Citations sur personne
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“Comme si ce mur de pierre pouvait vraiment vous apporter le repos, comme si, vraiment, il renfermait en lui ne serai-ce qu'un seul mot d'apaisement pour cette unique raison que deux fois deux font quatre. Absurdité des absurdités! Ah non, mais — tout comprendre, avoir conscience de tout, de tous les impossibles, de tous les murs de pierre; ne se soumettre à rien, aux impossibles, aux murs de pierre, si cela vous répugne de vous soumettre; arriver par les combinaisons logiques les plus inévitables aux conclusions les plus dégoûtantes sur ce sujet toujours d'actualité que le mur de pierre, c'est comme si vous, vous en étiez coupable, même si — encore une fois — vous n'êtes à l'évidence, coupable de rien, ce qui amène, sans dire un mot et en grinçant des dents par impuissance, à se figer voluptueusement dans l'inertie et à songer qu'il apparaît ainsi que vous n'avez même plus personne sur qui déverser votre bile, que l'objet du délit n'y est plus, vous ne le retrouverez plus jamais peut-être, vous êtes là, devant un tour d'escamotage, un truc, une pire et simple filouterie, un genre de mélasse, on ne sait quoi, on ne sait qui, et que pour vous, malgré les mystères et les trucs, ça vous fait toujours mal — et moins vous comprenez, et plus ça vous fait mal!”

Les Carnets du sous-sol (Записки из подполья), 1864, Partie I : Le Sous-sol

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“Je conseille fréquemment aux gens qui sont frustrés par une guerre d'édition de penser à quelqu'un qui vit sans eau potable, sans accès adéquat à l’éducation, et comment notre travail pourra un jour aider cette personne. Cela remet un peu les conflits à leur place, je pense.”

Jimmy Wales (1966) homme d'affaires américain, co-fondateur de Wikipédia

I frequently counsel people who are getting frustrated about an edit war to think about someone who lives without clean drinking water, without any proper means of education, and how our work might someday help that person. It puts flamewars into some perspective, I think.
en

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“Je ne réalisait alors pas, comme je le fais à présent, que durant près d'un siècle le monde académique allemand avait été le sujet d'une déspiritualisation systématique résultant en une déshumanisation désormais apparente. Ce qui rendit possible à pareilles personnes déspiritualisées de servir à la fois le pouvoir nazi et communiste par la suite avec une si terrible loyauté et efficacité.”

Bella Dodd (1904–1969)

I did not then realize, as I now do, that for close to a century the educational world of Germany had been subjected to systematic despiritualization which could result only in the dehumanization now apparent. This made it possible for such despiritualized men to serve both the Nazi and later the communist power with a terrifying loyalty and efficiency.
en

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“Personne ne devrait jamais chercher à savoir ce qu'il n'a pas à savoir.”

Edward Bunker (1933–2005) écrivain américain

Les Hommes de proie, 1994

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“Comme il est vrai que le désastre frappe là où personne ne le voit ni ne l'entend!”

Ian Watson (1943) auteur de science-fiction britannnique

Le Voyage de Tchekhov, 1983

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“On commence à se méfier des personnes très avisées dès qu'elles sont embarrassées.”

Friedrich Nietzsche (1844–1900) philologue, philosophe et poète allemand

, 1886

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“Le vicomte avait un joli minois, les traits mous et les manières d'un jeune homme se considérant nettement comme une célébrité, mais qui, de par sa bonne éducation, offrait humblement à la société où il se trouvait l'opportunité de profiter de sa personne. À l'évidence, Anna Pavlova en régalait ses invités. Tel un maître d'hôtel qui présente comme un met sublime un morceau de bœuf qu'on n'aurait pas envie de manger si on le voyait dans une cuisine malpropre, Anna Pavlova servait le vicomte à ses hôtes, comme une chose empreinte d'un raffinement surnaturel, tandis que les messieurs qui logeaient dans le même hôtel que lui et qui jouaient tous les jours au billard en sa compagnie ne voyaient sa personne qu'un grand maître de la carambole et ne sentaient pas particulièrement heureux de fréquenter le vicomte ni de lui parler. […] le vicomte fut servi à toute la compagnie sous l'éclairage le plus élégant et le plus avantageux pour lui, tel un rosbif parsemé de persil et posé sur un plat chaud.”

Виконт был миловидный, с мягкими чертами и приемами, молодой человек, очевидно считавший себя знаменитостью, но, по благовоспитанности, скромно предоставлявший пользоваться собой тому обществу, в котором он находился. Анна Павловна, очевидно, угощала им своих гостей. Как хороший метрд`отель подает как нечто сверхъестественно-прекрасное тот кусок говядины, который есть не захочется, если увидать его в грязной кухне, так в нынешний вечер Анна Павловна сервировала своим гостям сначала виконта, потом аббата, как что-то сверхъестественно утонченное. [...] виконт был подан обществу в самом изящном и выгодном для него свете, как ростбиф на горячем блюде, посыпанный зеленью.
ru
Guerre et Paix, 1865 - 1869

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“Cinq défis adaptatifs ressortent clairement : prendre soin des enfants vulnérables, former des partenariats avec des personnes qui ne sont pas de la famille pour tirer des bénéfices de la réciprocité, former des coalitions pour rivaliser avec d'autres coalitions, établir des statuts hiérarchiques et éliminer de soi et de sa famille les parasites et autres pathogènes, qui se répandent rapidement lorsque les gens vivent à proximité les uns des autres.”

je vais présenter la sixième base — Liberté/oppression — dans le chapitre 8.
en
Five adaptative challenges stood out most clearly: caring for vulnerable children, forming partnerships with non-kin to reap the benefits of reciprocity, forming coalitions to compete with other coalitions, negotiating status hierarchies, and keeping oneself and one's kin free from parasites and pathogens, which spread quickly when people live in close proximity to each other. (I'll present the sixth foundation — Liberty/oppression — in chapter 8.)
The Righteous Mind (2012)

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“Avez-vous la monnaie de ma pièce? Personne au monde ne peut avoir la monnaie de ma pièce.”

Robert Desnos (1900–1945) poète français

Deuil pour deuil, 1924

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“L'arc est un passage voûté dont le sombre crépi assez bien s'accorde à des relents d'urine qui font la suggestion de l'entrée d'une vespasienne à l'usage de géants. Tout au moins la voûte et l'odeur ont-elles pour Sigismond le caractère de ce qui est romain, et qui se trouve à Nîmes autant que dans la cité couleur d'or et de bran où il fut avec Sergine au mois de mai, guère plus tard qu'à présent, dans l'année qui suivit la naissance du petit Elie. Rome est partout dans les villes du Midi, quoique le denier Vespasien ne soit plus payé par personne. Sergine, un œillet sous les narines un peu busquées qu'elle remuait avec des manières de pouliche, accélérait le pas aux endroits où vraiment le marbre sentait trop, car la puanteur du marbre où l'ammoniaque au soleil s'évapore est le plus intolérable défaut des lieux sublimes. Sans tant de nervosité, Sigismond de même accélère. Le quartier de ruelles, où par la voie de l'arc il est venu de la Rambla, n'est pas aussi peuplé que les environs de son hôtel, les lumières n'y sont pas aussi vives, les bars n'y ont pas de si tapageuses musiques, et lui-même, en épiant entre les rideaux d'une cafétéria le jeu muet des serveuses, éprouve un sentiment de gêne que la persistance de la mauvaise odeur ne suffit pas à expliquer. Devant lui se rétrécit la calle Arco del Teatro. A droite, au premier coin, il préfère tourner dans Lancaster, large tranchée sinistre au milieu de laquelle sur de gros pavés joints de poussière et d'ordure il chemine, méprisant le trottoir plus disjoint, négligeant un bar assez louche qui à la mode anglaise se réclame de pirates. Point de passants là. Il est, pour un moment, à l'obscur.”

André Pieyre de Mandiargues (1909–1991) écrivain français

Roman, La Marge (prix Goncourt), 1967

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“Les Arabes ont laissé sur l’Europe une empreinte intellectuelle que la chrétienté ne pourra bientôt plus ignorer; ils l’ont inscrite de façon indélébile dans les cieux comme peut le constater toute personne lisant le nom des étoiles sur un globe céleste.”

John William Draper (1811–1882) chimiste américain

The Arab has left his intellectual impress on Europe, as, before long, Christendom will have to confess; he has indelibly written it on the heavens, as any one may see who reads the names of the stars on a common celestial globe.
en
A History of the Intellectual Development of Europe, 1863

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“Chercher la vérité et la dire, telle qu'on la pense, n'est jamais criminel. On ne saurait imposer à personne une conviction. Les convictions sont libres.”

Stefan Zweig (1881–1942) écrivain autrichien

Propos de Castellion
Conscience contre violence ou Castellion contre Calvin, 1936

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“[À Louie] On t'a envoyé? T'es pas une lettre que je sache? Personne ne t'as envoyé.”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

Sent here? What are you, a letter? Nobody sent you.
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Louie (2010-)

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“Je pense effectivement qu'il y a en fait très peu de différences entre un artiste et un scientifique ou un ingénieur de haut niveau. Il n'y a jamais eu de distinction dans mon esprit entre ces deux types de personnes. Même s'ils prennent des chemins différents, fondamentalement ils poursuivent le même but : exprimer ce qu'ils perçoivent autour d'eux comme étant la vérité afin que d'autres en tirent avantage.”

Steve Jobs (1955–2011) entrepreneur et inventeur américain

I actually think there's actually very little distinction between an artist and a scientist or engineer of the highest calibre. I've never had a distinction in my mind between those two types of people. They've just been to me people who pursue different paths but basically kind of headed to the same goal which is to express something of what they perceive to be the truth around them so that others can benefit by it.
en

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“attention aux dérapages plus liés à un souci de publicité personnelle qu’à une réflexion approfondie”

Nadine Morano (1963) personnalité politique française

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La France, «pays judéo-chrétien de race blanche» septembre 2015, Soutiens et critiques au sein de sa famille politique pour ses propos sur "la France de race blanche", Critiques

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“Et nous l’avons en fait aidé à devenir le président de la France en finançant sa campagne électorale.”

Abdallah Senoussi (1949–2011) ancien chef des services de renseignement libyen et beau-frère de Mouammar Kadhafi

déclaration d’Abdallah Senoussi au sujet de sa « relation personnelle avec le président Sarkozy avant qu’il ne devienne président de la France », Tripoli, le 21 août 2011.

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“Personne n'appartient à un autre. On ne s'appartient qu'à soi-même.”

Andrew Coburn (1932–2018) écrivain américain

Toutes peines confondues, 1985

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“Seule une personne stupide ne connaît pas la peur.”

Harry Harrison (1925–2012) écrivain de science-fiction américain

Prométhée, 1976

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“Frederic Fappani von Lothringen : « Personne n'est à l'abri du bonheur! »”

Frederic Fappani von Lothringen (1971) Auteur, de langue allemande et française, penseur et président d'une ONG.

Sur le bonheur, 2011

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“Je veux tous les donner [mes disques] avant qu'un con joue du disco à mes funérailles, et le disque se met à sauter, et personne ne se rend compte, et la cérémonie dure pour l'éternité!”

Robert Patrick (1937) auteur dramatique, parolier, acteur et metteur en scène

I want to give it all away before some fool plays disco at my funeral, and then the record gets stuck, and nobody can tell, and the service goes on forever!
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Untold Decades: Seven Comedies of Gay Romance (1988)

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“Personne ne devrait porter le fardeau de trop d'avenir.”

Stephen Baxter (1957) écrivain de SF

Poussière de lune, 1998

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“Un homme seul, qui n'a personne pour l'aimer, n'a aucune chance!”

Charles Willeford (1919–1988) écrivain américain

La Messe noire du frère Springer, 1958

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“Je ne sais pas, mon amie, à quoi nous serviraient nos tares, si elles ne nous enseignaient la pitié.
Je m'habituai. On s'habitue facilement. Il y a une jouissance à savoir qu'on est pauvre, qu'on est seul et que personne ne songe à nous. Cela simplifie la vie. Mais c'est aussi une grande tentation. Je revenais tard, chaque nuit, par les faubourgs presque déserts à cette heure, si fatigué que je ne sentais plus la fatigue. Les gens que l'on rencontre dans les rues, pendant le jour, donnent l'impression d'aller vers un but précis, que l'on suppose raisonnable, mais, la nuit, ils paraissent marcher dans leurs rêves. Les passants me semblaient, comme moi, avoir l'aspect vague de figures qu'on voit dans les songes, et je n'étais pas sûr que toute la vie ne fût pas un cauchemar inepte, épuisant, interminable. Je n'ai pas à vous dire la fadeur de ces nuits viennoises. J'apercevais quelquefois des couples d'amants étalés sur le seuil des portes, prolongeant tout à leur aise leurs entretiens, ou leurs baisers peut-être ; l'obscurité, autour d'eux, rendait plus excusable l'illusion réciproque de l'amour ; et j'enviais ce contentement placide, que je ne désirais pas. Mon amie, nous sommes bien étranges. J'éprouvais pour la première fois un plaisir de perversité à différer des autres ; il est difficile de ne pas se croire supérieur, lorsqu'on souffre davantage, et la vue des gens heureux donne la nausée du bonheur.”

Marguerite Yourcenar (1903–1987) écrivaine française

Alexis ou le Traité du Vain Combat, 1929

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“En 1954, j'étais au balcon du Gaumont-Palace à Paris, un très beau cinéma, avec des orgues, et j'ai vu arriver ce machin dégingandé, avec un côté Don Quichotte déjà, de grands bras, de longues pattes, une figure longue aussi. Il jouait trois chansons à l'entracte, personne ne l'écoutait. Je suis tombée en arrêt comme un chien de chasse. Canetti [propriétaire du cabaret Les Trois Baudets] m'a dit : « Ah ! Bon, ça vous intéresse ? Il s'appelle Brel, il est Belge. On essaie, on va voir… » On a vu.”

Juliette Gréco (1927) chanteuse de variétés et artiste dramatique

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L'entretien entre Juliette Gréco et la journaliste Véronique Mortaigne, est précédé d'un paragraphe sur les circonstances de l'entretien et d'un autre paragraphe de présentation de l'album Juliette Gréco chante Brel, sorti le 28 octobre 2013 chez Deutsche Grammophon/Universal Music, et qui contient 12 chansons de Jacques Brel arrangées par le pianiste Bruno Fontaine et par le mari de la chanteuse, Gérard Jouannest.
Première rencontre avec Jacques Brel

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“Je vois la tâche de la pensée, comme un moyen pour l'homme d'atteindre une relation satisfaisante avec la technicité. Le National Socialisme a pris cette direction. Mais ces personnes étaient bien trop peu équipées pour permettre à la pensée d'aboutir à une relation vraiment explicite à ce qui arrive aujourd'hui et qui est en train d'émerger depuis les 300 dernières années.”

Martin Heidegger (1889–1976) philosophe allemand

I see the situation of man in the world of planetary technicity not as an inexitricable and inescapable destiny, but I see the task of thought precisely in this, that within its own limits it helps man as such achieve a satisfactory relationship to the essence of technicity. National Socialism did indeed go in this direction. Those people, however, were far too poorly equipped for thought to arrive at a really explicit relationship to what is happening today and has been underway for the past 300 years.
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Interview recueilli en 1966 sous la condition d'une publication posthume, qui fut réalisée en 1976 par Der Spiegel .
Interview du Spiegel, 1966

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“Quand j’ai embrassé ma mère pour lui souhaiter bonne nuit, elle m’a dit qu’elle trouvait bien étrange de fêter son dernier Noël. Elle regardait la neige tomber derrière la fenêtre, au-dessus de l’évier de la cuisine. Je n’ai rien su répondre, mais j’ai été sauvé lorsqu’elle a dissimulé le cachet de Carla dans un morceau de fromage. Comme il était déroutant de voir ces deux femmes dont les corps les condamnait à un départ précoce. J’ai voulu me permettre de fêter la naissance de Jésus sans m’attarder outre mesure sur l’utilisation du christianisme comme une massue destinée à façonner le monde dans la violence. Je ne parvenais pas à définir avec exactitude ce qui restait de ma religion, hormis le fait que j’avais acquis une certaine compassion en regardant en dehors de moi plutôt qu’en moi. Je ne savais absolument pas si je croyais encore à la résurrection. En ma qualité d’humain parmi plusieurs milliards de mes congénères, j’avais laissé le monde acquérir une dimension beaucoup plus vaste et le poudroiement des étoiles scintillantes, tellement spectaculaire à Grand Marais bien qu’ici réduit au seul souvenir par la lumière ambiante de Chicago, m’a une fois encore rassuré : mes efforts pour m’éloigner des préoccupations strictement personnelles allaient dans le bon sens.”

Jim Harrison (1937–2016) écrivain américain

De Marquette à Veracruz, 2004

“C'est une terrible solitude de perdre un être aimé, mais c'est une solitude encore plus grande de n'avoir jamais perdu personne.”

Romain Gary (1914–1980) écrivain et diplomate français

L'angoisse du roi Salomon, 1979

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