Citations sur homme
Page 11

Georges Jacques Danton photo

“Je ne parle pas sur le fond de la discussion. Mais je vous observe que chez un peuple qui devient vraiment grand, il ne doit plus être question de ces égards pour de prétendus grands hommes.”

Georges Jacques Danton (1759–1794) avocat, homme politique et révolutionnaire français

Contre l'absence de l'abbé Sieyes, auteur d'une proposition de loi en faveur de deux chambres, 20 juin 1791
Discours

Jean-Jacques Rousseau photo
Roberto Saviano photo
André Breton photo
Wassyl Slipak photo
Frédéric Beigbeder photo
André Breton photo
Jean Rohou photo

“Hardis dans leurs passions, les hommes sont souvent lâches dans les épreuves, qu'il faudrait au contraire assumer avec courage. Car Dieu nous les impose pour que nous méritions notre pardon et apprenions la sagesse, garante de bonheur.”

Jean Rohou (1934) écrivain et universitaire breton

Il est ici questions du point de vu exposé dans les tragédies de Garnier.
La Tragédie classique, 1996, Les tragédies de Garnier (1568-1583)

Élisabeth Roudinesco photo
Francis Scott Fitzgerald photo
Sigmund Freud photo
Joe Haldeman photo
Albert Einstein photo
Wassyl Slipak photo
Victor Hugo photo
Nicolas Machiavel photo
Fritz Lang photo

“Le Cinemascope n'est pas un format fait pour filmer les hommes, mais les serpents ou les enterrements.”

Fritz Lang (1890–1976) cinéaste américain d'origine autrichienne

De Fritz Lang

Frédéric Bastiat photo
Jean-Christophe Rufin photo
Klemens Wenzel von Metternich photo
Platon photo
Rocé photo
Léon Blum photo
Marcel Conche photo
Stephen King photo
Jean Raspail photo
Emil Cioran photo
Émile Durkheim photo

“Il est rare que les hommes sachent pourquoi ils agissent.”

James Crumley (1939–2008) écrivain américain

Un pour marquer la cadence, 1969

Simone Weil photo
Henry David Thoreau photo
Charles Baudelaire photo

“Être un homme utile m'a toujours paru quelque chose de bien hideux.”

Charles Baudelaire (1821–1867) poète français

Mon cœur mis à nu
Variante: Être un homme utile m'a paru toujours quelque chose de bien hideux.

Jean Meslier photo
Dino Buzzati photo
Raymond Abellio photo
J. M. G. Le Clézio photo
Paul Lafargue photo
Renaud Camus photo
Antoine Prost photo
Arthur Honegger photo
Pline l'Ancien photo
Jacques Bainville photo
Napoléon Bonaparte photo
Alphonse de Lamartine photo
Léon Tolstoï photo
Maximilien de Robespierre photo
Gaston Kelman photo
Maximilien de Robespierre photo
Harlan Coben photo
Georges Bataille photo
Tzvetan Todorov photo
Mike Resnick photo
Paul Éluard photo
Octave Gréard photo
Allan Kardec photo

“Un des premiers résultats de mes observations fut que les Esprits, n’étant autres que les âmes des hommes, n’avaient ni la souveraine sagesse ni la souveraine science; que leur savoir était borné au degré de leur avancement, et que leur opinion n’avait que la valeur d’une opinion personnelle. Cette vérité, reconnue dès le principe, me préserva du grave écueil de croire à leur infaillibilité, et m’empêcha de formuler des théories prématurées sur le dire d’un seul ou de quelques-uns. Le seul fait de la communication avec les Esprits, quoi qu’ils puissent dire, prouvait l’existence d’un monde invisible ambiant; C’était déjà un point capital, un champ immense ouvert à nos explorations, la clef d’une foule de phénomènes inexpliqués; le second point, non moins important, était de connaître l’état de ce monde, ses mœurs, si l’on peut s’exprimer ainsi; je vis bientôt que chaque Esprit, en raison de sa position personnelle et de ses connaissances, m’en dévoilait une phase, absolument comme on arrive à connaître l’état d’un pays en interrogeant les habitants de toutes les classes et de toutes les conditions, chacun pouvant nous apprendre quelque chose, et aucun, individuellement, ne pouvant nous apprendre tout; c’est à l’observateur de former l’ensemble à l’aide des documents recueillis de différents côtés, collationnés, coordonnés et contrôlés les uns par les autres. J’agis donc avec les Esprits, comme je l’aurais fait avec des hommes; ils furent pour moi, depuis le plus petit jusqu’au plus grand, des moyens de me renseigner et non des révélateurs prédestinés.”

Allan Kardec (1804–1869) pédagogue français et fondateur de la philosophie spirite
Albert Camus photo
Victor Hugo photo
Georges Bernanos photo
Raphaël Aloysius Lafferty photo

“L'homme n'est l'homme que lorsqu'il est un rameau de l'humanité.”

Raphaël Aloysius Lafferty (1914–2002) écrivain américain

Autobiographie d'une machine ktistèque, 1974

Marguerite Yourcenar photo
Alfred Elton van Vogt photo
Claude Lévi-Strauss photo
Arthur C. Clarke photo
Jean-Jacques Rousseau photo
Jean le Rond D'Alembert photo
Ernest Renan photo
Andrew Coburn photo

“Il n'y a pas un homme politique vivant qui n'ait de la merde sur la conscience.”

Andrew Coburn (1932–2018) écrivain américain

Toutes peines confondues, 1985

Boris Vian photo

“Ce qui m'intéresse, ce n'est pas le bonheur de tous les hommes, c'est celui de chacun.”

L'Écume des jours
L'Écume des jours, 1947
Variante: Ce qui m'interesse, ce n'est pas le bonheur de tous les hommes, c'est celui de chacun.

Tim Willocks photo
Confucius photo

“L'honnête homme souffre de son incompétence.”

Confucius (-551–-479 avant J.-C.) penseur et philosophe chinois
Coluche photo
Jack Vance photo

“En se définissant, au fond, l'homme religieux s'explique.”

Citations de ses romans, Le Wankh, 1969

Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort photo

“L’homme vit souvent avec lui-même, et il a besoin de vertu; il vit avec les autres, et il a besoin d’honneur.”

Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort (1741–1794) poète, journaliste et moraliste français

Maximes et pensées

Joseph Goebbels photo

“Hitler est là. Ma joie est grande. Il me salue comme un vieil ami. Et très attentionné à mon égard. Que je l'aime! Quel homme!”

Joseph Goebbels (1897–1945) Ministre allemand à l’Éducation du peuple et à la Propagande sous le Troisième Reich

de
Extrait du Journal tenu par Goebbels

Maria-Antonietta Macciocchi photo

“Nous avons fait à Vincennes un travail collectif sur, c'est-à-dire, contre le fascisme : éléments d'une analyse nouvelle, soutenue par des sciences elles aussi re-nouvelées, dans une réalité ré-actualisée. Nous nous sommes aperçus que ces questions dépassaient les murs d'une université française : c'est l'homme de la rue qui est concerné avec son ignorance et son pressentiment du fascisme.
Urgence politique, plus qu'historique ? Oui, dans un certain sens. Après 1968, les jeunes générations se sont aperçues que la fascisme n'avait pas disparu avec la guerre mondiale et la défaite militaire. […] Cette génération n'a pas vu surgir la révolution mais la contre-révolution, et le fascisme lui est apparu comme le danger du présent et non comme le spectre du passé. D'un coup, elle s'est aperçue qu'elle était démunie d'éléments d'analyse. Qu'est-ce que le fascisme ? Pourquoi le mouvement ouvrier a-t-il échoué face au fascisme ? Comme Gramsci s'interrogeait lui-même : « Pourquoi avons-nous perdu ? » Quel a été le véritable impact populaire du fascisme ? Quels chemins emprunte-t-il pour rallier le consensus des masses ? Quelles pulsions peuvent amener les hommes à agir contre leurs propres intérêts, y compris économiques ? Jusqu'à quel point n'a-t-il pas représenté la convergence sinistre d'une acceptation (résignée ou non) des masses avant tout petites-bourgeoises, et non seulement la confluence des éléments les plus réactionnaires d'une dictature capitaliste ? […]
Il me semble que la validité de ce travail théorique est déterminée par sa confrontation avec l'explosion d'une vitalité révolutionnaire que, depuis 1968, il devient de plus en plus difficile d'étouffer : reconnaissance de la théorie marxiste, de la libre discussion et du libre-débat d'une stratégie révolutionnaire, comprenant aussi bien : la libération de la femme, la politisation de la question sexuelle, la contraception, le divorce, la mise en question du système psychiatrique et pénitentiaire, le développement parmi les jeunes d'une nouvelle sensibilité, de nouveaux désirs qui témoignent d'un refus de plus en plus radical de la société capitaliste. Explosion qui pose sous d'autres formes la question de comprendre l'immense refoulement qui est à la base du fascisme. […]”

Maria-Antonietta Macciocchi (1922–2007) femme politique

Eléments pour une analyse du fascisme

Gilbert du Motier de La Fayette photo
Jules Michelet photo
Stefan Zweig photo
James Joyce photo
Franz Werfel photo
Anne Calife photo
Marguerite Yourcenar photo
Jean-François Deniau photo
Jean-Jacques Rousseau photo
Daniel J. Boorstin photo
Abel Bonnard photo
Alphonse de Lamartine photo
Confucius photo
Cormac McCarthy photo
Coluche photo
Paul Léautaud photo
William Faulkner photo
Vladimir Boukovsky photo