Citations sur proposition

Une collection de citations sur le thème de proposition, bien-être, pluie, tout.

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“La motion n’est rien moins qu’une motion d’ordre. Elle tend à gêner la liberté qu’a l’Assemblée de décréter, et chaque membre de proposer ce qui sera utile aux colonies. C’est tout soumettre au Comité colonial. Je demande la question préalable.”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Discours, Intervention de Robespierre contre la motion d'ordre de Moreau de Saint-Mery, député de la Martinique, tendant à créer un comité chargé de contrôler les décisions coloniales de l'assemblée. [11, janvier, 1791]

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“Ce que nous appelons la terre est un élément de la nature qui est inextricablement entrelacé avec les institutions de l'homme. La plus étrange de toutes les entreprises de nos ancêtres a peut-être été de l'isoler et d'en former un marché. Traditionnellement, la main-d'œuvre et la terre ne sont pas séparées; la main-d'œuvre fait partie de la vie, la terre demeure une partie de la nature, la vie et la nature forment un tout qui s'articule. La terre est ainsi liée aux organisations fondées sur la famille, le voisinage, le métier et la croyance -- avec la tribu et le temple, le village, la guilde et l'église. Le Grand Marché unique, d'autre part, est un dispositif de la vie économique qui comprend des marchés pour des facteurs de production. Puisque ces facteurs se trouvent être indiscernables des éléments qui constituent les relations humaines, l'homme et la nature, il est facile de voir que l'économie de marché implique une société dont les institutions sont subordonnées aux exigences du mécanisme du marché. Cette proposition est utopique aussi bien en ce qui concerne la terre qu'en ce qui concerne la main-d'œuvre. La fonction économique n'est que l'une des nombreuses fonctions vitales de la terre. Celle-ci donne sa stabilité à la vie de l'homme; elle est le lieu qu'il habite; elle est une condition de sa sécurité matérielle; elle est le paysage et les saisons. Nous pourrions aussi bien imaginer l'homme venant au monde sans bras ni jambes que menant sa vie sans terre. Et pourtant, séparer la terre de l'homme et organiser la société de manière à satisfaire les exigences d'un marché de l'immobilier, cela a été une partie vitale de la conception utopique d'une économie de marché.”

La Grande Transformation (1944), Deuxième partie : Grandeur et décadence de l'économie de marché, Chapitre 15 : Le marché et la nature

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“La quasi-totalité de nos conflits sociaux tourne autour de cette incapacité à dialoguer de bonne foi et de bonne intelligence. Le gouvernement lui-même propose souvent le débat lorsque sa décision est déjà arrêtée.”

À l'occasion de la décision du gouvernement français de raser les maisons en « zone noire » sur le littoral en Charente-Maritime et en Vendée à la suite de la tempête Xynthia
Le Bien public, 2007-2009, Société

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“Mon cœur se contracte au spectacle qui s’offre à moi… Janin… C’était la grande cité de mon enfance. Les terres tribales se trouvant à une trentaine de kilomètres de là, j’accompagnais souvent mon père quand il se rendait en ville proposer ses toiles à de louches marchands d’art. À cette époque, Janin me paraissait aussi mystérieuse que Babylone, et j’aimais à prendre ses nattes pour des tapis volants. Puis, lorsque la puberté me rendit plus attentif au déhanchement des femmes, j’appris à m’y rendre seul comme un grand. Janin, c’était la ville rêvée des anges délurés, avec ses petites manières de grosse bourgade singeant les grandes villes, sa cohue incessante qui rappelle le souk un jour de ramadan, ses boutiques aux allures de caverne d’Ali Baba où les babioles s’évertuaient à minimiser l’ombre des pénuries, ses ruelles parfumées où les galopins évoquaient des princes aux pieds nus; mais aussi son côté pittoresque qui fascinait les pèlerins dans une vie antérieure, l’odeur de son pain que je n’ai retrouvée nulle part ailleurs et sa bonhomie toujours vivace malgré tant d’infortunes… Où sont donc passées les petites touches qui faisaient son charme et sa griffe, qui rendaient la pudeur de ses filles aussi mortelle que leur effronterie et les vieillards vénérables en dépit de leur caractère impossible? Le règne de l’absurde a ravagé jusqu’aux joies des enfants. Tout a sombré dans une grisaille malsaine. On se croirait sur une aile oubliée des limbes, hantée d’âmes avachies, d’êtres brisés, mi-spectres mi-damnés, confits dans les vicissitudes tels des moucherons dans une coulée de vernis, le faciès décomposé, le regard révulsé, tourné vers la nuit, si malheureux que même le grand soleil d’As-Samirah ne parvient pas à l’éclairer.
Janin n’est plus qu’une ville sinistrée, un immense gâchis; elle ne dit rien qui vaille et a l’air aussi insondable que le sourire de ses martyrs dont les portraits sont placardés à chaque coin de la rue. Défigurée par les multiples incursions de l’armée israélienne, tour à tour clouée au pilori et ressuscitée pour faire durer le plaisir, elle gît dans ses malédictions, à bout de souffle et à court d’incantations…”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

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“Dans le fond, quel peu de respect on a pour ce que l'on fait si on le propose gratuitement?”

Nicolas Sarkozy (1955) 6e président de la cinquième République Française

Culture

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“Château d'une seule masse, irréfutable proposition de lave! A l'intérieur, est-ce amour, carnage ou chant?”

Octavio Paz (1914–1998) poète, essayiste et diplomate mexicain

Poésie, Liberté sur parole, 1929

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“[…] cette confusion des lieux de peur et des lieux de plaisir dans l'imaginaire européen, qui donne à chacun l'occasion de se rendre fantasmatiquement maître de l'espace destiné à l'asservissement du nombre, préfigure paradoxalement la fête révolutionnaire alors conçue comme « l'éveil d'un sujet collectif qui naît à lui-même, et qui se perçoit en toutes ses parties, en chacun de ses participants ». Et quand la première fête révolutionnaire aurait été la prise de la Bastille, c'est-à-dire la prise de possession collective d'un lieu clos ou bien l'abolition d'un décor qui sépare, le roman noir propose la même fête, mais à l'intérieur d'un décor où la séparation ne se serait maintenue que pour exalter la souveraineté de tous ceux qui s'en rendent fantasmatiquement maîtres. Ainsi niant à la fois le caractère exclusif de la fête aristocratique et le caractère collectif de la fête révolutionnaire, l'architecture noire ouvre un espace de subversion où le nombre délimite négativement le champ d'affirmation de l'unique pour en faire une prison, de même que l'unique y vient nier la possibilité d'un plaisir partagé, excluant tout ce qui s'oppose à sa propre satisfaction. Car illustrant l'idée fort répandue en cette fin de siècle que « l'extrême liberté de quelques-uns attente à la liberté de tous », les demeures du roman noir exposent aussi que la liberté de tous porte atteinte à la liberté de chacun dont elles esquissent les perspectives illimitées.”

Annie Le Brun (1942) poétesse française

Annie Le Brun cite ici à deux reprises Jean Starobinski (in l'Invention de la liberté).
Essai critique, Les châteaux de la subversion, 1982

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“Rrose Sélavy propose que la pourriture des passions devienne la nourriture des nations.”

Robert Desnos (1900–1945) poète français

Rrose Sélavy, 1922

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“[…] il n'y a pas de propositions éthiques, il n'y a que des actes éthiques.”

Ludwig Wittgenstein (1889–1951) philosophe et logicien autrichien, puis britannique

Lettres, rencontres, souvenirs

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“Un Horr n’a pas besoin de sous […] Il prend ce que le hasard lui propose.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Olympe des Infortunes, 2010

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“Les livres qu’on se propose de relire dans l’âge mûr sont assez semblables aux lieux où l’on voudrait vieillir.”

Joseph Joubert (1754–1824) philosophe et essayiste français

Tome 2, Des qualités de l'écrivain et des compositions littéraires

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“L'existence de relations causales […] entre les faits transcende le domaine des faits et ne peut être exprimé par des propositions sensées.”

Ludwig Wittgenstein (1889–1951) philosophe et logicien autrichien, puis britannique

Lettres, rencontres, souvenirs

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“Si l'on me propose, je n'y participerai pas; si je suis nominé, je refuserai; si je suis élu, je n'exercerai pas mon mandat.”

William Tecumseh Sherman (1820–1891) militaire, homme d'affaires, enseignant et écrivain américain

If drafted, I will not run; if nominated, I will not accept; if elected, I will not serve.
en

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“Aujourd'hui, l'Europe peut proposer les principes et les règles qui modèleront un nouvel ordre mondial.”

José Manuel Durão Barroso (1956) homme politique portugais

Today Europe can propose the principles and rules that will shape a new global order.
en
Crise financière et nouvel ordre mondial

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“Parmi toutes les nations et aux yeux de tous les hommes, le désir d'une postérité et la fidélité conjugale impriment au mariage un caractère de bonté réelle. Chez les chrétiens, il faut y ajouter la sainteté du sacrement qui défend à une épouse répudiée de convoler à de nouvelles noces, pendant la vie de son premier mari, lors même qu'elle n'aspirerait à un nouveau mariage que dans le but d'avoir des enfants. Ce but, en effet, est le seul que l'on doive se proposer dans le mariage. Supposé qu'il ne puisse être obtenu, le lien nuptial n'est pas brisé pour ce seul motif, il ne peut l'être que par la mort de l'un des deux époux. On ordonne un clerc pour diriger une réunion de fidèles; supposé que cette réunion n'ait pas lieu, le sacrement de l'ordre reste validement conféré. Bien plus, lors même qu'en punition de quelque faute ce clerc mériterait d'être interdit des fonctions de son ordre, il conserve toujours le caractère du sacrement et il le portera au jugement dernier. Que la génération soit le but du mariage, c'est ce qui résulte de ces paroles de l'Apôtre : « Je veux que les jeunes veuves se marient»; puis supposant qu'on lui demande pourquoi, il continue : « Afin de créer des enfants et de devenir mères de famille (I Tim, V, 14.) ». Quant à la fidélité conjugale, il s'exprime ainsi :.« L'épouse n'a pas la puissance sur son propre corps, cette puissance appartient au mari; de même l'époux n'a pas la puissance sur son propre corps, cette puissance appartient à la femme ((Ibidem.) ». Parlant enfin de la sainteté du sacrement, il s'écrie : « Que l'épouse ne se sépare point de son mari; si elle s'en sépare, qu'elle s'interdise tout nouveau mariage, ou qu'elle se réconcilie avec son époux. De même, que le mari ne renvoie point sa femme ((1 Cor 7, 4.) ». Tels sont donc les biens qui impriment au mariage tout autant de caractères de bonté : les enfants, la fidélité, le sacrement.”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

Citations de saint Augustin, Le Bien du mariage

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“Les sondages d'opinion suggèrent que seule une petite minorité (13 pourcents) des américains sont favorables à la proposition suivante : [en tant que seule superpuissance restante, les USA devraient continuer à être des leaders mondiaux prééminents dans la résolution des problèmes internationaux]. […] L'Amérique devenant une société de plus en plus multiculturelle, il risque d'être plus difficile de façonner un consensus en terme de politique internationale, sauf dans le cas de la perception d'une menace extérieure directe et massive. […] Plus généralement, le changement culturel en Amérique peut être aussi réticent à un exercice soutenu à l'étranger d'un pouvoir authentiquement impérial. Cet exercice requière un haut degré de motivation doctrinale, d'engagement intellectuel, et de gratification patriotique. […] Les communications de masse ou joué un rôle particulièrement important à cet égard, générant une forte révulsion à l'encontre de toute utilisation sélective de la force qui entraine même un niveau faible de pertes humaines. […] En bref, les buts des politiques américaines doivent être sans scrupules et doubles : perpétuer la position dominante américaine pour au moins une génération et si possible plus longtemps.”

Zbigniew Brzezinski (1928–2017) politologue américain

Public opinion polls suggest that only a small minority (13 percent) of Americans favor the proposition that 'as the sole remaining superpower, the US should continue to be the preeminent world leader in solving international problems'. [...] As America becomes an increasingly multicultural society, it may find it more difficult to fashion a consensus on foreign policy issues, except in the circumstance of a truly massive and widely perceived direct external threat. [...] More generally, cultural change in America may also be uncongenial to the sustained exercise abroad of genuinely imperial power. That exercise requires a high degree of doctrinal motivation, intellectual commitment, and patriotic gratification. [...] Mass communications have been playing a particularly important role in that regard, generating a strong revulsion against any selective use of force that entails even low levels of casualties [...] In brief, the U.S. Policy goals must be un-apologetically twofold: to perpetuate America's own dominant position for at least a generation and preferably longer
en
Le Grand Echiquier - 1997

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“La science propose, la politique dispose.”

Bernard Wolfe (1915–1985) écrivain américain

, 1952

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“Migdia Chinea-Varela : Selon moi, il peut y avoir plusieurs formes d'actions sans séparation en fin même si tu veux être prise pour cette série. J'aimerais proposer à la place un simple scénario : un travail simple dans un marché où l'emploi est commensurable avec un regard de genre, et un arrière plan racial ou ethnique. Lorsque je leur ai formulé mon scénario, ils ont aimé l'histoire, j'ai obtenu ce job, pourquoi pas?”

Migdia Chinea-Varela (1947) actrice américaine

In my view there can be no affirmative action without segregation-nor any end to the segregation if our names must be kept on separate lists. I'd like to propose instead a simple scenario: a fair job market where employment is commensurate with ability regardless of gender, racial or ethnic background. I make a pitch, they like my story, I get the job. Why not ?
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À propos de Superboy, une série qu'elle a scénarisé durant deux années

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“L'idée qui sous-tend ma proposition pour une Union Monétaire est simple, à savoir […] l'établissement d'une Banque de Règlement internationale.”

John Maynard Keynes (1883–1946) économiste britannique

The idea underlying my proposals for a Currency Union is simple, namely [...] the
Propositions pour une Union monétaire internationale, 1941

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“Dans la société soviétique, les tendances à l'asservissement réciproque qui se manifestaient déjà à l'époque de Tchékhov se sont renforcées démesurément. Par rapport à la société du passé l'esclavage communiste multiplie considérablement le nombre de ceux qui deviennent les dépositaires de l'autorité officielle de sorte que presque tous les membres ordinaires de la société sont en fait investis d'une parcelle de pouvoir qu'ils exercent sur les autres. Cette société a étendu la masse du pouvoir qui a atteint des dimensions sans précédents et elle en a confié l'exécution à des millions de simples gens. Elle les a investis suivant la lois qui y déterminent la distribution des biens : à chacun selon sa position sociale. Mais chacun y reçoit sa part. C'est un esclavage particulier, où la soumission de chacun est compensée par la possibilité de voir autour de lui des créatures soumises à sa propre autorité. Ainsi, à la place de la liberté s'offre la possibilité de priver les autres de leur liberté, c'est-à-dire d'obtenir la participation dans l'asservissement. Un ersatz de liberté est proposé ici aux citoyens: ce n'est pas l'aspiration à être libre, mais l'aspiration à priver les autres de leur volonté de liberté. Ce qui est beaucoup plus facile que de lutter pour ne pas être un esclave.”

Alexandre Zinoviev (1922–2006) écrivain russe

Mon Tchékhov, 1989

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“J'en rencontray quatres autres, en un coin de jardin, amerement disputans, et prets à se prendre au poil l'un l'autre : demandant dont sourdoit leur different, entendy que, que jà, quatre jours estoient passez, depuis qu'ils avoient commencé disputer, de trois haultes et plus que Phisicales propositions : à la résolution desquelles, ils se promettoient montaigne d'or. La premiere estoit de l'ombre d'un Asne couillard : l'autre de la fumée d'une Lanterne : la tierce, du poil de Chevre, savoir si c'était laine.”

François Rabelais (1494–1553) auteur français du 16e siècle

fr
J'en rencontrais quatre autres, dans un coin du jardin, disputant avec âpreté, prêts à en venir aux mains. Je demandais d'où venait leur différend, ce à quoi je m'entendis répondre qu'il débataient depuis quatre jours, de trois et plus que scientifiques recherches, à la résolution desquelles, ils se promettaient montagne d'or. La première concernait l'ombre d'un âne couillu, l'autre de la fumée d'une lanterne, la troisième, de la question de savoir si le poil de chèvre était de la laine.
Accueillis comme hôtes par la reine de la Quinte Essence, les voyageurs observent une série d'activités grotesques et stériles.
Œuvre, Cinquième Livre

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“Quant à moi, en m'inspirant essentiellement de la doctrine carnapienne du monde physique dans lAufbau, je propose l'idée que nos énoncés sur le monde extérieur sont jugés par le tribunal de l'expérience sensible, non pas individuellement, mais seulement collectivement.”

Willard Van Orman Quine (1908–2000)

My countersuggestion, issuing essentially from Carnap's doctrine of the physical world in the Aufbau, is that our statements about the external world face the tribunal of sense experience not individually but only as a corporate body.
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Les Deux Dogmes de l'empirisme

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