de ses martyrs dont les portraits sont placardés à chaque coin de la rue. Défigurée par les multiples incursions de l’armée israélienne, tour à tour clouée au pilori et ressuscitée pour faire durer le plaisir, elle gît dans ses malédictions, à bout de souffle et à court d’incantations…”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

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“Il y a des femmes tellement infidèles qu'elles éprouvent de la joie à tromper leurs amants avec leur mari.”

Georges Clemenceau (1841–1929) homme d'État, journaliste, directeur-fondateur de journaux, docteur en médecine et académicien français
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“Et même dans le monde extérieur tout le monde veut aller en direction de plus grandes joies. Tout le monde suit la direction de la plus grande joie, parce ce qu'il y a de plus profond à chacun est véritablement la lampe allumée de la connaissance totale, la puissance organisatrice totale de la connaissance, ce n'est que du bonheur, il n'est pas nécessaire que les gens souffrent.”

Maharishi Mahesh Yogi (1917–2008)

Wherever there is greater joy, there is the direction of everyone’s activity, because the innermost of everyone is really the lighted lamp of Total Knowledge, total organising power of knowledge, it’s all bliss, it’s not necessary for the people to suffer.
en

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“L'agressivité compromise, régulée, maîtrisée, et voici que la joie revient. Non à la faillite de l’amour!”

Jean-Marie Pelt (1933–2015) biologiste, pharmacien, botaniste et écologue français

Citations de l'auteur, La Loi de la jungle, L’agressivité chez les plantes, les animaux, les humains

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“Observez avec quel plaisir, quelle délectation, quel bonheur même, les journalistes révèlent le vrai nom de Joey Starr – décidément, toujours lui – à la première occasion venue (concours du plus joli pit-bull de Saint-Denis, discussion informelle avec une hôtesse de l’air, concert caritatif au profit des orphelins de la police, échange métaphysique avec un chimpanzé…), comme pour dire : bien sûr, il est connu, lui, il (se) tape plein de gonzesses, lui, il parle vraiment aux gens, de façon peut-être contestable, mais infiniment moins servile que moi (c’est le journaliste qui s’exprime, évidemment), et pourtant, ce n’est pas un extra-terrestre, la preuve, lui aussi, il a un vrai nom, comme moi, et, toujours par le même glissement riemannien de la vérité, il en déduit, rasséréné : il est comme moi, puis, l’alcool bon marché aidant (essayez d’acheter du Haut-Brion avec une paye de pigiste), il est moi, je suis Joey Starr. Alors, le journaliste aviné sort dans la rue, prend sa voiture, fonce à Saint-Denis, et là, existant enfin comme un homme pour la première fois de sa vie, hurle dans la nuit, ivre de joie : « Qu’est-ce qu’on attend pour foutre le feu? », avant de croiser quelques skinheads ou quelques branleurs de banlieue, moins blancs mais tout aussi accorts, qui finalement, lui mettent la fièvre, pendant des heures.”

Je gagne toujours à la fin, 2003

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“Et long et brun et mince comme la nuit
Et pâle comme la pluie
Avec des gouttes de joie au bord de ses yeux noirs
Avec des rires de moi à fleur de lèvres.”

Maud de Belleroche (1922–2017) actrice, femme de lettres et journaliste française

Ouvrages, Le Ballet des crabes (1975)

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“Cette vie de si peu de joie, de si peu de tout, d’autant de maigres riens.”

Jean Rouaud (1952) écrivain français

La Femme promise, 2009

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“Hitler est là. Ma joie est grande. Il me salue comme un vieil ami. Et très attentionné à mon égard. Que je l'aime! Quel homme!”

Joseph Goebbels (1897–1945) Ministre allemand à l’Éducation du peuple et à la Propagande sous le Troisième Reich

de
Extrait du Journal tenu par Goebbels

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“Au niveau de la collectivité de base, les gens ne passent pas tant leurs journées à travailler qu'à échanger des informations, à se divertir, à faire en sorte de conserver et d'améliorer leur situation, à établir des contacts avec les personnes dont dépend leur bien-être, à assister à d'innombrables réunions, à tenter d'obtenir des bons de séjour, un logement, quelques fois même du ravitaillement supplémentaire. Ils améliorent leur qualification, reçoivent des certificats. Ils font partie de troupes d'amateurs, de clubs sportifs, sans parler bien sûr des cercles d'éducation politique. Ils font du travail social. Ils participent à des manifestations, des rencontres, des fêtes, des soirées, des excursions et des voyages. C'est leur vie propre qui se déroule là avec ses joies et ses peines, ses réussites et ses échecs, une vie pleine de passions et de drames. Et c'est de cette vie réelle que doit tenir compte en premier lieu toute description scientifique du communisme. Or c'est généralement la chose qu'ignorent tous ceux qui parlent du communisme. Ils préfèrent parler de choses extérieures beaucoup plus frappantes (les répressions, l'absence de libertés civiques), mais qui demeurent pratiquement inexistantes pour tous ceux qui vivent au niveau de la collectivité de base. Lorsque celle-ci aborde ces problèmes, c'est uniquement pour condamner les dissidents et exprimer son soutien aux autorités.”

Alexandre Zinoviev (1922–2006) écrivain russe

Le Communisme comme réalité, 1981, Personne et fonction

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“Vous souvient-il de la scène où Perséphone est sur le point de s’abîmer dans l’Érèbe, tandis que gémit le chœur des Océanides? Son visage est pareil au vôtre, quand le vôtre s’obscurcit. Rigide dans son peplum couleur de safran, elle penche en arrière sa tête couronnée; et il semble que la nuit coule en sa chair devenue exsangue et s’amasse au-dessous du menton, dans la cavité des yeux, autour des narines, lui donnant l’aspect d’un sombre masque tragique. C’est votre masque, Perdita. Quand je composais mon Mystère, la mémoire que j’avais de vous m’a aidé à évoquer la personne divine. Ce petit ruban de velours safrané que vous portez habituellement au cou m’a indiqué la couleur convenable pour le peplum de Perséphone. Et un soir, dans votre maison, comme je prenais congé de vous sur le seuil d’une pièce où les lampes n’étaient pas encore allumées, —; un soir agité du dernier automne, vous en souvient-il? — vous avez réussi, par un seul de vos gestes, à mettre dans la pleine lumière de mon âme la créature qui s’y trouvait encore gisante et enveloppée; et puis, sans vous douter de cette nativité subite, vous êtes rentrée dans l’intime obscurité de votre Érèbe. Ah! j’étais sûr d’entendre vos sanglots; et cependant il courait en moi un torrent de joie indomptable. Jamais, je crois, je ne vous ai raconté ces choses. J’aurais dû vous consacrer mon œuvre comme à une Lucine idéale.”

Romans, Le Feu, 1900

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“Il y avait des péchés dont le charme était plus grand par le souvenir que par l'acte lui-même, d’étranges triomphes qui récompensaient l'orgueil bien plus que les passions et donnaient à l'esprit un raffinement de joie bien plus grand que le plaisir qu'ils apportaient ou pouvaient jamais apporter aux sens.”

There were sins whose fascination was more in the memory than in the doing of them, strange triumphs that gratified the pride more than the passions, and gave to the intellect a quickened sense of joy, greater than any joy they brought, or could ever bring, to the senses.
en
Le Portrait de Dorian Gray ('), 1890

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“Je goûtais avec bonheur les joies du mariage et je m’étonnais de n’y avoir pas songé plus tôt; car maintenant, j’avais toujours quelqu’un qui me parlait et je n’avais plus besoin d’aller chercher de la conversation hors de chez moi.”

Ludwig Tieck (1773–1853) Nouvelliste, romancier, dramaturge et critiques théâtrales, auteur de contes et traducteur allemand

Vie de l’illustre empereur Abraham Tonelli

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