Citations sur la maîtresse
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“Le patriotisme n’est pas seulement le dernier refuge des coquins; c’est aussi le premier piédestal des naïfs et le reposoir favori des imbéciles. Je ne parle pas du patriotisme tel qu’il devrait être, ou tel qu’il pourrait être, mais du patriotisme que nous voyons en France et même partout, qui se manifeste dans toute son hypocrisie, toute son horreur et toute sa sottise depuis trente ans. Et je dis que la constatation ci-dessus, dont on peut facilement, tous les jours, vérifier l’exactitude, fait comprendre comment se recrutent les états-majors et les troupes qui constituent les régions du chauvinisme. Des naïfs et des imbéciles, je n’ai pas grand-chose à dire; les premiers, dupes d’enthousiasmes irréfléchis et d’illusions juvéniles, arrivent souvent à se rendre compte du caractère réel de la doctrine cocardière et sortent, écœurés, de la chapelle où on la prêche; les seconds, misérables êtres aux cerveaux boueux, forment un immense troupeau de serfs à la disposition d’un maître à forte poigne — ou à fort gosier — et portent leur patriotisme comme les crétins portent leur goitre. Quant aux chefs, ce sont quelquefois des républicains, quelquefois des monarchistes, quelquefois les deux ensemble, ou bien ni l’un ni l’autre, Ce sont toujours des coquins. Le patriotisme n’est pour eux qu’une enseigne qui doit attirer la foule; un décor derrière lequel ils pourront machiner à loisir les combinaisons de leur goût.”

Georges Darien (1862–1921) romancier, auteur dramatique et pamphlétaire français, collaborateur de périodiques anarchistes

La Belle France (1901)

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“Si le maître se tait, et si les enfants lisent, tout va bien.”

Émile-Auguste Chartier (1868–1951) nom de plume de "Émile Chartier", philosophe français
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“Définissons d'abord le péché, qui procède nécessairement de la volonté, comme nous l'atteste la loi divine elle-même gravée dans la nature humaine. Je dis donc que le péché est, à proprement parler, la volonté de conserver ou d'obtenir ce que la justice nous défend et ce dont il nous est libre de nous abstenir. Et en effet, s'il n'y avait pas de liberté, il n'y aurait pas de volonté. Cette définition du péché, je l'avoue, est plus grossière que scrupuleuse. Ai-je donc besoin de scruter tant de livres obscurs pour apprendre que personne ne peut être condamné ni au mépris ni au supplice, pour vouloir ce que la justice ne lui défend pas, ou pour ne pas faire ce qui ne lui est pas permis? N'est-ce pas là ce que les bergers chantent sur les montagnes, les poètes dans les théâtres, les ignorants dans leurs cercles, les savants dans les bibliothèques, les maîtres dans les écoles, les évêques dans les temples et le genre humain sur la face du monde tout entier? Que si personne n'est digne ni de mépris ni de condamnation, pour ne pas faire ce que lui défend la justice, ou ce qu'il ne peut faire, tandis que tout péché est, par lui-même, digne de mépris et de condamnation, doutera-t-on encore qu'il y ait péché quand on veut ce qui est injuste et quand on est libre de ne pas le vouloir? Voilà pourquoi je puis maintenant, et j'aurais toujours dû pouvoir donner du péché cette définition tout à la fois vraie et facile à saisir : le péché c'est la volonté de retenir ou d'acquérir ce que la justice défend, quand on est libre de s'en abstenir.”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

Sine prius etiam peccatum definiamus, quod sine voluntate esse non posse omnis mens apud se divinitus conscriptum legit. Ergo peccatum est voluntas retinendi vel consequendi quod justitia vetat, et unde liberum est abstinere. Quanquam si liberum non sit, non est voluntas. Sed malui grossius quam scrupulosius definire. Etiamne hi libri obscuri mihi scrutandi erant, unde discerem neminem vituperatione suppliciove dignum, qui aut id velit quod justitia velle non prohibet, aut id non faciat quod facere non potest ? Nonne ista cantant et in montibus pastores, et in theatris pœtæ, et indocti in circulis, et docti in bibliothecis, et magistri in scholis, et antistites in sacratis locis, et in orbe terrarum genus humanum? Quod si nemo vituperatione vel damnatione dignus est, aut non contra vetitum justitiæ faciens, aut quod non potest non faciens, omne autem peccatum vel vituperandum est, vel damnandum; quis dubitet tunc esse peccatum, cum et velle injustum est, et liberum nolle; et ideo definitionem illam et veram et ad intellegendum esse facillimam, et non modo nunc, sed tunc quoque a me potuisse dici: Peccatum est voluntas retinendi vel consequendi quod iustitia vetat, et unde liberum est abstinere ?
la
Citations de saint Augustin, Des deux âmes

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“Les malheureux sont les puissances de la terre; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent.”

Louis Antoine de Saint-Just (1767–1794) homme politique français

Discours, Rapport au nom du Comité de salut public et du Comité de sûreté générale sur les personnes incarcérées, présenté à la Convention nationale le 8 ventôse an II (26 février 1794)

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“Le vicomte avait un joli minois, les traits mous et les manières d'un jeune homme se considérant nettement comme une célébrité, mais qui, de par sa bonne éducation, offrait humblement à la société où il se trouvait l'opportunité de profiter de sa personne. À l'évidence, Anna Pavlova en régalait ses invités. Tel un maître d'hôtel qui présente comme un met sublime un morceau de bœuf qu'on n'aurait pas envie de manger si on le voyait dans une cuisine malpropre, Anna Pavlova servait le vicomte à ses hôtes, comme une chose empreinte d'un raffinement surnaturel, tandis que les messieurs qui logeaient dans le même hôtel que lui et qui jouaient tous les jours au billard en sa compagnie ne voyaient sa personne qu'un grand maître de la carambole et ne sentaient pas particulièrement heureux de fréquenter le vicomte ni de lui parler. […] le vicomte fut servi à toute la compagnie sous l'éclairage le plus élégant et le plus avantageux pour lui, tel un rosbif parsemé de persil et posé sur un plat chaud.”

Виконт был миловидный, с мягкими чертами и приемами, молодой человек, очевидно считавший себя знаменитостью, но, по благовоспитанности, скромно предоставлявший пользоваться собой тому обществу, в котором он находился. Анна Павловна, очевидно, угощала им своих гостей. Как хороший метрд`отель подает как нечто сверхъестественно-прекрасное тот кусок говядины, который есть не захочется, если увидать его в грязной кухне, так в нынешний вечер Анна Павловна сервировала своим гостям сначала виконта, потом аббата, как что-то сверхъестественно утонченное. [...] виконт был подан обществу в самом изящном и выгодном для него свете, как ростбиф на горячем блюде, посыпанный зеленью.
ru
Guerre et Paix, 1865 - 1869

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“Quatre ou cinq siècles durant, l'Islam fut la civilisation la plus brillante de tout l'Ancien Monde. Cet âge d'or va, en gros, du règne du fils d'Harûn al-Rashid, Ma'mûm (813-833) […] à la mort d'Averroès, le dernier des grands philosophes musulmans […] en 1198 […]. A ces étages supérieurs, la civilisation musulmane, en ces siècles d'or, est à la fois une immense réussite scientifique et une relance exceptionnelle de la philosophie antique. Ces réussites ne sont pas les seules (que l'on songe à la littérature), mais elles éclipsent les autres. Science d'abord : c'est la que les "Sarrasins" […] ont le plus apporté de nouveautés. Rien moins, pour parler bref, que la trigonométrie et l'algèbre (au nom caractéristique). […] De même pourrait on faire l'éloge des géographes mathématiciens, des observatoires astronomiques et de leurs instruments […]. Donnons-leur, bien qu'ils soient des maîtres, non des élèves, de très bonnes notes en optique, en chimie […], en pharmacie […]; leur médecine est indéniablement excellente […]. Sur le terrain philosophique, c'est de reconquête qu'il faudrait parler, d'une reprise pour l'essentiel des thèmes de la philosophie péripatéticienne. L'élan de cette reconquête cependant ne se limite pas à reprendre et retransmettre - ce qui à soi seul ne serait pas un mince mérite; cette reprise est aussi prolongation, élucidation, création.”

Fernand Braudel (1902–1985) historien français

Grammaire des civilisations, 1963

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“Pendant que les maçons étendent silencieusement et systématiquement leur influence, des conférences sont données sur des thèmes chers aux maçons, des scientifiques en vue sont gagnés à eux, des liens sont forgés avec d'autres loges et le résultat désiré est achevé, d'abord la neutralité, puis l'union avec la Maçonnerie mondiale. Cela vous surprendra peut-être d'apprendre que les hauts-grades de cette loge sont dupliqués. Au-dessus du Grand Maître, utilisé comme une façade, il ya un homme que l'on ne voit jamais qui occupe réellement une position beaucoup plus haute dans la maçonnerie mondiale, usant et dirigeant son "système de l'ombre" pour exercer sa domination.”

Heinrich Himmler (1900–1945) homme politique nazi et militaire allemand

Meanwhile however the Masons are quietly and systematically extending their influence; lectures are given on themes dear to Masons; prominent scientists are won over; links are forged with other lodges and the desired result is achievede; at first neutrality, then union with World Masonry. It will perhaps surprise you to learn that the higher grades of this lodge are duplicated. Beside the Grand Master, needed as an advertisement, there is a man never seen who really occupies a far highter position in World Masonry, using and directing this "sadow system" in a masterly way.
en
Faisant référence à la Grande loge de Prusse
Sur la Franc-maçonnerie

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“Avoir un carrosse, un suisse, un maître d'hôtel, c'est être comme tout le monde. Pour être comme tout le monde, il faut être comme très peu de gens. Ceux qui vont à pied ne sont pas du monde; ce sont des bourgeois, des hommes du peuple, des gens de l'autre monde; et l'on dirait qu'un carrosse n'est pas tant nécessaire pour se conduire que pour exister. Il y a comme cela une poignée d'impertinents qui ne comptent qu'eux dans tout l'univers, et ve valent guère la peine qu'on les compte, si ce n'est pour le mal qu'ils font. C'est pour eux uniquement que sont faits les spectacles; ils s'y montrent à la fois comme représentés au milieu du théâtre, et comme représentants aux deux côtés; ils sont personnages sur la scène, et comédiens sur les bancs. C'est ainsi que la sphère du monde et des auteurs se rétrécit; c'est ainsi que la scène moderne ne quitte plus son ennuyeuse dignité : on n'y sait plus montrer les hommes qu'en habit doré. Vous diriez que la France n'est peuplée que de comtes et de chevaliers; et plus le peuple y est misérable et gueux, plus le tableau du peuple y est brillant et magnifique. Cela fait qu'en peignant le ridicule des états qui servent d'exemple aux autres, on le répand plutôt que de l'éteindre, et que le peuple, toujours singe et imitateur des riches, va moins au théâtre pour rire de leurs folies que pour les étudier, et devenir encore plus fous qu'eux en les imitant. Voilà de quoi fut cause Molière lui-même; il corrigea la cour en infectant la ville : et ses ridicules marquis furent le premier modèle des petits-maîtres bourgeois qui leur succédèrent.”

Concernant l'emprise de la grande société sur la représentation théâtrale.
Julie ou la Nouvelle Héloïse, 1761

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“Vous [Église catholique] enseignez aux serviteurs de ne s'attacher pas tant à leurs maîtres par la nécessité de leur condition que par le plaisir de les servir. Vous obligez les maîtres de traiter doucement leurs serviteurs, en considération de leur Maître commun qui est Dieu, et vous faites qu'ils sont plus portés à les instruire qu'à les châtier.”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

Tu dominis servos non tam conditionis necessitate quam officii delectatione doces adhærere. Tu dominos servis summi Dei communis Domini consideratione placabiles et ad consulendum quam cœrcendum propensiores facis.
la
Citations de saint Augustin, Des mœurs de l'Église catholique et des mœurs des Manichéens

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“De même ce serait renverser l'ordre de la nature que de supposer que c'est aux femmes de commander à leurs maris, et non pas aux hommes de commander à leurs femmes. Cet ordre est clairement enseigné par l'Apôtre : « L'homme est le chef de la femme (I Cor. XI, 3.) »; « Femmes, soyez soumises à vos maris (Coloss. III, 18. )»; saint Pierre nous dit également que « Sara obéissait à Abraham et l'appelait son maître (I Pierre, III, 6. ).»”

Augustin d'Hippone (354–430) philosophe parmis les premiers Chrétien

Nec dubitari potest naturali ordine viros potius feminis quam viris feminas principari. Quod servans Apostolus ait: Caput mulieris vir (I Cor. XI, 3.); et: Mulieres, subditæ estote viris vestris (Coloss. III, 18. ); et apostolus Petrus: Quomodo Sara, inquit, obsequebatur Abrahæ, dominum illum vocans (I Pt. III, 6.).
la
Citations de saint Augustin, Mariage et Concupiscence

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“Le roi n’était plus le maître en France. La Ligue gouvernait à sa place, lui laissait à peine de quoi vivre dignement. […] D’un moment à l’autre, le duc de Guise pouvait s’emparer de lui, le forcer à abdiquer, l’enfermer dans un cloître comme un obscur Mérovingien.”

Jacques Bainville (1879–1936) critique littéraire, publiciste, journaliste, chroniqueur de politique étrangère, historien et académicien …

À propos d’Henri III
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“Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir. De là le droit du plus fort.”

The Social Contract
Du contrat social, 1762
Variante: Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir.

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“Regardons en face notre plus grande peur : la crainte d'avoir été, tous tant que nous sommes, appelés dans ce monde depuis un ordre d'existence différent (que nous avons maintenant oublié) par un magicien inconnu de nous, à la façon dont j'ai, selon vous, évoqué votre fille et sa compagne (ce que je n'ai pas fait). Je pose alors cependant cette question : Avons-nous pour autant perdu notre liberté? En êtes-vous, en particulier, moins maîtresse de votre vie? Devenons-nous nécessairement les marionnettes d'une histoire dotée d'une fin que nous ne pouvons voir et vers laquelle on nous traîne comme des criminels condamnés? Nous savons, chacun à notre manière, à quel point l'écriture est une occupation divagante; et il en est sûrement de même pour la magie. Assis à notre table, nous regardons par la fenêtre, et voici que passe un nuage ressemblant à un chameau; à peine avons-nous le temps de nous en apercevoir, que notre fantaisie nous a déjà transportés jusqu'aux sables de l'Afrique, et que notre héros (qui n'est personne sinon nous-même sous un déguisement) croise le cimeterre avec un brigand maure. Un autre nuage, en forme de navire, vogue devant nous; en un clin d'œil, nous voilà abandonné sur une île déserte et plongés dans le désespoir. Avons-nous des raisons de croire que les vies qu'il nous est donné de vivre se déroulent suivant un dessein plus arrêté que ces aventures fantasques?”

J. M. Coetzee (1940) romancier et professeur en littérature sud-africain

Foe , 1986

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“Je revois encore la salle de classe. J'avais affaire à des élèves-maîtres, qui venaient enseigner tour à tour, dirigés par l'instituteur. Plusieurs d'entre eux étaient des nègres : M. Buffon, M. Sénèque. Ils arrivaient de la Martinique et prononçaient les « r » avec difficulté; c'est pourquoi ils nous exerçaient à répéter cette phrase magique, qu'on devait leur faire dire à eux-mêmes : « Un très gros rat dans un très grand trou ». Ils nous apprenaient, en histoire, à détester l'odieux Louis XV qui avait bradé les colonies, et nous disaient que nos aïeux étaient blonds : les nôtres, les leurs, les Gaulois. C'étaient les mêmes. Et ils avaient cent fois raison : on a les aïeux qu'on mérite. Ils avaient choisi les Gaulois, qui leur apportaient, en passant par les Romains et la Révolution, la République et la Patrie. Après quoi, ils se firent tuer pour leurs ancêtres adoptifs. Nous avions tout mis en commun, nos rois, nos origines, la prise de la Bastille, la haine de Louis XV et les « r » difficiles. Quand nous hésitions à répondre, ils nous tapaient sur le crâne avec un long roseau. Je n'ai cessé de leur en garder une affectueuse gratitude. On m'a expliqué depuis que je ne les aimais pas, que je les battais, qu'ils n'aimaient pas la France et que j'étais un colonialiste. On est venu me raconter que je n'étais pas leur frère. J'en demande pardon à ces parfaits Français.”

Alexandre Vialatte (1901–1971) écrivain, critique littéraire et traducteur français

Dernières nouvelles de l'homme, 1978

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“La gloire n’est pas une maîtresse qu’on puisse jamais négliger, ni être digne de ses premières faveurs, si l’on n’en souhaite incessamment de nouvelles.”

Louis XIV (1638–1715) roi de France et de Navarre de 1643 à 1715

Mémoires pour l’instruction du Dauphin, Volume 1

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