Citations sur traité
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“On nous avait fait le coup des aspects positifs de Vichy (bouclier, moindre mal, grandes réformes économiques et sociales…). Voilà qu’on nous refait celui du rôle positif, voire de l’œuvre humaniste, de la présence française en Afrique (équipements, santé, Savorgnan de Brazza, Lyautey, nos ancêtres les Gaulois, l’école de la République…). […] Le projet colonial, même s’il n’est pas le seul en cause et si les peuples d’Afrique n’ont pas attendu les négriers occidentaux pour pratiquer la traite des personnes et l’esclavage, est un projet pervers, fondé sur des règles qui font, en tant que telles, honte à une démocratie : Code de l’indigénat, racisme d’État, droit des races dites supérieures à gouverner les inférieures. L’idéologie coloniale, le corps de convictions et de fantasmes qui ont rendu possible la conquête militaire d’une partie du monde par une autre, n’est pas une idéologie génocidaire […] mais c’est incontestablement, en revanche, une idéologie criminelle […] : ainsi les morts de la conquête de l’Algérie par Bugeaud et Pélissier; ainsi les morts de Sétif; ainsi les victimes de la pacification de Madagascar; j’en passe. […] l’idée coloniale était, en soi, une idée perverse; l’aventure coloniale a été, en son principe, une page sombre de notre Histoire; et il y a dans le geste de ceux qui veulent réviser cette évidence, il y a dans leur aplomb, leur passion, leur enthousiasme repu de beaufs qui se lâchent, un parfum de bond en arrière que l’on n’avait pas senti depuis longtemps.”

Bernard-Henri Lévy (1948) écrivain français

À propos de la loi du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés.
Citations de BHL

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“Cette Pologne s'est trouvée reconstituée en une nation indépendante et souveraine. Son premier acte a été la violation du traité auquel elle doit sa souveraineté et sa nationalité.”

Ernst von Salomon (1902–1972) écrivain allemand

français
À propos de la Deuxième République de Pologne et du traité de Versailles .
Les réprouvés, 1931

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“Si vous êtes un jour traité de parvenu, tenez pour bien certain que vous serez arrivé.”

Sacha Guitry (1885–1957) dramaturge, acteur, metteur en scène, réalisateur et scénariste français
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“Le problème de la concurrence à l'intérieur du marché commun est un problème sérieux, est un problème grave. Seulement, ce que je souhaiterais pour ma part, c'est que ceux qui s'adressent comme vous même, qui s'adressent aux industriels, aux commerçants, à ceux qui dirigent l'économie, au lieu de leur dire que ça va mal et c'est la faute du gouvernement, leur disent : "vous avez pendant 50 ans vécu à l'abri de protections inadmissibles. Pendant 50 ans vous étiez tranquilles, chacun produisait sa petite affaire, sans savoir à quel prix de revient, et la revendait tranquillement avec son petit bénéfice. Il y avait de bonnes frontières douanières, il n'y avait aucune concurrence, et le client français était traité comme un client qui est obligé de payer ce qu'on lui donnait au prix qu'on demandait. Nous vivrons et l'économie française et les industriels et les commerçants français doivent vivre, désormais, dans la préoccupation permanente. Il s'agit de se dire qu'ils sont toujours menacés par la concurrence, qu'il faut toujours qu'ils fassent mieux, qu'il faut toujours qu'ils produisent à meilleur compte, qu'ils vendent la meilleur marchandise à meilleur prix et que c'est ça la loi de la concurrence et la seule raison d'être du libéralisme. Car si ce n'est pas ça, je ne vois pas pourquoi on se livrerait à ce genre de spéculation et pourquoi on prendrait tous ces risques et tous ces dangers. Nous serons donc en risque permanent! Et le gouvernement en est parfaitement conscient. Son rôle est de diminuer ces risques parfois, mais son rôle n'est certainement pas d'inviter les gens à la paresse en leur créant de nouvelles protections.”

Georges Pompidou (1911–1974) 2e président français de la cinquième République Française

Cité à l'occasion de l'émission « rien foutre al pais ». Déclaration faite en novembre 1967 pour justifier la suppression totale des barrière douanières au sein de la CEE.

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“Sans entrer dans des détails comme le traitement différent des "détenteurs d'Écritures" et des "infidèles", il s'adresse à son interlocuteur d'une manière étonnamment abrupte — abrupte au point d'être pour nous inacceptable, qui nous surprend et pose tout simplement la question centrale du rapport entre religion et violence en général. Il dit : «Montre-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau et tu ne trouveras que du mauvais et de l'inhumain comme ceci, qu'il a prescrit de répandre par l'épée la foi qu'il prêchait» (3). Après s'être prononcé de manière si peu amène, l'empereur explique minutieusement pourquoi la diffusion de la foi par la violence est contraire à la raison. Elle est contraire à la nature de Dieu et à la nature de l'âme. «Dieu ne prend pas plaisir au sang, dit-il, et ne pas agir selon la raison (συν λογω) est contraire à la nature de Dieu. La foi est un fruit de l'âme, non pas du corps. Celui qui veut conduire quelqu'un vers la foi doit être capable de parler et de penser de façon juste et non pas de recourir à la violence et à la menace…Pour convaincre une âme douée de raison, on n'a pas besoin de son bras, ni d'objets pour frapper, ni d'aucun autre moyen qui menace quelqu'un de mort…»”

Benoît XVI (1927) pape de l’Église catholique

français
Dialogue sur le christianisme et l’islam, que le savant empereur byzantin Manuel II Paléologue mena avec un érudit perse, en 1391 à Ankara
Discours, Sur la foi et la violence

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“Vous [Église catholique] soumettez les femmes à leurs maris en les obligeant de leur rendre les devoirs d'une chaste et fidèle obéissance, non pour assouvir leur passion, mais pour mettre des enfants au monde, et pour gouverner leur famille. Vous établissez la domination des maris sur leurs femmes, non pour traiter le sexe le plus faible avec mépris, mais pour le dominer selon les lois d'une pure et sincère affection. Vous assujettissez les enfants à leurs pères par une servitude libre. Vous donnez aux pères un empire de douceur et de bienveillance sur leurs enfants.”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

Tu feminas viris suis, non ad explendam libidinem, sed ad propagandam prolem, et ad rei familiaris societatem, casta et fideli obedientia subjicis. Tu viros conjugibus, non ad illudendum imbecilliorem sexum, sed sinceri amoris legibus præficis. Tu parentibus filios libera quadam servitute subjungis, parentes filiis pia dominatione præponis.
la
Citations de saint Augustin, Des mœurs de l'Église catholique et des mœurs des Manichéens

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“C’est en actes que je proclamerai la Loi; à quoi bon en réciter seulement les paroles? Quel bien le malade tirerait-il de la seule lecture d’un traité médical?”

Shantideva (685–763) philosophe indien madhyamika, une branche du bouddhisme mahāyāna

Bodhicharyavatara, Chapitre 5

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“Au heurt syncopé, de rail en rail, des roues, vous revoyez la gare où vous avez embarqué, promise à la démolition, sa grande verrière opacifiée à force de fiente, son ballast roux qui grisonne, la crête de ses voies ternie par un voile de rouille, les trains trop rares – quelques lignes au tableau d'affichage résumant le jour entier – pour le décaper, leurs wagons verts zébrés de filets bruns au gré du ruissellement obstiné des pluies acides, tandis que par la vitre abaissée l'air changeant de la nuit s'engouffre et dans les plis de ses turbulences apporte aux narines du voyageur étendu solitaire sur sa couchette des nouvelles des paysages invisibles à travers lesquels, immobile, il est lancé : prairies condensées en effluves humides, velouté vert des sous-bois, humus, mousses, bords d'eau croupissants, goudron des routes exhalant en vapeur nocturne les vestiges de de la chaleur du jour que vous humez encore tandis qu'un train d'autrefois vous emporte dans la nuit où des mondes endormis, muets et clos roulent à rebours de sa fuite, leur lumière venant poindre jusque contre les parois du compartiment obscur, y étirant un vitrail vacillant et momentané qui luit encore après qu'ils ont disparu du pan de ciel noir qu'encadre la fenêtre : embrasements au passage des gares désertes que l'on brûle, étoiles filantes, traits qui cinglent, galopent, balaient, consument au passage la surface d'une photo noir et blanc affichée sous verre, sous clé contre la cloison et que vous vous acharnez à regarder quoiqu'elle soit invisible dans l'obscurité et illisible sitôt qu'illuminée […].”

Anne F. Garréta (1962) romancière française

La Décomposition, 1999

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“Le vicomte avait un joli minois, les traits mous et les manières d'un jeune homme se considérant nettement comme une célébrité, mais qui, de par sa bonne éducation, offrait humblement à la société où il se trouvait l'opportunité de profiter de sa personne. À l'évidence, Anna Pavlova en régalait ses invités. Tel un maître d'hôtel qui présente comme un met sublime un morceau de bœuf qu'on n'aurait pas envie de manger si on le voyait dans une cuisine malpropre, Anna Pavlova servait le vicomte à ses hôtes, comme une chose empreinte d'un raffinement surnaturel, tandis que les messieurs qui logeaient dans le même hôtel que lui et qui jouaient tous les jours au billard en sa compagnie ne voyaient sa personne qu'un grand maître de la carambole et ne sentaient pas particulièrement heureux de fréquenter le vicomte ni de lui parler. […] le vicomte fut servi à toute la compagnie sous l'éclairage le plus élégant et le plus avantageux pour lui, tel un rosbif parsemé de persil et posé sur un plat chaud.”

Виконт был миловидный, с мягкими чертами и приемами, молодой человек, очевидно считавший себя знаменитостью, но, по благовоспитанности, скромно предоставлявший пользоваться собой тому обществу, в котором он находился. Анна Павловна, очевидно, угощала им своих гостей. Как хороший метрд`отель подает как нечто сверхъестественно-прекрасное тот кусок говядины, который есть не захочется, если увидать его в грязной кухне, так в нынешний вечер Анна Павловна сервировала своим гостям сначала виконта, потом аббата, как что-то сверхъестественно утонченное. [...] виконт был подан обществу в самом изящном и выгодном для него свете, как ростбиф на горячем блюде, посыпанный зеленью.
ru
Guerre et Paix, 1865 - 1869

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“Dolmancé : […] c'est pour nous sauver tous, assure l'imbécile [Jésus], qu'il a pris chair, quoique dieu, dans le sein d'une enfant des hommes; et les miracles éclatants qu'on va lui voir opérer, en convaincront bientôt l'univers! Dans un souper d'ivrognes, en effet, le fourbe change, à ce qu'on dit, l'eau en vin; dans un désert, il nourrit quelques scélérats avec des provisions cachées que ses sectateurs préparèrent; un de ses camarades fait le mort, notre imposteur le ressuscite; il se transporte sur une montagne, et là, seulement devant deux ou trois de ses amis, il fait un tour de passe-passe dont rougirait le plus mauvais bateleur de nos jours. Maudissant d'ailleurs avec enthousiasme tous ceux qui ne croient pas en lui, le coquin promet les cieux à tous les sots qui l'écouteront. Il n'écrit rien, vu son ignorance; parle fort peu, vu sa bêtise; fait encore moins, vu sa faiblesse, et, lassant à la fin les magistrats, impatientés de ses discours séditieux, quoique fort rares, le charlatan se fait mettre en croix, après avoir assuré les gredins qui le suivent que, chaque fois qu'ils l'invoqueront, il descendra vers eux pour s'en faire manger. On le supplicie, il se laisse faire. Monsieur son papa, ce Dieu sublime, dont il ose dire qu'il descend, ne lui donne pas le moindre secours, et voilà le coquin traité comme le dernier des scélérats, dont il était si digne d'être le chef.”

La philosophie dans le boudoir, 1795

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“Vos traitements préventifs et curatifs ont un gros défaut pour notre société : ils sont peu onéreux.”

André Gernez (1923–2014) médecin français

Allocution formulée à l'occasion de la remise de la Grande médaille d'or par la société d'encouragement au progrès au Docteur Gernez le 26 octobre 2012 au Sénat.
Enquêtes de santé, 2013

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“Prise dans son ensemble, l'œuvre de la nation conquérante, mélangée de bien et de mal et très complexe dans ses effets comme toutes les œuvres humaines, n'a pas eu pour résultante générale la diminution et l'abaissement des indigènes. Sans doute il s'est trouvé des hommes pour demander que la loi du talion historique soit appliquée aux Arabes et qu'ils soient « refoulés » vers le désert, comme ils refoulèrent jadis les Berbères vers les montagnes. En beaucoup d'endroits du Tell et aux alentours des villes ces procédés de « refoulement » ont même été mis en pratique, d'une manière indirecte et légale, « par voie d'expropriation pour cause d'utilité publique »; mais la plupart des Arabes sont encore en possession de leurs terres, et la part qui leur est restée serait largement suffisante pour les nourrir si elle appartenait aux cultivateurs eux-mêmes, et non pas à de grands chefs, vrais possesseurs sous le nom de la tribu. En dépit des injustices et des cruautés qui accompagnent toute prise de possession violente, la situation des Arabes n'a point empiré; celle des Kabyles, des Biskri, des Mzabites s'est améliorée, grâce à l'extension qui a été donnée à leurs industries et à leur commerce. L'Algérie a beaucoup plus reçu de la France qu'elle ne lui a rendu, et les habitants du pays, quoique non traités en égaux, ont à maints égards gagné en liberté depuis l'époque ou commandait le Turc.”

Élisée Reclus (1830–1905) géographe, écrivain et anarchiste français

Sur la colonisation de l'Algérie
Nouvelle géographie universelle: la terre et les hommes, 1881

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“Georges Ricard-Cordingley est le seul peintre de marine qui ait vu le jour à Lyon : c’est un artiste de l’école lyonnaise par son goût de l’ésotérisme, le rôle donné à l’art dans ses écrits, autant que par sa sensibilité à la brume, ses tons délicats, ses harmonies subtiles. Voici l’homme : mélange de retenue, de modération, de finesse, d’absence d’audace apparente dans la traduction des sentiments et émotions, traits communs à Orsel comme aux Flandrin. Issu d’un père dénommé Ricard (plusieurs artistes sans liens de parenté portent alors ce nom) et d’une mère anglaise née Cordingley, il mêle pour se distinguer les deux « patronymes » dans sa signature d’artiste. Ricard-Cordingley a été désigné comme peintre des gris colorés, tons que l’on retrouve dans le style nuancé des deux écoles et dans l’atmosphère des deux villes, Lyon et Londres, où son renom débuta. Les deux autres pôles où il séjourna sont Boulogne-sur-Mer et Cannes. Des brumes matinales de la mer du Nord aux brumes crépusculaires de la Côte d’Azur il existait un lien et son œuvre se complaira dans l’incertain et l’indéterminé que traduit si bien ce « bilinguisme» artistique aux émotions douces et tendres. Si le « can’t » est la règle, la mesure est la seule loi de son harmonie. Il n’est jusqu’à sa passion pour l’aquarelle qui n’aille des tons purs de Constable aux pâleurs opalines d’un Ravier. Son dessin est subtil encore : crayon gras au Maroc et haute montagne, il épouse le fusain dès qu’il est question de la mer. Le fusain avec sa lumière d’ombre est l’indispensable technique au rendu des soirs, la voie du mystère. Différente ou plutôt diverse, à l’huile, à l’aquarelle, au fusain, son œuvre porte la marque du rêve qui en fait l’unité. Après la destruction de son atelier en 1940 à Boulogne-sur-Mer par fait de guerre, que reste-t-il de ses créations, de ses portraits de jeunesse qui enchantaient la « gentry », des grandes décorations, dont celle du casino de Wimereux, détruit lui aussi. Pour juger ses ambitions et ses rêves il ne demeure qu’environ deux cent cinquante études, encore moins d’aquarelles et de dessins en dehors des tableaux vendus de son vivant. Il subsiste cependant un « liber veritatis » où cet angoissé de perfection a noté, croquis et aquarelles à l’appui, tout ce que marchands et collectionneurs ont éparpillé dans le monde. Le jour viendra-t-il où la blanche nef des rêves mystiques lyonnais et les falaises claires de la légendaire Albion se joindront dans un commun hommage à leur concitoyen trop oublié.”

Georges Ricard-Cordingley (1873–1939) peintre français

Sur Cordingley

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“Vous [Église catholique] enseignez aux serviteurs de ne s'attacher pas tant à leurs maîtres par la nécessité de leur condition que par le plaisir de les servir. Vous obligez les maîtres de traiter doucement leurs serviteurs, en considération de leur Maître commun qui est Dieu, et vous faites qu'ils sont plus portés à les instruire qu'à les châtier.”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

Tu dominis servos non tam conditionis necessitate quam officii delectatione doces adhærere. Tu dominos servis summi Dei communis Domini consideratione placabiles et ad consulendum quam cœrcendum propensiores facis.
la
Citations de saint Augustin, Des mœurs de l'Église catholique et des mœurs des Manichéens

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“Il prend un verre, elle rentre à l'intérieur,
Il se met à hurler, les vases volent dans la pièce,
Il espère qu'elle ne se mette pas à pleurer,
Il n'est plus amoureux d'elle.
[…]
Elle n'en peut plus, elle tire un trait
Mais elle reviendra et elle le sait,
Une chance de tout recommencer, jusqu'à ce que la mort nous sépare.”

Madonna (1958) chanteuse américaine

He takes a drink, she goes inside,
He starts to scream, the vases fly
He wishes that she wouldn't cry
He's not in love with her anymore.
[…]
She's had enough, she says the end,
But she'll come back, she knows it then,
A chance to start it all again, till death do us part.
en
Paroles de chansons

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“Alors à partir de l'âge de dix ans j'ai fait de l'anorexie, puis de la boulimie, et je suis restée ainsi pendant vingt ans, jusqu'à ce que je me suis dit un jour, Tiens, et si c'est tout? Et si ceci est juste ce dont j'ai l'air, et rien que je fais ne le changera? Donc combien de temps j'épargnerais si je cessais de prendre cette seconde à chaque fois que je me vois dans un miroir pour me traiter de grosse laide? Combien de temps j'épargnerais si je me laissais passer une fenêtre sans contracter mon abdomen et redresser les épaules? Combien de temps j'épargnerais? Et il en sorte que j'épargne 97 minutes par semaine. Je peux prendre un cours de poterie.”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

So from the age of 10, I became anorexic, and then bulimic, and then stayed that way for about twenty years, until one day I just said, Hey, what if this is it? What if this is just what I look like, and nothing I do changes that? So how much time would I save if I stopped taking that extra second every time I look in the mirror to call myself a big fat fuck? How much time would I save if I just let myself walk by a plate-glass window without sucking in my gut and throwing back my shoulders? How much time would I save? And it turns out I save about 97 minutes a week. I can take a pottery class.
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Notorious C.H.O.