Cotes sur le temps
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“Tout pouvoir humain est un composé de patience et de temps.”

Honoré de Balzac (1799–1850) romancier, critique littéraire, essayiste, journaliste et écrivain français
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“Le temps, qui fortifie les amitiés, affaiblit l'amour.”

Les Caractères (1688), Du Coeur

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“Le succès de la plupart des choses dépend de savoir combien il faut de temps pour réussir.”

Montesquieu (1689–1755) écrivain et philosophe français

Pensées Diverses

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“Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole.”

Jean de La Fontaine (1621–1695) poète, fabuliste, conteur et auteur dramatique français

Fables (1668–1679)

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“La période pacifique de l'industrie est devenue, par l'ironie des choses, en même temps la période de l'invention continue de nouveaux engins de guerre.”

Antonio Labriola (1843–1904) philosophe marxiste italien

Essais sur la conception matérialiste de l'histoire, 1902, En mémoire du Manifeste du parti communiste, 1895

“L'emploi du temps n'est plus le temps de l'emploi.”

André Gorz (1923–2007) philosophe et journaliste français

« Gorz, bourreau du travail » (entretien), Libération, 25 septembre 1997, cité in

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“Pour passer des cavernes aux salons, il nous a fallu un temps considérable ; nous en faudra-t-il autant pour parcourir le chemin inverse, ou brûlerons-nous les étapes ?”

Emil Cioran (1911–1995) philosophe et écrivain roumain, d'expression roumaine initialement, puis française

Question oiseuse pour ceux qui ne pressentent pas la préhistoire...
Syllogismes de l'amertume, 1952

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“Antigone (à Ismène) : Or il est temps, ma sœur, de montrer qui nous sommes.”

Jean de Rotrou (1609–1650) dramaturge et poète français

Antigone, 1639

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“On entends plus depuis quelques temps monsieur Macron zozoter; Il a plus de poils sur la langue?”

Anne-Sophie Bajon comédienne et auteure française

Ca c 'est normal ils ont débloqué un budget pour la première dame, elle a les moyens de se faire le maillot !
Vidéo Web, La Bajon - Prof de Français

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“Ça va changer quoi? Quelle plaie cautériser, quelle fracture rebouter?… Au fond de moi, je ne suis même pas sûr de vouloir remonter jusqu’à la racine de mon malheur. Certes, je n’ai pas peur d’en découdre, mais comment croiser le fer avec des fantômes. Ça crève les yeux que je ne fais pas le poids. Je ne connais rien aux gourous ni à leurs sbires. Toute ma vie, j’ai tourné opiniâtrement le dos aux diatribes des uns et aux agissements des autres, cramponné à mes ambitions tel un jockey à sa monture. J’ai renoncé à ma tribu, accepté de me séparer de ma mère, consenti concession sur concession pour ne me consacrer qu’à ma carrière de chirurgien; je n’avais pas le temps de m’intéresser aux traumatismes qui sapent les appels à la réconciliation de deux peuples élus qui ont choisi de faire la terre bénie de Dieu un champ d’horreur et de colère.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

Je ne me souviens pas d’avoir applaudi le combat des uns ou condamné celui des autres, leur trouvant à tous une attitude déraisonnable et navrante. Jamais je ne me suis senti impliqué, de quelque manière que ce soit, dans le conflit sanglant qui ne fait, en vérité, qu’opposer à huis clos les souffre-douleur aux boucs émissaires d’une Histoire scélérate toujours prête à récidiver. J’ai connu tant d’hostilités méprisables que le seul moyen de ne pas ressembler à ceux qui étaient derrière est de ne pas les pratiquer à mon tour. Entre tendre l’autre joue et rendre les coups, j’ai choisi de soulager les patients. J’exerce le plus noble métier des hommes et pour rien au monde je ne voudrais compromettre la fierté qu’il m’insuffle.
L’Attentat, 2005

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“Dans cette crise actuelle, l’État n’est pas la solution à notre problème; l’État est le problème. De temps en temps nous avons été tentés de croire que la société est devenue trop complexe pour être contrôlée par la discipline de chacun, que le gouvernement par une élite était supérieur au gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Et bien, si personne parmi nous n’est capable de se gouverner lui-même, alors qui parmi nous a la capacité d’en gouverner un autre?”

Ronald Reagan (1911–2004) 40e président des États-Unis

In this present crisis, government is not the solution to our problem; government is the problem. From time to time we've been tempted to believe that society has become too complex to be managed by self-rule, that government by an elite group is superior to government for, by, and of the people. Well, if no one among us is capable of governing himself, then who among us has the capacity to govern someone else?
en
Premier discours d'investiture de Ronald Reagan en tant que président des États-Unis, 20 janvier 1981
Sur le rôle de l'État fédéral

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“Les vagues d’émotion en même temps que les frissons d’angoisse que la nature est capable de lever en nous, c’est ce qui nous convainc que la nature nous est vitale. Tout est à consacrer. Tout est à déployer.”

Nadine Ribault (1964) écrivaine française

Carnets, Carnets des Cornouailles – Cette pause sur le bord d’un abîme, Point d’Appui 2, 2012

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“Il faut connaitre les dangers pour pouvoir éviter à temps.”

Léopold Sédar Senghor (1906–2001) personnalité politique franco-sénégalaise

La Belle Histoire de Leuk-le-Lièvre, 1953

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“Peut-il voir le paradis perdu derrière l’horizon des temps fabuleux?”

Léopold Sédar Senghor (1906–2001) personnalité politique franco-sénégalaise

Chants d’ombre suivi de Hosties noires, 1945

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“Pour passer des cavernes aux salons, il nous a fallu un temps considérable; nous en faudra-t-il autant pour parcourir le chemin inverse, ou brûleront-nous les étapes?”

Emil Cioran (1911–1995) philosophe et écrivain roumain, d'expression roumaine initialement, puis française

Question oiseuse pour ceux qui ne pressentent pas la préhistoire...
Syllogismes de l'amertume, 1952

“Lhomme est un égout de temps en temps éclairé par une pâle lumière.”

Jean-Marie Adiaffi (1941–1999) écrivain ivoirien

Les naufragés de l’intelligence , 2000

“Si le temps est mis à mort, sacrifié, l’homme est libéré du poids funeste de l’Histoire.”

Jean-Marie Adiaffi (1941–1999) écrivain ivoirien

Les naufragés de l’intelligence , 2000

“Seuls le sang, la famille, l’histoire, le temps, identifient un être humain.”

Jean-Marie Adiaffi (1941–1999) écrivain ivoirien

La Carte d’identité, 1980

“Chacun a sa façon de considérer la perte du temps, selon ses centres d’intérêt.”

Jean-Marie Adiaffi (1941–1999) écrivain ivoirien

La Carte d’identité, 1980

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“Les premiers monuments funéraires étaient constitués pas des dolmens, des mégalithes et des menhirs, puis apparurent, comme une grande page ouverte en relief, les niches, les autels, les tabernacles, les cuves en granit, les bacs en marbre, les couvercles ouvragés ou lisses, les colonnes doriques, ioniques, corinthiennes, les cariatides, les frises, les acanthes, les entablements et les frontons, les fausses voûtes, les vrais voûtes, et aussi les pans de mur montés avec des briques superposées, les murs cyclopéens, les meurtrières, les rosaces, les gargouilles, les grandes fenêtres, les tympans, les pinacles, les dallages, les arcs-boutants, les piliers, les pilastres, les statues gisantes représentant des hommes en armure avec heaume et épée, les chapiteaux historiés et non historiés, les grenades, les fleurs de lys, les immortelles, les clochers, les dômes, les statues gisantes représentant des femmes aux seins comprimés, les peintures, les arches, les chiens fidèles couchés, les enfants emmaillotés, les porteuses d’offrandes, les pleureuses voilées, les aiguilles, les nervures, les vitraux, les tribunes, les chaires, les balcons, d’autres tympans, d’autres chapiteaux, d’autres arcs, des anges aux ailes éployées, des anges aux ailes tombantes, des médaillons, des urnes vides ou couronnées de flammes de pierre, ou laissant sortir un crêpe languide, des mélancolies, des larmes, des hommes majestueux, des femmes magnifiques, des enfants adorables fauchés dans la fleur de l’âge, des vieillards qui ne pouvaient plus attendre, des croix entières et des croix brisées, des échelles, des clous, des couronnes d’épines, des lances, des triangles énigmatiques, une insolite colombe marmoréenne, des bandes de pigeons authentiques volant en cercle autour de la nécropole. Et puis le silence. Un silence uniquement brisé de temps en temps par les pas de quelque amant de la solitude, occasionnel et soupirant, qu’une tristesse soudaine arrache aux environs bruyants où l’on entend encore des pleurs au bord d’une tombe et où l’on dépose des bouquets de fleurs fraîches, encore humides de sève, un silence qui traverse pour ainsi dire le cœur même du temps, ces trois mille ans de sépultures de toutes les formes, conceptions et configurations imaginables, unies dans le même abandon et la même solitude car les douleurs qui en sont nées un jour sont trop anciennes pour avoir encore des héritiers..”

Tous les noms (Todos os nomes), 1997

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“Le temps surtout met sa barrière entre écrivain et journaliste. Le temps — au galop! au galop!”

Jean d'Ormesson (1925–2017) écrivain, chroniqueur, éditorialiste, acteur et philosophe français

a deux propriétés, contradictoires et identiques : le temps passe et il dure. Alors que le journaliste est tout entier du côté du temps qui passe — « J'appelle journalisme, écrit André Gide, ce qui sera moins intéressant demain qu'aujourd'hui » et Péguy : « Rien n'est plus vieux que le journal de ce matin, et Homère est toujours jeune » —, l'écrivain est tout entier du côté du temps qui dure. Rivé à l'actualité, le mot d'ordre du journaliste est l'urgence ; l'écrivain ne pense à rien, si ce n'est à l'essentiel. Et l'urgent, à notre époque, est l'ennemi juré de l'essentiel. « Alors, disait Forain à un ami qui venait de se faire installer le téléphone, alors, on te sonne, et tu y vas. »
Romans, Le rapport Gabriel

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“Je crois que le temps est venu pour que ces marbres reviennent sous le ciel bleu de l’Attique, dans leur espace naturel, là où ils constituent une partie structurelle et fonctionnelle d’un ensemble unique.”

Melina Mercouri (1920–1994) actrice, chanteuse et personnalité politique grecque

Lors de la Conférence mondiale sur les politiques culturelles.
Sur les marbres d’Elgin

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“Mon visage commence à se dessiner sur l’écran du temps.”

Marguerite Yourcenar (1903–1987) écrivaine française

Le Labyrinthe du monde, Souvenirs pieux, 1974

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“Mes enfants avaient créé, sans me consulter, une page Facebook à mon intention. Dans les heures qui ont suivi, j’ai reçu trois messages de gens que je ne connaissais pas me demandant si je voulais être leur ami. Cela m’a paru une invasion insupportable et un contresens sur l’amitié. J’ai supprimé ma page aussitôt! (…) L’amitié suppose trop de confiance, de sincérité, d’intimité – et de temps!”

André Comte-Sponville (1952) philosophe français

pour qu’elle soit partagée avec des dizaines de personnes. Un ami, ce n’est pas seulement quelqu’un avec qui je parle ou j’écris, mais une personne avec qui je pratique certaines activités communes, une promenade, un sport, un jeu, un repas. Comment imaginer qu’un écran puisse y suffire, ou en tenir lieu ? (...) Il vaut certes mieux avoir des
Les « amis » sur Facebook

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“Pendant que je dormais, pendant que je rêvais
Les aiguilles ont tourné, il est trop tard
(…)
Pendant que je chantais, pendant que je t'aimais
Pendant que je rêvais, il était encore temps”

Georges Moustaki (1934–2013) auteur-compositeur-interprète français

Citations issues de chansons, Il est trop tard (1969)

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