Citations sur la religion
Page 2

Honoré de Balzac photo
Allan Kardec photo

“La science et la religion n'ont pu s'entendre jusqu'à ce jour, parce que, chacune envisageant les choses à son point de vue exclusif, elles se repoussaient mutuellement. Il fallait quelque chose pour combler le vide qui les séparait, un trait d'union qui les rapprochât; ce trait d'union est dans la connaissance des lois qui régissent le monde spirituel et ses rapports avec le monde corporel, lois tout aussi immuables que celles qui règlent le mouvement des astres et l'existence des êtres. Ces rapports une fois constatés par l'expérience, une lumière nouvelle s'est faite : la foi s'est adressée à la raison, la raison n'a rien trouvé d'illogique dans la foi, et le matérialisme a été vaincu. Mais en cela comme en toutes choses, il y a des gens qui restent en arrière, jusqu'à ce qu'ils soient entraînés par le mouvement général qui les écrase s'ils veulent y résister au lieu de s'y abandonner. C'est toute une révolution morale qui s'opère en ce moment et travaille les esprits; après s'être élaborée pendant plus de dix-huit siècles, elle touche à son accomplissement, et va marquer une nouvelle ère dans l'humanité. Les conséquences de cette révolution sont faciles à prévoir; elle doit apporter, dans les rapports sociaux, d'inévitables modifications, auxquelles il n'est au pouvoir de personne de s'opposer, parce qu'elles sont dans les desseins de Dieu, et qu'elles ressortent de la loi du progrès, qui est une loi de Dieu.”

L'Évangile selon le spiritisme, 1864

Alain de Benoist photo
Octave Gréard photo
Jean Rohou photo
Thomas Mann photo
Ambrose Bierce photo

“Religion : fille de l'espérance et de la peur; elle explique à l'ignorance la nature de l'inconnaissable.”

Ambrose Bierce (1842–1914) écrivain et journaliste américain

Issue du Dictionnaire du diable

Alexandre Najjar photo
Georges Clemenceau photo
Paul Henri Thiry d'Holbach photo
Albert Jacquard photo
Mata Amritanandamayi photo

“L'amour est notre véritable essence. Cet amour n'a pas de limite de caste, de couleur, de croyance ou de religion. Nous sommes tous des perles enfilées sur le fil même de l'amour. Éveillez cette unité et répandez ce message d'amour et de service.”

Love is our true essence. This love does not have any limitations of caste, creed, colour or religion. We are all beads strung on the same thread of love. Awaken that unity and spread the message of love and service.
http://www.amritavarsham.org/ Page d'accueil du site officiel www.amritavarsham.org
L'Amour

Jean-Baptiste Bidegain photo
Ernst Jünger photo
Michel Onfray photo
Ernst Jünger photo
Marguerite Yourcenar photo
Charles Bossut photo
Ernst Jünger photo
Friedrich Nietzsche photo
Amin Maalouf photo
Éric Zemmour photo
Luc Ferry photo
Adolf Hitler photo
Éliette Abécassis photo
Sigmund Freud photo

“En fixant fortement ses adeptes à un infantilisme psychique et en leur faisant partager un délire collectif, la religion réussit à épargner à quantité d'êtres humains une névrose individuelle.”

Sigmund Freud (1856–1939) médecin, neurologue et psychanalyste autrichien, fondateur de la psychanalyse

Citations propres, , 1929

Nicolás Gómez Dávila photo
Olivier Roy photo
Jack Goody photo
Loïc Decrauze photo
Vincent Peillon photo
Neil Gaiman photo
Claude Fauriel photo
Ernest Renan photo
Arthur C. Clarke photo
Adolf Hitler photo
Mohandas Karamchand Gandhi photo
Justin Vaïsse photo
Abel Bonnard photo
Carl Gustav Jung photo
John Varley photo
Maxime Rodinson photo

“Mahomet (en arabe Muhammad) est, parmi les fondateurs des grandes religions universalistes, celui que nous connaissons le mieux […]. Homme génial, issu d'une société en marge des grandes civilisations de l'époque, il sut forger une synthèse idéologique impressionnante, capable de séduire d'abord son pays natal, puis de s'imposer dans une vaste zone du globe. Il sut aussi employer des dons remarquables de chef politique et militaire à acquérir le contrôle de l'Arabie. Mystique (incomplet), profondément religieux, mais non pas pur homme de sainteté comme le Christ et le Bouddha, les faiblesses humaines de cette impressionnante personnalité ne font que rendre sa biographie plus attachante. […] Si le développement postérieur de l'islam est dû aux circonstances (pour ceux qui n'y voient pas la main de Dieu), une part importante de son succès vient néanmoins du génie de Muhammad. On peut le créditer d'une grande intelligence, d'une habileté et d'une ténacité remarquables, d'un sens très fin des hommes et des situations. […] Il faut tenir compte des mœurs du temps et de son pays pour juger certains de ses actes, atroces ou quelque peu hypocrites […]. Il montra, en bien des cas, de la clémence, de la longanimité, de la largeur de vues et fut souvent exigeant envers lui-même. Ses lois furent sages, libérales (notamment vis-à-vis des femmes), progressives par rapport à son milieu.”

Maxime Rodinson (1915–2004) historien marxiste français spécialiste de l'islam
Jean-Marie Le Pen photo
Ibn Warraq photo
Éliette Abécassis photo
Jean-François Champollion photo
Ivan Illich photo
Émile Flourens photo
Nicolás Gómez Dávila photo
Albert Einstein photo
Octavio Paz photo

“Le baume qui cicatrise la blessure du temps se nomme religion; le savoir qui nous amène à vivre avec notre blessure se nomme philosophie.”

Octavio Paz (1914–1998) poète, essayiste et diplomate mexicain

Essai, La flamme double, 1993

Joris-Karl Huysmans photo

“Pour moi, la première preuve de l'origine divine de la religion catholique, c'est d'avoir pu subsister jusqu'à ce jour, malgré l'imbécillité des siens, ses plus terribles ennemis!”

Joris-Karl Huysmans (1848–1907) écrivain et critique d’art français

Interview de Joris-Karl Huysmans par Germaine Perceix pour Le Pain du 5 avril 1899
Articles de presse

Jacques Ellul photo
Jacques Ellul photo
Voltaire photo
Éric Besson photo
Annie Le Brun photo
Robert Ménard photo
Benoît XVI photo

“Sans entrer dans des détails comme le traitement différent des "détenteurs d'Écritures" et des "infidèles", il s'adresse à son interlocuteur d'une manière étonnamment abrupte — abrupte au point d'être pour nous inacceptable, qui nous surprend et pose tout simplement la question centrale du rapport entre religion et violence en général. Il dit : «Montre-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau et tu ne trouveras que du mauvais et de l'inhumain comme ceci, qu'il a prescrit de répandre par l'épée la foi qu'il prêchait» (3). Après s'être prononcé de manière si peu amène, l'empereur explique minutieusement pourquoi la diffusion de la foi par la violence est contraire à la raison. Elle est contraire à la nature de Dieu et à la nature de l'âme. «Dieu ne prend pas plaisir au sang, dit-il, et ne pas agir selon la raison (συν λογω) est contraire à la nature de Dieu. La foi est un fruit de l'âme, non pas du corps. Celui qui veut conduire quelqu'un vers la foi doit être capable de parler et de penser de façon juste et non pas de recourir à la violence et à la menace…Pour convaincre une âme douée de raison, on n'a pas besoin de son bras, ni d'objets pour frapper, ni d'aucun autre moyen qui menace quelqu'un de mort…»”

Benoît XVI (1927) pape de l’Église catholique

français
Dialogue sur le christianisme et l’islam, que le savant empereur byzantin Manuel II Paléologue mena avec un érudit perse, en 1391 à Ankara
Discours, Sur la foi et la violence

“La Guerre des Religions du XXIème siècle sera métalocale, et elle sera.”

Maurice G. Dantec (1959–2016) écrivain français naturalisé canadien

American black box. Le Théâtre des opérations 3, 2002-2006

Louis Aragon photo
Luc Ferry photo
Jean Tremblay photo
Richard Dawkins photo
Gustave Le Bon photo
Suzanne Curchod photo

“Pour apprécier exactement la direction des idées de Mme Necker, il faut d’abord se rendre compte de l’effort qu’elle s’imposa en arrivant à Paris, afin de s’approprier la langue et les mœurs du pays dont elle avait à se faire adopter. Sainte-Beuve a dit qu’elle ne fut jamais qu’une fleur transplantée. Il semble que Mme Necker eût prévu la critique. « Pour avoir un goût parfait, disait-elle, faut-il être né dans un pays ou dans une société, à Paris par exemple, où l’on reçoive les principes du goût avec le lait et par l’autorité? Ou bien serait-il à préférer d’y arriver dans l’âge où l’on peut les acquérir sans préjugé et apprendre à juger par sa propre raison nouvellement éclairée? Ce goût ainsi formé serait plus sûr et plus dégagé de toutes les préventions du siècle, du lieu et de la mode. C’est ainsi que Rousseau, dans un objet plus grave, voulait qu’on ne prit une religion que quand la raison serait formée. » Mme Necker se vise manifestement elle-même dans cette dernière observation; et je ne sais pas d’exemple d’une acclimatation ou d’une naturalisation intellectuelle suivie avec plus de zèle. Il n’en coûtait rien à Grimm de ne paraître à Paris qu’un Allemand. Mme Necker voulut être Française.”

Suzanne Curchod (1737–1794) femme de lettres française et salonnière, épouse de Jacques Necker.

D'autres auteurs la concernant

Félicité Robert de Lamennais photo

“On ne peut pas compter seulement sur l’école publique. La religion rend aux enfants ce que leur parents, déchus, n’ont plus toujours la force de leur transmettre. L’État français est laïque, mais la France est un pays chrétien, la France est avant tout un pays catholique. Un large dialogue islamo-catholique est donc prioritaire. Les beurs sont les garants de l’aboutissement positifs de ce dialogue, parce que c’est dans leur intérêt, ayant grandis en France, ils portent en eux cette confrontation […] En lieu et place de ce débat islamo-catholique, que trouve t-on? Un débat politico-religieux, le fameux débat judéo-arabe, imposé notamment par SOS Racisme, organisation contrôlée par l’Union des Étudiants Juifs de France. Ils ont lancé un débat judéo-arabe au nom des Beurs, en faisant eux-mêmes les questions et les réponses. Radio Beur ne doit pas cautionner un faux débat. Nous ne sommes pas des palestiniens, nous sommes des enfants d’immigrés, vivant en France. Solidaires des luttes du peuple palestinien, il n’est cependant pas dans notre vocation de nous substituer à lui, surtout si cette substitution est opérée par d’autres que nous-mêmes. De fait, l’instauration de ce débat judéo-arabe a eu pour effet de détourner le seconde génération du débat islamo-catholique.”

Farida Belghoul (1958) Professeure de lycée

Déclaration de Farida Belghoul le 28 novembre 1989, en qualité de secrétaire général de Radio Beur .
Radio Beur

Noam Chomsky photo
Conrad Malte-Brun photo

“Les conquérans musulmans de l'Espagne, mêlés de Maures et d'Arabes, y apportèrent la culture des sciences, l'amour de la patrie et l'esprit chevaleresque. De là nous sont venues la rime et la romance, qui ont marqué l'aurore du bon goût dans les provinces méridionales de la France. Les mathématiques, l'astronomie, la philosophie, la médecine et l'art vétérinaire, furent enseignés aux académies arabes en Espagne. Là s'élevèrent ces monumens magnifiques de l'architecture arabe, mélange fantasque de l'architecture des Grecs et des Persans. C'est l'architecture arabe qui a embelli l'architecture gothique, avec laquelle on l'a souvent confondue. […] Cest parmi les progrès du luxe et de la civilisation arabes que se forma cet esprit de chevalerie errante, mélange romanesque de sentimens d'honneur et de délicatesse, de religion et d'amour. Mais la chevalerie espagnole-chrétienne, entée sur la chevalerie musulmane-bédouine, était à cette dernière ce qu'est le fruit de l'arbre cultivé à celui du sauvageon. De là naquit le goût des tournois, des joûtes, des cours d'amour, des expéditions romanesques et des duels. Ainsi le contre-coup du choc dont l'Islam renversa les anciens empires de l'Orient, a donné en Europe le branle aux esprits. Ainsi, par un enchaînement de causes éloignées et prochaines, nous devons une partie de notre culture et de l'esprit de nos siècles de chevalerie au mahométisme, qui a étendu son influence non seulement sur les peuples chez lesquels il s'est établi, mais même au-delà de leurs limites jusqu'au sein des nations européennes, qui en conservent encore aujourd'hui le témoignage irréfragable dans le nombre de mots arabes adoptés qui se trouvent dans chacune d'elles.”

Conrad Malte-Brun (1775–1826) géographe français

Annales des voyages de la géographie et de l'histoire, 1808-1826

Emil Cioran photo

“Quand la pègre épouse un mythe, attendez-vous à un massacre ou, pis encore, à une nouvelle religion.”

Emil Cioran (1911–1995) philosophe et écrivain roumain, d'expression roumaine initialement, puis française

Syllogismes de l'amertume, 1952

Anne Calife photo

“Comment fait-on un signe de croix? Je ne connais rien à la religion. Comment faire un signe de croix avec des mains blanches de chantilly”

Anne Calife (1966) littératrice française, romancière et dramaturge, a été aussi professeur de sciences médico-sociales
Thomas Paine photo

“De toutes les tyrannies qui frappent l’humanité, la pire est la tyrannie en matière de religion.”

Thomas Paine (1737–1809) intellectuel, pamphlétaire, révolutionnaire anglais puis américain

), 1793

Maximilien de Robespierre photo

“Réduire le peuple à l'impuissance de pratiquer sa religion, ou la proscrire par une loi expresse, c'est exactement la même chose.”

Maximilien de Robespierre (1758–1794) homme politique français

Écrits et articles, « Observations sur le projet annoncé au nom du comité des Finances de supprimer les fonds affectés au culte, adressées à la Convention nationale », Lettres de M. Robespierre à ses commettants, n° 8, [novembre, 1792]

Marie d'Agoult photo

“Il était impossible que l'esprit sérieux, l'âme délicate, le caractère invinciblement porté à la droiture de Nélida ne fussent point froissés par ce qu'il y avait de faux dans cette société devenue la sienne. Mais la jeunesse est lente à se rendre compte de ses impressions et à les transformer en jugement. Il faut une force rare pour s'arracher au joug de la coutume. L'opinion établie semble tout naturellement l'opinion respectable, et les intelligences les plus fermes se défient d'elles-mêmes lorsqu'elles se sentent portées à franchir le cercle tracé par des mots aussi solennels que ceux de religion, de famille, d'honneur : mots trois fois saints, à l'abri desquels le monde a su placer les choses les moins dignes de vénération et de sacrifice. Aussi Nélida, surprise, incertaine, cherchait vainement à mettre d'accord ce qu'elle voyait et ce qu'elle entendait avec la voix intime de sa conscience. Tantôt, elle se sentait attirée par des grâces si nobles qu'elles semblaient presque des vertus; tantôt elle était repoussée par des hypocrisies grossières ou des maximes d'un égoïsme cynique. Les entretiens des jeunes filles avec lesquelles elle s'était liée n'étaient qu'un commentaire plus libre des conversations du couvent, et les fades galanteries des jeunes gens au bal blessaient sa simple fierté qui n'y trouvait rien à répondre. Un ennui insurmontable la gagnait, son cœur attristé se rouvrait au désir de la vie religieuse.”

Roman, Nélida, 1866

Claude Fauriel photo
Gustave Flaubert photo

“Homme droit comme l'épée qui fut la sienne durant sa belle carrière militaire, il était également un chrétien qui ne transigeait point sur les principes fondamentaux de sa religion. Celle-ci était source de sa générosité sociale, de son humanisme profond sous sa forme la plus élévée : la charité, je veux dire l'amour des hommes. Ces caractéristiques indéniables condamnent à elles seules les imputations que ses adversaires déclarés ou camouflés ont déversées sur lui, par haine, par crainte de sa réussite politique et par jalousie partisane. Il n'empêche qu'il les a dominés parce qu'il était, lui, sans haine; et patriote pur, il avait horreur des procédés d'excitation sociale, conduisant à la guerre civile. Il a été avant tout l'apôtre de la Réconciliation, épithète qu'il ajoutera à l'appellation de son parti. J'ai vu agir le chef et j'ai agi sous son égide; j'ai partagé le pain et le sel à sa table, avec lui, sa femme et ses enfants. Sous ces deux aspects, j'ai pu prendre la mesure de sa stature nationale, civique et morale. […] Lui, que les communistes traitaient de fasciste, professait un farouche dédain pour la tyrannie et l'aventure. […] Il rejetait toutes les doctrines excessives, qu'elles fussent de droite ou de gauche, de la demi-gauche ou de la demi-droite. C'était d'ailleurs une terminologie qui faisait mal à son cœur ouvert à tous les Français. Au fond, la Rocque était ce qu'on pourrait appeler un socialiste chrétien. […] C'est un grand mystère que celui des souffrances et de l'injustice qui frappent les hommes de cette qualité et de cette dimension morale, un des mystères de Dieu qui échappent à notre raison; mais on ne peut éloigner de son esprit cette idée qu'à propos du sort fait à la Rocque, le bras séculier de la France n'a pas écrit une page d'honneur à son actif.”

Augustin Ibazizen (1897–1980) écrivain français

À propos du colonel François de La Rocque, président des Croix-de-feu puis du Parti social français (PSF).
Le testament d'un Berbère: un itinéraire spirituel et politique, 1984

John Lennon photo

“Imagine qu’il n’y a pas de Paradis / C’est facile si tu essayes / Pas d’enfer en dessous de nous / Au dessus, juste le ciel / Imagine tous les gens / Vivant pour aujourd’hui… Imagine qu’il n’y a pas de pays / Ce n’est pas difficile à faire / Rien pour lequel tuer ou mourir / Et pas de religion non plus / Imagine tous les gens / Vivant la vie en paix… Imagine qu’il n’y a pas de possessions / Je me demande si tu le peux / Nul besoins d’avarice, pas de faim / Dans une confrérie humaine/Imagine tous les gens / Se partageant le monde… Tu pourrais dire que je suis un rêveur / Mais je ne suis pas le seul / J’espère qu’un jour tu nous rejoindras / Et le monde ne sera plus qu’un”

John Lennon (1940–1980) auteur-compositeur-interprète britannique

Imagine there's no heaven / It's easy if you try / No hell below us / Above us only sky / Imagine all the peopleLiving for today... Imagine there's no countries / It isn't hard to do / Nothing to kill or die for / And no religion too / Imagine all the people / Living life in peace... Imagine no possessions / I wonder if you can/No need for greed or hunger / In a brotherhood of man / Imagine all the people / Sharing all the world... You may say i'm a dreamer / But i'm not the only one / I hope some day you'll join us / And the world will be as one
en

“Ce n'est pas le monothéisme qui peut rendre redoutable une religion, mais l'impérialisme de sa vérité.”

Paul Veyne (1930) historien français

Quand notre monde est devenu chrétien, 2007

Jacques Ellul photo
Gilbert Keith Chesterton photo
Jean-Luc Mélenchon photo

“Il y a alerte mes amis! N’écoutez plus les bonimenteurs! Regardez de près ce qui va vous arrivez si vous ne faites pas le choix qu'on tourne la page de cette période épouvantable où on a cru qu'en compressant les salaires et en poussant sans arrêt les gens dans le dos en leur tordant les bras, on ferait décoller magiquement l'économie et la production. C'est tout le contraire qu'il s'est produit, ça fait 20 ans que ça dure! Est-ce que c'est pas le moment d'arrêter ça? Est-ce que c'est pas le moment de dire que le problème c'est celui de ceux qui se gavent? Ce n'est pas le problème de l'immigré, ce n'est pas le problème de celui qui n'a pas votre religion! Le problème, c'est le banquier! Le problème, c'est Mulliez! Voilà le problème! Il a un nom, il a une adresse! On peut changer tant et tant de choses et en particulier ces salariés, ces ouvriers, ces employés à tout les niveaux, au bureau et à l'atelier. Nous allons avoir un besoin immense de mobilisation de tout le monde, parce que nous allons faire changer de haut en bas toutes nos manières de produire pour faire la grande transition écologique dont l'humanité a besoin! Pas seulement vous, sur vos postes de travail, pour cesser d'absorber des produits nocifs, pas seulement les français, parce que nous nous occupons de notre pays, mais l’humanité toute entière a besoin que les pays les plus avancés, où le niveau de culture et d'éducation est le plus élevé, ceux là montre l'exemple, marchent les premiers!”

Jean-Luc Mélenchon (1951) personnalité politique française

Discours, Campagne présidentielle de 2017

Émile Zola photo
Béla Bartók photo