Citations sur coup
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“Il faut amener les enfants à la pratique du bien par des exhortations, des paroles, et non pas, grands dieux! par des coups et des mauvais traitements.”

δεῖν τοὺς παῖδας ἐπὶ τὰ καλὰ τῶν ἐπιτηδευμάτων ἄγειν παραινέσεσι καὶ λόγοις, μὴ μὰ Δία πληγαῖς μηδ´ αἰκισμοῖς.
grc
Œuvres morales, Sur l'éducation des enfants

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“C'est comme ça qu'on grandit, en changeant face aux coups durs.”

Pete Dexter (1943) écrivain américain

God's Pocket, 1983

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“Je me bats à coups de plume contre le poids des silences maudits.”

Amanda Sthers (1978) auteur dramatique, scénariste, parolière

Rompre le charme (2012)

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“J'ai jamais vu un fumier pareil.”

Thierry Roland (1937–2012) journaliste sportif français, commentateur de matchs de football

Phrase prononcée pendant le quart de finale de Coupe du monde 1986 France - Brésil à propos de Ioan Igna, arbitre roumain du match, coupable à ses yeux de ne pas siffler les fautes en faveur des français. Au cours du même match et concernant le même arbitre, il a également dit que Michel Hidalgo, ancien sélectionneur des Bleus, lui avait confié la veille que « les Roumains étaient les plus faciles à acheter ».
Commentaires de matches de football télévisés, Sur TF1

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“Il ne fait aucun doute qu'IBM constitue le plus grand coup de Linux.”

Linus Torvalds (1969) développeur en informatique

En 2000, IBM a annoncé investir 1 milliard de dollars dans l'écosystème Linux (Linus Torvalds et David Diamond, Just for fun : The story of an Accidental Revolutionary (New York : Harper Collins), 2001), p.158.)
Au service d'un monde meilleur, 2006

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“Le répit dure peu. A peine passé le gros de la nouvelle charge française, tous, Máiquez compris, ressortent dans la rue, sur le pavé glissant de sang. José Antonio López Regidor, trente ans, reçoit une balle à bout portant juste au moment où, ayant réussi à se jucher sur la croupe du cheval d'un mamelouk, il lui plantait sou poignard dans le cœur. D'autres tombent aussi, et parmi eux Andréz Fernández y Suárez, comptable à la Compagnie royale de La Havanne, âgé de soixante-deux ans, Valerio García Lázaro, vingt et un ans, Juan Antonio Pérez Bohorques, vingt ans, palefrenier aux Gardes du Corps Royales, et Antonia Fayloa Fernández, une habitante de la rue de la Abada. Le noble du Guipúzcoa José Manuel de Barrenechea y Lapaza, de passage à Madrid, qui est sorti ce matin de son auberge en entendant le tumulte avec une canne-épée, deux pistolets de duel à la ceinture et six cigares de La Havanne dans une poche de sa redingote, reçoit un coup de sabre qui lui fend la clavicule gauche jusqu'à la poitrine. A quelques pas de là, au coin de l'hôtel des Postes et de la rue Carretas, les petits José de Cerro, dix ans, qui va pieds nus, et José Cristóbal García, douze ans, résistent à coups de pierres à un dragon de la Garde impériale avant de mourir sous son sabre. Pendant ce temps, le prêtre don Ignacio Hernández, épouvanté par tout ce qu'il voit, a ouvert le couteau qu'il portait dans sa poche. Les pans de sa soutane retroussés jusqu'à la taille, il bataille de pied ferme au milieu des chevaux, avec ses paroissiens de Fuencarral.”

Arturo Pérez-Reverte (1951) écrivain espagnol

Un jour de colère, 2008

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“Si l'arbre ne donne pas de fruits, qu'on le coupe.”

Raphaël Aloysius Lafferty (1914–2002) écrivain américain

, 1968

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“La vie n’est pas une devinette qu’on doit résoudre, mais plutôt un nœud gordien que sera coupé tôt ou tard.”

Samuel Butler (1835–1902) écrivain britannique

Life is not so much a riddle to be read as much as a Gordian knot that will get cut sooner or later.
en

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“Crête-cri de l'aube qui flambe. Premier œuf, premier coup de bec, cou coupé, allégresse!”

Octavio Paz (1914–1998) poète, essayiste et diplomate mexicain

Poésie, Liberté sur parole, 1929

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“Le Dunkerquois Scheid a tiré trois fois sur sa femme. Comme il la manquait toujours, il visa sa belle-mère : le coup porta.”

Félix Fénéon (1861–1944) critique d'art, journaliste et directeur de revues français

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Nouvelles en trois lignes

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“Ce que nous voulons, c'est combattre le capitalisme jusqu'à sa disparition. Nous voulons que d'autres rapports sociaux s'établissent, d'autres rapports entre les peuples. L'idée de dépassement, c'est celle d'un processus. Tout n'est pas pourri dans ce monde et déjà germent des éléments d'un monde plus juste et plus libre. En grandissant, par ce processus, ils vont peu à peu participer à abolir l'ordre ancien et toutes les logiques mauvaises qui se font jour. Aujourd'hui, ce n'est pas parce qu'on prendra l'Élysée par une manifestation insurrectionnelle que ceux qui font régner l'exploitation sur le monde disparaîtront. Les multinationales ne siègent pas à l'Élysée et ne se réduisent pas à un gouvernement. Qu'est-ce qui peut permettre aujourd'hui à un processus révolutionnaire de s'épanouir pleinement, avec succès? Je crois que c'est la mise en mouvement d'une multitude de luttes émancipatrices qui petit à petit se mettront en cohérence. Chacune de ces luttes porte des coups au système capitaliste, le fragilise, et toutes ces luttes mises bout à bout donnent à l'exigence d'un autre monde la force suffisant pour que d'autres rapports sociaux s'établissent. C'est le contraire du mythe du « grand soir », d'est un processus de luttes sociales et politiques qui doit conduire à terme à une abolition réussie de ce système de domination. En ce sens, c'est pour moi une belle formule que le « dépassement du capitalisme.»”

Marie-George Buffet (1949) femme politique française

Un peu de courage !

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“On nous avait fait le coup des aspects positifs de Vichy (bouclier, moindre mal, grandes réformes économiques et sociales…). Voilà qu’on nous refait celui du rôle positif, voire de l’œuvre humaniste, de la présence française en Afrique (équipements, santé, Savorgnan de Brazza, Lyautey, nos ancêtres les Gaulois, l’école de la République…). […] Le projet colonial, même s’il n’est pas le seul en cause et si les peuples d’Afrique n’ont pas attendu les négriers occidentaux pour pratiquer la traite des personnes et l’esclavage, est un projet pervers, fondé sur des règles qui font, en tant que telles, honte à une démocratie : Code de l’indigénat, racisme d’État, droit des races dites supérieures à gouverner les inférieures. L’idéologie coloniale, le corps de convictions et de fantasmes qui ont rendu possible la conquête militaire d’une partie du monde par une autre, n’est pas une idéologie génocidaire […] mais c’est incontestablement, en revanche, une idéologie criminelle […] : ainsi les morts de la conquête de l’Algérie par Bugeaud et Pélissier; ainsi les morts de Sétif; ainsi les victimes de la pacification de Madagascar; j’en passe. […] l’idée coloniale était, en soi, une idée perverse; l’aventure coloniale a été, en son principe, une page sombre de notre Histoire; et il y a dans le geste de ceux qui veulent réviser cette évidence, il y a dans leur aplomb, leur passion, leur enthousiasme repu de beaufs qui se lâchent, un parfum de bond en arrière que l’on n’avait pas senti depuis longtemps.”

Bernard-Henri Lévy (1948) écrivain français

À propos de la loi du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés.
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