Citations sur homme
Page 13

Pline l'Ancien photo
Georges Jacques Danton photo
Carlos Ruiz Zafón photo
Georges Bernanos photo
Prosper-Olivier Lissagaray photo
Thomas de Quincey photo
Jean Monnet photo
Jean-Jacques Rousseau photo
Joël de Rosnay photo
Jürgen Habermas photo

“Que fait l’homme du temps qu’il lui est donné de vivre?”

Jürgen Habermas (1929) théoricien en philosophie et en sciences sociales allemand

L'Avenir de la nature humaine. Vers un eugénisme libéral ?, 2001

Stefan Zweig photo
Coluche photo

“Le blouson noir a une fonction devant les hommes, et même devant Dieu.”

Coluche (1944–1986) humoriste et comédien français

Music-hall, Le blouson noir

Pétrarque photo
Ernst Jünger photo
André Breton photo
Burrhus Frederic Skinner photo
Franz Werfel photo

“L'homme ne sait pas ce qu'il est tant qu'il n'a pas subi d'épreuves.”

Franz Werfel (1890–1945) écrivain autrichien

, 1933

Éric Dupond-Moretti photo
Robert Desnos photo
Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort photo

“[…] Les passions font vivre l’homme; la sagesse le fait seulement durer.”

Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort (1741–1794) poète, journaliste et moraliste français

Maximes et pensées

Robert Desnos photo

“Un homme sait peindre ou il ne sait pas.”

Charles Willeford (1919–1988) écrivain américain

Une fille facile, 1955

Franz Werfel photo

“L'homme ne donne que l'impulsion, l'idée.”

Franz Werfel (1890–1945) écrivain autrichien

L'étoile de ceux qui ne sont pas nés , 1945

Richard Stallman photo
Jules Guesde photo
Érik Orsenna photo
Madonna photo

“Tôt ou tard tu m'appartiendras, tôt ou tard tu t'en remettras.
Bébé il est temps que tu t'y fasses, j'obtiens toujours mon homme.
Tôt ou tard tu devras te décider, tôt ou tard tu ne pourras plus te cacher.
Bébé ne perds pas ton temps en bavardages, réglons cette affaire au plus vite!”

Madonna (1958) chanteuse américaine

Sooner or later you're gonna be mine, sooner or later you're gonna be fine.
Baby, it's time that you face it, I always get my man.
Sooner or later you're gonna decide, sooner or later there's nowhere to hide.
Baby, it's time, so why waste it in chatter? Let's settle the matter.
en
Paroles de chansons

Maxence Caron photo
August Strindberg photo
Alphonse Karr photo

“Chaque homme possède trois caractères : celui qu'il montre, celui qu'il a, celui qu'il croit avoir.”

Alphonse Karr (1808–1890) romancier et journaliste français

Voyage autour de mon jardin

Arthur Schopenhauer photo

“Tout homme blanc est un homme décoloré.”

Arthur Schopenhauer (1788–1860) philosophe allemand

Le Monde comme volonté et comme représentation, 1818-1819 et 1844

Maximilien de Robespierre photo
Suzanne Curchod photo
Jacques Ellul photo

“Un homme n'est pas une mère, voilà tout.”

Daniel Woodrell (1953) écrivain américain

Chevauchée avec le diable, 1987

Annie Le Brun photo
André Maurois photo
Thomas Mann photo
André Gernez photo

“Pour l'être théotropique qu'est l'homme, refuser Dieu serait nier le soleil pour une tête de tournesol.”

André Gernez (1923–2014) médecin français

Réponse qu'apporte la biologie à l'attente de André Malraux * On attend de la biologie qu'elle rende intelligible l'aventure de l'espèce.

Victor Hugo photo
Robert Emmet photo

“Ne laissez aucun homme écrire mon épitaphe; et, puisqu'aucun homme connaissant mes motifs n'aura aujourd'hui le cran de les justifier, ne laissez pas le parti-pris ou l'ignorance les déshonorer. Laissez-les et laissez-moi moi reposer dans l'obscurité et la paix et laissez mon nom demeurer non écrit, jusqu'à ce que d'autres temps et d'autres hommes puissent faire justice à mon personnage. Quand mon pays prendra sa place parmi les nations de la terre, alors et alors seulement, mon épitaphe pourra être écrit.”

Robert Emmet (1780–1803) révolutionnaire irlandais

Let no man write my epitaph; for as no man who knows my motives dare now vindicate them, let not prejudice or ignorance asperse them. Let them and me rest in obscurity and peace, and my name remain uninscribed, until other times and other men can do justice to my character. When my country takes her place among the nations of the earth, then, and not till then, let my epitaph be written.
<div>Phrases prononcées par le prévenu à l'issue de son procès, juste avant le prononcé de la sentence de pendaison jusqu'à ce que mort s'ensuive, sentence exécutée le lendemain.</div><div style="margin-top: 0.5em">Ces phrases ont été retenues par la postérité comme le point d'orgue d'un long discours au cours duquel Robert Emmet fut interrompu à huit reprises par le juge John Toler (1745-1831), premier comte de Norbury, auquel le <span lang="en" xml:lang="en">Courts Service of Ireland</span>, sur son site Web, associe le surnom de <span lang="en" xml:lang="en">The "Hanging Judge"</span>, c'est-à-dire « le juge pendeur ».<div style="margin-top: 0.5em">Le mot <span lang="en" xml:lang="en">dock</span> désigne, en anglais, outre ses significations liées aux activités portuaires, le banc des accusés dans la salle d'audience d'une enceinte de justice.</div><div style="margin-top: 0.5em">L'article Robert Emmet, sur la Wikipédia en anglais, rapporte l'existence d'une version alternative des trois phrases concluant le discours du dock. Selon Charles Phillips, dans son ouvrage <span lang="en" xml:lang="en">Recollections of Curran and Some of His Contemporaries</span>, publié en 1818, la teneur des propos de Robert Emmet aurait été la suivante :</div><div style="margin: 0.5em 0 0.5em 2em"><span lang="en" xml:lang="en">I am here ready to die. I am not allowed to vindicate my character; no man shall dare to vindicate my character; and when I am prevented from vindicating myself, let no man dare to calumniate me. Let my character and my motives repose in obscurity and peace, till other times and other men can do them justice. Then shall my character be vindicated; then may my epitaph be written.</span></div>
en
Wikiquote
Discours du dock

Orson Welles photo

“Dolman soulageait la détresse de son âme dans une petite cuvette de terre cuite quand il sentit une brûlure à l'épaule. « Ne pleurez plus, je suis là », dit l'Atroce en s'asseyant. Dans son émoi, Dolman heurta la cuvette contre le pot à eau, mais le Grand Profanateur le toisait sans méchanceté. L'homme eut envie de glisser à terre comme une feuille et de se laisser manger la face par l'Innombrable qu'il ne connaissait pas, ne voyait pas, mais qu'il savait tapi dans l'ombre comme un spasme dans l'émonctoire d'une femme, prêt à le briser dans un pansement de glace. Il jeta de nouvelles bûches sur le feu. « Quitte ce coin aux tentures tiquetées d’horreur », dit Dolman d'une voix gutturale. Il avait peur, et malgré lui ses lèvres proférèrent des ignominies, puis impudique, il se dévêtit en un clin d'œil et eut envie d'enjamber la face invisible. Il savait, en effet, qu'il devait essayer de chasser la Bête avant que le levain de l'ordure ne monte dans sa gorge et l'étouffe; mais il était la proie d'une étrange exaltation qui l'empêchait de prendre le moindre parti. « Je suis trop grand pour que vos yeux puissent me flairer », dit la Bête, dont l'haleine avait un goût de girofle; « vous ne pourrez jamais vous fixer en moi, le semeur démentiel, mon oméga avalerait votre cervelet d'oiseau avant que ne soit consommé le plus petit sacrilège.»”

Joyce Mansour (1928–1986) écrivaine britannique

« Le Diable ? » hasarda Dolman. « Lui-même. Le Noir. Celui qui rutile dans la pénombre. Le tabernacle exécré du Vénéneux. »
Prose, Dolman le maléfique, 1961

Charles Seignobos photo
Samuel Johnson photo

“Du docteur Goldsmith, il disait: "Aucun homme n'était plus sot quand'il n'avait pas un stylo à la main, ou plus sage quand il en avait."”

Samuel Johnson (1709–1784) écrivain anglais, poète, essayiste, biographe, lexicographe

Of Dr.Goldsmith he said, "No man was more foolish when he had not a pen in his hand, or more wise when he had.
en

Gilbert Keith Chesterton photo
Boccace photo

“Morbleu, je viens d'avoir avec elle le plaisir le plus intense qu'un homme puisse éprouver avec une femme, je peux dire que je suis allé à la campagne au moins six fois.”

Boccace (1313–1375) poète et romancier italien, ministre plénipotentiaire de la République de Florence

Neuvième journée, 6
Source: Expression érotique

Georges Bernanos photo

“L'homme c'est bien malaisé à définir. Admettons que ça reste un enfant. Gentil et câlin à ses heures, mais plein de vices.”

*, 2008, février, 23
Monsieur Ouine, dans Œuvres romanesques, Georges Bernanos, Gallimard, 1947, 315, Bibliothèque de la Pléiade
Monsieur Ouine, 1943

Shantideva photo

“L’homme naît seul et meurt seul; personne ne peut prendre une part de sa peine. Alors que sont pour lui les amis? Des entraves.”

Shantideva (685–763) philosophe indien madhyamika, une branche du bouddhisme mahāyāna

Bodhicharyavatara, Chapitre 8

Ernst Jünger photo
Roberto Saviano photo
Alfred Elton van Vogt photo
George Sand photo
Frigide Barjot photo
Xavier Forneret photo
Affaire Dreyfus photo
John Stuart Mill photo

“La valeur d'un État, à la longue, c'est la valeur des individus qui le composent; et un État qui sacrifie les intérêts de leur élévation intellectuelle à un peu plus d'art administratif - ou à l'apparence qu'en donne la pratique - dans le détail des affaires; un État qui rapetisse les hommes pour en faire des instruments dociles entre ses mains, même en vue de bienfaits, un tel État s'apercevra qu'avec de petits hommes; rien de grand ne saurait s'accomplir, et que la perfection de la machine à laquelle il a tout sacrifié n'aboutit finalement à rien, faute de cette puissance vitale qu'il lui a plu de proscrire pour faciliter le jeu de la machine.”

The worth of a State, in the long run, is the worth of the individuals composing it; and a State which postpones the interests of their mental expansion and elevation, to a little more of administrative skill, or that semblance of it which practice gives, in the details of business; a State, which dwarfs its men, in order that they may be more docile instruments in its hands even for beneficial purposes, will find that with small men no great thing can really be accomplished; and that the perfection of machinery to which it has sacrificed everything, will in the end avail it nothing, for want of the vital power which, in order that the machine might work more smoothly, it has preferred to banish.
en
De la liberté

Ilya Prigogine photo
Octave Mirbeau photo

“Il n’y a pas de pires ignorants, de pires imbéciles, de pires réactionnaires, par conséquent de plus dangereuses bêtes que ce qu’on appelle les hommes d’esprit.”

« Sur les académies » http://www.scribd.com/doc/2348134/Octave-Mirbeau-Sur-les-Academies-, Le Journal, 12 janvier 1902
Combats littéraires, 2006

Charles de Saint-Évremond photo
Albert Jacquard photo
Pierre-Marc-Gaston de Lévis photo

“Attiré par la nouveauté, mais esclave de l'habitude, l'homme passe sa vie à désirer le changement et à soupirer après le repos.”

Pierre-Marc-Gaston de Lévis (1764–1830) personnalité politique française

Maximes et réflexions sur différents sujets de morale et de politique, vol. 1, 1808, Maximes et préceptes

Louis C.K. photo

“Lorsque les filles deviennent folles, elles montrent leurs seins aux gens. Lorsque les femmes deviennent folles, elle tuent les hommes et noient leurs enfants dans la baignoire.”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

When girls go wild, they show their tits to people. When women go wild, they kill men and drown their kids in a tub.
en
Chewed Up (2008)

Howard Bloom photo

“Al Capp a observé avec amertume que "toute comédie est basée sur la délectation de l'homme face à l'inhumanité de l'homme envers l'homme."”

Howard Bloom (1943)

Le rire selon Darwin, Hobbes...
fr
Le principe de Lucifer : le cerveau global, 2003

Pierre-Marc-Gaston de Lévis photo

“L'homme d'esprit qui n'a rien publié est semblable au lingot dont la valeur n'est pas encore fixée par la marque du prince.”

Pierre-Marc-Gaston de Lévis (1764–1830) personnalité politique française

Maximes et réflexions sur différents sujets de morale et de politique, vol. 1, 1808, Pensées détachées

Charles Péguy photo
Elena Botchorichvili photo
Nicolas Machiavel photo

“Il est plus sûr d'être craint [que d'être aimé]. Car il est vrai de dire que tous les hommes sont ingrats, inconstants, dissimulés, timides, intéressés.”

Selon la traduction d'Yves Lévy : « La généralité des hommes sont ingrats, changeants, simulateurs, dissimulateurs, ennemis des dangers et avides de gain »
Le Prince, 1532

André Breton photo
George Carlin photo

“Je connais l'endroit idéal pour les logements sociaux. J'ai la solution à ce problème. Je sais où nous pouvons construire des logements pour les sans-abris : les terrains de golf! C'est parfait! Juste ce qui nous faut. Des terrains abondants, dans des beaux quartiers, des terrains qui sont actuellement gâchés par une activité débile, dépourvue de sens, et principalement pratiquée par des homme d'affaire blancs et de bonne société, qui utilisent ce jeu pour se réunir et se découper des tranches de plus en plus fines de ce pays. J'en ai marre, vraiment marre, de ces salauds de golfeurs. Avec leurs pantalons verts, et leurs pantalons jaunes, et leurs pantalons oranges, et leurs adorables petits chapeaux et leurs petites voiturettes mignonnes! Il est temps de récupérer les terrains de golf des riches et de les donner aux pauvres! Le golf est un jeu arrogant, élitiste, prenant beaucoup trop de place dans ce pays. Beaucoup trop de place dans ce pays! C'est un jeu arrogant par le principe même, la simple conception du jeu est toute arrogance. Pensez à la taille d'un terrain de golf — la balle a cette putain de taille! Pour quoi tout ces connards débiles ont-ils besoin de tant de terrain?! Il y a plus de dix-sept mille terrains de golf en Amérique, d'en moyenne plus de cent cinquante acres pièce — c'est plus de trois millions d'acres, quatre mille huit cent vingt miles carrés — on pourrait construire deux Rhode Islands et un Delaware pour les sans-abris sur ces terres actuellement gâchées par ce jeu débile, sans aucun sens, arrogant, élitiste — raciste, en voila une autre chose ; les seuls noirs aperçus au country club servent les plats. Et un jeu chiant, un jeu chiant pour des gens chiants. Vous avez déjà vu le golf à la télé? C'est comme regarder des mouches s'enculer! Et débile, complétement débile. Imaginez l’intellect nécessaire pour tirer plaisir de cette activité : taper dans une balle — avec un bâton tordu — et puis … marcher pour la retrouver! Et après, la taper de nouveau! Je dis, t'as qu'a la ramasser connard, t'as bien eu la chance de la retrouver! Mets-la dans ta poche et rentre chez toi, t'as gagné, tu l'as retrouvée! Mais non! Ducon avec sa culotte écossaise va la taper de nouveau et marcher encore! Ces salauds de riches n'ont qu'a jouer au golf miniature! Laissez les s'emmerder avec un moulin à vent pendant une bonne heure et demie! Voyons s'il y a vraiment du talent parmi ces gens. Bon, je sais qu'il y a des gens qui jouent au golf et qui ne se considèrent pas riches. Je les emmerde! Et ils devraient avoir honte de pratiquer un passe-temps aussi élitiste et arrogant.”

George Carlin (1937–2008) humoriste américain

Jammin' in New York (Improvisation à New York), 1992

Diogène de Sinope photo
Moritz Schlick photo
Cormac McCarthy photo

“Quelque part au monde il y a l'homme le plus invincible. De même il y a quelque part le plus vulnérable.”

Cormac McCarthy (1933) écrivain américain

Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme, 2005

Edgar Morin photo

“Le métis doit être l'homme de demain. C'est l'homme qui peut fonder son identité directement sur la notion d'humanité.”

Edgar Morin (1921) sociologue et philosophe français

Introduction à une politique de l'homme, 1969

Michel Foucault photo

“C'est par un état de violence permanente que le despote peut faire valoir sa volonté sur le corps social tout entier. Le despote est donc celui qui exerce en permanence — hors statut et hors la loi, mais d'une manière qui est complètement intriquée dans son existence même — et qui fait valoir d'une façon criminelle son intérêt. C'est le hors-la-loi permanent, c'est l'individu sans lien social. Le despote est l'homme seul. Le despote est celui qui, par son existence même et par sa seule existence, effectue le crime maximum, le crime par excellence, celui de la rupture totale du pacte social par lequel le corps même de la société doit pouvoir exister et se maintenir. Le despote est celui dont l'existence fait corps avec le crime, dont la nature est donc identique à une contre-nature. C'est l'individu qui fait valoir sa violence, ses caprices, sa non-raison, comme loi générale ou comme raison d'État. C'est-à-dire que, au sens strict, depuis sa naissance jusqu'à la mort, en tout cas pendant tout l'exercice de son pouvoir despotique, le roi — ou en tout cas le roi tyrannique — est tout simplement un monstre. Le premier monstre juridique que l'on voit apparaître, se dessiner dans le nouveau régime de l'économie du pouvoir de punir, le premier monstre qui apparaît, le premier monstre repéré et qualifié, ce n'est pas l'assassin, ce n'est pas le violateur, ce n'est pas celui qui brise les lois de la nature; c'est celui qui brise le pacte social fondamental. Le premier monstre, c'est le roi. C'est le roi qui est, je crois, le grand modèle général à partir duquel dériveront historiquement, par toute une série de déplacements et de transformations successives, les innombrables petits monstres qui vont peupler la psychiatrie et la psychiatrie légale du XIXe siècle.”

Michel Foucault (1926–1984) philosophe français

Les Anormaux — Cours au Collège de France, 1974-1975, Cours du 29 janvier 1975

Robert A. Heinlein photo
René Crevel photo
Blaise Pascal photo
Alexandre Soljenitsyne photo
Johann Wolfgang von Goethe photo

“Ce qui importe c'est que l'homme croie; ce qu'il croie est absolument indifférent.”

Johann Wolfgang von Goethe (1749–1832) poète, romancier, dramaturge, théoricien de l'art et homme d'État allemand
Léon Bloy photo

“Il est intolérable à la raison qu'un homme naisse gorgé de biens et qu'un autre naisse au fond d'un trou à fumier.”

Léon Bloy (1846–1917) romancier et essayiste français

Écrit intime, Mon journal, 1904

Stephen Baxter photo
Michel Houellebecq photo
Andreï Makine photo
Friedrich Hayek photo
Jacques Ellul photo

“L'homme qui pense en petit bourgeois remarque les faits directement observables et en tire aussitôt sans la moindre analyse des généralisations hâtive. Ses jugements sont subjectifs, c-à-d, qu'ils portent la marque de ses penchants personnels.”

Alexandre Zinoviev (1922–2006) écrivain russe

Le Communisme comme réalité, 1981, Pensée Idéologique et pensée scientifique, Pensée petite-bourgeoise et pensée scientifique