Citations sur les poissons

Une collection de citations sur le thème de poisson, tout, pluie, bien-être.

Meilleures citations sur les poissons

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“Le Poison est l'ami de l'Homme, puisqu'il le tue.”

Xavier Forneret (1809–1884) écrivain, poète, dramaturge et journaliste français

Sans titre (1838)

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“La couleur d'un poisson ne le rend pas moins poisseux.”

La Mort blanche, 1982

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“Le soleil avait plongé, pareil à un poisson d’or.”

Félix Timmermans (1886–1947) écrivain et peintre belge

De zon was gezonken als een goudvis.
nl
Incipit et explicit du roman.
La Harpe de saint François ('), 1932

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“On régit un grand État comme on fait frire un petit poisson.”

fr
Celui qui sait faire frire un petit poisson ne doit pas le remuer trop souvent.
Tao-tö king, 1967

“Les poissons morts ne brillent que la nuit.”

William Hjortsberg (1941–2017) écrivain américain

Matières Grises, 1971

“Tout discours flatteur cache un poison.”

Publius Syrus poète latin

Habet suum venenum blanda ovatio
la
Sentences

Citations sur les poissons

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“Envoyez-moi votre fille, écrivait saint Jérôme à Læta; je me charge de l’élever. » « Gardez auprès de vous votre fille, » répond Fénelon à une mère qui lui avait demandé son avis. Le conseil était nouveau. Le couvent était resté la ressource commune, presque la seule ressource d’éducation pour les jeunes filles. Fénelon n’hésite pas à en signaler les dangers. « J’estime fort l’éducation des bons couvents, dit-il en substance, mais je compte encore plus sur les soins d’une bonne mère, quand elle est libre de s’y appliquer. Si un couvent n’est pas régulier, c’est une école de vanité : les jeunes filles n’y entendent parler du monde que comme d’une espèce d’enchantement; il n’est pas de poison plus subtil; mieux vaut le monde lui-même qu’un couvent mondain. Si l’établissement est demeuré fidèle à l’esprit de son institut, l’ignorance absolue du siècle y règne : l’enfant qui en sort pour entrer dans la vie est comme une personne qu’on aurait nourrie dans les ténèbres d’une profonde caverne, et qu’on ferait tout d’un coup passer au grand jour; rien ne peut être plus redoutable pour une imagination vive que cette surprise soudaine. C’est à la mère sage et discrète qu’il convient d’introduire peu à peu la jeune fille dans la société où elle doit vivre, et d’y accoutumer sa vue. Elle seule d’ailleurs peut découvrir dans son esprit et dans son cœur les mouvements qu’il importe de connaître pour la bien diriger.”

Octave Gréard (1828–1904) pédagogue et universitaire français

L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Fénelon

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“Ils [les grands trusts chimiques] ont choisi une ligne, doivent entretenir leurs employés. Ils font leur travail, qui est de vendre, comme celui de l'écrivain est de remplir des pages.À la nuance près qu'en vertu de leur extraordinaire puissance publicitaire, ils sont les seuls à pouvoir encombrer le cerveau des indécis pour leur faire croire que les poisons modernes nous sont indispensables.</p”

Jean Valnet (1920–1995) médecin français

Préface à la 9 édition, 1979, reproduite dans la 10 édition et toutes ses réimpressions jusqu'en 2009. À noter : le sous-titre original du livre, lors des premières éditions chez Maloine S.A., était : « Traitement des maladies par les essences des plantes »
Sur les grands trusts chimiques

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“Rien dans cette immensité n'avait de nom : il se retint de penser que l'oiseau qui pêchait, balancé sur une crête, était une mouette, et l'étrange animal qui bougeait dans une mare ses membres si différents de ceux de l'homme une étoile de mer. La marée baissait toujours, laissant derrière elle des coquillages aux spirales aussi pures que celles d'Archimède; le soleil montait insensiblement, diminuant cette ombre humaine sur le sable. Plein d'une révérencieuses pensée qui l'eût fait mettre à mort sur toutes les places publiques de Mahomet ou du Christ, il songea que les symboles les plus adéquats du conjectural Bien Suprême sont encore ceux qui passent absurdement pour les plus idolâtres, et ce globe igné le seul Dieu visible pour des créatures qui dépériraient sans lui. De même, le plus vrai des anges était cette mouette qui avait de plus que les Séraphins et les Trônes l'évidence d'exister. Dans ce monde sans fantômes, la férocité même était pure : le poisson qui frétillait sous la vague ne serait dans un instant qu'un sanglant bon morceau sous le bec de l'oiseau pêcheur, mais l'oiseau ne donnait pas de mauvais prétexte à sa faim. Le renard et le lièvre, la ruse et la peur, habitaient la dune où il avait dormi, mais le tueur ne se réclamait pas de lois promulguées jadis par un renard sagace ou un renard-dieu; la victime ne se croyait pas châtiée pour ses crimes et ne protestait pas en mourant de sa fidélité à son prince. La violence du flot était sans colère. La mort, toujours obscène chez les hommes, était propre dans cette solitude.”

L'Œuvre au noir, 1968

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“Buvez-en peu, mais qu'il soit bon. Le bon vin sert de médecin, le mauvais vin sert de poison.”

Propos rapporté d' Arnaud de Villeneuve (médecin) en 1320
Vins biologiques, 2012

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“Bénini, seul
Ô jalousie! tu es à l'âme ce que le poison est au corps.”

Xavier Forneret (1809–1884) écrivain, poète, dramaturge et journaliste français

Il est dans une agitation extrême.
L'Homme Noir (1835)

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“C'est un réseau sans issue, un vrai filet à poissons que je tends autour de lui, une robe au faste perfide.”

ἄπειρον ἀμφίβληστρον, ὥσπερ ἰχθύων,
περιστιχίζω, πλοῦτον εἵματος κακόν
grc
Clytemnestre raconte le piège qu'elle a tendu à son époux Agamemnon pour le tuer.
L'Orestie, Agamemnon

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“J'appelle charité, l'amour de ce qui n'est pas inférieur à celui qui aime [littéralement : lorsque les choses qui sont aimées ne doivent pas être tenues pour négligeables en comparaison de celui qui aime], c'est-à-dire ce qui est éternel, et qu'on peut aimer éternellement. Dieu donc et l'âme qui aime Dieu [littéralement : Dieu, donc et l'âme, lorsqu'ils sont aimés], voilà la charité dans son état le plus pur et le plus parfait, s'il ne s'y mêle point d'autre amour [littéralement : si rien d'autre n'est aimé]; on l'appelle aussi la dilection. Mais lorsque Dieu est plus aimé que l'âme, au point que l'homme aime mieux être à Dieu qu'à lui-même, c'est alors qu'il est dans la voie du souverain bien pour son âme, et conséquemment pour son corps; puisque nous n'avons plus aucun souci de satisfaire aucun désir, prenant les choses à tout hasard et comme elles se présentent. Or, le poison de la charité, c'est le désir d'acquérir ou de conserver les biens temporels. Son aliment, c'est la diminution de la cupidité; sa perfection, l'extinction de la cupidité. Le signe de son progrès, c'est de craindre peu; le signe de sa perfection, c'est de ne rien craindre, « car la cupidité est la racine de tous les maux, comme la parfaite dilection chasse toute crainte; »”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

I Tim., VI, 10; I Jean, IV, 18.
Caritatem voco qua amantur ea quæ non sunt præ ipso amante contemnenda, id est, quod æternum est et quod amare ipsum æternum potest. Deus igitur et animus cum amantur, caritas proprie dicitur, purgatissima et consummata, si nihil aliud amatur; hanc et dilectionem dici placet. Sed cum Deus magis diligitur quam animus, ut malit homo ejus esse quam suus, tunc vere animo summeque consulitur, consequenter et corpori, nobis id non curantibus aliquo appetitu satagente, sed tantum promta et oblata sumentibus. Caritatis autem venenum est spes adipiscendorum aut retinendorum temporalium; nutrimentum ejus est imminutio cupiditatis; perfectio nulla cupiditas. Signum provectus ejus est imminutio timoris; signum perfectionis ejus nullus timor, quia et radix est omnium malorum cupiditas (1 Tim 6, 10); et consummata dilectio foras mittit timorem (1 Io 4, 18.)
la
Citations de saint Augustin, Quatre-vingt trois questions diverses

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“Mais la calumnie de certains Canibales, misanthropes, agelastes, avoit tant contre moy esté atroce et desraisonnée, quelle avoit vaincu ma patience : et plus n'estoit deliberé en escrire un Iota. Car l'une des moindres contumelies dont ilz usoient, estoit, que telz livres tous estoient farciz d'heresies diverses : n'en povoient toutes fois une seulle exhiber en endroict aulcun : de folastrerie joyeuses hors l'offence de Dieu, et du Roy, prou (c'est le subjet et theme unicque d'iceilx livres) d'heresies poinct : sinon perversement et contre tout usaige de raison et de languaige commun, interpretans ce que à poine de mille fois mourir, si autant possible estoit, ne vouldrois avoir pensé : comme qui pain, interpretroit pierre : poisson, serpent : œuf, scorpion.”

François Rabelais (1494–1553) auteur français du 16e siècle

fr
Mais la calomnie de certains cannibales, misanthropes, agelastes, avait était si atroce et déraisonnée à mon encontre, qu'elle avait vaincu ma patience ; et je ne désiré plus écrire un iota. Car l'une de leurs moindre injures était que de tels livres étaient farcis d'hérésies diverses : ils ne pouvaient toutefois en dévoiler aucune et nulle part, beaucoup de folatries joyeuses sans offense de Dieu et du Roi (c'est l'unique thème et sujet de ces livres) mais non d'hérésies, sauf à interpréter de travers, contre tout usage de la raison et de la langue commune, interprétations pour lesquelles j'aurais préféré mille fois mourir plutôt que de les avoir pensé, si cela était possible : lisait pierre à la place de pain, le serpent pour le poisson, le scorpion pour l'œuf.
Rabelais s'adresse à Odet de Coligny, cardinal de Chatillon, à qui il doit le privilège royal de 1550. Ses ennemis à qui il fait référence ici sont soit Putherbe, Calvin ou les théologiens de la Sorbonne. Agelaste veut dire dépourvu de rire.
Œuvre, Quart Livre

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“[Le poisson rouge de sa fille est mort] Ma fille est rentrée après l'école : « pourquoi il est mort, papa? » Aller! Qu'est-ce que je peux bien répondre à ça? « Pourquoi il est mort? » Parce que tout le monde s'en fout. C'est ça la raison. Parce que son entière existence n'avait aucune importance, c'est pour ça qu'il est mort. Il ne connaissait pas son nom et il ne t'aimais pas comme toi tu l'aimais.”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

And then my daughter comes home: « why did he die, daddy ? » Oh come on ! What am I gonna say ? « Why did he die ? » Because who gives a shit ! That's the reason. It's because it didn't matter that he was alive, that's why he's dead. He didn't know his name and he didn't love you back.
en
Oh My God (2013)

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“Qu'est-ce ce qu'un héron sans ses pattes, un poisson sans ses nageoires?”

John Ronald Reuel Tolkien (1892–1973) écrivain, poète, philologue et professeur d’université anglais (1892-1973)

What's a coot without his legs, or a finless fish now ?
en
Les Aventures de Tom Bombadil, 1962

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“Toute victoire a sa part de poison […] je m'attends à de la colère et peut être même à de la violence.”

François Hollande (1954) 7e président de la cinquième République Française

Propos tenu lors d'un déjeuner en mars 2012.

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“Le poisson quand c'est pas frais… Déjà à manger c'est pas bon, mais alors à vomir…”

Coluche (1944–1986) humoriste et comédien français

Music-hall, L'ancien combattant, On n'a pas eu de bol

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“Le chien n’est pas un animal aquatique. Mais si Dieu lui donne du poisson, il l’attrape.”

Massa Makan Diabaté (1938–1988) historien et écrivain malien

Le boucher de Kouta , 1982

Cette citation en attente d’examen.