Citations sur pour cent

Une collection de citations sur le thème de pour cent, tout, pluie, ans.

Citations sur pour cent

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“Le jeune qui a parcouru cent villages est l’égal du vieux qui a vécu cent années.”

Seydou Badian Kouyaté (1928–2018) écrivain et homme politique malien

Sous l’orage suivi de La Mort de Chaka, 1957

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“Un philosophe argentin et moi parlions une fois sur le sujet du temps. Et le philosophe a dit : « Par rapport à ça, on a fait beaucoup de progrès ces dernières années. » Et j’ai pensé que si je lui avais parlé de l’espace, sans doute m’aurait-il répondu : « Par rapport à ça, on a fait beaucoup de progrès dans les cent derniers mètres.»”

Jorge Luis Borges (1899–1986) écrivain argentin de prose et de poésie

C’est un philosophe très connu.
Un filósofo argentino y yo conversábamos una vez sobre el tema del tiempo. Y el filósofo dijo: “En cuanto a esto, se hicieron muchos progresos en los últimos años”. Y yo pensé que si le hubiera hecho una pregunta acerca del espacio, seguramente él me hubiera respondido: “En cuanto a esto, se hicieron muchos progresos en los últimos cien metros”. Es un filósofo muy conocido.
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“Prenons un exemple dans une manufacture de la plus petite importance, mais où la division du travail s’est fait souvent remarquer : une manufacture d’épingles. Un homme qui ne serait pas façonné à ce genre d’ouvrage, dont la division du travail a fait un métier particulier, ni accoutumé à se servir des instruments qui y sont en usage, dont l’invention est probablement due encore à la division du travail, cet ouvrier, quelque adroit qu’il fût, pourrait peut-être à peine faire une épingle dans toute sa journée, et certainement il n’en ferait pas une vingtaine. Mais de la manière dont cette industrie est maintenant conduite, non-seulement l’ouvrage entier forme un métier particulier, mais même cet ouvrage est divisé en un grand nombre de branches, dont la plupart constituent autant de métiers particuliers. Un ouvrier tire le fil à la bobine, un autre le dresse, un troisième coupe la dressée, un quatrième empointe, un cinquième est employé à émoudre le bout qui doit recevoir la tête. Cette tête est elle-même l’objet de deux ou trois opérations séparées : la frapper est une besogne particulière; blanchir les épingles en est une autre; c’est même un métier distinct et séparé que de piquer les papiers et d’y bouter les épingles; enfin, l’important travail de faire une épingle est divisé en dix-huit opérations distinctes ou environ, lesquelles, dans certaines fabriques, sont remplies par autant de mains différentes, quoique dans d’autres le même ouvrier en remplisse deux ou trois. J’ai vu une petite manufacture de ce genre qui n’employait que dix ouvriers, et où, par conséquent, quelques-uns d’eux étaient chargés de deux ou trois opérations. Mais, quoique la fabrique fût fort pauvre et, par cette raison, mal outillée, cependant, quand ils se mettaient en train, ils ve­naient à bout de faire entre eux environ douze livres d’épingles par jour; or, chaque livre contient au delà de quatre mille épingles de taille moyenne. Ainsi, ces dix ouvriers pouvaient faire entre eux plus de quarante-huit milliers d’épingles dans une journée; donc, chaque ouvrier, faisant une dixième partie de ce produit, peut être considéré comme donnant dans sa journée quatre mille huit cents épingles. Mais s’ils avaient tous travaillé à part et indépendamment les uns des autres, et s’ils n’avaient pas été façonnés à cette besogne particulière, chacun d’eux assurément n’eût pas fait vingt épingles, peut-être pas une seule, dans sa journée, c’est-à-dire pas, à coup sûr, la deux-cent-quarantième partie, et pas peut-être la quatre-mille-huit-centième partie de ce qu’ils sont maintenant en état de faire, en conséquence d’une division et d’une combinaison convenables de leurs différentes opérations”

Adam Smith (1723–1790) philosophe et économiste écossais (1723-1790)

To take an example, therefore, from a very trifling manufacture; but one in which the division of labour has been very often taken notice of, the trade of the pin-maker; a workman not educated to this business (which the division of labour has rendered a distinct trade), nor acquainted with the use of the machinery employed in it (to the invention of which the same division of labour has probably given occasion), could scarce, perhaps, with his utmost industry, make one pin in a day, and certainly could not make twenty. But in the way in which this business is now carried on, not only the whole work is a peculiar trade, but it is divided into a number of branches, of which the greater part are likewise peculiar trades. One man draws out the wire, another straights it, a third cuts it, a fourth points it, a fifth grinds it at the top for receiving, the head; to make the head requires two or three distinct operations; to put it on is a peculiar business, to whiten the pins is another; it is even a trade by itself to put them into the paper; and the important business of making a pin is, in this manner, divided into about eighteen distinct operations, which, in some manufactories, are all performed by distinct hands, though in others the same man will sometimes perform two or three of them. I have seen a small manufactory of this kind where ten men only were employed, and where some of them consequently performed two or three distinct operations. But though they were very poor, and therefore but indifferently accommodated with the necessary machinery, they could, when they exerted themselves, make among them about twelve pounds of pins in a day. There are in a pound upwards of four thousand pins of a middling size. Those ten persons, therefore, could make among them upwards of forty-eight thousand pins in a day. Each person, therefore, making a tenth part of forty-eight thousand pins, might be considered as making four thousand eight hundred pins in a day. But if they had all wrought separately and independently, and without any of them having been educated to this peculiar business, they certainly could not each of them have made twenty, perhaps not one pin in a day; that is, certainly, not the two hundred and fortieth, perhaps not the four thousand eight hundredth part of what they are at present capable of performing, in consequence of a proper division and combination of their different operations.
en
Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776), Livre I

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“Le seul véritable voyage, le seul bain de Jouvence, ce ne serait pas d’aller vers de nouveaux paysages, mais d’avoir d’autres yeux, de voir l’univers avec les yeux d’un autre, de cent autres, de voir les cent univers que chacun d’eux voit, que chacun d’eux est.”

À la recherche du temps perdu, La Prisonnière
Variante: Le seul véritable voyage, le seul bain de Jouvence, ce ne serait pas d'aller vers de nouveaux paysages, mais d'avoir d'autres yeux, de voir l'univers avec les yeux d'un autre, de cent autres, de voir les cent univers que chacun d'eux voit, que chacun d'eux est.

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“Je crois que dans une cinquantaine d’années il sera possible de programmer des ordinateurs, avec une capacité de mémoire d’à peu près 10⁹, pour les faire si bien jouer au jeu de l’imitation qu’un interrogateur moyen n’aura pas plus de 70 pour cent de chances de procéder à l’identification exacte après cinq minutes d’interrogation.”

Alan Turing (1912–1954) mathématicien britannique

I believe that in about fifty years’ time it will be possible to programme computers, with a storage capacity of about 10⁹, to make them play the imitation game so well that an average interrogator will not have more than 70 per cent. chance of mating the right identification after five minutes of questioning.
en
, 1950

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“Vivons, ma Lesbia, aimons-nous et que tous les murmures des vieillards moroses aient pour nous la valeur d'un as. Les feux du soleil peuvent mourir et renaître; nous, quand une fois est morte la brève lumière de notre vie, il nous faut dormir une seule et même nuit éternelle. Donne-moi mille baisers, puis cent, puis mille autres, puis une seconde fois cent, puis encore mille autres, puis cent. Et puis, après en avoir additionné beaucoup de milliers, nous embrouillerons le compte si bien que nous ne le sachions plus et qu'un envieux ne puisse nous porter malheur, en apprenant qu'il s'est donné tant de baisers.”

Catulle (-84–-54 avant J.-C.) poète romain

Vivamus, mea Lesbia, atque amemus...
soles occidere et redire possunt:
nobis cum semel occidit brevis lux,
nox est perpetua una dormienda.
Da mi basia mille, deine centum,
Dein mille altera, dein secunda centum,
deinde usque altera mille, deinde centum.
Dein, cum milia multa fecerimus,
Conturbaminus illa, ne sciamus,
Aut ne quis malus invidere possit,
Cum tantum sciat esse basiorum.
la
Poème 6.
Source: Pièce de monnaie romaine de très faible valeur.

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“À cette heure, édifié par les subtils génies du Feu, un temple nouveau s’élevait là même où, dans le crépuscule, on avait cru voir un neptunien palais d’argent dont l’architecture imitait les torsions des conques marines. C’était, agrandi, un de ces labyrinthes construits sur le fer des landiers, demeures aux cent portes habitées par les présages ambigus; un de ces fragiles châteaux vermeils aux mille fenêtres, où se montrent un moment les princesses salamandres qui rient voluptueusement au poète charmé. Rose comme une lune naissante rayonnait sur la triple loggia la sphère de la Fortune, supportée par les épaules des Atlantes; et ses reflets engendraient un cycle de satellites. Du quai des Esclavons, de la Giudecca, de San Giorgio, avec un crépitement continu, des faisceaux de tiges enflammées convergeaient au zénith et s’y épanouissaient en roses, en lis, en palmes, formant un jardin aérien qui se détruisait et se renouvelait sans cesse par des floraisons de plus en plus riches et étranges. C’était une rapide succession de printemps et d’automnes à travers l’empyrée. Une immense pluie scintillante de pétales et de feuillages tombait des dissolutions célestes et enveloppait toutes choses d’un tremblement d’or. Au loin, vers la lagune, par les déchirures ouvertes dans cet or mobile, on voyait s’avancer une flotte pavoisée : une escadre de galères semblables peut-être à celles qui naviguent dans le rêve du luxurieux dormant son dernier sommeil sur un lit imprégné de parfums mortels. Comme celles-là peut-être, elles avaient des cordages composés avec les chevelures tordues des esclaves capturées dans les villes conquises, ruisselants encore d’une huile suave; comme celles-là, elles avaient leurs cales chargées de myrrhe, de nard, de benjoin, d’éléomiel, de cinnamome, de tous les aromates, et de santal, de cèdre, de térébinthe, de tous les bois odoriférants accumulés en plusieurs couches. Les indescriptibles couleurs des flammes dont elles apparaissaient pavoisées évoquaient les parfums et les épices. Bleues, vertes, glauques, safranées, violacées, de nuances indistinctes, ces flammes semblaient jaillir d’un incendie intérieur et se colorer de volatilisations inconnues. Ainsi sans doute flamboyèrent, dans les antiques fureurs du saccage, les profonds réservoirs d’essences qui servaient à macérer les épouses des princes syriens. Telle maintenant, sur l’eau parsemée des matières en fusion qui gémissaient le long des carènes, la flotte magnifique et perdue s’avançait vers le bassin, lentement, comme si des rêves ivres eussent été ses pilotes et qu’ils l’eussent conduite se consumer en face du Lion stylite, gigantesque bûcher votif dont l’âme de Venise resterait parfumée et stupéfiée pour l’éternité.”

Romans, Le Feu, 1900

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“Je me suis trouvé pendant quinze ans à Dakar avec trois millions de musulmans, cent mille catholiques et quatre cent mille animistes, et si pendant ces quinze ans on a pu convertir dix musulmans, c'est un maximum. Je veux dire les convertir vraiment, les faire passer de l'islam au catholicisme. Je ne dis pas qu'il n'y ait pas eu une certaine influence catholique grâce à nos écoles où nous avions jusqu'à 10 à 15% de musulmans. Je n'en voulais pas davantage, sinon ils auraient imposé l'islam dans nos écoles. Une fois qu'ils sont forts, ils s'imposent, prennent la tête du mouvement et essayent de convertir les autres. Quand ils sont faibles, ils écoutent et se taisent. Les jeunes gens qui ont été dans nos écoles ont certainement été influencés, peut être certains d'entre-eux ont-ils désiré le baptême c'est très possible. Mais c'est très difficile pour un jeune homme de se convertir au catholicisme, car il est chassé de sa famille, il sait qu'il risque même d'être empoisonné. […] Il n'y a que ceux qui sont étudiants en université qui arrivent à se convertir parce qu'ils sont indépendants. Ils savent que leur avenir est assuré; dont ils n'ont plus besoin de leur famille et partiront en Europe, ils peuvent se convertir. Mais convertir quelqu'un qui est dans sa famille, c'est pratiquement impossible. En inspirant la religion islamique; le démon a véritablement empêché la conversion de millions d'hommes.”

Marcel Lefebvre (1905–1991) prélat catholique

Sur l'islam

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“D'être venu peut-être cent millions d'années trop tard ne me contrariait pas; c'était déjà bien assez d'être venu, tout simplement.”

Arthur C. Clarke (1917–2008) écrivain de science-fiction, écrivain scientifique, futurologue, présentateur télé, explorateur sous-marin …

Citations de ses nouvelles, [Sentinelle]La sentinelle, 1951

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“Cent hommes, ensemble, sont la centième partie d'un homme.”

Antonio Porchia (1885–1968)

Cien hombres, juntos, son la centésima parte de un hombre.
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“Comment? Tu cherches à te multiplier par dix, par cent? Tu cherches des disciples? Cherche alors des zéros!”

Première rédaction : « On sait de quoi on a besoin pour décupler ses forces : de zéros » (W II 3, 85).
Crépuscule des idoles, 1888

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“Chef-d'œuvre de conduite comique, de morale et de diction; tout est à étudier.(…)
Il faut lire cent fois cette pièce, et l'admirer chaque fois davantage.”

Molière (1622–1673) Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, auteur et homme de théâtre français

Florian (1755-1794). Mes idées sur nos auteurs comiques, L'École des Maris

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“Que se passe-t-il en 1959, en Italie? Un tas de choses. Mais pour moi l'unique événement intellectuel qui me reste collé à la mémoire, c'est Pasolini à Vie Nuove, précédé par quelques lettres plutôt cérémonieuses, adressées à la directrice : il écrivait « Madame », je répondais « Monsieur ». Ce qui me semble le plus extravagant aujourd'hui, c'est qu'à l'époque je ne savais pas que l'auteur des Cendres de Gramsci avait été expulsé du PCI en 1949. Pour « indignité morale ». Mais la renommée dissout les anathèmes, et, même expulsé, un artiste célèbre peut devenir un « compagnon de route » du PCI. Dans ce contexte, qui permet bien des entorses à la règle, et des bizarreries, l'important c'est que l'artiste continue à accepter le Parti comme force essentielle. Ce que fit Pasolini jusqu'à la fin de sa vie, même à travers ses dernières déclarations : « Le PCI est l'unique force saine dans un pays horriblement pourri », ou bien : « Je suis un marxiste qui vote PCI ». Il avait décidé de faire de sa tribune un acte de contestation du moralisme communiste, qu'il qualifiait de « morale pour vieilles filles » qui sentait à cent lieues la rance idéologie du marxisme orthodoxe. Le stalinisme était alors en pleine vigueur. […] Pasolini était l'intellectuel le plus doux, le plus délicat, le plus disponible que j'eusse connu. Il était mille fois plus aisé de le « diriger », lui, qu'un rédacteur inculte muni de la carte du Parti. Outre sa rubrique hebdomadaire, il écrivait les articles que je lui demandais sur les sujets les plus disparates : par exemple, les Jeux Olympiques de Rome. Il trouvait toujours moyen de renverser les tabous, de libérer les textes de leur banalité, de faire s'entreridiculiser les clichés. […] Il parlait peu, ne soulevait pas de difficultés, préférait, comme moi, ne pas perdre de temps en arguties théologiques. […] Il devint mon seul maître. Il parlait à voix basse, voilée d'aménité, un peu aphone. Ce qu'il m'enseigna d'essentiel fut son mépris pour la lâcheté intellectuelle, et son amour pour toute forme d'hérésie.”

Maria-Antonietta Macciocchi (1922–2007) femme politique

Deux mille ans de bonheur

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“Chef-d'œuvre de conduite comique, de morale et de diction; tout est à étudier.(…)
Il faut lire cent fois cette pièce, et l'admirer chaque fois davantage.”

Jean-Pierre Claris de Florian (1755–1794) auteur dramatique, romancier, poète et fabuliste français

Mes idées sur nos auteurs comiques, L'Étourdi, L'École des Maris

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“(…) bien entendu je ne puis placer une confession criminelle sur la table devant vous avec sa propre signature sur le document. Pour en avoir une image précise, vous devez examiner l'activité des maçons durant au moins deux cent ans sous le microscope. Après seulement pourrez-vous confirmer ceci: des maçons de haut-grade ont participé dans le renversement de chaque gouvernement. Ils ont eu la main dans chaque crise financière sévère qui ont conduit l'économie d'un pays au bord de l'abîme. Les maçons occupent les postes les plus importants de la vie économique et intellectuelle d'un pays et rassemblent d'autres maçons après eux. Les homme décisifs qui ont financé la première guerre mondiale contre nous étaient des maçons. La deuxième guerre mondiale trouve à nouveau la maçonnerie mondiale unie contre nous. Dans certains pays anglo-saxons, il est pratiquement impossible d'atteindre une position élevée dans l'industrie ou la politique si vous n'êtes pas maçon. N'y a-t-il pas là suffisamment de preuves (…)?”

Heinrich Himmler (1900–1945) homme politique nazi et militaire allemand

(...) of course i can't put the criminal's confession on the table before you with his own signature to it. To get a clear picture you must examine the activities of the Masons in the last two centuries under the microscope. Then you can confirm this: leading Masons had a part in the overthrow of every governement: They had a hand in every severe financial crisis which has brought the economy of a country to the edge of the abyss. Masons occupy the important positions in the economic and intellectual life on a country and draw other Masons after them. The decisive men who waged the First World War against us were Masons. The Second World War again finds World Masonry united against us. In some Anglo-Saxon countries it's quite impossible to achieve any position in industry or politics unless you're a Mason. Arent't these proofs enough (...)?
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Sur la Franc-maçonnerie

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“Ce n'est pas vanité, c'est besoin; aujourd'hui la publicité aussi bien que le temps est de l'argent. Je suppose qu'à l'ordinaire vous vendiez un tableau quinze cents francs; ayez trois pages bien signées dans trois journaux notables, joignez y quelque petite manœuvre à l'hôtel des ventes, vous vendrez le tableau suivant, tout pareil, quatre mille francs. Un objet commercial quelconque, toiture en zinc ou clysopompe, cheminée fumivore ou râtelier en hippopotame, gagne tant d'acheteurs par tant de lignes d'annonce; la proportion est connue. Forcément, fatalement, telle denrée, tel remède, qu'on rencontre tous les jours, partout, en grosses lettres, en petites lettres, sur les murs, dans les gazettes, dans les chemins de fer, aux cafés, chez soi, chez les autres, imprime son nom dans la mémoire. On n'a pas voulu le lire et on l'a lu; on a évité de le retenir et on le sait par cœur; on s'en est moqué tout haut, ce qui a accru sa publicité. Que le besoin de la chose en question survienne :on n'a pas de conseil sous la main, on n'a pas d'autre nom en tête, on est pressé, on se dit par lassitude que, puisque celui-là est public, il en vaut un autre; on va à l'adresse connue, on avale et on recommence. L'an dernier, j'ai trouvé en province des gens qui traitaient leurs enfants par la médecine Leroy, comme en 1820; les noms s'encroûtent dans la mémoire humaine; il est aussi difficile d'en sortir que d'y entrer.”

Hippolyte Taine (1828–1893) philosophe et historien français

Notes sur Paris: vie et opinions de Frédéric-Thomas Graindorge

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“Je suis un sceptique. Je ne veux pas qu'on me fasse prendre des vessies pour des lanternes. Je ne veux pas qu'on m'impose de croire à quoi que ce soit. Et j'essaye d'appliquer mon intelligence et mon expérience aux jugements sur les éléments en ma possession. Quand on me dit qu'un avion a percuté le Pentagone et qu'on ne trouve ni sièges, ni réacteurs, ni queue, ni roues, ni rien, je me dis quand même que c'est un avion fantôme! Quand on me dit qu'il y avait trois mille morts dans la "tour infernale", et qu'on n'a trouvé que trois cents cadavres, je me dis qu'il en manque deux mille sept cents… Mais je sais qu'il est tout à fait dangereux de dire ça (…)”

Jean-Marie Le Pen (1928) homme politique français

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A une question d'un journaliste lui demandant sa lecture du 11 septembre.
Autres citations
Variante: Je suis un sceptique. Je ne veux pas qu'on me fasse prendre des vessies pour des lanternes. Je ne veux pas qu'on m'impose de croire à quoi que ce soit. Et j'essaye d'appliquer mon intelligence et mon expérience aux jugements sur les éléments en ma possession. Quand on me dit qu'un avion a percuté le Pentagone et qu'on ne trouve ni sièges, ni réacteurs, ni queue, ni roues, ni rien, je me dis quand même que c'est un avion fantôme! Quand on me dit qu'il y avait trois mille morts dans la "tour infernale", et qu'on n'a trouvé que trois cents cadavres, je me dis qu'il en manque deux mille sept cents… Mais je sais qu'il est tout à fait dangereux de dire ça

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“Seulement 10 pour cent des 200 messages que les employés reçoivent sont utiles et 18% sont du spam!”

Thierry Breton (1955) dirigeant d'entreprise, administrateur de sociétés et homme politique français

Only 10 percent of the 200 messages employees receive per day are useful and 18 percent is spam.
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“Il faut comprendre mon indignation. Les batailles du Belvédère et de Garigliano ont été gagnées par des Marocains…Le gouvernement oublie que pendant la guerre, l'épopée extérieure du gaullisme, la reconquête du pays a été menée par plus d'Africains que de métropolitains. Ce sont des divisions algériennes, marocaines et maliennes qui ont repris Toulon et Marseille…Les Africains ont participé à toutes les guerres de la France depuis 1850, croyant qu'ils avaient des liens privilégiés avec la France. Des centaines de milliers sont morts pendant ces guerres. On ne sait pas si le soldat inconnu était noir. Cela donne à la France des devoirs absolus: devoir de reconnaissance, devoir de politesse, devoir de respect de leur dignité. Quand les pères des gens de la rue Pajol venaient se battre ici on ne leur demandait pas leurs papiers, mais on les mobilisait et on les envoyait au front. Ils ont passé le Rhin en 1944, alors que les Français libérés n'ont pas été mobilisés. A l'époque cela avait produit une gêne dans l'armée française. Mais on leur dénie d'avoir participé à la défense et à la prospérité nationale: depuis l'indépendance, toutes les pensions d'anciens combattants d'Afrique ont été supprimées…Je suis pour la défense des valeurs républicaines, des droits de l'homme. Je ne dis pas pour autant qu'il faut ouvrir grandes les frontières à tout le monde. Sinon la mutation engendrée serait telle que notre civilisation disparaîtrait. Certains changements demandent des préparations que nous n'avons pas su faire en cent cinquante ans d'empire colonial. Mais l'injustice du gouvernement français à leur égard et la mauvaise foi d'une partie de l'opinion française me révolte.”

Antoine Sanguinetti (1917–2004) militaire et politicien français

Interview de l'amiral Sanguinetti, ancien résistant, suite à l'intervention policière contre les Africains sans-papiers grévistes de la faim de Saint-Bernard en aout 1996