Citations sur cour

Une collection de citations sur le thème de cours, cour, pluie, tout.

Citations sur cour

Jules Verne photo
Jorge Luis Borges photo

“De toutes les villes du monde, de toutes les patries intimes qu'un homme cherche à mériter au cours de ses voyages, Genève me semble la plus propice au bonheur.”

Jorge Luis Borges (1899–1986) écrivain argentin de prose et de poésie

Variante: De toutes les villes du monde. de toutes les patries intimes qu'un homme cherche à mériter au cours de ses voyages, Genève me semble la plus propice au bonheur.

Imre Kertész photo
Paulo Coelho photo
André Gernez photo
Octave Gréard photo
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais photo
Paul Lafargue photo
Jean Rohou photo

“[…] le développement des villes, des salons, de la cour impose à chacun de maîtriser ses pulsions et d'affiner ses manières et son langage. On assiste à un remarquable effort de civilisation, c'est-à-dire de transformation de l'être naturel, égocentrique et impulsif (Alceste, héros du Misanthrope) en sujet social plus ou moins complaisant (Philinte). De 1630 à 1690 environ, la qualité sociale essentielle c'est l' honnêteté, qui ne désigne pas, comme aujourd'hui, une probité morale, mais une civilité, un art de plaire, de s'adapter à l'attente d'autrui en contrôlant ses désirs. […] le XVIIe siècle voit le développement d'une bourgeoisie composée de juristes et administrateurs, portés à la discipline, et de négociants et financiers, soucieux d'économiser pour accroître leur puissance. Or, la morale est aussi une discipline et une économie des désirs. Cette bourgeoisie veut être reconnue comme élite; il lui faut pour cela s'imposer par sa vertu, d'autant plus qu'elle n'a pas la naissance qui définit la noblesse. Il lui faut surtout se démarquer du peuple. Cet effort de distinction culturelle élimine digestion, sexualité et tout ce qui peut paraître grossier dans le comportement ou l'expression. Il tend à réduire la spontanéité au profit de la raison, à imposer à la nature la maîtrise de l'art, à récuser le savoir-faire spontané ou empirique, fondé sur le génie ou le métier, au bénéfice d'un savoir-faire méthodique, fondé en théorie. C'est pour ces raisons fondamentales que les années trente, contredisant Aristote et renversant la tendance du premier tiers du siècle, soumettent l'art, et particulièrement la tragédie, à la morale.”

Jean Rohou (1934) écrivain et universitaire breton

La Tragédie classique, 1996, La « discipline » classique

Robert Darnton photo

“Beaucoup de membres de l'ancienne élite, et même des académiciens comme Condorcet, Bailly, Chamfort et La Harpe ne s'opposèrent pas à la destruction des institutions qui les avaient fait prospérer. Les écrivailleurs se dispersèrent en de multiples directions, soutenant différentes factions au cours des diverses phases du conflit. Quelques-uns, en particulier durant la période girondine et le Directoire, prouvèrent qu'ils ne souhaitaient rien d'autre que de participer à la renaissance du « monde ». Et, au moins dans les années 1789-1791, la Révolution mit à l'ordre du jour beaucoup d'idées qui avaient été propagées par les Hautes Lumières. Mais dans sa phase la plus révolutionnaire la Révolution fut l'expression des passions anti-élitistes de la bohème littéraire. On ne saurait interpréter ces passions simplement comme nées de l'appétit pour les situations ou de la haine des mandarins. Les pamphlétaires jacobins croyaient en leur propagande. Ils voulaient dépouiller en eux le vieil homme et devenir des hommes nouveaux, nouvellement intégrés dans une république vertueuse. En tant que révolutionnaires culturels, ils désiraient détruire l'« aristocratie de l'esprit » afin de créer une République des Lettres égalitaire dans une république égalitaire.”

Robert Darnton (1939) historien américain

Bohème littéraire et Révolution, 1983, Le monde des libraires clandestins sous l'Ancien Régime

Colette photo
Claude Fauriel photo
Gabriel García Márquez photo

“Bien des années plus tard, face au peloton d'exécution, le colonel Aureliano Buendia devait se rappeler ce lointain après-midi au cours duquel son père l'avait emmené découvrir la glace.”

Muchos años después, frente al pelotón de fusilamiento, el coronel Aureliano Buendía había de recordar aquella tarde remota en que su padre lo llevó a conocer el hielo.
es
Incipit du roman
Cent ans de solitude (Cien años de soledad) , 1967

Jean Parvulesco photo
Louis C.K. photo

“Il y a à peu près un an, je suis descendu dans la cour de mon immeuble pour la première fois. C'était un dimanche matin, et c'est le moment de la semaine où je suis le moins présentable. J'avais un tee-shirt avec des tâches de nourriture, de moi, d'autres choses… et j'étais assis là dans cette cour où je me sentais un peu décalé. Et j'ai remarqué ce type de l'autre côté de la cour, le genre chic, et il me regardait comme ça [grimace de dégoût et de suspicion]. Je sais qu'il était persuadé que je ne vivais pas dans l'immeuble, que je traînais dans la rue et que j'avais décidé de venir m'assoir dans la cour. Et je sais qu'il avait envie de venir et de s'occuper de moi lui-même. Je me disais « Oh, s'il te plait, fais-le! », et j'ai essayé de paraître encore plus dégueu.
Finalement, je le vois venir vers moi, genre « ah non, ça ne va pas se passer comme ça… » Et moi, j'étais tellement excité! D'avoir cette confrontation dans laquelle je n'ai absolument pas tort! Il arrive devant moi et il me dit : « Excusez-moi. Est-ce que vous habitez ici? » Et je lui répond « Non. » Alors il me dit : « Mais alors qu'est-ce que vous faites là? » Je lui dit : « J'ai besoin de me reposer, je passe un moment difficile… » Il réplique « C'est une propriété privée. » Et je lui sort : « Ouais, mais je n'y crois pas vraiment à ça… » […] Alors il va voir le portier et je le vois parler de moi. Et je vois le portier lui répondre « Oh non, c'est bon, ce type habite ici. » Ahhhh, le regard du gars! Un magnifique cocktail de colère et de confusion. C'est comme si j'avais inventé une nouvelle façon de blesser quelqu'un.”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

Oh My God (2013)

Paul Auster photo

“Jill appartient au monde du milieu du XXIIè siècle. On possède alors la maîtrise des voyages dans le temps, mais on ne la met que rarement en pratique et des restrictions sévères en réglementent l'usage. Conscient des risques de rupture et de désastre qu'elle implique, l'État n'accorde à chacun qu'un seul voyage durant sa vie. Et ce n'est pas pour le plaisir de visiter d'autres moments de l'histoire, mais en tant que rite d'initiation à l'âge adulte. (…) Vous êtes envoyé dans le passé pour (…)observer vos ancêtres. (…) Le but de votre voyage est de vous enseigner l'humilité et la compassion, la tolérance envers le prochain. Parmi la centaine d'aïeux que vous rencontrerez en chemin, la gamme entière des possibilités humaines vous sera révélée, chacun des numéros de la loterie génétique aura son tour. Le voyageur comprendra qu'il est issu d'un immense chaudron de contradictions et qu'au nombre de ses antécédents se comptent des mendiants et des sots, des saints et des héros, des infirmes et des beautés, de belles âmes et des criminels violents, des altruistes et des voleurs. À se trouver confronté à autant de vies au cours d'un laps de temps aussi bref, on gagne une nouvelle compréhension de soi-même et de sa place dans le monde. On se voit comme un élément d'un ensemble plus grand que soi, et on se voit comme un individu distinct, un être sans précédent, avec son avenir personnel irremplaçable. On comprend, finalement, qu'on est seul responsable de son avenir.”

Paul Auster (1947) écrivain et cinéaste américain

Début d'un scénario imaginé par le narrateur, écrivain.
La nuit de l'oracle, 2003 (v. f. 2004)

Adolf Hitler photo
Éric Pichet photo
Nicolas Sarkozy photo
Jared Diamond photo
Charles Robert Maturin photo
Maria-Antonietta Macciocchi photo
Christian Bobin photo
Joseph E. Stiglitz photo
Jean-Claude Rodet photo

“(…) dogmatique est le discours occupant la place mythique de la vérité et, de ce fait, servant de fondement aux images identificatoires, pour la société en tant que telle et pour tout sujet ressortissant de cette représentation. Or, de nos jours, le discours dogmatique capable d’accueillir la croyance aux images et de fonder la représentation ne peut être mis en scène, si j’ose ainsi m’exprimer, que sous le chapeau de la Science et coiffé par la Démocratie gestionnaire, ou par tout autre signifiant socialement emblématique, c'est-à-dire politiquement plausible. Le Droit est donc refoulé dans la culture, essentiellement parce que la Science lui a ravi, au cours de l’histoire du système normatif européen, la place mythique, le Science ayant pris statut de fondement des lois, à l’instar du divin, avec lequel le Droit civil, nous le verrons plus loin, est directement lié. On observera que l’idée même de dogmaticité fait horreur aujourd'hui et à bon escient, car le présupposé d’après lequel l’objet-Science échappe au statut dogmatique du discours des images (le Droit lui-même cessant d’être pensé comme dogmatique) est nécessaire au montage social d’idéalisation normative de la Science, comme il est nécessaire que le Droit soit présenté, non comme manœuvre fondatrice du vivant (auquel cas la Science en tant qu’idéal religieux s’en trouverait détrônée) –du vivant parlant, c'est-à-dire du sujet-, mais comme anecdote sociale et simple technique de régulation gestionnaire. À voir la panique qui saisit juristes et psys à la perspective de parler dogmes, au sens que mes travaux donnent à ce terme, on ne s’étonne pas de cette nouvelle peur de penser : la crainte de trahir la Science paralyse la réflexion sur les montages institutionnels, dès lors qu’une telle réflexion touche au rite moderne d’entrée dans la légalité, c'est-à-dire au fin fond de ce qui nous porte hors de l’abîme indicible, nos représentations de l’Au nom de, l’inaugural que j’appelle aussi discours de la Référence, tout aussi divin aujourd'hui que l’ancien, en ce qu’il est lui aussi intouchable et sacré.”

Leçons VI Les enfants du Texte. Étude sur la fonction parentale des États

Charles Darwin photo
Maurice Allais photo
Hervé Le Tellier photo
Joseph Joubert photo
George Sand photo

“Elle lui fit traverser la cour, apaisa les chiens, ouvrit les portes sans bruit, et, le prenant par la main, elle le guida en silence dans les corridors sombres. Enfin elle l'entraîna dans une chambre circulaire élégante et simple, où des orangers en fleurs répandaient leurs suaves émanations. Des bougies diaphanes brûlaient dans les candelabres. Noun avait effeuillé des roses du Bengale sur le parquet, le divan était semé de violettes, une douce chaleur pénétrait tous les pores, et les cristaux étincelaient sur la table parmi les fruits qui présentaient coquettement leurs flancs vermeils parmi la mousse verte des corbeilles. Ébloui par la transition brusque de l'obscurité à une vive lumière, Raymon resta quelques instants étourdi; mais il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre où il était. Le goût exquis et la simplicité chaste qui présidaient à l'ameublement, ces livres d'amour et de voyages épars sur les planches d'acajou, ce métier chargé d'un travail si joli et si frais, œuvre de patience et de mélancolie, cette harpe dont les cordes semblaient encore vibrer des chants d'attente et de tristesse, ces gravures qui représentaient les pastorales amours de Paul et de Virginie, les cimes de l'Ile-Bourbon et les rivages bleus de Saint-Paul, mais surtout ce petit lit à demi caché sous les rideaux de mousseline, ce lit blanc et pudique comme celui d'une vierge, orné au chevet, en guise de rameau béni, d'une palme enlevée peut-être le jour du départ à quelque arbre de la patrie : tout révélait madame Delmare, et Raymon fut saisi d'un étrange frisson en songeant que cette femme enveloppée d'un manteau, qui l'avait conduit jusque-là, était peut-être Indiana elle-même. Cette extravagante idée sembla se confirmer, lorsqu'il vit apparaître dans la glace en face de lui une forme blanche et parée, le fantôme d'une femme qui entre au bal et qui jette son manteau pour se montrer radieuse et demi-nue aux lumières étincelantes. Mais ce ne fut que l'erreur d'un instant. Indiana eût été plus cachée….. Son sein modeste ne se fût trahi que sous la triple gaze de son corsage; elle eût peut-être orné ses cheveux de camélias naturels, mais ce n'est pas dans ce désordre excitant qu'ils se fussent joués sur sa tête; elle eût pu emprisonner ses pieds dans des souliers de satin, mais sa chaste robe n'eût pas ainsi trahi les mystères de sa jambe mignonne.”

Indiana, 1832

Guy Debord photo
Michaël Laitman photo
Daniel Pennac photo
Jean-François Deniau photo
Andreï Makine photo
Jean-François Revel photo
Bertrand Russell photo
Johan Cruijff photo
Zinedine Zidane photo
Gilles Simon photo
Gilles-Éric Séralini photo
Nicolas Sarkozy photo
Francis Scott Fitzgerald photo
James Joyce photo
Marguerite Yourcenar photo
Paul Léautaud photo
Pascal Blanchard photo
Adnan Oktar photo

“La franc-maçonnerie est une organisation globale. Leur pouvoir réel est basé en Angleterre et en France. Mais ils ont également de grandes organisations aux États-Unis. Ils ont des branches en Russie, partout dans le monde. En Inde également. Ils ont pris des positions clés dans le gouvernement. Ils peuvent également exercer leur pouvoir sur les cours de justice. Parfois ils ont leur mainmise sur les forces de sécurité. Ils peuvent exercer un pouvoir sur chaque secteur de l'état. Ils peuvent creuser un chemin pour y accéder. S'ils veulent organiser n'importe quelle sorte d'action, ils emploient leurs membres pour les exécuter.”

Adnan Oktar (1956) créationniste turc

Freemasonry is a global organization. Their real power [base] is in England and France. But they also have large organization in the United States. They have branches in Russia, everywhere in the world. In India too. They have taken hold of the key positions in the government. They even can exert power over the courts. Sometimes they lay hands on the security forces. They can assume control over of every kind of sector in the state. They can worm their way inside. If they want to organize any kind of action, they use their members to set up these things.
en

Maria-Antonietta Macciocchi photo

“Quand le Nouvel Observateur a sorti son reportage sur un cours de sexologie à l'université de Vincennes (l'article avait un titre explicite : « Je te tiens, tu me tiens… »), s'il est vrai que les petits-bourgeois ont envoyé ausitôt des milliers de lettres au sous-secrétaire d'État Soisson pour se plaindre, pour rouspéter (« C'est ainsi que vous dépensez l'argent des honnêtes contribuables? »), il n'en est pas moins vrai que la réaction générale a été la méfiance à l'égard du journal : dans toute cette affaire, c'est lui qui est apparu le plus suspect, avec son étrange moralisme de gauche. […] Moyennant quoi, je me suis souvenue qu'en effet, le soir, pendant que je tenais mon cours sur les origines du fascisme, des murmures étranges, des gémissements chantés se faisaient entendre dans la salle à côté, et que j'avais tapé plusieurs fois sur le mur pour les faire taire. En écoutant les commentaires grivois du quartier, où l'on avait dévoré les articles de France-Soir et où l'on ne parlait plus que de ça, je me suis dit qu'il devait s'agir de ce fameux cours de sexologie. J'en ai conclu que c'eût été une suprême ironie que de l'avoir à côté de moi, pendant que je dissertais sur « l'évolution structurale des classes en France ». Et je n'ai rien dit, de peur qu'on ne se fiche de moi encore plus. Je n'ai signalé la coïncidence qu'à un ami; sa réponse? « Eh bien, tu vois, l'Université? Elle est décidément aussi vieille et décrépite qu'avant 68. Personne ne sait ce qui se passe d'intéressant dans la salle d'à côté. »”

Maria-Antonietta Macciocchi (1922–2007) femme politique

De la France

Benoît Mandelbrot photo
Maria-Antonietta Macciocchi photo
Jared Diamond photo
Marguerite Duras photo
Pétrarque photo
Benoît Mandelbrot photo
Thierry Roland photo

“J'ai jamais vu un fumier pareil.”

Thierry Roland (1937–2012) journaliste sportif français, commentateur de matchs de football

Phrase prononcée pendant le quart de finale de Coupe du monde 1986 France - Brésil à propos de Ioan Igna, arbitre roumain du match, coupable à ses yeux de ne pas siffler les fautes en faveur des français. Au cours du même match et concernant le même arbitre, il a également dit que Michel Hidalgo, ancien sélectionneur des Bleus, lui avait confié la veille que « les Roumains étaient les plus faciles à acheter ».
Commentaires de matches de football télévisés, Sur TF1

Philippe de Gaulle photo
Sylvain Tesson photo
Jean-Luc Mélenchon photo
Michel de Ghelderode photo
Jacques Bainville photo
Andreï Makine photo
Bertrand Russell photo
Jean-Denis Bredin photo
René Char photo
André Breton photo
Cormac McCarthy photo
Vladimir Boukovsky photo
Jeannette Bougrab photo
Jacques Ellul photo

“Nous ne pouvons plus aujourd'hui parler argent sans penser à la vie économique, globale : […] l'argent en est le symbole. […] (car il) a subi une abstraction et une objectivation au cours du dernier siècle.
- Une abstraction, car l'individu n'a plus entre les mains une valeur en soi, il ne peut plus attribuer de sens au signe monétaire. Et ce n'est plus seulement la monnaie papier mais aussi la monnaie scripturale qui conduit à cette abstraction. L'individu ne s'attache plus au billet mais à son seul pouvoir d'achat. Le signe s'est rapproché de sa réalité économique en devenant lui-même plus abstrait.
- Une objectivation également, car l'on a de plus le sentiment que la manipulation de l'argent n'est pas un fait personnel, une appropriation, mais résulte de combinaisons lointaines et complexes dont nos actes ne sont que l'écho.
Il n'y a (donc) plus véritablement de relation entre l'individu et son argent parce que cet argent est (devenu) abstrait et objectif. Dès lors, il n'y a plus de problème moral de l'argent : […] l'homme n'est plus responsable de ce qu'il gagne, ni du « comment il gagne », ni du « comment il dépense », car il s'agit uniquement (pour lui) d'un jeu objectif d'opérations économiques dans lequel (il se sent) très peu de chose.”

Jacques Ellul (1912–1994) professeur d'histoire du droit, sociologue et théologien protestant français

L'homme et l'argent, 1953

Pierre Schoendoerffer photo
Bill Gates photo
Frantz Fanon photo
Charles-Augustin Sainte-Beuve photo
Émile Flourens photo
Camilo José Cela photo
Michael Crichton photo
Benoît Mandelbrot photo

“C'est également une loi de puissance qui détermine les variations de cours positives ou négatives de beaucoup d'instruments financiers.”

Benoît Mandelbrot (1924–2010) mathématicien franco-américano-polonais

Une approche fractale des marchés, 2005

Maximilien de Robespierre photo
Camille Saint-Saëns photo
Pierre Schoendoerffer photo
Léon Trotsky photo
Virginia Woolf photo
Confucius photo
Léon Blum photo
Loïc Decrauze photo

“Bien sûr, chaque fois qu'il contredit l'idéologie, le cours des évènements est lui-même subversif.”

Paul Watzlawick (1921–2007)

Les Cheveux du baron de Münchhausen, 1976

Jean Genet photo