
“Tu es venu la queue dressée et tu repartiras de même.”
Septième journée, 1
“Tu es venu la queue dressée et tu repartiras de même.”
Septième journée, 1
Des mules et des hommes, 1978
Makine a signé ce roman sous le nom de Gabriel Osmonde
Le voyage d'une femme qui n'avait plus peur de vieillir, 2001
Il est ici question de sa mère, Suzanne Necker, et de son influence toute littéraire sur sa jeune fille.
D'autres auteurs la concernant
Au moyen du Moyen Age : Philosophies médiévales en chrétienté, judaïsme et islam, 2006
You try to keep your kids safe and if you aren't doing it perfectly then why are you doing it at all? It's like this thing that starts to dawn on you. Like if my kids get in the car with me they have to buckle up. I'm not even starting this car until you buckle your seatbelts. And if we get in a taxi, it's fine. It's okay. Taxis are magic. Nobody dies. Just get in. Just go. I'm not diggin' in the seat for a belt. There's no way I'm blindly diggin' in to the Egyptian hepatitis and severed toes so you can put on your seatbelt. You gotta put on your own mask before helping the others. I'm not going through that. So, my kids get in a cab and they just hurdle through space at a speed determined by a profit motive of an exhausted man from another country where life is s**t cheap, where kids die all day and it's boring.
en
Louie (2010-)
Il est ici question de Suzanne Necker.
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Madame Necker
fr
Le principe de Lucifer : une expédition scientifique dans les forces de l'histoire, 2001
Histoire de France
Annales des voyages de la géographie et de l'histoire, 1808-1826
Citations de ses romans, Le Marteau de Dieu (1993)
“Il n’y a jamais de moment parfait pour ce type de transition, mais le moment est venu.”
Commentaire à la suite de l’annonce de son départ de Microsoft.
Citation
Roman, La Marge (prix Goncourt), 1967
Ma confession (1975)
Esthétique de la disparition
“Il est venu nous montrer ce que nous pouvons devenir, ce dont le germe est en nous-mêmes.”
La Route de Corlay, 1978
“De l'eau nous sommes venus. À l'eau nous retournerons.”
, 2005
Autobiographie d'une machine ktistèque, 1974
Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002
Discours prononcé devant la Knesset, 4 mars 1982.
Discours, Politique mondiale
L'Ironie du sort, 1961
Maximes et pensées
Variante: Il y a peu d'hommes qui se permettent un usage vigoureux et intrépide de leur raison, et osent l'appliquer à tous les objets dans toute sa force. Le tems est venu où il faut l'appliquer ainsi à tous les objets de la Morale, de la Politique et de la Société, aux rois, aux ministres, aux grands, aux philosophes, aux principes des Sciences, des Beaux-arts, etc., sans quoi, on restera dans la médiocrité.
Cosa Nostra — La mafia sicilienne de 1860 à nos jours, 2004
“Quand je ne pourrai plus rire, je saurai alors que le temps est venu pour moi de mourir.”
La Route de Corlay, 1978
Les illusions libérales, individualisme et pouvoir social, 2005
Infiniment... sur le gazon, Joyce Mansour, La Brèche, 4, Février 1963, 62
Prose, Infiniment... sur le gazon, 1963
Sur le Centrafrique, 2014
To minimize my guilt at going to the pictures... I needed movie companions as drunkards need drinking partners. If I entered a cinema alone, God might plunge his arm through the roof of the auditorium booming in a stereophonic voice, "And you, Crisp, what are you doing here?" I would never have dared reply, "I’m just enjoying myself, Lord." I remembered too well what happened to Mr and Mrs Adam. A commissionaire with a flaming sword came and asked them to leave.
en
The Naked Civil Servant (Fonctionnaire du nu)
Pourquoi la Grèce ?, 1992
“La nuit est venue tout d'un coup comme une grande rosace de fleurs retournée sur nos têtes.”
Poisson soluble, 1924
, 2013
Les Arabes n'ont jamais envahi l'Espagne, 1969
Appel de Clermont qu'adresse le pape Urbain II en 1095 aux évêques réunis lors du Concile de Clermont (1095) . Il sera suivi de la Première croisade .
Makine a signé ce roman sous le nom de Gabriel Osmonde
Le voyage d'une femme qui n'avait plus peur de vieillir, 2001
Dernières nouvelles de l'homme, 1978
Et je n’ai connu que ça depuis que je suis venu au monde. Tous les matins. Tous les soirs. Je n’ai vu que ça, toute ma vie.
L’Attentat, 2005
Journal littéraire, Une galerie de portraits monumentale
Bohème littéraire et Révolution, 1983, Le monde des libraires clandestins sous l'Ancien Régime
, 2013
Et un proverbe arabe dit : "à l'arbre du silence est accroché son fruit : la paix."
desipere est juris gentium.
La Dialectique éristique publiée en Français sous le titre L'Art d'avoir toujours raison, 1830
La parenté est curieuse entre les théories néolibérales du « capital humain » et la brochure de Staline longtemps diffusée par les Éditions Sociales, L'Homme, capital le plus précieux.
LQR : La propagande du quotidien, 2006
“Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu.”
Veni, vidi, vici.
la
Phrase légendaire attribuée à Jules César en rendant compte au Sénat romain de sa victoire lors de la bataille de Zéla, en Asie Mineure, en 47 av. J.-C. Voyez l'article Veni, vidi, vici sur Wikipédia.
Citations légendaires
D'autres auteurs la concernant
En réponse à la question : « Y a-t-il une différence entre les Français de souche et les autres Français ? »
Propos médiatiques, Sur la France et les Français
Les temps sauvages, 1975
Un singe en hiver, 1959
L'Islam entre tradition et révolution
Les Misérables : Tome I
Variante: Tant qu'on va et vient dans la pays natal, on s'imagine que ces rues vous sont indifférentes, que ces fenêtres, ces toits et ces portes ne vous sont de rien, que ces murs vous sont étrangers, que ces arbres sont les premiers arbres venue, que ces maisons où l'on n'entre pas vous sont inutiles, que ces pavés où l'on marche sont des pierres. Plus tard, quand on n'y est plus, on s'aperçoit que ces rues vous sont chères, que ces toits, ces fenêtres et ces portes vous manquent, que ces murailles vous sont nécessaires, que ces arbres sont vos bien-aimées, que ces maisons où l'on n'entrait pas on y entrait tous les jours, qu'on a laissé de ses entrailles, de son sang et de son coeur dans ces pavés. Tous ces lieux qu'on ne voit plus, qu'on ne reverra jamais peut-être, et dont on a gardé l'image, prennent un charme douloureux, vous reviennent avec la mélancolie d'une apparition, vous font la terre sainte visible, et sont, pour ainsi dire, la forme même de la France et on les aime et on les évoque tels qu'ils sont, tels qu'ils étaient, et l'on s'y obstine, et l'on n'y veut rien changer, car on tient à la figure de la patrie comme au visage de sa mère.
Iron Curtain: The Crushing of Eastern Europe, 1944-1956