Citations sur vivants
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“Il n'y a pas un homme politique vivant qui n'ait de la merde sur la conscience.”

Andrew Coburn (1932–2018) écrivain américain

Toutes peines confondues, 1985

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“- Nous devons nous tourner vers l'intérieur pour chercher au plus profond de nous-mêmes. “Mon cœur est-il toujours vivant? Puis-je toujours faire l'expérience de la source d'amour et de compassion en moi? Mon cœur est-il toujours sensible à la douleur et au chagrin des autres? Ai-je pleuré avec ceux qui souffraient? Ai-je vraiment essayé d'essuyer les larmes de quelqu’un et de le consoler, ou d’offrir au moins un repas à quelqu'un ou un ensemble de vêtements?” De cette façon on peut faire une introspection honnête. Alors la lumière apaisante de la lune de la compassion brillera spontanément dans nos esprits.”

We must turn inwards to search deep within ourselves. “Is my heart still vibrant with life? Can I still experience the source of love and compassion within me? Does my heart still melt at the pain and sorrow of others? Have I cried along with those who are suffering? Have I really tried to wipe another’s tears to console them or given someone at least a single meal or a set of clothing?” Like this, we can honestly introspect. Then the soothing moonlight of compassion will spontaneously shine within our minds.
La Compassion: La seule voie vers la paix (2007)

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“Portrait n'est bien vivant qu'autant que l'Homme est mort.”

Xavier Forneret (1809–1884) écrivain, poète, dramaturge et journaliste français

Sans titre (1838)

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“Dans la mesure où l'individu humain, en tant qu'unité vivante, est composé d'une foule et d'une somme de facteurs universels, il est totalement collectif et sans l'ombre d'une opposition à la collectivité.”

Carl Gustav Jung (1875–1961) Médecin psychiatre suisse qui crée la psychologie analytique

Dialectique du moi et de l'inconscient, 1933

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“On prouve, on démontre aujourd'hui la République. Quand elle était vivante, on ne la prouvait pas.”

Charles Péguy (1873–1914) écrivain, poète et essayiste français

Notre Jeunesse

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“On ne peut pas compter seulement sur l’école publique. La religion rend aux enfants ce que leur parents, déchus, n’ont plus toujours la force de leur transmettre. L’État français est laïque, mais la France est un pays chrétien, la France est avant tout un pays catholique. Un large dialogue islamo-catholique est donc prioritaire. Les beurs sont les garants de l’aboutissement positifs de ce dialogue, parce que c’est dans leur intérêt, ayant grandis en France, ils portent en eux cette confrontation […] En lieu et place de ce débat islamo-catholique, que trouve t-on? Un débat politico-religieux, le fameux débat judéo-arabe, imposé notamment par SOS Racisme, organisation contrôlée par l’Union des Étudiants Juifs de France. Ils ont lancé un débat judéo-arabe au nom des Beurs, en faisant eux-mêmes les questions et les réponses. Radio Beur ne doit pas cautionner un faux débat. Nous ne sommes pas des palestiniens, nous sommes des enfants d’immigrés, vivant en France. Solidaires des luttes du peuple palestinien, il n’est cependant pas dans notre vocation de nous substituer à lui, surtout si cette substitution est opérée par d’autres que nous-mêmes. De fait, l’instauration de ce débat judéo-arabe a eu pour effet de détourner le seconde génération du débat islamo-catholique.”

Farida Belghoul (1958) Professeure de lycée

Déclaration de Farida Belghoul le 28 novembre 1989, en qualité de secrétaire général de Radio Beur .
Radio Beur

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“Le monde est et sera toujours un feu vivant, s'embrasant et s'éteignant.”

Joseph-Marie Lo Duca (1910–2004) écrivain et critique de cinéma franco-italien

Le Huitième Sceau, 1968

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“Imagine qu’il n’y a pas de Paradis / C’est facile si tu essayes / Pas d’enfer en dessous de nous / Au dessus, juste le ciel / Imagine tous les gens / Vivant pour aujourd’hui… Imagine qu’il n’y a pas de pays / Ce n’est pas difficile à faire / Rien pour lequel tuer ou mourir / Et pas de religion non plus / Imagine tous les gens / Vivant la vie en paix… Imagine qu’il n’y a pas de possessions / Je me demande si tu le peux / Nul besoins d’avarice, pas de faim / Dans une confrérie humaine/Imagine tous les gens / Se partageant le monde… Tu pourrais dire que je suis un rêveur / Mais je ne suis pas le seul / J’espère qu’un jour tu nous rejoindras / Et le monde ne sera plus qu’un”

John Lennon (1940–1980) auteur-compositeur-interprète britannique

Imagine there's no heaven / It's easy if you try / No hell below us / Above us only sky / Imagine all the peopleLiving for today... Imagine there's no countries / It isn't hard to do / Nothing to kill or die for / And no religion too / Imagine all the people / Living life in peace... Imagine no possessions / I wonder if you can/No need for greed or hunger / In a brotherhood of man / Imagine all the people / Sharing all the world... You may say i'm a dreamer / But i'm not the only one / I hope some day you'll join us / And the world will be as one
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“Le plus grand intérêt des vivants étant de rester vivants, si la guerre ne mettait en œuvre que des pulsions intéressées, elle aurait disparu depuis longtemps. La preuve en est que ce n'est jamais en faisant appel à la notion d'intérêt que l'on a amené les hommes à se battre, mais au contraire en leur faisant valoir qu'il y a des choses qui excédaient leurs intérêts et qui méritaient, par là même, qu'on accepte de mourir pour elles.”

Livres, Comment peut-on être païen ?, 1981, Dernière Année. Notes pour conclure le siècle http://books.google.fr/books?id=LI5vx9Mdgb4C&printsec=frontcover&source=gbs_navlinks_s#v=onepage&q=&f=false, 2001, Critiques-Théoriques http://books.google.fr/books?id=VaJnsrZbh2wC&printsec=frontcover&source=gbs_navlinks_s#v=onepage&q=&f=false, 2003

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“Georges Ricard-Cordingley est le seul peintre de marine qui ait vu le jour à Lyon : c’est un artiste de l’école lyonnaise par son goût de l’ésotérisme, le rôle donné à l’art dans ses écrits, autant que par sa sensibilité à la brume, ses tons délicats, ses harmonies subtiles. Voici l’homme : mélange de retenue, de modération, de finesse, d’absence d’audace apparente dans la traduction des sentiments et émotions, traits communs à Orsel comme aux Flandrin. Issu d’un père dénommé Ricard (plusieurs artistes sans liens de parenté portent alors ce nom) et d’une mère anglaise née Cordingley, il mêle pour se distinguer les deux « patronymes » dans sa signature d’artiste. Ricard-Cordingley a été désigné comme peintre des gris colorés, tons que l’on retrouve dans le style nuancé des deux écoles et dans l’atmosphère des deux villes, Lyon et Londres, où son renom débuta. Les deux autres pôles où il séjourna sont Boulogne-sur-Mer et Cannes. Des brumes matinales de la mer du Nord aux brumes crépusculaires de la Côte d’Azur il existait un lien et son œuvre se complaira dans l’incertain et l’indéterminé que traduit si bien ce « bilinguisme» artistique aux émotions douces et tendres. Si le « can’t » est la règle, la mesure est la seule loi de son harmonie. Il n’est jusqu’à sa passion pour l’aquarelle qui n’aille des tons purs de Constable aux pâleurs opalines d’un Ravier. Son dessin est subtil encore : crayon gras au Maroc et haute montagne, il épouse le fusain dès qu’il est question de la mer. Le fusain avec sa lumière d’ombre est l’indispensable technique au rendu des soirs, la voie du mystère. Différente ou plutôt diverse, à l’huile, à l’aquarelle, au fusain, son œuvre porte la marque du rêve qui en fait l’unité. Après la destruction de son atelier en 1940 à Boulogne-sur-Mer par fait de guerre, que reste-t-il de ses créations, de ses portraits de jeunesse qui enchantaient la « gentry », des grandes décorations, dont celle du casino de Wimereux, détruit lui aussi. Pour juger ses ambitions et ses rêves il ne demeure qu’environ deux cent cinquante études, encore moins d’aquarelles et de dessins en dehors des tableaux vendus de son vivant. Il subsiste cependant un « liber veritatis » où cet angoissé de perfection a noté, croquis et aquarelles à l’appui, tout ce que marchands et collectionneurs ont éparpillé dans le monde. Le jour viendra-t-il où la blanche nef des rêves mystiques lyonnais et les falaises claires de la légendaire Albion se joindront dans un commun hommage à leur concitoyen trop oublié.”

Georges Ricard-Cordingley (1873–1939) peintre français

Sur Cordingley

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“L'homme, ce vivant à brève échéance, ce perpétuel mourant, entreprend l'infini.”

Alain Finkielkraut (1949) essayiste français

Nous autres, modernes, 2005

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“Nous sommes tous à moitié morts et à moitié vivants.”

John Cowper Powys (1872–1963) écrivain britannique

Les Sables de la mer, 1934

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“À leur tour, sans le vouloir, ils l'avaient rayé de la liste des morts comme de celle des vivants, répétant par amour le geste des assassins.”

Philippe Grimbert (1948) psychanalyste et écrivain français

Au sujet de Simon, frère (mort pendant la guerre) de l'auteur, et dont le nom ne fut plus prononcé par la famille.
Un Secret, 2004

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“La gloire est le soleil des morts, de ton vivant, tu seras malheureux comme tout ce qui fut grand, et tu ruineras tes enfants.”

Honoré de Balzac (1799–1850) romancier, critique littéraire, essayiste, journaliste et écrivain français

La Recherche de l'Absolu, 1834

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“Je suis un païen converti vivant au milieu de puritains apostats.”

C. S. Lewis (1898–1963) écrivain et universitaire irlandais

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Surpris par la joie (Surprised by Joy, 1955)

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“Comment t’as fait pour t’en sortir? lui demande Einstein éberlué.
— J’sais pas. Là-bas, on se pose pas ce genre de question. On est là, et c’est tout. Tu t’y habitues. Tu crois que le plus dur est passé, mais t’es jamais au bout de tes surprises. C’est comme si tu marchais dans la vallée des ténèbres. Plus tu avances, plus tu t’enfonces. Et plus tu relèves, et plus tu te dis c’est pas possible, j’suis mort, c’sont d’autres diables qui prennent possession de mon corps. Je vous jure que c’est la vérité. Tu te dis je me connais, je connais mes limites, j’peux pas avoir parcouru tout ce chemin et rester vivant. C’est dingue. C’est ainsi que j’ai appris qu’un homme est capable d’aller au-delà de la mort et de revenir. Ça m’est arrivé. Vous savez ce qu’est le mitard? Eh bien, ça n’a rien à voir avec ce que l’on imagine, car il dépasse l’imagination. Toucher le fond, ça a du sens, au mitard. Quelqu’un qui a pas échoué au mitard peut pas savoir ce que c’est, toucher le fond. T’es au bas de l’échelle, et tu es absorbé par le sol comme une rinçure. Tu disparais de la surface de la Terre. T’es tellement mal que tu cesses de souffrir. Les minutes deviennent des jours, et les jours des éternités. Tu te mets à voir des choses incroyables, et le mur, dans le noir total, a soudain des oreilles et des yeux. C’est au mitard que j’ai senti la présence du Seigneur. Il était si près que je percevais son souffle sur mon visage. Il avait de la peine pour moi…”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Olympe des Infortunes, 2010

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