Citations sur données
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“Fort recherchée pour son esprit et sa beauté, elle avait institué à Lausanne, que sa famille était venue habiter pour elle, une Académie des Eaux où la jeunesse des deux sexes se livrait à des exercices littéraires que ne distinguait pas toujours la simplicité. Sous les auspices de Thémire — c’est le nom qu’elle s’était donné, — les cimes alpestres qui couronnent le lac de Genève et les riantes campagnes du pays de Vaud avaient vu renaître les fictions de l’ Astrée jadis enfantées dans la fièvre des grandes villes. Cette éducation à la fois simple et hardie, grave et aimable, fondée sur une large base d’études et ouverte à toutes les inspirations, même à celles de la fantaisie, avait été également celle de Germaine. Toute jeune, Germaine avait sa place aux vendredis de sa mère, sur un petit tabouret de bois où il lui fallait se tenir droite sans défaillance; elle entendait discourir sur la vertu, les sciences, la philosophie, Marmontel, Morellet, D’Alembert, Grimm, Diderot, Naigeon, Thomas, Buffon, se prêtait aux questions qu’on prenait plaisir à lui adresser, — non sans chercher parfois à l’embarrasser, — et se faisait rarement prendre en défaut. Mme Necker lui apprenait les langues, la laissait lire à son gré, la conduisait à la comédie. À onze ans elle composait des éloges, rédigeait des analyses, jugeait l’ Esprit des lois; l’abbé Raynal voulait lui faire écrire, pour son Histoire philosophique des établissements et du commerce des Européens dans les deux Indes, un morceau sur la révocation de l’Édit de Nantes; elle adressait à son père, à l’occasion du Compte rendu de 1781, un mémoire où son style la trahissait. La poésie n’avait pas pour elle moins d’attraits. Envoyée à la campagne pour rétablir sa santé loin des livres et des entretiens, elle parcourait les bosquets avec son amie, Mlle Huber, vêtue en nymphe, déclamait des vers, composait des drames champêtres et des élégies.”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

Il est ici question de l'opinion du quotidien de Suzanne Necker.
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Madame Necker

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“L’opinion d’un artiste doit être la foi dans les œuvres… et son seul moyen de succès, le travail quand la nature lui a donné le feu sacré.”

Honoré de Balzac (1799–1850) romancier, critique littéraire, essayiste, journaliste et écrivain français

Les Comédiens sans le savoir 1846

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“Les guerres de religion sont toujours une providence pour les criminels. La violence tout à coup devient sainte; pourvu qu’ils sachent mimer la dévotion, au moins en paroles, licence leur est donnée par un Dieu d’accomplir les infamies dont ils ont longtemps rêvé.”

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Rouge Brésil, 2001
Variante: Les guerres sont toujours une providence pour les criminels. La violence tout à coup devient sainte; pourvu qu'ils sachent mimer la dévotion, au moins en paroles, licence leur est donnée par un Dieu d'accomplir les infamies dont ils ont longtemps rêvé.
(Partie IV Sienne, Ch. 3)

“On l'offre toujours volontiers à Tamata. C'est le surnom qu'ils m'ont donné. En paumotu, Tamata veut dire "essayer" ou "pourquoi pas."”

Bernard Moitessier (1925–1994) navigateur et écrivain français

Tamata et l'Aliance, 1993

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“La sagesse veut qu’en certaines rencontres on donne beaucoup au hasard; la raison elle-même conseille alors de suivre je ne sais quels mouvements ou instincts aveugles au-dessus de la raison, et qui semblent venir du Ciel.”

Louis XIV (1638–1715) roi de France et de Navarre de 1643 à 1715

Raccourcissement de : [La sagesse veut qu’en certaines rencontres on donne beaucoup au hasard ; la raison elle-même conseille alors de suivre je ne sais quels mouvements ou instincts aveugles au-dessus de la raison, et qui semblent venir du Ciel, connus à tous les hommes, et plus dignes de considération en ceux qu’il a lui-même placés au premier rang.]
Mémoires pour l’instruction du Dauphin, Volume 2

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“Engels, dans l' Origine de la Famille, n'hésite pas à faire de l'amour sexuel individuel, né de cette forme supérieure des rapports sexuels qu'est la monogamie, le plus grand progrès moral accompli par l'homme dans les temps modernes. Quelque entorse qu'on cherche aujourd'hui à faire subir à la pensée marxiste sur ce point comme sur tant d'autres, il est indéniable que les auteurs du Manifeste communiste n'ont cessé de s'élever contre les espoirs de retour aux rapports sexuels « désordonnés » qui marquèrent l'aube de l'histoire humaine. La propriété privée une fois abolie, « on peut affirmer avec raison, déclare Engels, que loin de disparaître, la monogamie sera plutôt pour la première fois réalisée ». Dans le même ouvrage il insiste à plusieurs reprises sur le caractère exclusif de cet amour qui, au prix de quels égarements – j'en sais de misérables et de grandioses – s'est enfin trouvé. Cette vue sur ce que peut sans doute présenter de plus agitant la considération du devenir humain ne peut être corroborée plus nettement que par celle de Freud pour qui l'amour sexuel, tel même qu'il est déjà donné, rompt les liens collectifs créés par la race, s'élève au-dessus des différences nationales et des hiérarchies sociales, et, ce faisant, contribue dans une grande mesure au progrès de la culture. Ces deux témoignages, qui donnent la conception de moins en moins frivole de l'amour pour principe fondamental au progrès moral aussi bien que culturel, me sembleraient à eux seuls de nature à faire la part la plus belle à l'activité poétique comme moyen éprouvé de fixation du monde sensible et mouvant sur un seul être aussi bien que comme force permanente d'anticipation.”

Sigmund Freud (1856–1939) médecin, neurologue et psychanalyste autrichien, fondateur de la psychanalyse

112, L'Amour fou/Gallimard-Folio
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“Cet exemple illustre les différences dans les effets qui peuvent résulter de la recherche en science pure ou appliquée. La recherche en science appliquée aurait sans aucun doute conduit à l'amélioration et au développement des anciennes méthodes; la recherche en science pure nous a donné une méthode entièrement nouvelle et beaucoup plus puissante. En fait, la recherche en science appliquée conduit à des réformes, la recherche en science pure conduit à des révolutions et les révolutions, qu'elles soient politiques ou industrielles, sont des choses très rentables si l'on est du côté des gagnants.”

Joseph John Thomson (1856–1940) physicien anglais

This example illustrates the differences in the effects which may be produced by research in pure or applied science. A research on the lines of applied science would doubtless have led to improvement and development of the older methods — the research in pure science has given us an entirely new and much more powerful method. In fact, research in applied science leads to reforms, research in pure science leads to revolutions, and revolutions, whether political or industrial, are exceedingly profitable things if you are on the winning side.
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Citation rapportée

“Les fantasmes de ma vie amoureuse interfèrent naturellement avec la représentation objective de ma partenaire et de moi-même, mais cette interférence prend la forme d'un découpage ou d'une adjonction imaginaire dans une visée qui transcende autrui, et donc le méconnaît ici et maintenant. Cette méconnaissance d'autrui est inséparablement méconnaissable de moi-même. Il existe une autre catégorie de fantasmes qui n'interfèrent pas mais me font accéder à la prise de moi-même et d'autrui. Ici, je suis tout à la fois sujet et mâle, possesseur et possédé, égal et différent, je prends et je donne merveilleusement plaisir.”

Jean Zurfluh (1927) écrivain français

Réponse de Jean Zurfluh à l'interrogation suivante : Comment [vos représentations érotiques] interfèrent-elles avec la représentation objective que vous avez de votre partenaire ? De vous-même ? De ce qui vous entoure ? — Il est clairement question d'une enquête initiée par la revue surréaliste La Brèche en décembre 1964. [Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, Jean Zurfluh, La Brèche, 7, Décembre 1964, 100]
Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, 1964

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“[…] cette confusion des lieux de peur et des lieux de plaisir dans l'imaginaire européen, qui donne à chacun l'occasion de se rendre fantasmatiquement maître de l'espace destiné à l'asservissement du nombre, préfigure paradoxalement la fête révolutionnaire alors conçue comme « l'éveil d'un sujet collectif qui naît à lui-même, et qui se perçoit en toutes ses parties, en chacun de ses participants ». Et quand la première fête révolutionnaire aurait été la prise de la Bastille, c'est-à-dire la prise de possession collective d'un lieu clos ou bien l'abolition d'un décor qui sépare, le roman noir propose la même fête, mais à l'intérieur d'un décor où la séparation ne se serait maintenue que pour exalter la souveraineté de tous ceux qui s'en rendent fantasmatiquement maîtres. Ainsi niant à la fois le caractère exclusif de la fête aristocratique et le caractère collectif de la fête révolutionnaire, l'architecture noire ouvre un espace de subversion où le nombre délimite négativement le champ d'affirmation de l'unique pour en faire une prison, de même que l'unique y vient nier la possibilité d'un plaisir partagé, excluant tout ce qui s'oppose à sa propre satisfaction. Car illustrant l'idée fort répandue en cette fin de siècle que « l'extrême liberté de quelques-uns attente à la liberté de tous », les demeures du roman noir exposent aussi que la liberté de tous porte atteinte à la liberté de chacun dont elles esquissent les perspectives illimitées.”

Annie Le Brun (1942) poétesse française

Annie Le Brun cite ici à deux reprises Jean Starobinski (in l'Invention de la liberté).
Essai critique, Les châteaux de la subversion, 1982

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“Et à la fin, tu prends autant d'amour que tu en as donné”

Paul McCartney (1942) Auteur-compositeur-interprète britannique

And in the end, the love you take is equal to the love you make
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“Un arabe arrêté pour corruption de fonctionnaire; il avait donné un sucre à un chien policier.”

Coluche (1944–1986) humoriste et comédien français

Music-hall, Revue de presse

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“Certes Rousseau est de bonne foi quand il répète : « J’étudie ce qui est; c’est mon principe; il me fournit la solution de toutes les difficultés »; mais il n’est pas moins sincère quand, parti de l’observation de la nature, il se laisse entraîner dans le rêve. Il a rêvé toute sa vie pour lui-même comme pour les autres. Dans le premier voyage qu’il fît de Genève à Annecy, il raconte qu’il ne voyait pas un château à droite ou à gauche, sans aller chercher l’aventure qu’il se croyait sûr d’y trouver. Il n’osait ni entrer ni heurter; mais il chantait sous la fenêtre qui avait le plus d’apparence, fort surpris, après s’être époumoné, de ne voir paraître ni dame, ni demoiselle qu’attirai la beauté de sa voix ou le sel de ses chansons. S’il marchait par la campagne, il imaginait « dans les maisons des festins rustiques; dans les prés, de folâtres jeux; le long des eaux, des bains et des promenades; sur les arbres, des fruits délicieux; sous leur ombre, de voluptueux tête-à-tête; sur les montagnes, des cuves de lait et de crème, une oisiveté charmante, la paix, la simplicité, le plaisir d’errer sans savoir où : rien ne frappait ses yeux sans porter à son cœur quelque invention de jouissance. » La première fois qu’il vint à Paris, il se figurait « une ville aussi belle que grande, où l’on ne voyait que de superbes rues, des palais de marbre et d’or. » Lorsqu’il retraçait ces illusions trente ans après, il en souriait; mais elles étaient là encore, dans un repli de son imagination, toutes fraîches, prêtes à renaître; et il n’est point bien sûr qu’il n’en eût pas, tout en se moquant un peu de lui-même, la réminiscence émue. C’est cette puissance d’imagination qui donne tant de vie au cinquième livre de l’Émile.”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Jean-Jacques Rousseau

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“Or quand l'esprit est soumis à Dieu, c'est avec justice qu'il commande au corps, et que dans l'esprit même, la raison commande aux passions. Lors donc que l'homme ne sert pas Dieu, quelle justice peut-il y avoir en l'homme, puisque ce n'est que le service qu'il lui rend qui donne droit à l'esprit de commander au corps, et a la raison de gouverner les passions? Et s'il n'y a point de justice en un homme de cette sorte, certainement il n'y en aura point non plus en une assemblée composée de tels hommes. II n'y aura donc point aussi de droit dont ils conviennent, et qui leur donne le nom de peuple, et par conséquent point de République.”

Serviens autem Deo animus recte imperat corpori, inque ipso animo ratio Deo Domino subdita recte imperat libidini vitiisque ceteris. Quapropter ubi homo Deo non servit, quid in eo putandum est esse justitiæ? quando quidem Deo non serviens nullo modo potest juste animus corpori aut humana ratio vitiis imperare. Et si in homine tali non est ulla justitia, procul dubio nec in hominum cœtu, qui ex hominibus talibus constat. Non est hic ergo juris ille consensus, qui hominum multitudinem populum facit, cujus res dicitur esse res publica .
la
Citations de saint Augustin, La Cité de Dieu

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“Certes Rousseau est de bonne foi quand il répète : « J’étudie ce qui est; c’est mon principe; il me fournit la solution de toutes les difficultés »; mais il n’est pas moins sincère quand, parti de l’observation de la nature, il se laisse entraîner dans le rêve. Il a rêvé toute sa vie pour lui-même comme pour les autres. Dans le premier voyage qu’il fît de Genève à Annecy, il raconte qu’il ne voyait pas un château à droite ou à gauche, sans aller chercher l’aventure qu’il se croyait sûr d’y trouver. Il n’osait ni entrer ni heurter; mais il chantait sous la fenêtre qui avait le plus d’apparence, fort surpris, après s’être époumoné, de ne voir paraître ni dame, ni demoiselle qu’attirai la beauté de sa voix ou le sel de ses chansons. S’il marchait par la campagne, il imaginait « dans les maisons des festins rustiques; dans les prés, de folâtres jeux; le long des eaux, des bains et des promenades; sur les arbres, des fruits délicieux; sous leur ombre, de voluptueux tête-à-tête; sur les montagnes, des cuves de lait et de crème, une oisiveté charmante, la paix, la simplicité, le plaisir d’errer sans savoir où : rien ne frappait ses yeux sans porter à son cœur quelque invention de jouissance. » La première fois qu’il vint à Paris, il se figurait « une ville aussi belle que grande, où l’on ne voyait que de superbes rues, des palais de marbre et d’or. » Lorsqu’il retraçait ces illusions trente ans après, il en souriait; mais elles étaient là encore, dans un repli de son imagination, toutes fraîches, prêtes à renaître; et il n’est point bien sûr qu’il n’en eût pas, tout en se moquant un peu de lui-même, la réminiscence émue. C’est cette puissance d’imagination qui donne tant de vie au cinquième livre de l’Émile.”

Jean-Jacques Rousseau (1712–1778) philosophe, compositeur et critique musical genevois
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“Rien ne donne autant le sentiment de l'infinitude que la bêtise.”

Ödön von Horváth (1901–1938) écrivain autrichien

Nichts gibt so sehr das Gefühl der Unendlichkeit als wie die Dummheit.
de

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“Un trou dans l'image paternelle a toujours donné lieu à une violence non régulée.”

Amanda Sthers (1978) auteur dramatique, scénariste, parolière

Les Érections américaines (2013)

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“Je suis un fonctionnaire. Je donne mon avis aux gens. Ensuite ce sont eux qui pensent.”

Les Annales du Disque-monde, Le cinquième éléphant, 1999

“Les nouvelles connaissances des objets d'étude ne viennent pas de l'observation, ni de l'expérimentation (comme cela se passe au niveau empirique), mais des jugements logiques dans le cadre d'une théorie donnée ou nouvellement développée”

Alexandre Zinoviev (1922–2006) écrivain russe

c'est-à-dire, de groupes spéciaux de concepts et de rapports unis par des règles de la logique
New knowledge [of] the objects of investigation comes not through observation and experiment (as happens on the empirical level) but through logical judgments in the framework of a given or newly developed theory (i.e., special groups of concepts and statements united by rules of logic)
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Problems of the Logic of Scientific Knowledge, 1964

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“Pendant que les maçons étendent silencieusement et systématiquement leur influence, des conférences sont données sur des thèmes chers aux maçons, des scientifiques en vue sont gagnés à eux, des liens sont forgés avec d'autres loges et le résultat désiré est achevé, d'abord la neutralité, puis l'union avec la Maçonnerie mondiale. Cela vous surprendra peut-être d'apprendre que les hauts-grades de cette loge sont dupliqués. Au-dessus du Grand Maître, utilisé comme une façade, il ya un homme que l'on ne voit jamais qui occupe réellement une position beaucoup plus haute dans la maçonnerie mondiale, usant et dirigeant son "système de l'ombre" pour exercer sa domination.”

Felix Kersten (1898–1960) médecin allemand

Meanwhile however the Masons are quietly and systematically extending their influence; lectures are given on themes dear to Masons; prominent scientists are won over; links are forged with other lodges and the desired result is achievede; at first neutrality, then union with World Masonry. It will perhaps surprise you to learn that the higher grades of this lodge are duplicated. Beside the Grand Master, needed as an advertisement, there is a man never seen who really occupies a far highter position in World Masonry, using and directing this "sadow system" in a masterly way.
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Faisant référence à la Grande loge de Prusse

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“Si l'arbre ne donne pas de fruits, qu'on le coupe.”

Raphaël Aloysius Lafferty (1914–2002) écrivain américain

, 1968

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“Je trouve dégoûtant que, vu que les démocrates n'ont pas fait leur boulot en tant qu'opposition qui se vaut, les Français sont à présent les nouveaux démocrates ! Qu'est-ce à dire ? C'est pas dégoûtant, ça ? Les Français sont le parti démocrate !”

I think that what's disgusting is that, because the Democrats haven't done their job being a loyal opposition, the French have become the new Democrats! What is that? How disgusting is that? The French have become the Democratic Party!
en
Dans une discussion publique avec l'ex secrétaire de presse du président Clinton, Joe Lockhart.
Stupid White Men, 2001