Citations sur les problèmes
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“Moi, je ne descends pas de mon drakkar. Ça fait cinquante ans que je suis en France et donc je suis Française. Ce n'est pas parce que je soulève ce qui pour moi est un vrai problème qu'on doit me discréditer et penser que ce que je dis est nul et non avenu, parce que je ne serais pas assez française”

Eva Joly (1943) personnalité politique française

En réponse aux propos de François Fillon : « Je pense que cette dame n'a pas une culture très ancienne des traditions françaises, des valeurs françaises, de l'histoire française. Les forces armées françaises concourent au bon fonctionnement de la démocratie dans notre pays et c'est normal de leur rendre hommage.

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“[Il imagine une société où le meurtre serait légal] Les enfants se comporteraient très différemment, parce que la plupart des parents assassineraient leur propre enfant. […] Tu serai obligé d'enjamber des tas d'enfants morts, et ça deviendrait un nouveau problème. « Merci de nettoyer après avoir tué votre enfant, parce que c'est dégueulasse. Ce n'est pas bon pour l'environnement. Si vous assassinez votre enfant dans un lieu public, merci d'utiliser un des sacs rouges disponible dans les distributeurs situés tous les mètres en Amérique. Mettez votre enfant mort dans le sac rouge avec le logo qui représente un enfant mort, à côté du logo qui vous préviens de ne pas laisser votre enfant vivant jouer avec le sac puisqu'il pourrait suffoquer, auquel cas, vous pouvez juste le laisser dans le sac. »”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

Children would behave very differently. Because most parent would be murdering their own kids. [...] You'd be steping over dead kids, that would be like a new problem. « You have to clean up your kids when you kill them, because it's gross. It's bad for the environment. If you murder your child in a public place, please use one of the red bags that are in the dispensers every three feet in America. Put your murdered child in the red bag with the logo of a murdered kid on it, next to the other logo that tells you not to let your alive kid play with the plastic bag, because they might suffocate, in wich case, you can just leave him in the bag. »
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Oh My God (2013)

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“Sans la conscience, le problème du rapport corps-esprit serait beaucoup moins intéressant. Avec la conscience, il paraît sans espoir de solution.”

Thomas Nagel (1937) philosophe américain

Quel effet cela fait-il d’être une chauve-souris ? ('), 1974

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“Le problème, c’est que l’intégrité c’est comme la virginité, c’est ben dur d’en ravoir!”

Jean Lapierre (1956–2016) politicien fédéral canadien et chroniqueur politique québécois

En parlant de Jean Charest, premier ministre du Québec.

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“Nous ne pouvons plus aujourd'hui parler argent sans penser à la vie économique, globale : […] l'argent en est le symbole. […] (car il) a subi une abstraction et une objectivation au cours du dernier siècle.
- Une abstraction, car l'individu n'a plus entre les mains une valeur en soi, il ne peut plus attribuer de sens au signe monétaire. Et ce n'est plus seulement la monnaie papier mais aussi la monnaie scripturale qui conduit à cette abstraction. L'individu ne s'attache plus au billet mais à son seul pouvoir d'achat. Le signe s'est rapproché de sa réalité économique en devenant lui-même plus abstrait.
- Une objectivation également, car l'on a de plus le sentiment que la manipulation de l'argent n'est pas un fait personnel, une appropriation, mais résulte de combinaisons lointaines et complexes dont nos actes ne sont que l'écho.
Il n'y a (donc) plus véritablement de relation entre l'individu et son argent parce que cet argent est (devenu) abstrait et objectif. Dès lors, il n'y a plus de problème moral de l'argent : […] l'homme n'est plus responsable de ce qu'il gagne, ni du « comment il gagne », ni du « comment il dépense », car il s'agit uniquement (pour lui) d'un jeu objectif d'opérations économiques dans lequel (il se sent) très peu de chose.”

Jacques Ellul (1912–1994) professeur d'histoire du droit, sociologue et théologien protestant français

L'homme et l'argent, 1953

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“Si un homme pouvait satisfaire la moitié de ses désirs, il aurait deux fois plus de problèmes.”

Benjamin Franklin (1706–1790) un des Pères fondateurs des Etats Unis d'Amérique, politicien, écrivain, philosophe, physicien, publiciste …
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“Je voulais mieux connaître la vie de celui (Mahomet) qui aujourd'hui détient indiscutablement les cœurs de millions d'êtres humains. Je suis désormais plus que jamais convaincu que ce n'était pas l'épée qui créait une place pour l'Islam dans le cœur de ceux qui cherchaient une direction à leur vie. C'était cette grande humilité, cet altruisme du prophète, l'égard scrupuleux envers ses engagements, sa dévotion intense à ses amis et adeptes, son intrépidité, son courage, sa confiance absolue en Dieu et en sa propre mission. Ces faits, et non l'épée, lui amenèrent tant de succès, et lui permirent de surmonter les problèmes.”

Mohandas Karamchand Gandhi (1869–1948) leader politique et religieux indien

I wanted to know the best of the life of one who holds today an undisputed sway over the hearts of millions of mankind. I became more than ever convinced that it was not the sword that won a place for Islam in those days in the scheme of life. It was the rigid simplicity, the utter self-effacement of the Prophet the scrupulous regard for pledges, his intense devotion to his friends and followers, his intrepidity, his fearlessness, his absolute trust in God and in his own mission. These and not the sword carried everything before them and surmounted every obstacle.
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Années 1920

“Au niveau de la collectivité de base, les gens ne passent pas tant leurs journées à travailler qu'à échanger des informations, à se divertir, à faire en sorte de conserver et d'améliorer leur situation, à établir des contacts avec les personnes dont dépend leur bien-être, à assister à d'innombrables réunions, à tenter d'obtenir des bons de séjour, un logement, quelques fois même du ravitaillement supplémentaire. Ils améliorent leur qualification, reçoivent des certificats. Ils font partie de troupes d'amateurs, de clubs sportifs, sans parler bien sûr des cercles d'éducation politique. Ils font du travail social. Ils participent à des manifestations, des rencontres, des fêtes, des soirées, des excursions et des voyages. C'est leur vie propre qui se déroule là avec ses joies et ses peines, ses réussites et ses échecs, une vie pleine de passions et de drames. Et c'est de cette vie réelle que doit tenir compte en premier lieu toute description scientifique du communisme. Or c'est généralement la chose qu'ignorent tous ceux qui parlent du communisme. Ils préfèrent parler de choses extérieures beaucoup plus frappantes (les répressions, l'absence de libertés civiques), mais qui demeurent pratiquement inexistantes pour tous ceux qui vivent au niveau de la collectivité de base. Lorsque celle-ci aborde ces problèmes, c'est uniquement pour condamner les dissidents et exprimer son soutien aux autorités.”

Alexandre Zinoviev (1922–2006) écrivain russe

Le Communisme comme réalité, 1981, Personne et fonction

“Disons plus généralement que le problème du pouvoir n'est pas un problème militaire. c'est un problème social.”

Alexandre Zinoviev (1922–2006) écrivain russe

Le Héros de notre jeunesse, 1984

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“Les politiciens et les chefs militaires sont de plus en plus belligérants et les doctrines de défense plus dangereuses. Les commentateurs et les personnalités télévisuelles joignent le chœur belliqueux. Tout se passe comme si le monde se préparait à la guerre. […] Débarrasser le monde de cette peur signifie rendre les gens plus libres. Cela devrait être un objectif commun. Beaucoup d’autres problèmes seraient alors plus faciles à résoudre. Il est maintenant temps de décider et d’agir.”

Mikhaïl Gorbatchev (1931) Secrétaire général du Parti communiste de l'Union soviétique

Politicians and military leaders sound increasingly belligerent and defense doctrines more dangerous. Commentators and TV personalities are joining the bellicose chorus. It all looks as if the world is preparing for war. […] Ridding the world of this fear means making people freer. This should become a common goal. Many other problems would then be easier to resolve. The time to decide and act is now.
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À propos de la situation politique internationale en 2017.

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“Les trois éléments magiques - l'opportunité de faire des percées, jouer un rôle unique et travailler avec des personnes intelligentes sur des problèmes intéressants (les choses que j'aimais dans mon emploi chez Microsoft ) - sont tous présents dans le travail que je fais dans la fondation.”

Bill Gates (1955) Entrepreneur américain et philanthrope

The three magic elements - the opportunity for breakthroughs, to play a unique role, and to work with smart people on interesting problems (the things I loved about my job at Microsoft ) - are all present in the foundation work that I do.
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“Je connais l'endroit idéal pour les logements sociaux. J'ai la solution à ce problème. Je sais où nous pouvons construire des logements pour les sans-abris : les terrains de golf! C'est parfait! Juste ce qui nous faut. Des terrains abondants, dans des beaux quartiers, des terrains qui sont actuellement gâchés par une activité débile, dépourvue de sens, et principalement pratiquée par des homme d'affaire blancs et de bonne société, qui utilisent ce jeu pour se réunir et se découper des tranches de plus en plus fines de ce pays. J'en ai marre, vraiment marre, de ces salauds de golfeurs. Avec leurs pantalons verts, et leurs pantalons jaunes, et leurs pantalons oranges, et leurs adorables petits chapeaux et leurs petites voiturettes mignonnes! Il est temps de récupérer les terrains de golf des riches et de les donner aux pauvres! Le golf est un jeu arrogant, élitiste, prenant beaucoup trop de place dans ce pays. Beaucoup trop de place dans ce pays! C'est un jeu arrogant par le principe même, la simple conception du jeu est toute arrogance. Pensez à la taille d'un terrain de golf — la balle a cette putain de taille! Pour quoi tout ces connards débiles ont-ils besoin de tant de terrain?! Il y a plus de dix-sept mille terrains de golf en Amérique, d'en moyenne plus de cent cinquante acres pièce — c'est plus de trois millions d'acres, quatre mille huit cent vingt miles carrés — on pourrait construire deux Rhode Islands et un Delaware pour les sans-abris sur ces terres actuellement gâchées par ce jeu débile, sans aucun sens, arrogant, élitiste — raciste, en voila une autre chose ; les seuls noirs aperçus au country club servent les plats. Et un jeu chiant, un jeu chiant pour des gens chiants. Vous avez déjà vu le golf à la télé? C'est comme regarder des mouches s'enculer! Et débile, complétement débile. Imaginez l’intellect nécessaire pour tirer plaisir de cette activité : taper dans une balle — avec un bâton tordu — et puis … marcher pour la retrouver! Et après, la taper de nouveau! Je dis, t'as qu'a la ramasser connard, t'as bien eu la chance de la retrouver! Mets-la dans ta poche et rentre chez toi, t'as gagné, tu l'as retrouvée! Mais non! Ducon avec sa culotte écossaise va la taper de nouveau et marcher encore! Ces salauds de riches n'ont qu'a jouer au golf miniature! Laissez les s'emmerder avec un moulin à vent pendant une bonne heure et demie! Voyons s'il y a vraiment du talent parmi ces gens. Bon, je sais qu'il y a des gens qui jouent au golf et qui ne se considèrent pas riches. Je les emmerde! Et ils devraient avoir honte de pratiquer un passe-temps aussi élitiste et arrogant.”

George Carlin (1937–2008) humoriste américain

Jammin' in New York (Improvisation à New York), 1992

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“Le problème de la concurrence à l'intérieur du marché commun est un problème sérieux, est un problème grave. Seulement, ce que je souhaiterais pour ma part, c'est que ceux qui s'adressent comme vous même, qui s'adressent aux industriels, aux commerçants, à ceux qui dirigent l'économie, au lieu de leur dire que ça va mal et c'est la faute du gouvernement, leur disent : "vous avez pendant 50 ans vécu à l'abri de protections inadmissibles. Pendant 50 ans vous étiez tranquilles, chacun produisait sa petite affaire, sans savoir à quel prix de revient, et la revendait tranquillement avec son petit bénéfice. Il y avait de bonnes frontières douanières, il n'y avait aucune concurrence, et le client français était traité comme un client qui est obligé de payer ce qu'on lui donnait au prix qu'on demandait. Nous vivrons et l'économie française et les industriels et les commerçants français doivent vivre, désormais, dans la préoccupation permanente. Il s'agit de se dire qu'ils sont toujours menacés par la concurrence, qu'il faut toujours qu'ils fassent mieux, qu'il faut toujours qu'ils produisent à meilleur compte, qu'ils vendent la meilleur marchandise à meilleur prix et que c'est ça la loi de la concurrence et la seule raison d'être du libéralisme. Car si ce n'est pas ça, je ne vois pas pourquoi on se livrerait à ce genre de spéculation et pourquoi on prendrait tous ces risques et tous ces dangers. Nous serons donc en risque permanent! Et le gouvernement en est parfaitement conscient. Son rôle est de diminuer ces risques parfois, mais son rôle n'est certainement pas d'inviter les gens à la paresse en leur créant de nouvelles protections.”

Georges Pompidou (1911–1974) 2e président français de la cinquième République Française

Cité à l'occasion de l'émission « rien foutre al pais ». Déclaration faite en novembre 1967 pour justifier la suppression totale des barrière douanières au sein de la CEE.

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“T'essayes de protéger tes gosses, et si tu n'y arrives pas complètement, pourquoi tu t'emmerdes à le faire quand même? Quand mes filles sont dans la voiture avec moi, elles doivent s'attacher, et je ne démarre pas tant qu'elles n'ont pas bouclé leur ceinture. Mais quand on prend un taxi, c'est bon. Pas de problème. Les taxis sont magiques. Personne n'y meurt, assied-toi et c'est parti. […] Mes enfants prennent un taxi et elle traversent l'espace à une vitesse déterminée par le bénéfice qu'espère un homme épuisé venu d'un autre pays où la vie est moins chère et où les enfants meurent si souvent que c'en est fatiguant.”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

You try to keep your kids safe and if you aren't doing it perfectly then why are you doing it at all? It's like this thing that starts to dawn on you. Like if my kids get in the car with me they have to buckle up. I'm not even starting this car until you buckle your seatbelts. And if we get in a taxi, it's fine. It's okay. Taxis are magic. Nobody dies. Just get in. Just go. I'm not diggin' in the seat for a belt. There's no way I'm blindly diggin' in to the Egyptian hepatitis and severed toes so you can put on your seatbelt. You gotta put on your own mask before helping the others. I'm not going through that. So, my kids get in a cab and they just hurdle through space at a speed determined by a profit motive of an exhausted man from another country where life is s**t cheap, where kids die all day and it's boring.
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Louie (2010-)

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“au lieu de se consacrer à des problèmes de sélection, le psychologue scolaire doit avoir pour objectif premier le développement maximum des potentialités culturelles et éducative de chacun.”

Henri Wallon (1879–1962) philosophe, psychologue, neuropsychiatre, pédagogue et homme politique français

Revue Enfance, La psychologie scolaire, Numéro Spécial, 1952

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“Je suis assez intrigué par la façon dont les philosophes modernes qui sont en contact avec le monde répondent à la question de savoir comment nous devons vivre. Dans mes livres, je suis de plus en plus enclin à considérer la question de savoir comment les gens, dans leur vie de tous les jours, peuvent résoudre les dilemmes ordinaires et problèmes moraux.”

Alexander McCall Smith (1948) romancier écossais

I'm quite intrigued by how modern philosophers who are engaging with the world answer the question of how we should live," he said. "In my books I'm increasingly going to look at that question: how people resolve ordinary dilemmas and moral issues in their day-to-day life.
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Extrait d'un entretien dans lequel le romancier évoque le personnage qui l'a rendu célèbre — Mma Ramotswe, femme détective du Botswana — mais aussi celui de la détective philosophe édimbourgeoise Isabel Dalhousie, ainsi que la genèse de son roman feuilleton 44 Scotland Street, ou encore les années passées au Botswana et son engagement, comme fondateur et joueur de basson, dans le Really Terrible Orchestra, orchestre amateur basé à Édimbourg.
Sur les philosophes modernes

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“Il y a alerte mes amis! N’écoutez plus les bonimenteurs! Regardez de près ce qui va vous arrivez si vous ne faites pas le choix qu'on tourne la page de cette période épouvantable où on a cru qu'en compressant les salaires et en poussant sans arrêt les gens dans le dos en leur tordant les bras, on ferait décoller magiquement l'économie et la production. C'est tout le contraire qu'il s'est produit, ça fait 20 ans que ça dure! Est-ce que c'est pas le moment d'arrêter ça? Est-ce que c'est pas le moment de dire que le problème c'est celui de ceux qui se gavent? Ce n'est pas le problème de l'immigré, ce n'est pas le problème de celui qui n'a pas votre religion! Le problème, c'est le banquier! Le problème, c'est Mulliez! Voilà le problème! Il a un nom, il a une adresse! On peut changer tant et tant de choses et en particulier ces salariés, ces ouvriers, ces employés à tout les niveaux, au bureau et à l'atelier. Nous allons avoir un besoin immense de mobilisation de tout le monde, parce que nous allons faire changer de haut en bas toutes nos manières de produire pour faire la grande transition écologique dont l'humanité a besoin! Pas seulement vous, sur vos postes de travail, pour cesser d'absorber des produits nocifs, pas seulement les français, parce que nous nous occupons de notre pays, mais l’humanité toute entière a besoin que les pays les plus avancés, où le niveau de culture et d'éducation est le plus élevé, ceux là montre l'exemple, marchent les premiers!”

Jean-Luc Mélenchon (1951) personnalité politique française

Discours, Campagne présidentielle de 2017

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“Donc il ont eu entre leurs mains ce questionnaire sur les problèmes rencontrés par les enseignants dans leur travail. Et ils ont retrouvé les formulaires qui avaient été remplis et renvoyés par des établissements de tout le pays en réponse au questionnaire. Et les plus gros problèmes signalés c'étaient des trucs comme parler en classe et courir dans les couloirs. Mâcher du chewing-gum. Copier en classe. Des trucs du même tabac. Alors les enseignants en question ont pris un formulaire vierge et en ont imprimé un paquet et ont envoyé les formulaires aux mêmes établissements. Quarante ans plus tard. Voici quelque-unes des réponses. Les viols, les incendies volontaires, les meurtres. La drogue. les suicides. Alors ça m'a fait réfléchir. Parce que la plupart du temps, chaque fois que je dis quelque chose sur le monde qui part à vau-l'eau on me regarde avec un sourire en coin et on me dit que je vieillis. Que c'est des symptômes. Mais ce que je pense à ce sujet c'est que quelqu'un qui ne peut pas voir la différence entre violer et assassiner les gens et mâcher du chewing-gum a un problème autrement plus grave que le problème que j'ai moi. C'est pas tellement long non plus quarante ans. Peut-être que les quarante prochaines années sortiront certains de leur anesthésie. Si c'est pas trop tard.”

Cormac McCarthy (1933) écrivain américain

Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme, 2005

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“Une science ne débute qu'avec une délimitation suffisante des problèmes susceptibles de circonscrire un terrain de recherche sur lequel l'accord des esprits est possible.”

Jean Piaget (1896–1980) Psychologue, logicien, biologiste, épistémologue et professeur d'université suisse

Épistémologie des sciences de l'homme, 1970

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“Cette loi correspond au « moindre nombre de lettres »… qui insiste sur l'optimalité de la statistique des mots par rapport au problème.”

Benoît Mandelbrot (1924–2010) mathématicien franco-américano-polonais

Fractales, hasard et finance, 2009

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