Citations sur grossesse

Une collection de citations sur le thème de grossesse, pluie, tout, bien-être.

Citations sur grossesse

Victor Hugo photo
Howard Bloom photo
Alain Soral photo
Jean Anouilh photo
Honoré de Balzac photo
Jimmy Wales photo

“Les livres sous licence libre sont la prochaine grosse révolution dans l'éducation.”

Jimmy Wales (1966) homme d'affaires américain, co-fondateur de Wikipédia

The freely licenced text books are the next big thing in education.
en
Dernière phrase du discours portant le projet wikibooks.

Margaret Cho photo

“Quelque chose de traumatique m'est arrivée quand j'étais jeune. J'étais avec une vieille femme noire; elle était très sage, très Alice Walker, La Couleur pourpre… Elle m'a regardée et elle m'a dit, « Bébé, autrefois je pouvais voler mais je ne peux plus voler, bébé. Mais, bébé, toi, t'es trop grosse pour voler. »”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

Something traumatic happened to me when I was younger. I was with this old black woman, and she was very wise, very Alice Walker, The Color Purple… She looked at me and she says, "Baby…you know I used to be able to fly but I can't fly no more, baby. But baby, you...? You too fat to fly."
en
Drunk with Power

Yasmina Khadra photo

“Mon cœur se contracte au spectacle qui s’offre à moi… Janin… C’était la grande cité de mon enfance. Les terres tribales se trouvant à une trentaine de kilomètres de là, j’accompagnais souvent mon père quand il se rendait en ville proposer ses toiles à de louches marchands d’art. À cette époque, Janin me paraissait aussi mystérieuse que Babylone, et j’aimais à prendre ses nattes pour des tapis volants. Puis, lorsque la puberté me rendit plus attentif au déhanchement des femmes, j’appris à m’y rendre seul comme un grand. Janin, c’était la ville rêvée des anges délurés, avec ses petites manières de grosse bourgade singeant les grandes villes, sa cohue incessante qui rappelle le souk un jour de ramadan, ses boutiques aux allures de caverne d’Ali Baba où les babioles s’évertuaient à minimiser l’ombre des pénuries, ses ruelles parfumées où les galopins évoquaient des princes aux pieds nus; mais aussi son côté pittoresque qui fascinait les pèlerins dans une vie antérieure, l’odeur de son pain que je n’ai retrouvée nulle part ailleurs et sa bonhomie toujours vivace malgré tant d’infortunes… Où sont donc passées les petites touches qui faisaient son charme et sa griffe, qui rendaient la pudeur de ses filles aussi mortelle que leur effronterie et les vieillards vénérables en dépit de leur caractère impossible? Le règne de l’absurde a ravagé jusqu’aux joies des enfants. Tout a sombré dans une grisaille malsaine. On se croirait sur une aile oubliée des limbes, hantée d’âmes avachies, d’êtres brisés, mi-spectres mi-damnés, confits dans les vicissitudes tels des moucherons dans une coulée de vernis, le faciès décomposé, le regard révulsé, tourné vers la nuit, si malheureux que même le grand soleil d’As-Samirah ne parvient pas à l’éclairer.
Janin n’est plus qu’une ville sinistrée, un immense gâchis; elle ne dit rien qui vaille et a l’air aussi insondable que le sourire de ses martyrs dont les portraits sont placardés à chaque coin de la rue. Défigurée par les multiples incursions de l’armée israélienne, tour à tour clouée au pilori et ressuscitée pour faire durer le plaisir, elle gît dans ses malédictions, à bout de souffle et à court d’incantations…”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

L’Attentat, 2005

Jean-Bernard Pouy photo
Nicolas Dupont-Aignan photo

“Entre rêve et envie, il y a une grosse différence.”

Daniel Woodrell (1953) écrivain américain

La Mort du petit cœur, 2001

James Joyce photo
Rocé photo
Benjamin Péret photo
Howard Bloom photo
Charles-Augustin Sainte-Beuve photo
Philippe Alexandre photo
Michel de Ghelderode photo
Imre Kertész photo
John Varley photo

“À peu près n'importe quelle bande de lunatiques, de marginaux ou d'autonomistes pouvait désormais se permettre un point de chute lagrangien. L2 devint aussi célèbre que le triangle des Bermudes pour les pilotes qui l'évitaient soigneusement; ceux qui étaient contraints de le traverser le surnommaient le flipper et ils ne plaisantaient pas.
Certains de ces groupes ne voulaient pas entendre parler d'entretien et d'alimentation de machineries complexes. Ils escomptaient vivre dans une pure crasse pastorale à l'intérieur de ce qui n'était à vrai dire qu'une grosse cafetière vide. Bien souvent, les promoteurs étaient ravis d'exaucer leur souhait : autant valait s'épargner l'installation d'un équipement coûteux et soumis en fin de compte au vandalisme. Tous les deux ou trois ans, l'une de ces colonies se désintégrait en envoyant balader son contenu et ses habitants dans l'espace. Plus fréquemment quelque chose se déréglait dans l'écologie du système et ses occupants crevaient de faim ou bien suffoquaient. Il y avait toujours un client pour récupérer la carcasse abandonnée, la stériliser gratuitement par le vide et y emménager pour une bouchée de pain. La terre n'était jamais à court de barjos et d'insatisfaits. Les Nations Unies étaient trop heureuses de s'en débarasser sans trop poser de questions. C'était une époque de spéculation – de fortunes instantanées et de pratiques douteuses qui auraient choqué un promoteur immobilier de Floride.
Le triangle des Bermudes fut une pépinière de sociétés plus proches de tumeurs cancéreuses que de communautés. Les points de Lagrange virent naître et mourir les régimes les plus répressifs qu'ait jamais connus l'humanité.”

John Varley (1947) auteur de nouvelles et de romans de science-fiction

Trilogie de Gaïa, Sorcière (1981)

Loïc Decrauze photo
Hippolyte Taine photo

“Ce n'est pas vanité, c'est besoin; aujourd'hui la publicité aussi bien que le temps est de l'argent. Je suppose qu'à l'ordinaire vous vendiez un tableau quinze cents francs; ayez trois pages bien signées dans trois journaux notables, joignez y quelque petite manœuvre à l'hôtel des ventes, vous vendrez le tableau suivant, tout pareil, quatre mille francs. Un objet commercial quelconque, toiture en zinc ou clysopompe, cheminée fumivore ou râtelier en hippopotame, gagne tant d'acheteurs par tant de lignes d'annonce; la proportion est connue. Forcément, fatalement, telle denrée, tel remède, qu'on rencontre tous les jours, partout, en grosses lettres, en petites lettres, sur les murs, dans les gazettes, dans les chemins de fer, aux cafés, chez soi, chez les autres, imprime son nom dans la mémoire. On n'a pas voulu le lire et on l'a lu; on a évité de le retenir et on le sait par cœur; on s'en est moqué tout haut, ce qui a accru sa publicité. Que le besoin de la chose en question survienne :on n'a pas de conseil sous la main, on n'a pas d'autre nom en tête, on est pressé, on se dit par lassitude que, puisque celui-là est public, il en vaut un autre; on va à l'adresse connue, on avale et on recommence. L'an dernier, j'ai trouvé en province des gens qui traitaient leurs enfants par la médecine Leroy, comme en 1820; les noms s'encroûtent dans la mémoire humaine; il est aussi difficile d'en sortir que d'y entrer.”

Hippolyte Taine (1828–1893) philosophe et historien français

Notes sur Paris: vie et opinions de Frédéric-Thomas Graindorge

André Breton photo
Anne Calife photo

“Je craignais qu’il ne tombe malade; ses taches noires semblaient plus grosses que jamais, l’une sur le flanc alourdi, l’autre en bandeau sur la tempe. Comme lors de toutes les grandes peines, le Chat se résigna. Il ferma ses yeux ourlés de noir. Les rayures de son visage convergèrent vers le trait oblique des paupières.”

Anne Calife (1966) littératrice française, romancière et dramaturge, a été aussi professeur de sciences médico-sociales

Anne Calife sous le nom de Anne Colmerauer, La déferlante, 2003, Anne Calife, Paul et le chat, 2004

Anne Calife photo
Willem Elsschot photo
Pierre Desproges photo
Domenico Losurdo photo
Margaret Cho photo

“C'est pas vrai que je vais mourir parce qu'un dirigeant de réseau m'a trouvée grosse! C'est si con! C'est si con qu'on demande aux femmes de se conformer à cet idéal maigre complètement impossible. Pour moi, faire dix livres de moins est un emploi à temps plein, et moi, je demande mon congé et je fous mon camp!”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

I am not gonna die because some network executive thought I was fat! It's so wrong! It's so wrong that women are asked to live up to this skinny ideal that is totally unattainable. For me to be ten pounds thinner is a full-time job, and I am handing in my notice and walking out the door!!
en
I'm the One that I Want

Jean-Christophe Rufin photo
John Varley photo
Georges Perec photo
Jo-Wilfried Tsonga photo
Vladimir Nabokov photo
Henri de Régnier photo
Emmanuel Todd photo
Honoré de Balzac photo
Marc-Édouard Nabe photo
Colette photo
John Varley photo

“Nova était tellement grosse », dit Robin, l'air piteux, en frottant la cicatrice qui avait rendu son tatouage plus horrible encore. « J'ai dû subir une calpurnienne.”

John Varley (1947) auteur de nouvelles et de romans de science-fiction

Trilogie de Gaïa, Démon (1985)
Source: De Calpurnia, nom de la femme de César... C'est plus logique qu'une césarienne, non ? (N.d.T.)

George Carlin photo
Orhan Pamuk photo
Aldous Huxley photo

“Le foyer, la maison, quelques pièces exiguës, dans lesquelles habitaient, tassés à s'y étouffer, un homme, une femme périodiquement grosse, une marmaille, garçons et filles, de tous âges. Pas d'air, pas d'espace; une prison insuffisamment stérilisée; l'obscurité, la maladie et les odeurs.”

L'évocation présentée par l'Administrateur était si vivante que l'un des jeunes gens, plus sensibles que les autres, fut pris de pâleur, rien qu'à la description, et fut sur le point d'avoir la nausée.
Le Meilleur des mondes, 1932

Margaret Cho photo

“Alors à partir de l'âge de dix ans j'ai fait de l'anorexie, puis de la boulimie, et je suis restée ainsi pendant vingt ans, jusqu'à ce que je me suis dit un jour, Tiens, et si c'est tout? Et si ceci est juste ce dont j'ai l'air, et rien que je fais ne le changera? Donc combien de temps j'épargnerais si je cessais de prendre cette seconde à chaque fois que je me vois dans un miroir pour me traiter de grosse laide? Combien de temps j'épargnerais si je me laissais passer une fenêtre sans contracter mon abdomen et redresser les épaules? Combien de temps j'épargnerais? Et il en sorte que j'épargne 97 minutes par semaine. Je peux prendre un cours de poterie.”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

So from the age of 10, I became anorexic, and then bulimic, and then stayed that way for about twenty years, until one day I just said, Hey, what if this is it? What if this is just what I look like, and nothing I do changes that? So how much time would I save if I stopped taking that extra second every time I look in the mirror to call myself a big fat fuck? How much time would I save if I just let myself walk by a plate-glass window without sucking in my gut and throwing back my shoulders? How much time would I save? And it turns out I save about 97 minutes a week. I can take a pottery class.
en
Notorious C.H.O.

Jean Giono photo
Margaret Cho photo
Jean-Marie Le Méné photo
James Ellroy photo
Pierre Louÿs photo
Jean Raspail photo
Pierre Bourgeade photo
Marine Le Pen photo
Loïc Decrauze photo
Simone de Beauvoir photo
Michel Houellebecq photo
Mathias Malzieu photo
Mario Vargas Llosa photo

“«Je veux voir le film, grosse bête.»”

Travesuras de la niña mala

Nikos Kazantzakis photo
Anna Gavalda photo
Honoré de Balzac photo
James Joyce photo

“Une vie terrible aussi celle des marins. Les grosses brutes de paquebots qui prennent le large et barbotent dans la nuit et beuglent comme des veaux marins. Faugh a ballagh.”

Arrière, bougre de nom de dieu ! D'autres dans des coquilles de noix, avec un bout de voile comme un mouchoir de poche, dansant comme des bouchons sur l'eau, quand les vents soufflent en tempête. Et mariés qui plus est. Quelquefois pendant des années on ne sait pas où, à l'autre bout du monde.
Ulysse, 1922

Christian Estrosi photo