
Discours, Rapport présenté au club des Jacobins contre le philosophisme et pour la liberté des cultes, frimaire an II)
Une collection de citations sur le thème de culte, tout, bien-être, pluie.
Discours, Rapport présenté au club des Jacobins contre le philosophisme et pour la liberté des cultes, frimaire an II)
“C'est grâce à la vertu que fils et petit-fils célèbrent sans faillir le culte des ancêtres.”
fr
Tao-tö king, 1967
“Le culte de la personnalité est toujours d’essence populaire.”
Le boucher de Kouta , 1982
Medieval Islam was a religion of remarkable tolerance for its time, allowing Jews and Christians the right to practise their inherited beliefs, and setting an example which was not, unfortunately, copied for many centuries in the West. The surprise, ladies and gentlemen, is the extent to which Islam has been a part of Europe for so long, first in Spain, then in the Balkans, and the extent to which it has contributed so much towards the civilisation which we all too often think of, wrongly, as entirely Western. Islam is part of our past and our present, in all fields of human endeavour. It has helped to create modern Europe. It is part of our own inheritance, not a thing apart.
en
Mgr Freppel, Saint Irénée, Paris, 1870, p. 35, 36
Ouvrages, Le Ballet des crabes (1975)
Discours, Discours de Robespierre sur le plan de Constitution du Clergé,
Histoire de la Turquie, 1854
de
Le socratisme comme conception opposée au dionysisme de la tragédie grecque. Nietzsche fait allusion au poète Orphée mort démembré par les Ménades adoratrices de Dionysos.
Lettre de Ernst Jünger à Banine
Orages d'acier, 1920, Correspondance
L'occidentisme, 1995, L'idéologie
Le Chef du Gouvernement à la w:Synagogue de la Victoire à Paris pour la cérémonie des vœux à la communauté juive de France.
Laïcité
Littré
La Révolution française n'est pas terminée, 2008
Séance du 23 juillet 1789
Discours
Séance du 21 juillet 1789
Discours
Extraits de l'ouvrage "Petit manuel de survie de la droite"
Écrits et articles, « Observations sur le projet annoncé au nom du comité des Finances de supprimer les fonds affectés au culte, adressées à la Convention nationale », Lettres de M. Robespierre à ses commettants, n° 8, [novembre, 1792]
D'autres auteurs la concernant
Augustin Ibazizen, dans un article de la Nouvelle revue des jeunes (1930) , analysant "L’évolution de la jeunesse kabyle".
Articles
Among the varied influences that are ceaselessly engaged in shaping American ideas and molding American life, Freemasonry must, in all fairness, be conceded a prominent place. Its principles are scattered broadeast by our daily press; its labors for humanity are the constant theme of tongue and pen; its members are, in great part, our lawgivers, our judges, our rulers; even the presidents of our republic openly join its ranks; the educators of our youth in school and university are often its adherents, and encourage among their pupils societies which ape its secrecy and methods and prepare the young to become its zealous partisans in after life. To crown ail, Protestant ministers and bishops are its initiates and advocates, so that often not only the corner stones of our public buildings, but even those of Protestant churches, are laid by its officers and consecrated by its mystic
Discours
Discours, Rapport présenté au club des Jacobins contre le philosophisme et pour la liberté des cultes, [21, novembre, 1793] (1 frimaire an II)
Lettre ouverte aux culs-bénits, 1994
Il est ici question du grand monde. [Nélida, Marie d'Agoult, Calmann-Lévy, 2010, 1866, 75, Première partie, V, 978-2-7021-4127-4]
Roman, Nélida, 1866
La Tragédie classique, 1996, Le tragique : un conflit de deux conditions historiques
Hitler et la Dictature allemande, 1969
11 mai 1927
Journal littéraire, Une galerie de portraits monumentale
Le Président des riches : enquête sur l'oligarchie dans la France de Nicolas Sarkozy, 2010
L'Œuvre de Jung et la psychologie complexe, 1963, Réalité de l'âme
français
À propos du débat Minaret de la discorde.
Sur l'Islam
Extrait d’une déclaration de l'Abbé Pierre sur la Marseillaise
21. Melius essa, quidem quis dubitaverit ?, ad Deum colendum doctrina homines duci, quam pœnæ timore vel dolore compelli: sed non quia isti meliores sunt, ideo illi qui tales non sunt, neglegendi sunt. Multis enim profuit (quod experimentis probavimus et probamus) prius timore vel dolore cogi, ut postea possent doceri, aut quod jam verbis didicerant, opere sectari. Proponunt nobis quidam sententiam cujusdam sæcularis auctoris, qui dixit: Pudore et liberalitate liberos retinere, satius esse credo, quam metu (TEREN., Adel., 1, 57-58.). Hoc quidem verum est; sed sicut meliores sunt quos dirigit amor, ita plures sunt quos corrigit timor. Nam ut de ipso auctore istis respondeatur, apud illum etiam legunt: Tu nisi malo coactus, recte facere nescis (TEREN., Adel., 1, 69-75 (loc. adbrev. a CICER., Actio in Verr. 3, 62.)). Porro autem Scriptura divina, et propter illos meliores dixit: Timor non est in caritate; sed perfecta caritas foras mittit timorem (1 Io 4, 18.); et propter hos inferiores, qui plures sunt, ait: Verbis non emendabitur servus durus; si enim et intellexerit, non obediet (Prov 29, 19. ). Cum dixit, verbis eum non emendari, non eum jussit deseri, sed tacite admonuit unde debeat emendari: alioquin non diceret: Verbis non emendabitur; sed tantummodo diceret: « Non emendabitur ». Alio quippe loco dicit non solum servum, sed etiam filium indisciplinatum plagis esse cœrcendum; et magno fructu: nam: Tu quidem, inquit, percutis eum virga; animam vero ejus liberabis a morte (Prov 23, 14.); et alibi dicit: Qui parcit baculo, odit filium suum (Prov 13, 24.). (...) Sed tamen antequam dicant boni filii: Concupiscentiam habemus dissolvi, et esse cum Christo (Phil 1, 23.); multi prius, tamquam mali servi et quodammodo improbi fugitivi, ad Dominum suum temporalium flagellorum verbere revocantur. (...) (23) Cur ergo non cogeret Ecclesia perditos filios ut redirent, si perditi filii cœgerunt alios ut perirent? Quamvis etiam illos quos non cœgerunt, sed tantummodo seduxerunt, si per terribiles sed salubres leges in eius gremium revocentur (Mt 18, 12-13; Lc 15, 4-7.), blandius pia mater amplectitur, et de illis multo amplius quam de his quos numquam perdiderat, gratulatur. (...)
la
Citations de saint Augustin, Lettres
Emile or On Education
Form and Substance in the Religions
Iron Curtain: The Crushing of Eastern Europe, 1944-1956
The Transfiguration of Man
Variante: [... ] Dans cette question des limites de fait ou de droit du sentiment patriotique, il convient de rappeler tout d’abord qu’il y a patrie et patrie : il y a celle de la terre et celle du Ciel; la seconde est prototype et mesure de la première, elle lui donne son sens et sa légitimité. C’est ainsi que dans l’enseignement évangélique l’amour de Dieu prime, et peut par conséquent contredire, l’amour des proches parents, sans qu’il y ait là aucune offense à la charité; la créature doit d’ailleurs être aimée « en Dieu », c’est à dire que l’amour ne lui appartient jamais en entier. Le Christ ne s’est soucié que de la Patrie céleste, qui « n’est pas de ce monde »; c’est suffisant, non pour renier le fait naturel d’une patrie terrestre, mais pour s’abstenir de tout culte abusif – et avant tout illogique – du pays d’origine. Si le Christ a désavoué les attachements temporels, il n’en a pas moins admis les droits de la nature, dans le domaine qui est le leur, droits éminemment relatifs qu’il ne s’agit pas d’ériger en idoles; c’est ce que saint Augustin a magistralement traité, sous un certain rapport tout au moins, dans Civitas Dei. Le patriotisme normal est à la fois déterminé et limité par les valeurs éternelles; « il ne s’enfle point » et ne pervertit pas l’esprit; il n’est pas, comme le chauvinisme, l’oubli officiel de l’humilité et de la charité en même temps que l’anesthésie de toute une partie de l’intelligence; restant dans ses limites, il est capable de susciter les plus belles vertus, sans être un parasite de la religion.
Il faut se garder des interprétations abusives du passé historique; l’œuvre de Jeanne d’Arc n’a rien à voir avec le nationalisme moderne, d’autant que la sainte à suivi l’impulsion, non point d’un nationalisme naturel – ce qui eût été légitime – mais celle d’une volonté céleste, qui voyait loin. La France fut pendant des siècles le pivot du Catholicisme; une France anglaise eût signifié en fin de compte une Europe protestante et la fin de l’Eglise catholique; c’est ce que voulurent prévenir les « voix ». L’absence de toute passion, chez Jeanne, ses paroles sereines à l’égard des Anglais, corroborent pleinement ce que nous venons de dire et devrait suffire pour mettre la sainte à l’abri de toute imposture rétrospective (1). [... ]
1 – De même, l’étendard de Jeanne fut tout autre chose qu’un drapeau révolutionnaire unissant, dans un même culte profane, croyants et incroyants.
"Usurpations du sentiment religieux", Études Traditionnelles, décembre 1965.
From The Divine To The Human: Survey Of Metaphysics And Epistemology
“Glorifier le culte des images (ma grande, mon unique, ma primitive passion).”
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
Les Grecs et l’Irrationnel (The Greeks and the Irrational), 1951