
“Chacun dit du bien de son coeur et personne n'en ose dire de son esprit.”
Reflections; or Sentences and Moral Maxims (1665–1678)
“Chacun dit du bien de son coeur et personne n'en ose dire de son esprit.”
Reflections; or Sentences and Moral Maxims (1665–1678)
À propos des menaces de mort qu’il recevait après la publication de caricatures de Mahomet dans Charlie Hebdo.
Sur la liberté
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
“Ce que l'on conçoit bien, s'énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément.”
La Philosophie comme manière de vivre (2001)
The Monadology (1714)
“On aime mieux dire du mal de soi-même que de n'en point parler.”
Reflections; or Sentences and Moral Maxims (1665–1678)
Les aventures de Télémaque (1699)
“La véritable éloquence consiste à dire tout ce qu’il faut, et à ne dire que ce qu’il faut.”
Reflections; or Sentences and Moral Maxims (1665–1678)
Simone Weil : An Anthology (1986), The Iliad or The Poem of Force (1940-1941)
“Ce qu’on ne peut dire et ce qu’on ne peut taire, la musique l’exprime.”
William Shakespeare (1864)
Source: Hugo's Works: William Shakespeare
The Monadology (1714)
Essais sur la conception matérialiste de l'histoire, 1902, En mémoire du Manifeste du parti communiste, 1895
En lisant en écrivant, 1981
En lisant en écrivant, 1981
À travers les Flandres, 1902
Le professeur Aronax observe les livres de la bibliothèque du capitaine Nemo dans le Nautilus.
La Grève des électeurs, 1902
On dit bien la galère capitainesse, mais on n’appelle pas une femme capitainesse, quoi qu’elle soit femme d’un capitaine ou qu’elle conduise des troupes.
Il faut dire, cette femme eſt Poëte, eſt Philoſophe, eſt Medecin, eſt Auteur, eſt Peintre ; & non Poëteſſe, Philoſopheſſe, Medecine, Autrice, Peintreſſe, &c. On doit en cela déferer à l’usage qui donne la terminaiſon feminine à certains mots pour le genre féminin, & qui ne la donne pas à d’autres. Ainſi on dit bien qu’une femme a eſté Conſeillere d’une telle action, mais non pas Jugeſſe d’un tel procés ; qu’elle a eſté mon Avocate, mais non pas qu’elle a eſté mon Oratrice. On dit bien la Galere Capitaineſſe, mais on n’appelle pas une femme Capitaineſſe, quoy qu’elle ſoit femme d’un Capitaine ou qu’elle conduiſe des Troupes.
fr1835
Reflexions sur l'usage présent de la langue françoise ou Remarques nouvelles et critiques touchant la politesse du langage
Voie spirituelle, Connaissance
“La foi, c’est dire oui à Dieu. Quand l’homme dit oui à Dieu, Dieu dit oui à l’homme.”
Vie spirituelle, Foi
Dieu, Crainte révérencielle et amour
Dieu, Crainte révérencielle et amour
De l’endive, de la coiffure et des mondes parallèles
Io ho sempre professato la mia innocenza, ciascuno è stato libero di interpretare questa mia proclamazione come meglio ha creduto, ma posso dire che per molti di questi il problema non si poneva, andava semplicemente sostenuta la mia ideologia all’epoca dei fatti. Io sono stato appoggiato per una pluralità di ragioni che vanno sia dal fatto che mi proclamavo innocente, sia dal fatto che in molti paesi non è concepibile una condanna in contumacia e sia perché io cercavo di dare di me l’idea di un combattente della libertà, come io mi sentivo per i fatti degli anni ’70.
it
À propos de Nathalie Heinich et de Marcel Gauchet.
Sur la tolérance
“Ils étaient des amis qui voyageaient ensemble; ils commençaient à dire nous.”
Ah ! qu'il est touchant, ce nous prononcé par l'amour ! Quelle déclaration il contient, timidement et cependant vivement exprimée !
Corinne ou l'Italie (1807)
Extrait du discours prononcé à la séance d’ouverture du V Congrès international des sciences historiques, le 9 avril 1923 à Bruxelles.
De la méthode comparative en histoire, 1923
Mémoires de sept vies. Tome 1 : Les temps aventureux, 1994
français
À propos des Roms.
Saint Thomas du Créateur, 1933
L'homme imaginant, 1970
La terre, la mer, les étoiles sont des choses. Les plantes, les arbres, les végétaux en général sont également des choses, à moins qu'on ne fasse apparaître en eux une sensibilité au sens transcendantal, c'est-à-dire cette capacité de s'éprouver soi-même et de se sentir soi-même qui ferait justement d'eux des vivants -- non plus au sens de la biologie mais au sens d'une vie véritable, laquelle est la vie phénoménologique absolue dont l'essence consiste dans le fait même de se sentir ou de s'éprouver soi-même et n'est rien d'autre --, ce que nous appellerons encore une subjectivité.
Livres sur la culture et la barbarie, La Barbarie, 1987