Citations sur instinct

Une collection de citations sur le thème de instinct, bien-être, pluie, tout.

Citations sur instinct

Friedrich Nietzsche photo

“Un être typiquement morbide ne deviendra jamais sain, et pourra encore moins se rendre la santé; pour quelqu'un de typiquement sain, au contraire, le fait d'être malade peut être un stimulant énergique de vie, du « plus-vivre ». C'est en fait ainsi que m'apparaît maintenant cette longue période de maladie : je découvris pour ainsi dire la vie, y compris moi-même, avec des yeux neufs, je savourai toutes les bonnes — et même les petites — choses, comme d'autres auraient du mal à les savourer — je fis de ma volonté de santé et de vie ma philosophie… Car, qu'on y prenne bien garde : mes années de plus faible vitalité furent celles où je cessai d'être pessimiste : l'instinct de l'« autoreconstitution » m'interdisait une philosophie de la pauvreté et du découragement… Et à quoi, au fond, reconnaît-on l' épanouissement physique? À ce qu'un être épanoui fait du bien à nos sens; à ce qu'il est taillé dans un bois qui est à la fois ferme, tendre et odorant. Il n'a de goût que pour ce qui lui fait du bien; son plaisir, son envie, cesse là où la mesure de ce qui convient est franchie. Il invente des remèdes contre les lésions, il exploite à son avantage les hasards malencontreux : ce qui ne le fait pas périr lui donne des forces. D'instinct, de tout ce qu'il voit, entend et vit, il amasse son propre capital : il est un principe de sélection, il élimine bien des choses. Il est toujours dans sa société bien à lui, qu'il commerce avec des livres, des hommes ou des paysages; par son choix, il honore ce qu'il a choisi, ce qu'il admet, ce à quoi il fait confiance. À toutes sortes de sollicitations, il réagit lentement, avec cette lenteur dont une longue prudence et une fierté délibérée lui ont imposé la discipline. Bien loin d'aller au-devant d'elle, il examine attentivement la sollicitation qui se présente à lui. Il ne croit ni à la « malchance », ni à la « faute » : il vient à bout de lui-même et des autres, il sait oublier”

il est assez fort pour que tout, nécessairement, tourne à son avantage. Eh bien, je suis tout le contraire d'un décadent : car c'est moi-même que je viens de décrire.
Ecce homo, 1888, Pourquoi je suis si sage

Victor Hugo photo

“Oui, partout, oui, toujours, oui, pour combattre les violences et les impostures, oui, pour réhabiliter les lapidés et les accablés, oui, pour conclure logiquement et marcher droit, oui, pour consoler, pour secourir, pour relever, pour encourager, pour enseigner, oui, pour panser en attendant qu'on guérisse, oui, pour transformer la charité en fraternité, l'aumône en assistance, la fainéantise en travail, l'oisiveté en utilité, la centralisation en famille, l'iniquité en justice, le bourgeois en citoyen, la populace en peuple, la canaille en nation, les nations en humanité, la guerre en amour, le préjugé en examen, les frontières en soudures, les limites en ouvertures, les ornières en rails, les sacristies en temples, l'instinct du mal en volonté du bien, la vie en droit, les rois en hommes, oui, pour ôter des religions l'enfer et des sociétés le bagne, oui, pour être frère du misérable, du serf, du fellah, du prolétaire, du déshérité, de l'exploité, du trahi, du vaincu, du vendu, de l'enchaîné, du sacrifié, de la prostituée, du forçat, de l'ignorant, du sauvage, de l'esclave, du nègre, du condamné et du damné, oui, nous sommes tes fils, Révolution!”

Victor Hugo (1802–1885) écrivain français

Shakespeare: Une Vie de Genie Et D'Amertume
Variante: Oui, partout, oui, toujours, oui, pour combattre les violences et les impostures, oui pour réhabiliter les lapidés et les accablés, oui, pour conclure logiquement et marcher droit, oui, pour consoler, pour secourir, pour relever, pour encourager, pour enseigner, oui, pour panser en attendant qu'on guérisse, oui, pour transformer la charité en fraternité, l'aumône en assistance, la fainéantise en travail, l'oisiveté en utilité, la centralisation en famille, l'iniquité en justice, le bourgeois en citoyen, la populace en peuple, la canaille en nation, les nations en humanité, la guerre en amour, le préjugé en examen, les frontières en soudures, les limites en ouvertures, les ornières en rails, les sacristies en temples, l'instinct du mal en volonté du bien, la vie en droit, les rois en hommes, oui, pour ôter des religions l'enfer et des sociétés le bagne, oui, pour être frère du misérable, du serf, du fellah, du prolétaire, du déshérité, de l'ex- ploité, du trahi, du vaincu, du vendu, de l'enchaîné, du sacrifié, de la prostituée, du forçat, de l'ignorant, du sauvage, de l'esclave, du nègre, du condamné et du damné, oui, nous sommes tes fils, Révolution!

Denis Diderot photo
Friedrich Nietzsche photo

“La moralité, c'est l'instinct du troupeau chez l'individu.”

Friedrich Nietzsche (1844–1900) philologue, philosophe et poète allemand

, 1882

Octavio Paz photo
Samuel Butler photo

“La vie est comme la musique: pour la composer on doit s’orienter par l’oreille, le sentiment et l’instinct, non par les règles. Néanmoins, c’est mieux de les connaître, parce que parfois elles aident dans des cas douteuses – quoique pas souvent.”

Samuel Butler (1835–1902) écrivain britannique

Life is like music, it must be composed by ear, feeling and instinct, not by rule. Nevertheless one had better know the rules, for they sometimes guide in doubtful cases, though not often
en

Guy de Maupassant photo
Anatole France photo

“En art comme en amour, l'instinct suffit.”

Anatole France (1844–1924) écrivain, biographe, journaliste et critique littéraire français
Loïc Decrauze photo
Claude Fauriel photo
Léon Blum photo
Konrad Lorenz photo

“Mon livre traite de l'agressivité, c'est-à-dire l'instinct de combat de l'animal et de l'homme, dirigé contre son propre congénère.”

Konrad Lorenz (1903–1989) biologiste et zoologiste autrichien

de
Préface.
L'agression : une histoire naturelle du mal, 1969

Ludwig Wittgenstein photo

“J’aimerais redire sans cesse : je contrôle les livres d’affaires des mathématiciens; les processus mentaux, joies, dépressions, instincts des gens d’affaires, aussi importants qu’ils soient à d’autres égards, je ne m’en soucie pas.”

Ludwig Wittgenstein (1889–1951) philosophe et logicien autrichien, puis britannique

Ludwig Wittgenstein, Grammaire philosophique, traduit de l’allemand par Marie-Anne Lescourret, Gallimard, Paris, 1980, p. 301.

François Mauriac photo
Virginia Woolf photo
Patrick Lowie photo
Andrew Coburn photo

“Fais confiance à ton instinct, jamais à la chance.”

Andrew Coburn (1932–2018) écrivain américain

Toutes peines confondues, 1985

Octavio Paz photo
François Mitterrand photo
Michel Tournier photo
Zbigniew Brzezinski photo

“C'est également un fait que l'Amérique est trop démocratique chez elle pour être autocratique à l'étranger. Cela limite l'utilisation de la puissance américaine, notamment sa capacité d'intimidation militaire. Jamais précédemment une démocratie populaire avait atteint une suprématie internationale. Mais la poursuite du pouvoir n'est pas le but poursuivi par les passions populaires, excepté dans des conditions d'une menace ou d'une remise en cause du sentiment populaire de bien-être domestique. L'abnégation économique (c'est-à-dire les dépenses militaires), et le sacrifice humain (les pertes même parmi les soldats professionels) qui sont nécessaires à l'effort sont peu agréables pour les instincts démocratiques. La démocratie est inamicale envers la mobilisation impériale.”

Zbigniew Brzezinski (1928–2017) politologue américain

It is also a fact that America is too democratic at home to be autocratic abroad. This limits the use of America's power, especially its capacity for military intimidation. Never before has a populist democracy attained international supremacy. But the pursuit of power is not a goal that commands popular passion, except in conditions of a sudden threat or challenge to the public's sense of domestic well-being. The economic self-denial (that is defense spending), and the human sacrifice (casualties even among professional soldiers) required in the effort are uncongenial to democratic instincts. Democracy is inimical to imperial mobilization.
en
Le Grand Echiquier - 1997

Dominique Fernandez photo
Louis XIV photo

“La sagesse veut qu’en certaines rencontres on donne beaucoup au hasard; la raison elle-même conseille alors de suivre je ne sais quels mouvements ou instincts aveugles au-dessus de la raison, et qui semblent venir du Ciel.”

Louis XIV (1638–1715) roi de France et de Navarre de 1643 à 1715

Raccourcissement de : [La sagesse veut qu’en certaines rencontres on donne beaucoup au hasard ; la raison elle-même conseille alors de suivre je ne sais quels mouvements ou instincts aveugles au-dessus de la raison, et qui semblent venir du Ciel, connus à tous les hommes, et plus dignes de considération en ceux qu’il a lui-même placés au premier rang.]
Mémoires pour l’instruction du Dauphin, Volume 2

Honoré de Balzac photo
Shūsui Kōtoku photo
Loïc Decrauze photo
Aldous Huxley photo
Aimé Césaire photo
Friedrich Nietzsche photo
Hunter S. Thompson photo
François Rabelais photo

“Grandgrousier
Toute leur vie estoit employée non par loix, statuz ou reigles, mais selon leur vouloir et franc arbitre. Se levoient du lict quand bon leur sembloit : beuvoient, mangeoient, travailloient, dormoient quand le desir leur venoit. Nul ne les esveilloit, nul ne les parforceoit ny à boyre ny a manger, ny à faire chose aultre quelconques. Ainsi l'avoit estably Gargantua. En leur reigle n'estoit que ceste clause. Fay ce que vouldras. Parce que gens liberes, biens nez, bien instruictz, conversans en compaignies honnestes ont par nature un instinct, et aiguillon, qui tousjours les poulse à faictz vertueux, et retire du vice, lequel ilz nommoient honneur.”

François Rabelais (1494–1553) auteur français du 16e siècle

fr
Toute leur vie était régie non par des lois, des statuts ou des règles, mais selon leur volonté et leur libre arbitre. Ils sortaient du lit quand bon leur semblait, buvaient, mangeaient, travaillaient, dormaient quand le désir leur en venait. Nul ne les éveillait, nul ne les obligeait à boire ni à manger, ni à faire quoi que ce soit. Ainsi en avait décidé Gargantua. Et toute leur règle tenait en cette clause : Fais ce que tu voudras. Parce que les gens libres, bien nés, bien éduqués, vivant en bonne société, ont naturellement un instinct, un aiguillon qu'ils appellent honneur et qui les pousse toujours à agir vertueusement et les éloigne du vice.
Œuvre, Gargantua

Joris-Karl Huysmans photo
Virginia Rometty photo
Richard Wagner photo
Dominique Fernandez photo

“Hé! Hé! Je me demande si l'institution des castrats ne fut pas la réponse qu'inventa le génie italien pour éluder les prescriptions trop sévères du code d'honneur castillan. Il est remarquable que le premier castrat soit apparu après, seulement après l'implantation des Espagnols dans la péninsule, et que le royaume de Naples, où ils restèrent deux siècles et demi, sans compter le règne de Charles, ait acquis pour ainsi dire le monopole du recrutement et de la formation des dessus. Sans cette échappatoire, le brillant chérubin italien aurait fini comme le sombre don Juan, victime tragique de la monogamie et du culte de la puissance virile. L'Italie, et surtout le royaume de Naples, se trouvèrent soumis à un code de l'honneur pour lequel ils n'étaient pas du tout préparés. L'invention des castrats, et en général la diffusion de la mode des travestis sur la scène, furent une trouvaille spécifiquement napolitaine, une ruse de l'instinct populaire, une protestation contre les règles insupportables de la morale castillane. En allant admirer des castrats, ou des femmes qui chantaient des rôles masculins, on prenait le droit, en quelque sorte, de s'attarder dans indétermination sexuelle, d'oublier les tâches de la maturité. Comment se rappeler qu'on avait le devoir d'être un homme, si ceux dont on applaudissait l'incomparable voix se trouvaient dispensés de cette obligation! Un grand capitaine, un roi, un conquérant, César, Alexandre lui-même! dépouillés de leur puissance virile tout en gardant leur pouvoir de séduction : quelle aubaine pour des gens dont la sensualité subtile, complexe et hésitante s'accommodait fort mal des prescriptions brutales d'un code sans nuances, qui était par surcroît celui des occupants.”

Porporino ou les Mystères de Naples, 1974

Maharishi Mahesh Yogi photo

“Dans cette méditation, nous ne nous concentrons pas, nous ne cherchons pas à contrôler l'esprit, nous laissons l'esprit suivre son instinct naturel à aller vers un plus grand bonheur. Il va vers l'intérieur, et gagne la conscience-béatitude dans l'Être.”

Maharishi Mahesh Yogi (1917–2008)

In this meditation we do not concentrate or control the mind, we let the mind follow it's natural instinct toward greater happiness, and it goes within and it gains bliss consciousness in the being.
en

Jack Vance photo
Harlan Coben photo
François Mauriac photo
Terry Pratchett photo
Claude Fauriel photo
Sigmund Freud photo
Émile Durkheim photo
Friedrich Nietzsche photo
Friedrich Nietzsche photo
Octave Mirbeau photo
Félicité Robert de Lamennais photo
Léon Blum photo
Marie d'Agoult photo
Mircea Eliade photo
Daphne du Maurier photo
Charles Fourier photo
Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau photo
Maxence Caron photo
Maud de Belleroche photo

“J'étais une fasciste d'instinct et […] je le suis restée.”

Maud de Belleroche (1922–2017) actrice, femme de lettres et journaliste française

Ouvrages, Le Ballet des crabes (1975)

Friedrich Nietzsche photo
Friedrich Nietzsche photo
Charles Robert Maturin photo
Renaud Camus photo
Alexandre Dumas photo
Jules Michelet photo
Etty Hillesum photo
Gaston Bachelard photo

“[…] le narcissisme n'est pas toujours névrosant. Il joue ainsi un rôle positif dans l'œuvre esthétique, et par des transpositions rapides, dans l'œuvre littéraire. La sublimation n'est pas toujours la négation d'un désir; elle ne se présente pas toujours comme une sublimation contre des instincts. Elle peut être une sublimation pour un idéal.”

L'eau et les rêves — Essai sur l'imagination de la matière, Gaston Bachelard, Le Livre de Poche, Biblio Essais, 1993, 1942, 33, II, I Les eaux claires, les eaux printanières et les eaux courantes, les conditions objectives du narcissisme, les eaux amoureuses, 978-2-253-06100-7
L'Eau et les Rêves, 1942

Loïc Decrauze photo
Renée Vivien photo
Pier Paolo Pasolini photo
James Joyce photo
Honoré de Balzac photo
Joseph Kessel photo
Jean-Jacques Rousseau photo
J. M. G. Le Clézio photo

“L'instinct nous fourvoie parfois.”

Daniel Woodrell (1953) écrivain américain

Battement d'aile, 1988

Friedrich Nietzsche photo

“Le christianisme nous a frustrés de la moisson de la culture antique, et, plus tard, il nous a encore frustrés de celle de la culture islamique. La merveilleuse civilisation maure d’Espagne, au fond plus proche de nous, parlant plus à nos sens et à notre goût que Rome et la Grèce, a été foulée aux pieds (et je préfère ne pas penser par quels pieds!) — Pourquoi? Parce qu’elle devait le jour à des instincts aristocratiques, à des instincts virils, parce qu’elle disait oui à la vie, avec en plus, les exquis raffinements de la vie maure!… Les croisés combattirent plus tard quelque chose devant quoi ils auraient mieux fait de se prosterner dans la poussière — une civilisation en comparaison de laquelle même notre XIX siècle semblerait pauvre et retardataire! Sans doute, ils révaient de butin : l'Orient était riche!… Voyons donc les choses comme elles sont! Les croisades? Une piraterie de grande envergure, et rien de plus! […] L'Église a mené sa guerre à outrance contre tout ce que la Terre portait comme d'aristocratique! […] La noblesse allemande est à peu près entièrement absente de l’histoire de la culture supérieure : on en devine la cause… Le christianisme, l’alcool - les deux grands moyens de corruption… En soi, on ne devrait même pas avoir à choisir entre l’islam et le christianisme, pas plus qu’entre un Arabe et un Juif. La réponse est donnée d’avance: ici, nul ne peut choisir librement. Soit on est un tchandala, soit on ne l’est pas. « Guerre à outrance avec Rome! Paix et amitié avec l’Islam. » C’est ce qu’a senti, c’est ce qu’a fait ce grand esprit fort, le seul génie parmi les empereurs allemands, Frédéric II.”

L’Antéchrist, 1888

Friedrich Nietzsche photo
Margaret Cho photo

“Peu importe ce que feront ces terroristes, je refuse d'être terrorisée. Il ne faut que quelques petits changements à nos vies de tous les jours. Par exemple, mon premier instinct, quand je reçois un enveloppe plein de poudre blanc, c'est de le sniffer. Bon, je ne le ferai plus!”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

No matter what these terrorists do, I refuse to be terrorized. ...All this requires is just a few alterations in our day to day lives. For example, my first instinct when I receive an envelope full of white powder... is to snort it! I just won't do that this time!
en
Notorious C.H.O.

Jean Giraudoux photo

“Il avait suffi, pour ne pas l'effrayer, d'être avec lui ce que Jérôme aurait voulu que fût l'humanité pour lui, ce que fût l'humanité. Un instinct de vie si pur, une âme si dégagée des liens qui l'enserrent dès sa naissance, que le mot liberté reprenait sens à sa vue. Jérôme respectait d'ailleurs en son compagnon, comme il l'avait encouragée en soi-même, cette impossibilité de supporter la moindre question, le moindre contrôle; mais, alors qu'il n'avait ressenti que très tard, après la guerre, et comme une révolte, comme un schisme, l'impuissance à vivre cette vie plus faite de la vie des autres que de la sienne propre, les mêmes sentiments dans l'enfant étaient si aisés, si proches de la nature et du bon sens qu'on imaginait très bien une humanité soumise à cette façon d'être humaine. Une humanité où chaque homme aurait été distinct des autres, dans son âme comme dans son corps, comme un astre et des astres. Où les rapports entres les êtres n'auraient jamais été que des flexions, des consentements, des transparences, et où seul le silence aurait été un bien et un plaisir commun. (…) Où chaque homme n'eût pas été un administrateur-délégué de la race entière des hommes, responsable jusque dans sa façon de cracher ou de faire l'amour… Une humanité, sans lois sociales et esthétiques, aussi libérée de ses codes multiples que de ces tics qui ont créé le grès flambé ou le cuir de Cordoue… Plus belle aussi… Où l'âge ne déposerait pas sur chacun de vos doigts, à chaque phalange, un triste nombril.”

Aventures de Jérôme Bardini, 1930

Loïc Decrauze photo
Vincent Van Gogh photo
Friedrich Nietzsche photo

“[…] il ne faut pas perdre de vue que si l'archétype a un aspect orienté « vers le bas », vers les processus biologiques — les instincts —, il a aussi « un aspect orienté vers le haut, vers le monde des images et des idées. »”

Charles Baudouin (1893–1963) psychanalyste et écrivain franco-suisse

Jolande Jacobi in Complexe, archétype, symbole, 1961.
L'Œuvre de Jung et la psychologie complexe, 1963, Réalité de l'âme

Stefan Zweig photo
Friedrich Nietzsche photo
Loïc Decrauze photo
Hermann Hesse photo

“[…] le moi […] s'oppose aux complexes, ces petits « empires dans son empire », comme il s'oppose aux instincts.”

Charles Baudouin (1893–1963) psychanalyste et écrivain franco-suisse

L'Œuvre de Jung et la psychologie complexe, 1963, Réalité de l'âme

Friedrich Nietzsche photo
Gabriele d'Annunzio photo
Joseph Kessel photo
Serafín Fanjul photo