Citations sur non
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“Car la diplomatie sert à parler non à ses amis mais à ses adversaires.”

Randa Kassis (1970) femme politique

Ouvrages, Le Chaos syrien, printemps arabes et minorités face à l'islamisme, 2014

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“Le principe de non-contradiction est un principe de mort. La contradiction est la condition d’une communication.”

Jacques Ellul (1912–1994) professeur d'histoire du droit, sociologue et théologien protestant français

La raison d'être, 1987

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“Que nous partagions ou non ses idées, ses combats, nous nous reconnaissions tous en cet homme qui nous ressemblait et nous rassemblait.”

Jacques Chirac (1932–2019) 5e président de la cinquième République Française

Hommage du Président de la République

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“En un mot, ce n’est pas la fusion mais ce n’est pas non plus la fission.”

Jacques Chirac (1932–2019) 5e président de la cinquième République Française

Cohabitation

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“Notre noblesse nouvelle est non de dominer notre peuple, mais d’être son rythme et son cœur.”

Léopold Sédar Senghor (1906–2001) personnalité politique franco-sénégalaise

Chants d’ombre suivi de Hosties noires, 1945

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“Il faut dire, cette femme est poète, est philosophe, est médecin, est auteur, est peintre; et non poétesse, philosophesse, médecine, autrice, peintresse, etc. On doit en cela déferrer à l’usage qui donne la terminaison féminine à certains mots pour le genre féminin, et qui ne la donne pas à d’autres. Ainsi on dit bien qu’une femme a été conseillère d’une telle action, mais non pas jugesse d’un tel procès; qu’elle a été mon avocate, mais non pas qu’elle a été mon oratrice.”

Nicolas Andry de Boisregard (1658–1742) médecin et homme de lettres français

On dit bien la galère capitainesse, mais on n’appelle pas une femme capitainesse, quoi qu’elle soit femme d’un capitaine ou qu’elle conduise des troupes.
Il faut dire, cette femme eſt Poëte, eſt Philoſophe, eſt Medecin, eſt Auteur, eſt Peintre ; & non Poëteſſe, Philoſopheſſe, Medecine, Autrice, Peintreſſe, &c. On doit en cela déferer à l’usage qui donne la terminaiſon feminine à certains mots pour le genre féminin, & qui ne la donne pas à d’autres. Ainſi on dit bien qu’une femme a eſté Conſeillere d’une telle action, mais non pas Jugeſſe d’un tel procés ; qu’elle a eſté mon Avocate, mais non pas qu’elle a eſté mon Oratrice. On dit bien la Galere Capitaineſſe, mais on n’appelle pas une femme Capitaineſſe, quoy qu’elle ſoit femme d’un Capitaine ou qu’elle conduiſe des Troupes.
fr1835
Reflexions sur l'usage présent de la langue françoise ou Remarques nouvelles et critiques touchant la politesse du langage

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“Est beau, non ce que nous aimons et parce que nous l’aimons, mais ce qui, par sa valeur objective, nous oblige à l’aimer.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

Dieu, Beauté

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“La tradition est comme un socle pour la liberté, et non pas le nomadisme, l’errance.”

Jean-Marie Adiaffi (1941–1999) écrivain ivoirien

Les naufragés de l’intelligence , 2000

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“Les premiers monuments funéraires étaient constitués pas des dolmens, des mégalithes et des menhirs, puis apparurent, comme une grande page ouverte en relief, les niches, les autels, les tabernacles, les cuves en granit, les bacs en marbre, les couvercles ouvragés ou lisses, les colonnes doriques, ioniques, corinthiennes, les cariatides, les frises, les acanthes, les entablements et les frontons, les fausses voûtes, les vrais voûtes, et aussi les pans de mur montés avec des briques superposées, les murs cyclopéens, les meurtrières, les rosaces, les gargouilles, les grandes fenêtres, les tympans, les pinacles, les dallages, les arcs-boutants, les piliers, les pilastres, les statues gisantes représentant des hommes en armure avec heaume et épée, les chapiteaux historiés et non historiés, les grenades, les fleurs de lys, les immortelles, les clochers, les dômes, les statues gisantes représentant des femmes aux seins comprimés, les peintures, les arches, les chiens fidèles couchés, les enfants emmaillotés, les porteuses d’offrandes, les pleureuses voilées, les aiguilles, les nervures, les vitraux, les tribunes, les chaires, les balcons, d’autres tympans, d’autres chapiteaux, d’autres arcs, des anges aux ailes éployées, des anges aux ailes tombantes, des médaillons, des urnes vides ou couronnées de flammes de pierre, ou laissant sortir un crêpe languide, des mélancolies, des larmes, des hommes majestueux, des femmes magnifiques, des enfants adorables fauchés dans la fleur de l’âge, des vieillards qui ne pouvaient plus attendre, des croix entières et des croix brisées, des échelles, des clous, des couronnes d’épines, des lances, des triangles énigmatiques, une insolite colombe marmoréenne, des bandes de pigeons authentiques volant en cercle autour de la nécropole. Et puis le silence. Un silence uniquement brisé de temps en temps par les pas de quelque amant de la solitude, occasionnel et soupirant, qu’une tristesse soudaine arrache aux environs bruyants où l’on entend encore des pleurs au bord d’une tombe et où l’on dépose des bouquets de fleurs fraîches, encore humides de sève, un silence qui traverse pour ainsi dire le cœur même du temps, ces trois mille ans de sépultures de toutes les formes, conceptions et configurations imaginables, unies dans le même abandon et la même solitude car les douleurs qui en sont nées un jour sont trop anciennes pour avoir encore des héritiers..”

Tous les noms (Todos os nomes), 1997

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“Je suis bien sûr tout à fait d’accord que nous ayons besoin de services secrets. Le travail d’Intelligence est très important, pas seulement par rapport au terrorisme. Le terrorisme n’est en tout cas pas la menace la plus grande que nous ayons. Mais je pense à la criminalité organisée, au trafic d’armes et à la traite d’êtres humains, et là, le service d’Intelligence est évidemment très important. Mais je trouve l’affirmation que les services secrets ne sont par principe pas contrôlables très dangereuse. Comme je l’ai déjà dit, aux Pays-Bas, on a mis une cellule de juges indépendants au sein des services secrets. Ces juges sont naturellement tenus au secret. Mais il y a un contrôle interne et cet organe de contrôle peut suivre toutes les activités et dire: Non, minute, on ne peut pas faire cela. Et malheureusement on voit maintenant qu’on délègue tout le sale travail aux services secrets parce qu’ils ne sont pas contrôlés. En Europe, on a par habitude délégué les vols secrets et les prisons secrètes aux services secrets militaires qui ne sont pas du tout contrôlés – je trouve cela extrêmement dangereux pour des Etats démocratiques. Aujourd’hui c’est pour la lutte contre le terrorisme, demain on peut faire un usage abusif de ces services à beaucoup d’autres fins, sans contrôle effectif. Cela ne va pas.”

Dick Marty (1945) personnalité politique suisse

français

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“Et il se pourrait bien que nous, de cette génération, nous devions nous repentir, non seulement pour les paroles fielleuses et les actes violents des méchants qui ont fait exploser une bombe dans une église à Birmingham, dans l’Alabama, mais aussi pour le silence et l’indifférence scandaleux des bons qui ont gardé les bras croisés et ont dit attendre le bon moment.”

Martin Luther King (1929–1968) pasteur baptiste afro-américain

And it may well be that we will have to repent in this generation, not merely for the vitriolic words and the violent actions of the bad people who would bomb a church in Birmingham, Alabama but for the appalling silence and indifference of the good people who sit around and say wait on time.
en
Discours à l’université wesleyenne de l'Illinois, 1966

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“Tu me dis que oui : que tu es décidé à suivre le Christ. Eh bien, tu dois aller au pas de Dieu; non au tien!”

Josemaría Escrivá de Balaguer (1902–1975) prêtre, fondateur de l'Opus Dei et saint catholique

#531
Forge, 1987

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“Comment doncques eussent peu entendre ces vieulx resveurs le texte des loix, qui jamais ne virent bon livre de langue Latine, comme manifestement appert à leur stile, qui est stille de rammoneur de cheminée ou de cuysinier et marmitteux, non de juriconsulte?”

François Rabelais (1494–1553) auteur français du 16e siècle

fr
« Comment donc ces vieux rêveurs auraient-ils compris les textes juridiques, eux qui jamais ne virent de bon livres latins, comme leur style le prouve, style de ramoneur de cheminées ou de cuisinier et marmiteux, non de juriconsulte ? »
Œuvre, Pantagruel

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“Notre ignorance des fonctions cérébrales est actuellement si totale que nous n'avons même pas pu commencer à élaborer des stratégies de recherche appropriées. Nous nous trouverions devant le cerveau ouvert, des instruments sophistiqués à la main, à peu près comme un ouvrier non scolarisé pourrait se tenir devant le câblage exposé d'un ordinateur : impressionné peut-être, mais sûrement impuissant. Une microanalyse des fonctions cérébrales n'est d'ailleurs pas plus utile pour comprendre quoi que ce soit sur la pensée qu'une analyse correspondante des impulsions qui circulent dans un ordinateur ne le serait pour comprendre quel programme l'ordinateur exécute. De telles analyses se situeraient simplement au mauvais niveau conceptuel. Elles pourraient aider à décider d'expériences cruciales, mais seulement après que ces expériences aient été conçues sur la base de théories de niveau beaucoup plus élevé”

Joseph Weizenbaum (1923–2008) informaticien germano-américain

par exemple, linguistiques

(en) Our ignorance of brain function is currently so very nearly total that we could not even begin to frame appropriate research strategies. We would stand before the open brain, fancy instruments in hand, roughly as an unschooled labourer might stand before the exposed wiring of a computer: awed perhaps, but surely helpless. A microanalysis of brain functions is, moreover, no more useful for understanding anything about thinking than a corresponding analysis of the pulses flowing through a computer would be for understanding what program the computer is running. Such analyses would simply be at the wrong conceptual level. They might help to decide crucial experiments, but only after such experiments had been designed on the basis of much higher-level (for example, linguistic) theories.
Computer Power and Human Reason: From Judgment To Calculation (1976)

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“L'or du secret non divulgué ne se transforme jamais en cendre.”

Abdourahman A. Waberi (1965) écrivain franco-djiboutien d'expression française

Passage des larmes, 2009

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“Andrea: Malheureux le pays qui n'a pas de héros.
Galilée: Non. Malheureux le pays qui a besoin de héros.”

Livre La Vie de Galilée, Bertolt Brecht, L’Arche, 1990, 2-85181-248-3, 118-119, 13, Éloi Recoing
La Vie de Galilée, 1938, Scène 13

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“Oui, j’écris rarement, et me plais de le faire.
Non pas que la paresse en moi soit ordinaire,
Mais, sitôt que je prends la plume à ce dessein,
Je crois prendre en galère une rame à la main.”

Alfred de Musset (1810–1857) écrivain romantique français

Article Sur la paresse, Alfred de Musset, Revue des Deux Mondes, 4ème série, tome 29,, 1842, 117, Sur la paresse
Sur la paresse, 1842

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