Citations de Dieu
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“J'ai toujours été étonné qu'on laissât les femmes entrer dans les églises. Quelle conversation peuvent-elles avoir avec Dieu?”

Charles Baudelaire (1821–1867) poète français

Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)

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“On dit que Dieu est toujours pour les gros bataillons.”

Voltaire (1694–1778) écrivain et philosophe français
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“FEU. Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob, non des philosophes et savants. Certitude. Certitude. Sentiment. Joie. Paix.”

Blaise Pascal (1623–1662) mathématicien, physicien, inventeur, écrivain et philosophe chrétien français (XVIIe siècle)
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“Dieu serait injuste si nous n'étions pas coupables.”

Charles Baudelaire (1821–1867) poète français

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“Dieu est le seul être qui, pour régner, n'ait même pas besoin d'exister.Ce qui est créé par l’esprit est plus vivant que la matière.”

Charles Baudelaire (1821–1867) poète français

Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Fusées (1867)

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“Napoléon était bien l'homme envoyé de Dieu pour les jeunes Français! Qui le remplacera?”

Le Rouge et le Noir (The Red and the Black) (1830)

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“L’aube se lève. Telle une prière inutile sur un désert sourd, misérable et nu. Épaves oubliées par une mer volatilisée depuis des millénaires, quelques rochers s’effritent dans la poussière; çà et là, enguirlandés de coloquintes vénéneuses, de maigres bras de broussailles soulignent les berges de jadis sur lesquelles des acacias solitaires se sont crucifiés puis, plus rien – rien de ce que l’on espère entrevoir –, ni caravane providentielle, ni cahute salutaire, pas même la trace d’un bivouac. Le désert est d’une perversité!… C’est un code piégé, le désert, un dédale souverain et fourbe où les témérités courent à leur perte, où les distraits s’évanouissent parmi les mirages plus vite qu’une feinte, où pas un saint patron ne répondrait aux appels du naufragé afin de ne pas se couvrir de ridicule; un territoire d’échec et d’adjuration, un chemin de croix qui n’a de cesse de se ramifier, un envers du décor où l’entêtement se mue en obsession et la foi en folie. Ci-gît la vanité de toute chose en ce monde, semble clamer la nudité des pierres et des perspectives. Car, ici, tout retourne à la poussière, les montagnes taciturnes et les forêts luxuriantes, les paradis perdus comme les empires bâclés, jusqu’au règne claironnant des hommes… Ici, en ces immensités reniées des dieux, viennent abdiquer les tornades et mourir les vents bredouilles à la manière des vagues sur les plages sauvages puisque seule la course inexorable des âges est invincibilité et certitude. Au loin, très loin, là où la terre commence à s’arrondir, l’horizon se tient immobile, piètre et livide, comme si la nuit l’avait tenu en haleine jusqu’au matin…”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’équation africaine, 2011

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“Ça va changer quoi? Quelle plaie cautériser, quelle fracture rebouter?… Au fond de moi, je ne suis même pas sûr de vouloir remonter jusqu’à la racine de mon malheur. Certes, je n’ai pas peur d’en découdre, mais comment croiser le fer avec des fantômes. Ça crève les yeux que je ne fais pas le poids. Je ne connais rien aux gourous ni à leurs sbires. Toute ma vie, j’ai tourné opiniâtrement le dos aux diatribes des uns et aux agissements des autres, cramponné à mes ambitions tel un jockey à sa monture. J’ai renoncé à ma tribu, accepté de me séparer de ma mère, consenti concession sur concession pour ne me consacrer qu’à ma carrière de chirurgien; je n’avais pas le temps de m’intéresser aux traumatismes qui sapent les appels à la réconciliation de deux peuples élus qui ont choisi de faire la terre bénie de Dieu un champ d’horreur et de colère.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

Je ne me souviens pas d’avoir applaudi le combat des uns ou condamné celui des autres, leur trouvant à tous une attitude déraisonnable et navrante. Jamais je ne me suis senti impliqué, de quelque manière que ce soit, dans le conflit sanglant qui ne fait, en vérité, qu’opposer à huis clos les souffre-douleur aux boucs émissaires d’une Histoire scélérate toujours prête à récidiver. J’ai connu tant d’hostilités méprisables que le seul moyen de ne pas ressembler à ceux qui étaient derrière est de ne pas les pratiquer à mon tour. Entre tendre l’autre joue et rendre les coups, j’ai choisi de soulager les patients. J’exerce le plus noble métier des hommes et pour rien au monde je ne voudrais compromettre la fierté qu’il m’insuffle.
L’Attentat, 2005

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“Tu deviendras un homme, et ton seigneur un dieu.”

Prophétie faite à Euctémon, médecin d'Alexandre le Grand, par l'oracle des morts.
Le Mythe d'Er, ou le dernier voyage d'Alexandre le Grand (2002)

“Personne ne peut connaitre la femme, même Dieu, son créateur.”

Isaïe Biton Koulibaly (1949) écrivain ivorien

Et pourtant, elle pleurait, 2005

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“Aux champs de la défaite si j’ai replanté ma fidélité, c’est que Dieu de sa main de plomb avait frappé la France.”

Léopold Sédar Senghor (1906–2001) personnalité politique franco-sénégalaise

Chants d’ombre suivi de Hosties noires, 1945

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“C’est donc en vain qu’on met la véritable gloire dans l’honneur et la probité mondaine : on n’est grand que par le cœur; et le cœur vide de Dieu n’a plus que le faux et les bassesses de l’homme.”

Jean-Baptiste Massillon (1663–1742) homme d'Église français, évêque de Clermont en Auvergne

Sermon pour le dimanche de la Passion : Sur la fausseté de la gloire humaine

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“La vertu, c’est laisser libre passage, dans l’âme, à la Beauté de Dieu.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

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“La foi, c’est dire oui à Dieu. Quand l’homme dit oui à Dieu, Dieu dit oui à l’homme.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

Vie spirituelle, Foi

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“La beauté du sacré est un symbole ou un avant-goût, et parfois un moyen, de la joie que Dieu seul procure.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

Dieu, Beauté

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“Sans crainte de Dieu à la base, rien n’est possible spirituellement, car l’absence de crainte est un manque de connaissance de soi.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

Dieu, Crainte révérencielle et amour

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“On ne peut aimer Dieu sans le craindre, pas plus qu’on ne peut aimer son prochain sans le respecter; ne pas craindre Dieu, c’est l’empêcher d’être miséricordieux.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

Dieu, Crainte révérencielle et amour

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“Quand Dieu est absent, l’orgueil comble le vide.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

Dieu, Aperçus

“Le chien n’est pas un animal aquatique. Mais si Dieu lui donne du poisson, il l’attrape.”

Massa Makan Diabaté (1938–1988) historien et écrivain malien

Le boucher de Kouta , 1982

“Un vrai disciple ne se préoccupe nullement des noms cachés de Dieu; il cherche plutôt comment se rapprocher de lui.”

François d'Assise N'Dah (1968) écrivain ivoirien

Le jour où la vie m'a fait pleurer, 2009

“Une religion intolérante adore tout sauf Dieu.”

Jean-Marie Adiaffi (1941–1999) écrivain ivoirien

Les naufragés de l’intelligence , 2000

“Sur toute la terre, là où naît la vérité, la liberté, l’amour, naît Dieu.”

Jean-Marie Adiaffi (1941–1999) écrivain ivoirien

Les naufragés de l’intelligence , 2000

“Dieu n’est plus qu’un prétexte commercial, une marchandise marketinisée, crétinisée pour les crétins crédules.”

Jean-Marie Adiaffi (1941–1999) écrivain ivoirien

Les naufragés de l’intelligence , 2000

“Un animiste n’en est pas plus à un dieu qu’à une femme près.”

Jean-Marie Adiaffi (1941–1999) écrivain ivoirien

La Carte d’identité, 1980

“Les pleurs sont aussi variés que les oiseaux du bon Dieu!”

Ferdinand Oyono (1929–2010) diplomate et homme politique camerounais

Le Vieux Nègre et la médaille, 1956

“Les métiers sont aussi variés que les oiseaux du bon Dieu.”

Ferdinand Oyono (1929–2010) diplomate et homme politique camerounais

Le Vieux Nègre et la médaille, 1956

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“Celui que les dieux aiment meurt jeune.”

Ménandre (-342–-291 avant J.-C.) auteur de théâtre grec antique

Ὅν οἱ ϑεοὶ φιλοῦσιν ἀποϑνῄσκει νέος.
grc
Maximes

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“Parmi quelques-unes des plantes et des bêtes, nature a fait d’elle même cette distinction, que d’une même espèce aucunes sont franches et domestiques, autres agrestes et sauvages; qualités qu’elles retiennent infailliblement de leur génération : si que les sauvages n’engendrent point les domestiques, ni au contraire. Aussi est-ce naturellement, que les plantes et bêtes retiennent la qualité de leur semence, pour ce que leur âme végétative ou sensitive procède absolument a potestate materiæ, disent les philosophes. Mais l’âme raisonnable des hommes, venant immédiatement de Dieu, qui la crée exprès lors qu’il l’envoie au corps humain, n’a point de participation naturelle aux qualités de la semence générative du corps, où elle est colloquée.”

Charles Loyseau (1566–1627) jurisconsulte français

Parmy quelques vnes des plantes & des beſtes, nature a fait d’elle meſme cette diſtinction, que d’vne meſme eſpece aucunes ſont franches & domeſtiques, autres agreſtes & ſauuages : qualitez, qu’elles retiennent infailliblement de leur generation : ſi que les ſauuages n’engendrent point les domeſtiques, ni au contraire. Auſſi eſt-ce naturellement, que les plantes & beſtes retiennent la qualité de leur ſemence, pour ce que leur ame vegetatiue ou ſenſitiue procede abſolument a poteſtate materiæ, diſent les Philoſophes. Mais l’ame raiſonable des hommes, venant immediatement de Dieu, qui la crée expres lors qu’il l’enuoye au corps humain, n’ha point de participation naturelle aux qualitez de la ſemence generatiue du corps, oú elle eſt colloquée.
fr1835
Traité des ordres et simples dignitez

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“Les uns sont dédiés particulièrement au service de Dieu; les autres à conserver l’État par les armes; les autres à le nourrir et maintenir par les exercices de la paix. Ce sont nos trois ordres ou états généraux de France, le clergé, la noblesse et le tiers état. Mais chacun de ces trois ordres est encore subdivisé en degrés subordonnés, ou ordres subalternes, à l’exemple de la hiérarchie céleste.”

Charles Loyseau (1566–1627) jurisconsulte français

Les vns ſont dediez particulierement au ſervice de Dieu : les autres à conſerver l’Eſtat par les armes : les autres à le nourrir & maintenir par les exercices de la paix. Ce ſont nos trois Ordres ou Eſtats generaux de France, le clergé, la nobleſſe & les tiers Eſtat. Mais chacun de ces trois Ordres eſt encor ſubdiuiſé en degrés ſubordinez, ou Ordres ſubalternes, à l’exemple de la hierarchie celeſte.
fr1835
Traité des ordres et simples dignitez

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“Tu me dis que oui : que tu es décidé à suivre le Christ. Eh bien, tu dois aller au pas de Dieu; non au tien!”

Josemaría Escrivá de Balaguer (1902–1975) prêtre, fondateur de l'Opus Dei et saint catholique

#531
Forge, 1987

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“L’Évangile est un message social d’une sainte gravité, d’une émouvante puissance; il est la proclamation de la solidarité et de la fraternité en faveur des pauvres. Mais ce message a pour corrélatif nécessaire la reconnaissance de la valeur infinie de l’âme humaine, et pour forme la prédication du Royaume de Dieu.”

Adolf von Harnack (1851–1930) théologien protestant et historien de l'Église allemand

Quant à des lois, des ordonnances ou des préceptes destinés à bouleverser les situations sociales de l’époque, il n’y en a pas trace dans l’Évangile.
L’Essence du christianisme (Das Wesen des Christentums), 1900

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“C’est plutôt à nous d’être ici voués à la grande tâche qui nous revient… que de ces honorés défunts nous portions une dévotion grandissante à cette cause pour laquelle ils ont donné la dernière et grande mesure de dévouement; que nous prenions ici la ferme résolution que ces morts ne seront pas morts en vain; que cette nation, si Dieu le veut, verra renaître la liberté; et que le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple, ne disparaîtra pas de la terre.”

Abraham Lincoln (1809–1865) 16e président des États-Unis

IT IS RATHER FOR US TO BE HERE DEDICATED TO THE GREAT TASK REMAINING BEFORE US~THAT FROM THESE HONORED DEAD WE TAKE INCREASED DEVOTION TO THAT CAUSE FOR WHICH THEY GAVE THE LAST FULL MEASURE OF DEVOTION~THAT WE HERE HIGHLY RESOLVE THAT THESE DEAD SHALL NOT HAVE DIED IN VAIN~THAT THIS NATION UNDER GOD SHALL HAVE A NEW BIRTH OF FREEDOM~AND THAT GOVERNMENT OF THE PEOPLE BY THE PEOPLE FOR THE PEOPLE SHALL NOT PERISH FROM THE EARTH •
en
Adresse de Gettysburg : gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple, 1863

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“Saint François aimait à ce dire le Troubadour de Dieu mais ne se contentait pas du dieu des troubadours. Saint Thomas ne conduisit pas le Christ à Aristote, mais Aristote au Christ.”

Gilbert Keith Chesterton (1874–1936) écrivain, journaliste, poète, illustrateur, apologiste catholique et biographe anglais

Saint Thomas du Créateur, 1933

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“DIEU est JESUS”

William Blake (1757–1827) peintre et poète britannique
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