Le Chevalier de Méré ou De l’honnête homme au XVIIe siècle, Sainte-Beuve, Revue des Deux Mondes, T. 21, 1848, url, Le Chevalier de Méré ou De l’honnête homme au XVIIe siècle, http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Chevalier_de_M%C3%A9r%C3%A9_ou_De_l%E2%80%99honn%C3%AAte_homme_au_XVIIe_si%C3%A8cle
Citations sur les maladies
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Bodhicharyavatara, Chapitre 5

Bohème littéraire et Révolution, 1983, Le monde des libraires clandestins sous l'Ancien Régime
français
Les réprouvés, 1931

“La santé consiste à avoir les mêmes maladies que ses voisins.”
Health consists of having the same diseases as one’s neighbours.
en
The Naked Civil Servant (Fonctionnaire du nu)

La Peste Noire à Florence (Première Journée, Introduction)

“Trop d'animalité défigure l'homme civilisé, trop de civilisation créé des animaux malades.”
Psychologie de l'inconscient, 1942
“Le pire malade est celui qui a toujours joui d'une parfaite santé.”
La Moisson de Corlay, 1981

“La médecine actuelle ne s'occupe pas de la santé. Elle n'a d'intérêt que pour les maladies.”
Citation du docteur Kousmine
Les intolérances alimentaires, 2012
“Qui peut donner une définition objective de la maladie mentale?”
Le Cercle de feu, 1974

Les plus anciennes occurrences de la citation ne donnent pas d'attribution. Par exemple, dans la Revue spirite, en 1887 https://books.google.fr/books?id=wb4aAQAAMAAJ&q=%22On+en+meurt+ou+on+reste+idiot%22 : « On connaît ce dit mémorable ». Puis dans La Médecine nouvelle du 12 mars 1892 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5521343v/f2.image.r=%22La%20fi%C3%A8vre%20typho%C3%AFde%20est%20une%20maladie%20terrible%22, ce commentaire : « Cette phrase attribuée à bien des personnages, n'est pas aussi grotesque qu'on pourrait le croire. Sauf le dernier membre que les farceurs y ont ajouté, le premier est malheureusement trop souvent vrai. » Le Journal du 25 juillet 1923 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7608581h/f1.item.r=%22ou%20on%20en%20reste%20idiot%22.zoom l'attribue à Mac Mahon mais indique entre parenthèses et en italique : « apocryphes ». Dans La Revue de Paris de septembre 1936 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k176862/f581.image.r=%22ou%20on%20en%20reste%20idiot%22 (ce texte sera repris l'année suivante dans La République des Ducs publié chez Grasset), l'historien Daniel Halévy donne ce commentaire : « On lui prêtait des mots simples qui faisaient rire. [...] Tout cela, indéfiniment répété, mettait en joie un peuple irrespectueux. »
Apocryphes

Dialectique du moi et de l'inconscient, 1933

(2) Nam hæc est brevissima et apertissima differentia duorum Testamentorum, timor et amor: illud ad veterem, hoc ad novum hominem pertinet; utrumque tamen unius Dei misericordissima dispensatione prolatum atque conjunctum. (...) (3) Potest ergo esse dilectio in vindicante. Quod unusquisque in filio suo probat, cum eum in mores pessimos defluentem, severissima cœrcitione constringit, et tanto magis, quanto magis eum diligit, atque hoc modo corrigi posse arbitratur. Non autem occidunt filios quos diligunt homines, quando eos corrigere volunt: quia multi hanc vitam pro magno bono habent, et totum quare volunt educare filios suos, in hac vita sperant. Fideles autem atque sapientes homines, qui credunt esse aliam vitam meliorem, et quanta possunt ex parte noverunt; nec ipsi vindicant occidendo, cum filios suos volunt corrigere, quia in hac vita eos posse corrigi credunt: Deus autem qui novit quid cuique tribuat, vindicat occidendo in quos voluerit, sive per homines, sive occulto rerum ordine; non quia eos odit in quantum homines sunt, sed in quantum peccatores sunt. (...) Ecce manifestum est Deum cum dilectione corrigere, non solum infirmitatibus et ægritudinibus, sed etiam mortibus temporalibus, eos quos non vult damnare cum mundo. (4) (...) et quomodo non sit contrarium quod Dominus nobis in Evangelio præcepit, ut diligamus inimicos nostros: de quibus tamen promittit ipse vindictam, cum de illo iudice similitudinem inducit, qui quotidianas interpellationes viduæ mulieris petentis ut se vindicaret, quamvis esset injustus, nec Deum timens, nec homines reverens, tamen sustinere non potuit, et audivit eam, ne ulterius tædium pateretur: ex cujus comparatione multo magis Deum, qui est benignissimus atque justissimus, dixit vindicare electos suos de inimicis eorum (Cf. Lc 18, 2-8.).
la
Citations de saint Augustin, Contre Adimantus, Manichéen
Les sentinelles du soir

Vœux d'un solitaire

Graines de possibles, regards croisés sur l'écologie

fr
La plus grande folie du monde est penser qu'il y ayt des astres pour les Roys, Papes et gros seigneurs, plustot que pour les pauvres, et souffreteux, comme si de nouvelles estoilles avoient esté créez depuis le temps du deluge, ou de Romulus, ou de Pharamond, à la nouvelle creation des Roys : ce que Triboulet, ny Caihette ne diroient : qui ont esté toustefois gens de hault sçavoir, et grand renom.
Triboulet et Caihette sont deux fous du roi.
Œuvre, Pantagrueline Prognostication pour l'an perpetuel
fr
Le Drame maçonnique. Le Pouvoir occulte contre la France, 1908
“Toutes les maladies se guérissent au moyen de quelque évacuation.”
Citation rapportée d'Hippocrate
Cures et monodiètes, 2012

“C'est la maladie qui rend agréable et bonne la santé, la faim la satiété, la fatigue le repos.”
Fragments
L'Islam des interdits, 2003

11 mai 1927
Journal littéraire, Une galerie de portraits monumentale
Une certaine idée de la folie, 2001

Orages d'acier, 1920, Soixante-dix s'efface, Soixante-dix s'efface II 1971-1980

Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002

Les Anormaux — Cours au Collège de France, 1974-1975, Cours du 15 janvier 1975
Ma confession (1975)

Les Anormaux — Cours au Collège de France, 1974-1975, Cours du 15 janvier 1975

fr
Gomorra : Dans l'empire de la Camorra, 2006, Seconde partie, Béton armé

“Certaines gens croient que c'est insulter la splendeur de leur maladie que d'aller mieux.”
À l'est d'Éden, 1952, Deuxième partie, Chapitre XXII
Le statut sécréteur : un facteur immunitaire
4 groupes sanguins 4 modes de vie, 2002

Discours formulé le 17 juin 1979, lors de la remise au docteur André Gernez de la médaille Hans Adalbert Schweigart par l'Union mondiale pour la protection de la vie par Linus Pauling
La cinécellulaire, 1968-2008

La Peste Noire à Florence (Première Journée, Introduction)

http://books.google.com/books?id=bfwLAAAAIAAJ&q=%22La+maladie+est+le+plus+%C3%A9cout%C3%A9+des+m%C3%A9decins+%C3%A0+la+bont%C3%A9+au+savoir+on+ne+fait+que+promettre+on+ob%C3%A9it+%C3%A0+la+souffrance%22&pg=PA160#v=onepage
In Search of Lost Time, Remembrance of Things Past (1913-1927), Vol. IV: Cities of the Plain (1921-1922)


“C'est une maladie naturelle à l'homme de croire qu'il possède la vérité directement…”
On the Spirit of Geometry

“C'est une ennuyeuse maladie que de conserver sa santé par un trop grand régime.”
Later Additions to the Maxims

“Une nation ne se construit pas avec des êtres malades mais avec des femmes et des hommes sains.”
Le Prix d'une vie, 1984
La Carte d’identité, 1980
“On ne peut reprocher à un malade d’être obsédé par les soins qui peuvent le sauver.”
La Carte d’identité, 1980

Mémoires de sept vies. Tome 2 : Croire et Oser, 1997

Scherbius (et moi), Antoine Bello, Gallimard, Blanche, 2018, 364, 978-2072791673
Scherbius (et moi), 2018

extrait de l'ouvrage Les moins de 16 ans, de Gabriel Matzneff, 1974
Propos polémiques de l'auteur